Archive pour le Tag 'aire'

Agriculture Européenne: Augmenter la production et faire face à la famine mondiale

La réduction de la production suite au conflit entre la Russie et l’Ukraine conjuguée à l’envolée folle des cours va créer une situation de famine dramatique dans nombre de pays peu développés (Afrique notamment). D’où l’objectif d’augmenter de façon considérable la production en Europe

 

 

Finalement les objectifs environnementaux de réductions programmées de l’agriculture sont bousculés par la guerre en Ukraine. Continuer de produire le plus possible en Ukraine, mais surtout produire davantage en Europe : tel est le vœu, face à l’impact potentiel de la guerre sur l’alimentation mondiale, des ministres européens de l’Agriculture, qui se sont réunis lundi à Bruxelles. L’objectif était notamment de formuler les demandes des Etats membres à propos des mesures d’urgence de soutien aux agriculteurs que la Commission européenne doit valider mercredi.

Ces mesures sont cruciales au regard du contexte de la guerre en Ukraine, qui perturbe les chaînes d’approvisionnement européenne et la sécurité alimentaire mondiale. Le conflit pèse en effet sur le transport des marchandises et les productions à venir de l’Ukraine comme celle de la Russie. Ces deux pays sont des exportateurs importants de plusieurs céréales et oléagineux comme d’intrants agricoles.

L’objectif est aussi  que l’Europe puisse jouer un rôle face aux famines redoutées dans les pays important leur nourriture qui, en particulier dans les régions les plus pauvres, risquent de ne plus être en mesure d’en payer le prix.

Les ministres européens soutiennent donc l’abandon, au moins provisoire, des règles européennes sur les terres en jachère, visant à y protéger la biodiversité.

La France a d’ailleurs déjà décidé, dans le cadre de son plan de résilience, « l’adaptation ou le report de mesures réglementaires » susceptibles de limiter la disponibilité d’engrais, telles qu’un règlement sur le stockage contre lequel les producteurs d’engrais ainsi que la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (Fnsea) se battent depuis des mois, tout en promettant de développer l’usage d’engrais organiques produits dans l’Hexagone.

Les 27 ont aussi donné le feu vert à l’apport par l’Ue d’une aide en urgence aux agriculteurs ukrainiens,.

Un projet UDI en 2022 pour faire peur à Macron !

Un projet UDI en 2022 pour faire peur à Macron

Le mini parti de l’UDI menace de présenter une candidature aux présidentielles de 2022. En fait, c’est le résultat du mépris de Macron pour ses partenaires de la majorité qu’il s’agisse de l’UDI ou encore des centristes de Bayrou. Après avoir utilisé les intéressés Macron a plutôt tendance à les considérer comme quantité négligeable. D’où la rebellions de l’UDI qui n’ira sans doute pas loin mais qui est aussi fait vraisemblablement pour ménager le nombre de députés futurs après les présidentielles. «Nous avons porté notre projet européen en 2019. Il n’y a aucune raison que nous ne portions pas notre projet national en 2022

Parti socialiste : 500.000 pour quoi faire ?

Parti socialiste : 500.000 pour quoi faire ?

 

 

Cambadélis vise 500 000 adhérents en 2017, il peut toujours rêver. Mais la question est pour quoi faire ? à 100 000 adhérents ou 500 000 adhérents la direction du  PS demeurera un club d’élus et de futurs candidats. Pas un parti qui réfléchit, propose. Certes les militants discutent échangent mais dans le vide ; le PS autoriser la thérapie de groupe que constitue le débat démocratique mais n’en tient jamais compte quand il est au pouvoir. Un seul exemple la libéralisation des autocars : quand cela a été discuté ? Jamais ! Pire il met des technocrates pas même adhérents au PS dans les postes de décisions.  Les structures de réflexion ne servent strictement à rein au PS. Cela a commencé avec Mitterrand qui a vite enterré le rapport Chevènement pour sortir ses 100 propositions, jusqu’à Hollande qui a défini lui-même ses engagement  en inventant par exemple la veille sa taxe à 75% sur les salaires de 1 million. Le Conseil national, composé de quelques 300 cadres du PS, un rapport sur la réorganisation et la modernisation du PS rédigé par le député et secrétaire national du parti Christophe Borgel. Cambadélis s’est félicité, à l’issue, du nombre de participants à ce conseil: «80% des membres, ce qui est assez rare». Une façon de souligner la volonté commune de dynamiser un parti pourtant très divisé sur ses options politiques alors que se profile le prochain congrès, à Poitiers, en juin prochain. Le député de Paris a lancé un défi à son parti: obtenir 500.000 adhérents en 2017. Ils seraient aujourd’hui «80.000» à jour de cotisation. «En juin, a-t-il parié, nous ne serons pas loin des 150.000!» Cambadélis souhaite «une baisse du prix de l’adhésion pour qu’il n’y ait pas d’obstacle dans un moment économique difficile».   «Vouloir 500.000 adhérents, c’est un objectif louable», a commenté de son côté l’eurodéputé Emmanuel Maurel, un des principaux animateurs de la gauche du PS. «Mais on ne va pas y arriver avec le seul développement par le PS des échanges internet avec les fédérations ou les sections…» La question essentielle, pour lui, est celle des choix gouvernementaux. «Fait-on les bons pour attirer les militants? Je ne crois pas. L’enjeu, c’est de montrer que lorsque les socialistes sont au pouvoir, ils sont capables de transformer durablement la société, ce qui n’est pas le cas me semble-t-il». La nécessité est toujours aussi urgente pour lui de «réorienter la politique gouvernementale».  Cette question d’une éventuelle réorientation de la politique de l’exécutif pour les deux ans à venir sera au cœur du prochain congrès.

 

Croissance faible : que va faire la BCE ? Rien !

Croissance faible : que va faire la BCE ? Rien !

Il faut s’attendre à de nouvelles batailles au sabre de bois à l’intérieur de la BCE avec les partisans d’une politique accommandante et les orthodoxes soutenus par l’Allemagne, eux pour le statu quo. .La faiblesse de la croissance aussi bien dans les services que dans l’industrie malgré cette tendance de long terme à la baisse des prix servira jeudi de toile de fond à la réunion de politique monétaire de la BCE. Les débats sont vifs entre banquiers centraux sur les outils à mettre en œuvre pour écarter le spectre de la déflation et sortir l’inflation, de seulement 0,4% en octobre, de ce que la BCE qualifie elle-même de « zone de danger » sous 1%. Considéré comme un bon indicateur de l’activité puisqu’il s’appuie sur le sentiment de milliers d’entreprises à travers le continent, l’indice composite des directeurs d’achats (PMI) de Markit n’a quasiment pas bougé par rapport à son plus bas de 10 mois atteint en septembre, passant de 52,0 à 52,1. « Une telle faiblesse est inquiétante car elle souligne la faiblesse de la demande dans la zone euro et alimente les inquiétudes concernant la croissance. Les éléments d’anticipation dans les deux secteurs se sont révélés décevants », commente Apolline Menut, pour Barclays. Dans les services, l’indice des directeurs d’achat est tombé à un plus bas de sept mois à 52,3 en octobre et il y a peu de chances qu’il s’améliore ce mois-ci. Si le PMI composite, regroupant industrie et services, est resté pour le 16e mois consécutif au-dessus du seuil de 50 séparant la croissance de la contraction, cette situation a un coût. Le sous-indice des prix à la production a plongé à 47,1 contre 48,5 en septembre, soit son plus bas niveau depuis février 2010, ce qui semble indiquer que les entreprises continuent désespérément de jouer sur les prix pour maintenir leur activité.  

 

Hollande n’a pas autre chose à faire qu’à commenter le foot ? ( Sarkosy)

 Hollande  n’a pas autre chose à faire qu’à commenter le foot ? ( Sarkosy)

 

 

Incorrigible Sarko (qui veut changer le changement)  mais qui a justement critiqué Hollande (qui s’intéresse beaucoup au foot n ce moment pour faire oublier le reste) Nicolas Sarkozy a reçu le prix de l’Appel du 18 juin, décerné à une personnalité politique qui incarne les valeurs du gaullisme. Au cours d’une cérémonie à huis clos, l’ancien chef de l’État a envoyé de nombreux signes aux quelques journalistes présents dans la salle. Évoquant l’histoire, Nicolas Sarkozy a parlé de « ceux qui sont capables de la comprendre et ceux qui, au contraire, la traversent sans s’en rendre compte », dans une allusion à peine masquée à François Hollande. Plus appuyé sera le tacle lorsqu’il lâche en privé :  »Est-ce que vous croyez que les Français attendent des politiques qu’ils commentent des matches de football ? »  Dans un discours sous forme de programme, Nicolas Sarkozy a évoqué le besoin de « changer notre façon d’agir et de réfléchir ». Et de conclure par un aveu concernant ses intentions : il ne décidera pas de son avenir avant la fin du mois d’août.  »Vous pouvez partir en vacances tranquilles », a-t-il lancé aux journalistes.

 




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