Archive pour le Tag 'Agression'

Agression de soignants : les auteurs laissés libres

Agression de soignants : les auteurs  laissés libres 

Les deux frères soupçonnés d’avoir agressé des soignants dans un hôpital d’Annemasse, en Haute-Savoie, ont été laissés libres sous contrôle judiciaire, ont fait savoir samedi 11 janvier leurs avocats à BFMTV. Ils seront jugés lundi.

Les deux frères incriminés, venus consulter mercredi soir pour l’un d’entre eux aux urgences de l’Hôpital privé des Pays de Savoie (HPPS) et mécontents des délais d’attente, sont soupçonnés d’avoir agressé le personnel du service, faisant six blessés lors d’un épisode très violent.

Parmi les quatorze personnels impliqués, « tous en état de choc psychologique », six souffrent de « tuméfactions au visage » et pour certains d’entre eux « d’une côte fêlée, d’un traumatisme à une cheville ou d’une fracture à une main » a indiqué le procureur de Thonon-les-Bains Xavier Goux-Thiercelin dans un communiqué.

Les deux suspects ont pris la fuite avant l’arrivée des autorités mais ont été interpellés dès le lendemain. Ils se sont présentés au commissariat d’Annemasse car souhaitaient eux-mêmes porter plainte contre les soignants !

Encore une agression d’un élève caractériel en Maine-et-Loire

Encore une agression d’un élève caractériel en Maine-et-Loire

 
Un lycéen a agressé sa prof d’anglais ce lundi 27 mai dans un établissement de Chemillé, dans le Maine-et-Loire. Il lui a porté un coup de couteau au visage. Sa mère témoigne.

 

Scolarisé depuis trois ans au lycée de l’Hyrôme à Chemillé-en-Anjou, l’agresseur est âgé de 18 ans. Il termine l’année de terminale en bac professionnel.

Lors d’une conférence de presse ce lundi après-midi, le procureur a précisé que dans l’établissement, il n’avait jamais fait parler de lui. Aucun problème de discipline, le jeune homme n’a jamais eu affaire à la justice, ni aux services sociaux.

La mère décrit son fils comme étant « calme. Justement. C’est ça. S’il avait des problèmes, il ne nous avait jamais rien dit, c’est peut-être pour ça aussi. Oui. C’est compliqué quand même ».

 

Le lycéen a été placé en garde à vue et une enquête pour tentative de meurtre a été confiée à la brigade de recherche de Cholet.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’auteur du coup de couteau ne présente pas de déséquilibre patent, pas de raison évidente pour ce passage à l’acte. Aux enquêteurs, il a exprimé un mal-être global et déclaré avoir voulu « libérer la pression » en ayant un geste violent à l’égard de quelqu’un.

Agression de Samara à Montpellier : les trois mineurs en examen

Agression de Samara à Montpellier : les trois mineurs  en examen

Les trois agresseur mineur ont été mis en examen après la sauvage agression de Samara à Montpellier pour des questions de différends vestimentaires notamment religieuses. Une agression qui aurait pu conduire à la mort comme à Viry-Châtillon ou la société de type iranienne importée en France et défendue en France par des gardiens de la révolution en herbe. Bref des criminels le plus souvent idiots.

 

«Samara se maquille un peu. Et cette jeune fille (qui aurait agressé Samara, NDLR) est voilée. Toute la journée, elle la traitait de kouffar, qui veut dire mécréant en arabe (…). Ma fille, elle s’habille à l’européenne. Toute la journée, c’était des insultes, on la traitait de kahba, ça veut dire p*te en arabe. Ce n’était plus vivable physiquement et psychologiquement», a témoigné la mère.

 L’adolescente de 14 ans avait été rouée de coups par trois mineurs âgés de 14 et 15 ans. Prise de convulsions, la victime était tombée dans le coma, avant d’en sortir jeudi.

 Les trois mineurs interpellés «reconnaissent leur implication dans le cadre de l’agression perpétrée le 2 avril 2024» et «chacun d’entre eux admet avoir porté des coups à la victime», explique dans un communiqué diffusé ce vendredi 5 avril le procureur de la République de Montpellier, Fabrice Bélargent. Ils ont été mis en examen du chef de tentative d’homicide volontaire sur mineure de 15 ans, a annoncé le parquet vendredi soir.

De son côté, la rectrice de l’académie de Montpellier, Sophie Béjean, «a décidé d’engager immédiatement les procédures disciplinaires» à l’encontre de ces trois élèves, a indiqué l’académie dans un communiqué: «Les conseils disciplinaires seront réunis au plus vite» et, «par mesure conservatoire, l’accès à leur établissement respectif leur est strictement interdit» dès à présent.

Montpellier : Le coupable en voiture d’une agression d’un policier déjà condamné à 28 reprises

Montpellier : Le coupable en voiture d’une agression d’un policier déjà condamné à 28 reprises

Il n’est sans doute pas étonnant que 62 % des Français soient mécontents de la politique de sécurité des pouvoirs publics d’après un dernier sondage. Et l’agression d’un policier à Montpellier confirme les raisons de ce mécontentement. En effet l’intéressé qui a traîné en voiture un policier avait déjà été condamné 28 fois par la justice.

«Vendredi, l’homme ayant traîné un policier sur plusieurs mètres à bord d’une voiture volée a été interpellé à Montpellier. L’information a été rendue publique ce dimanche par le procureur de la République Fabrice Belargent, dans un communiqué transmis au Figaro. Ce dernier précise que l’homme a déjà été condamné 28 fois par la Justice.

1er février, en début de soirée, l’individu a subi un contrôle par un équipage de la brigade anti-criminalité, son véhicule étant signalé volé. Si son passager a été interpellé, l’homme a résisté et démarré en trombe en marche arrière, entraînant le policier qui s’occupait de lui sur plusieurs mètres. Le fonctionnaire s’est fait écraser contre une autre voiture en stationnement, se blessant grièvement avant que son agresseur ne prenne la suite.

Agression de policiers : Castex pour un durcissement pénal

Agression de policiers : Castex pour un durcissement pénal

Dans un communiqué, le premier ministre a ainsi précisé que la peine de sûreté pour les personnes condamnées à perpétuité pour un crime commis contre un policier ou un gendarme serait portée à trente ans et que les possibilités de réduction des peines seraient strictement limitées pour les agresseurs de membres des forces de l’ordre. Les violences contre les forces de l’ordre seront «désormais des délits spécifiques plus durement réprimés» et les refus d’obtempérer «punis plus fortement», a-t-il ajouté sans autre détail.

Le garde des Sceaux prendra une circulaire demandant «aux parquets une fermeté stricte lorsque les forces de l’ordre sont prises à partie, en demandant notamment le déferrement systématique et un jugement rapide des auteurs», a également fait savoir le chef du gouvernement.

Insécurité -Dupond-Moretti contre les peines automatiques pour agression de policiers

Insécurité -Dupond-Moretti contre les peines automatiques pour agression de policiers

Xavier Bertrand, président de la région du Nord et candidat potentiel à l’élection présidentielle a proposé il y a quelques jours des peines automatiques pour les agresseurs de policiers. Une proposition fortement critiquée et même condamnée par le ministre de la justice avec des arguments très militants et même très spécieux ?

 

. «Monsieur Bertrand propose donc une modification de la Constitution pour envoyer en prison automatiquement toute personne interpellée sans preuve, ni procès. Aucun policier, aucun magistrat n’acceptera de substituer le principe de la justice à la logique de la rafle», avait écrit le ministre de la Justice.

 

Évidemment une caricature des propositions de Xavier Bertrand qui n’a jamais souhaité l’incarcération des coupables sans preuve ni procès. Sur RTL, Éric Dupond-Moretti a expliqué que la proposition de Xavier Bertrand signifiait «qu’il suffit, au fond, d’interpeller des gens accusés de violences envers les policiers pour qu’ils soient automatiquement condamnés», en précisant le «risque», selon lui, de «condamner des innocents». Et de poursuivre : «Monsieur Bertrand est tellement mal à l’aise qu’il a rétropédalé à trois reprises, sur Facebook, sur Twitter et à l’AFP, qu’il a contactée. C’est une énormité ce qu’il a dit».

 

Le candidat de droite a pour sa part justifié sa position dans un post Facebook. «Je rappelle au ministre de la Justice qu’une peine automatique minimale reste une peine, prononcée par un tribunal, au terme d’un procès équitable, dans le respect du contradictoire et sur la base d’un dossier et de preuves permettant d’établir les faits (…) J’assume parfaitement que la loi pénale puisse fixer des peines minimales automatiques lorsque c’est nécessaire», a-t-il écrit.

«Ce dispositif respecte les principes fondamentaux de notre droit pénal. Dès lors qu’il restreint le pouvoir d’appréciation des juridictions, je veux le sécuriser entièrement en modifiant la Constitution, par référendum. Sa légitimité sera alors indiscutable et son efficacité garantie», estime Xavier Bertrand.

Dupond-Moretti contre les peines automatiques pour agression de policiers

Dupond-Moretti contre les peines automatiques pour agression de policiers

Xavier Bertrand, président de la région du Nord et candidat potentiel à l’élection présidentielle a proposé il y a quelques jours des peines automatiques pour les agresseurs de policiers. Une proposition fortement critiquée et même condamnée par le ministre de la justice avec des arguments très militants et même très spécieux ?

 

. «Monsieur Bertrand propose donc une modification de la Constitution pour envoyer en prison automatiquement toute personne interpellée sans preuve, ni procès. Aucun policier, aucun magistrat n’acceptera de substituer le principe de la justice à la logique de la rafle», avait écrit le ministre de la Justice.

 

Évidemment une caricature des propositions de Xavier Bertrand qui n’a jamais souhaité l’incarcération des coupables sans preuve ni procès. Sur RTL, Éric Dupond-Moretti a expliqué que la proposition de Xavier Bertrand signifiait «qu’il suffit, au fond, d’interpeller des gens accusés de violences envers les policiers pour qu’ils soient automatiquement condamnés», en précisant le «risque», selon lui, de «condamner des innocents». Et de poursuivre : «Monsieur Bertrand est tellement mal à l’aise qu’il a rétropédalé à trois reprises, sur Facebook, sur Twitter et à l’AFP, qu’il a contactée. C’est une énormité ce qu’il a dit».

 

Le candidat de droite a pour sa part justifié sa position dans un post Facebook. «Je rappelle au ministre de la Justice qu’une peine automatique minimale reste une peine, prononcée par un tribunal, au terme d’un procès équitable, dans le respect du contradictoire et sur la base d’un dossier et de preuves permettant d’établir les faits (…) J’assume parfaitement que la loi pénale puisse fixer des peines minimales automatiques lorsque c’est nécessaire», a-t-il écrit.

«Ce dispositif respecte les principes fondamentaux de notre droit pénal. Dès lors qu’il restreint le pouvoir d’appréciation des juridictions, je veux le sécuriser entièrement en modifiant la Constitution, par référendum. Sa légitimité sera alors indiscutable et son efficacité garantie», estime Xavier Bertrand.

Agression de policiers à Herblay : un autre suspect interpellé

Agression de policiers  à Herblay : un autre suspect interpellé

L’homme de 30 ans interpellé par le Raid, mardi 1er décembre, à Nanterre (Hauts-de-Seine), dans l’enquête ouverte après l’attaque violente début octobre contre deux policiers à Herblay (Val-d’Oise), a été mis en examen des chefs de « tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique » et « détention non autorisée d’arme de catégorie B en réunion » et placé en détention provisoire, a indiqué le parquet de Pontoise mercredi soir.

 

Cet homme est connu des services de police pour trafic de stupéfiants et il a déjà été condamné pour violence et rébellion, précise une source policière à France Télévisions.

La violente agression des fonctionnaires est survenue le 7 octobre dans une zone industrielle d’Herblay. Membres de la police judiciaire de Cergy-Pontoise, les deux policiers, âgés de 30 et 45 ans, avaient été attaqués par trois individus alors qu’ils se trouvaient dans une voiture banalisée en surveillance vers 22h30. Après les avoir roués de coups au sol, les agresseurs avaient volé leurs armes de service et avaient ouvert le feu sur eux à plusieurs reprises, les blessant grièvement.

Six jours après cette violente agression, un premier homme âgé de 28 ans, qui s’était rendu de lui-même à la police de Versailles, avait été mis en examen pour « tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique » et placé en détention. Cette attaque avait suscité l’indignation des syndicats de policiers et de nombreuses réactions, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin considérant qu’ils avaient été « massacrés ».

 

Air France : les auteurs de l’agression identifiés

Air France : les auteurs de l’agression identifiés

La compagnie aérienne a ouvert une enquête interne qui selon les informations de RTL a déjà permis d’identifier une vingtaine de suspects. Parmi les salariés identifiés par la direction sur les vidéos et les photos, 10 ont un mandat syndical, souvent CGT ou parfois Force Ouvrière.  Il s’agit essentiellement de membres du personnel au sol, de la maintenance et de l’activité cargo notamment, mais également de deux pilotes et d’une hôtesse de l’air. Tous ne sont cependant pas impliqués de la même façon dans les incidents de lundi puisque seuls 3 salariés ont été reconnus s’en prenant directement aux membres de la direction et aux agents de sécurité.  Les autres sont plutôt des complices qui ont participé à créer ce climat de violences ; des agents qui ont renversé les grilles qui barraient l’accès au siège, les 2 pilotes qui avec leurs badges ont fait entrer des manifestants à l’intérieur, des salariés qui ont insulté et menacé les représentants de la direction ou encore l’hôtesse de l’air qui a recouvert d’un voile une caméra de surveillance.  Des procédures disciplinaires vont désormais être lancées et pourront aller jusqu’au licenciement pour les cas les plus graves. En attendant, les visionnages se poursuivent avec des recoupements et cette première liste devrait s’allonger au fil des jours.

Agression Nice : Moussa Coulibaly, un terroriste « ordinaire »

 Agression Nice : Moussa Coulibaly, un terroriste « ordinaire »  

Lhomme qui a agressé des policiers à Noce présente le profil type de l’apprenti terroriste. Inculte, délinquant, fanatisé. Qui en fait a tout raté dans sa vie et en rend responsable la terre entière.   L’agresseur  a dit sa haine  des militaires, de la France et des juifs. Finalement on peut se demander ce que font en France ces individus ordinaires d’Afrique, pourtant français,  qui ne se sentent bien nulle part. Pas en France car ils ne parviennent pas à s’intégrer et surtout pas en Afrique où là les réalités sociales, économiques, politiques et culturelles auraient tôt fait de leur faire abandonner leurs fantasmes et leurs utopies guerrières.  Agé de 30 ans, le suspect s’appelle Moussa Coulibaly mais il n’a «a priori» aucun lien avec Amédy Coulibaly, qui a tué une policière à Montrouge et quatre personnes dans le magasin juif de la porte de Vincennes. Il est originaire de région parisienne, du quartier du Val-Fourré. Aux dernières nouvelles, il avait ouvert en 2012 un commerce de pièces automobiles. Une amie d’enfance, Awa, l’a décrit ainsi: «C’est quelqu’un très gentil, très aimable, poli, à l’écoute, qui te respecte». Et d’ajouter: «Il va à la mosquée, il rentre chez lui, comme tout le monde» mais n’a «jamais» parlé de la guerre en Syrie ou de partir faire le djihad. Vol, outrage, rébellion, usage de stupéfiants: Moussa Coulibaly présente un CV fourni. Il a été condamné cinq fois entre 2006 et 2009, à chaque fois à Mulhouse où il a dû vivre, affirme Le Parisien, sans toutefois aller en détention, écopant de sursis ou d’amende. Il est repéré mi-décembre par les renseignements territoriaux pour «son prosélytisme agressif», selon une source proche du dossier. En fait, son comportement dans sa salle de sport de Mantes-la-Jolie vis-à-vis des femmes, et ses reproches aux hommes qui prenaient leurs douches nus, interpelle, précise Le Parisien. Il fréquentait la mosquée de Trappes. Moussa Coulibaly est suivi de loin en loin mais semble avoir quitté la région parisienne fin janvier. Sa trace réapparaît le 27 janvier lorsqu’il achète à Ajaccio un aller simple pour la Turquie, en passant par Nice et Rome. Là, l’agence le signale et Bernard Cazeneuve a expliqué la suite mardi soir à Nice: «Ce personnage avait donné des signes de radicalisation, le renseignement territorial l’avait détecté, ses déplacements vers le Turquie avaient été suivis et nous avions demandé son retour en France. À son retour en France, il a été auditionné par la DGSI mais il n’avait montré aucun signe de passage à l’acte.» Interrogé par la DGSI à son retour immédiat de Turquie, il n’explique pas les raisons de son départ en Turquie. Il dit vouloir retourner en Corse où vit sa petite amie mais reste en fait à Nice. Ce qui lui vaut d’être suivi par les renseignements. Pendant quelques jours, il reste dans un hôtel près de la gare, traîne avec des marginaux et boit beaucoup. «La surveillance de son environnement se poursuivait pour comprendre ce qu’il faisait à Nice, alors qu’il y était ici sans racines et sans contacts», a expliqué Bernard Cazeneuve mardi soir.

Agression de Clément Méric : quatre personnes interpellées

Agression de Clément Méric : quatre personnes interpellées

Au lendemain de l’agression de Clément Méric, jeune militant d’extrême gauche, plusieurs personnes ont été interpellées à la mi-jounée, a fait savoir Manuel Valls à l’AFP. Parmi elles, « l’auteur probable » du coup porté au jeune homme de 19 ans, a-t-il également indiqué. Une source policière a pour sa part fait savoir qu’au total quatre personnes ont été arrêtées. Le ministre de l’Intérieur a salué « le travail des enquêteurs du premier district de police judiciaire (de la préfecture de police de Paris), de la BRI (ndlr: brigade de recherche et d’intervention, l’antigang) et de la direction des renseignements de la préfecture de police sous l’autorité du procureur de la République ». Selon la source policière, les enquêteurs ont « rapidement disposé » de signalements précis, de témoignages directs et de photos des agresseurs présumés. Ces derniers « graviteraient pour certains » autour du « noyau dur » du mouvement des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, une hypothèse que « reste à affiner » et « à vérifier » lors des gardes à vue. Jeudi matin, Serge Ayoub, le leader de ce mouvement skin mis en cause, a toutefois démenti toute implication de son groupe.

Agression mortelle d’un militant : le prix de la radicalisation de la société

 

Agression mortelle d’un militant : le prix de la radicalisation de la société

 

Face à l’incurie des pouvoirs en place, la révolte gronde et prend des formes violentes (suicides, manifestations dures et hier la mort d’un militant). C’est le résultat de la coupure sociologique entre les dirigeants et les citoyens. Une cassure exploitée et analysée de manière contradictoire par les extrêmes qui, d’une certaine manière manipulent aussi certains faibles d’esprit avec des analyses et des propositions irresponsables mêlant le vrai au faux, le pertinent à l’ânerie. En fait le climat de haine est aussi entretenu par le sentiment du vide politique à gauche comme à droite, lequel prépare un boulevard à Marine Lepen. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a souhaité jeudi l’interpellation « dans les meilleurs délais » des agresseurs d’un militant d’extrême-gauche, dont l’état est décrit comme désespéré. Le jeune homme, âgé de 19 ans, a été attaqué par des skinheads mercredi près de la gare Saint-Lazare, à Paris. « Une altercation a opposé (…) deux groupes de personnes, très probablement pour des raisons d’ordre politique. Au cours de cet affrontement, un militant d’extrême-gauche a été très violemment frappé par plusieurs skinheads », écrit le ministère de l’Intérieur dans un communiqué. « Le ministre de l’Intérieur réaffirme sa totale détermination à éradiquer cette violence qui porte la marque de l’extrême-droite et met gravement en danger notre pacte républicain », poursuit le texte.




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