Archive pour le Tag 'agressé'

Scandale judiciaire: Seulement six mois de prison avec sursis pour l’agresseur d’un médecin de 80

Scandale judiciaire: Seulement six mois de prison avec sursis pour l’agresseur d’un médecin de 80


Ce 9 août, le docteur Jean-Yves Ollivier, 80 ans, a été roué de coups et insulté après avoir déclaré que l’arrêt de travail de ce géomètre était injustifié. Lundi, le prévenu a été condamné pour «violences aggravées» à six mois de prison avec sursis pendant trois ans et 4500 euros de préjudice.

La visite du docteur Jean-Yves Ollivier est apparue comme «la goutte d’eau qui a fait déborder le vase et c’est malheureux», a résumé Me Vincent, avocate de l’Ordre départemental des médecins, constitué partie civile. Le conseil du docteur Ollivier a lui insisté, outre le préjudice physique, sur celui moral, en s’appuyant sur les propos d’un témoin. Sorti déjà en sang de l’immeuble situé dans le centre-ville de Nice, l’octogénaire avait été coursé par Mathieu B., lui déchirant même sa chemise avant une deuxième salve de coups. Ce passant s’était alors interposé, «mais il continuait de vouloir en découdre», a insisté Me Steve Grassi, soulignant «une déshumanisation totale du médecin».

Dans ces faits, le parquet avait requis seulement 12 mois de prison avec un sursis de deux ans, assorti de 70 heures de travaux d’intérêt général. «À travers le médecin, c’est la société tout entière qui est visée», a ajouté la procureur . Finalement l’agresseur s’en sort censeur avec pratiquement rien !

Le médecin a depuis équipé son cabinet d’une caméra de vidéosurveillance et la municipalité lui a proposé un bouton d’alerte lui permettant de joindre la police municipale. Il avait déposé une autre plainte pour de nombreuses menaces en ligne.

Lycée de Reims : un professeur agressé par des élèves, quatre d’entre eux en garde à vue

Lycée de Reims : un professeur agressé par des élèves, quatre d’entre eux en garde à vue

Quatre élèves ont été placés en garde à vue après l’agression d’un professeur et d’un assistant d’éducation dans un lycée à Reims.
L’enseignant tentait de séparer deux mineures qui se bagarraient. Il a été pris à partie par d’autres élèves qui lui ont asséné des coups de poing et filmé l’agression. Trois d’entre eux seront jugés en mars.

Un professeur et un assistant d’éducation officiant tous deux dans le lycée rémois Joliot-Curie ont été blessés par des élèves lors d’une bagarre, a appris Le Figaro de source policière. Les faits se sont déroulés la veille du week-end, le 12 janvier, vers 17h30. Alors que deux mineures se bagarraient au sein même de l’établissement, l’enseignant et l’assistant d’éducation sont intervenus.

C’est à ce moment-là que plusieurs élèves se sont amassés autour d’eux, les prenant à partie et filmant l’agression.

Le paysan Paul François, vainqueur contre Monsanto, agressé chez lui

Société : le paysan Paul François, lanceur d’alerte contre Monsanto, agressé chez lui

L’agriculteur fondateur de l’association Phyto-victimes, , a été agressé chez lui la semaine dernière en Charente. Le fondateur de l’association , «a été frappé et ligoté par trois personnes dans son garage à Bernac, au nor, «a été frappé et ligoté par trois personnes dans son garage à Bernac, au nord d’Angoulême», confirme ce vendredi soir au Figaro son avocat Me François Lafforgue.

Si ce dernier ne se prononce pas à ce stade sur les raisons de cette attaque il précise cependant ce que les agresseurs ont dit à son client. «On en a marre de t’entendre et de voir ta gueule à la télé», indique-t-il. Des propos entendus par la sœur de l’agriculteur qui était au téléphone avec lui.

Pour sa part Antoine Lambert, président de Phyto-victimes, association créée en 2011 dont Paul François a été le président fondateur, tente d’expliquer les raisons de cette violente intimidation. «Même si on ne sait rien des agresseurs, on ne peut pas s’empêcher de faire le lien avec le combat que Paul François a mené contre Monsanto », souligne-t-il. Paul François qui l’a appelé ce vendredi matin lui a relaté les circonstances de l’attaque: «Il m’a parlé de trois hommes cagoulés venus le menacer chez lui avec un objet tranchant», dit-il. Ces agresseurs qui ont ligoté leur victime ont tenté par ailleurs de lui administrer un produit.

Pour Nicole Bonnefoy, sénatrice de la Charente, cette agression «est liée avec toutes ses déclarations sur les pesticides. Engagé dans son combat et véritable lanceur d’alerte, Paul François a déjà eu une vie difficile. Cette attaque est scandaleuse». De son côté, le président du Mouvement de défense des exploitants familiaux (Modef) Pierre Thomas s’est également dit «extrêmement choqué». Pour sa part, le porte-parole de la Confédération paysanne, Nicolas Girod, a appelé «à renforcer la protection de Paul François qui subit depuis longtemps des pressions énormes et maintenant est agressé».

Covid Guadeloupe: le patron de l’hôpital agressé !

Covid Guadeloupe: le patron de l’hôpital agressé !

Pour protester contre le pass vaccinal des anti vaccins ont tenté d’agresser le directeur de l’hôpital du CHU de Guadeloupe. Ce dernier a dû être exfiltré par la police.

«J’ai été extrait avec un coup de poing dans les côtes et un énorme coup sur la tête, j’ai perdu connaissance pendant 10 secondes je pense», a précisé Gérard Cotellon. Son adjoint, Cédric Zolezzi, a également indiqué avoir été molesté. «On m’a déchiré ma chemise, j’ai reçu de l’urine sur moi pendant que je courais vers une voiture de police», a-t-il assuré, se déclarant «choqué». La direction a annoncé son intention de déposer plainte.

 

Les anti vax étaient aussi accompagné par les syndicalistes qui protestaient contre la suspension de salaire des personnels hospitaliers noms vaccinés. Une situation de plus en plus confuse en Guadeloupe où se mêlent des oppositions à la vaccination, des intentions politiques et des revendications syndicales. Bref une sorte de chaos qui ajoute à la situation sanitaire déplorable.(taux de vaccination inférieur à 50% mais plus de 95% dans le personnel hospitalier).

Encore un policier agressé

Encore un policier agressé

Encore un policier agressé entre la vie et la mort, c’est la troisième agression de ce type en un mois.

 

« Dans le cadre d’une patrouille comme il y en a des dizaines par jour, ces policiers aguerris et engagés pour garantir la tranquillité publique ont tenté le dialogue, mais les protagonistes ont fait monter la pression de manière démesurée », raconte Cédric Esson, directeur départemental de la sécurité publique.

Manifestement désireux d’en découdre, les voyous s’en prennent aux policiers et leur lancent des projectiles. L’un de a atteint le  brigadier-chef touché au crâne par une bouteille en verre. Son pronostic vital est engagé .

 

« La nouvelle provoque un vif émoi dans les rangs et la colère risque de s’amplifier si l’affaire vire au tragique », prévient-on au cœur de l’institution. Parmi les syndicats, l’agression du brigadier-chef a provoqué la bronca. « L’insupportable, c’est notre quotidien », a rugi Unité-SGP police.

« Des policiers qui interviennent pour des individus qui pourrissent le quotidien des gens ! Tapage nocturne, tirs de mortiers. Et, au final, un policier dans le coma pour une action de police du quotidien », s’indigne le syndicat indépendant des commissaires de police.

Un cinglé agresse un policier dans le 15e arrondissement de Paris

Un cinglé agresse un policier dans le 15e arrondissement de Paris

Un nouveau cinglé, peut-être drogué à l’islamisme radical a tenté de tuer un policier dans le 15e arrondissement de Paris. C’est au moins la quatrième attaque criminelle en deux jours. La preuve que certains abrutis, souvent psychologiquement dérangés et socialement perdus sont sensibles au djihad général lancé contre la France par des radicaux islamistes bien planqués dans leurs bases étrangères.

Chauffeur de bus battu à mort, Pompier agressé ,: des «incivilités» pour Macron

Chauffeur de bus battu à mort, Pompier agressé ,: des  «incivilités» pour Macron

Une réaction vraiment surréaliste et même indigne de Macron à propos des crimes commis récemment, le chauffeur de bus battu à mort, cette policière écrasée, le pompier touché par balle etc. Macron s’est  contenté de dénoncer des » incivilités ». Un terme complètement inapproprié quand il s’agit de crimes. La preuve sans doute que Macron n’est pas prêt à mettre en œuvre une politique de sécurité à la hauteur des menaces actuelles. «Nous prendrons toutes les dispositions pour que la réponse judiciaire soit rapide et au rendez-vous de ces incivilités. (…) Nous ne pouvons pas accepter – et je n’accepterai pas – dans notre pays que ces incivilités deviennent une habitude», a-t-il assuré. «La sécurité, au quotidien, c’est ce qui garantit l’ordre public, l’ordre républicain, c’est-à-dire la vraie liberté», a-t-il conclu.

Dans la foulée de son intervention, plusieurs voix se sont immédiatement élevées, notamment à droite, pour dénoncer le choix des mots du président de la République. «Emmanuel Macron interrogé sur le meurtre d’un gendarme, l’agression ultra-violente d’un chauffeur de bus et des tirs contre un pompier parle par 2 fois ‘d’incivilités’. Ce laxisme lexical conduit inévitablement au laxisme judiciaire», s’est notamment indigné le patron des sénateurs LR, Bruno Retailleau, sur son compte Twitter.

La vérité c’est que Macron veut fermer les yeux depuis toujours sur la barbarie émanant surtout des quartiers sensibles notamment de banlieues. Faut-il rappeler qu’il a enterré devant les médias le plan banlieue de Borloo, l’humiliant même en public. En fait,  Macron depuis le début de son mandat ignore totalement ces réalités sociétales qui menacent non seulement la sécurité mais aussi la république. Car il s’agit bien d’attaque contre la république quand on vise des représentants particulièrement en charge de l’intérêt général.

 

 

Chauffeur de bus agressé à Bayonne: ou la question de la sécurité dans les transports

Chauffeur de bus agressé à Bayonne: ou la question de la sécurité dans les transports

 

Les actes d’incivilité ne sont pas nouveaux dans les transports publics. Ils sont la caractéristique d’une société dont une partie n’accepte aucune règle. Pire ,certains même qui n’hésitent pas à agresser le personnel. C’est le cas évidemment scandaleux à Bayonne où  le conducteur est en état de mort clinique après avoir été victime d’une agression de plusieurs individus qui simplement ont  refusé de le  port du masque.

On a entendu récemment lors  des introductions des différents ministres des propos finalement assez convenus à la fois sur le passé et sur leurs intentions. Pour la sécurité des transports, il serait temps de dépasser ces discours très théoriques et de prendre enfin des mesures de protection vis-à-vis de salariés qui en plus sont  les acteurs du service public. Ce sont à partir de ces faits et de bien d’autres que le ministre de la justice comme le ministre de l’intérieur pourront montrer leur réelle intention de gérer ce qui constitue les priorités.

 

Le parquet de Bayonne a demandé mardi la mise en examen de deux jeunes hommes pour tentative d’homicide volontaire, accusés d’avoir roué de coups dimanche un chauffeur de bus qui voulait contrôler un ticket et exigeait le port du masque. Philippe Monguillot, le chauffeur de 59 ans agressé dimanche peu après 19 heures à un arrêt de bus dans le quartier populaire de Balichon, est en état de mort cérébrale. «Ce n’est pas mon père qui respire, c’est la machine. On sait que c’est fini», a confié au journal Sud Ouest sa fille Marie, 18 ans.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol