Archive pour le Tag 'afin'

Pour des élections rapidement afin d’éviter la chienlit

Pour des élections rapidement afin d’éviter la chienlit

Une nouvelle fois, Macon a réuni toutes les conditions pour que la chienlit s’installe dans le pays de façon durable sur le plan politique mais aussi sur le plan économique et social.

Le climat d’incertitude qui va maintenant régner pendant des semaines sauf décision rapide va conduire les acteurs économiques notamment des consommateurs à davantage de prudence. En clair ,il faut prévoir une nouvelle baisse de consommation, donc de croissance. Ce qui devrait nous faire tutoyer la récession.

Pour sortir de cette pagaille, la seule solution sera de reconvoquer les électeurs soit pour des élections législatives soit pour un référendum sur la réforme des retraites. Le reste ne constituera que rustines qui ne tiendront que quelques semaines ou quelques mois.
C ‘est la légitimité même de Macon qui risque d’être en cause et la fin de son régime risque d’être apocalyptique pour le pays et pour lui-même.

Sur BFMTV, Stéphane Peu, député PCF, annonce qu’au moins 185 parlementaires seraient prêts à déposer une proposition de loi pour un référendum d’initiative partagée (RIP) afin de bloquer la réforme des retraites.
Au moins 185 parlementaires se sont accordés et seraient prêts à déposer une proposition de loi pour un référendum d’initiative partagée (RIP) afin de bloquer la réforme des retraites, annonce sur BFMTV le député communiste de Seine-Saint-Denis Stéphane Peu.

Le référendum d’initiative partagée est une procédure complexe qui n’a jamais abouti depuis son introduction dans la Constitution en 2008.

Il prévoit la possibilité d’organiser une consultation populaire sur une proposition de loi « à l’initiative d’un cinquième des membres du Parlement », soit au moins 185 des 925 parlementaires (577 députés, 348 sénateurs) et « soutenue par un dixième des électeurs », soit 4,87 millions de personnes, dont les signatures doivent être recueillies dans un délai de 9 mois.

Concernant les 185 parlementaires, « je vous l’annonce ce soir: nous les avons », assure Stéphane Peu sur le plateau de BFMTV.
Quant aux 4,87 millions de signataires, le député communiste veut croire que la mobilisation sera plus importante que lors du dernier RIP organisé: celui contre la privatisation des Aéroports de Paris. En 2019, seulement un million de personnes avaient signé.

Plus tôt dans la journée, la vice-présidente PS de l’Assemblée nationale Valérie Rabault a dit « croire beaucoup » au blocage de la réforme des retraites par un RIP. L’insoumise Mathilde Panot expliquait que cette disposition constitutionnelle était « en réflexion » à gauche. »

Selon Stéphane Peu, les 185 parlementaires se sont accordés pour « une proposition de loi qui propose que [l'âge de départ à la retraite] ne puisse pas excéder 62 ans. » Une proposition de loi donc « très simple », juge le député communiste, qui souligne qu’il ne s’agit pas d’une des nombreuses propositions alternatives qui ont été débattues ces derniers jours.

« C’est un référendum qui sera pour ou contre la proposition qui est celle d’Emmanuel Macron », qui prévoit le report de l’âge légal de départ à 64 ans, résume donc Stéphane Peu.

Toutefois, la mise en place d’un RIP relève d’un « parcours du combattant » indiquait Mathilde Panot dans la journée, souligne l’AFP.

Car un référendum d’initiative partagée « ne peut avoir pour objet l’abrogation d’une disposition législative promulguée depuis moins d’un an », prévoit l’article 11 de la Constitution. Et, pour que le processus de RIP soit lancé, il faut que le Conseil constitutionnel s’en saisisse et valide la procédure dans un délai d’un mois.

Le timing est donc très serré: si la réforme des retraites est promulguée avant la validation du référendum d’initiative partagée par le Conseil constitutionnel, il ne pourra être organisé.

Pour une hausse des déficits afin de baisser les charges (NKM)

Pour  une hausse des déficits afin de  baisser les charges (NKM)

 

 

Une idée  assez surprenante de la part de Nathalie Kosciusko-Morizet qui propose tout simplement de laisser filer le budget c’est-à-dire d’accroître le déficit pour faciliter l’allégement des charges des les entreprises. Une  proposition en tout cas qui va faire débat à droite comme à gauche et qui repose la question de l’orientation de la politique économique européenne. Est à rebours du consensus à droite sur la poursuite encore plus vigoureuse du processus d’assainissement budgétaire engagé par François Hollande depuis 2012 et dont le rythme est souvent jugé insuffisant à Bruxelles ou à Berlin.   »Là où c’est subversif, c’est que cela veut dire, et je ne le cache pas, un creusement du déficit », a-t-elle déclaré lors d’une conférence lors de l’université d’été du Medef.   »Cela ne sert à rien aujourd’hui d’imaginer changer les choses à la marge, il faut véritablement avoir une politique radicale, il faut accepter l’idée qu’on doit renverser la table », a-t-elle ensuite expliqué à Reuters.  Pour l’ancienne candidate à la mairie de Paris, il n’est plus possible de conserver une stratégie par laquelle la droite, une fois au pouvoir en 2017, réduirait d’abord les dépenses pour engager par la suite un allègement des charges.   »Ce sera trop tard, on mourra guéri, je comprends cette logique mais je pense qu’elle n’est pas à la hauteur de l’urgence et je veux proposer d’inverser la logique ». Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, il faut ainsi faire baisser les charges sur les entreprises « par l’ascenseur, et descendre en même temps les déficits par l’escalier », ce qui implique que durant quelques années, les économies et les réformes structurelles engagées ne couvriraient pas les réductions fiscales accordées aux entreprises.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol