Archive pour le Tag 'aéroports'

Aéroports Paris: Grève le 17 juillet

 Aéroports  Paris: Grève le 17 juillet

 Les syndicats CGT, CFDT, FO et Unsa dénoncent une « dégradation des conditions de travail », réclamant notamment une « gratification pour l’ensemble du personnel », un plan d’embauche « massif » de 1000 postes et la garantie de pouvoir poser des jours pendant les Jeux olympiques et paralympiques.

Le groupe ADP avait  déjà  décidé de verser des primes de 70 à 100 euros par jour à 1 500 salariés du siège, volontaires pour renforcer les équipes présentes dans les terminaux ; des jours de congé supplémentaires seront accordés à tous ceux qui accepteront de prendre leurs congés en dehors de la période d’accueil des Jeux olympiques.

Les salariés d’ADP avaient déjà été appelés à la grève le 19 mai, sans que le mouvement ne provoque de perturbations majeures.

Aéroports : plus de 70 fausses alertes à la bombe…..depuis la Suisse !

Aéroports : plus de 70 fausses alertes à la bombe…..depuis la Suisse !

Pour preuve du grand courage des fauteurs de troubles, les aéroports ont été victimes de plus de 60 fausses alertes à la bombe depuis la Suisse et en outre depuis le même émail.

L’ rresponsabilité et l’hypocrisie atteinte ainsi des sommets chez ceux qui entendent protester notamment contre Israël en perturbant la vie économique et sociale voir culturelle. Il faut dire que les individus en cause non ce ne sont pas de grands intellectuels. Souvent shootés à l’ersatz de religion islamiste.

S’y ajoutent évidemment tous les tordus de la terre content de mettre la pagaille pour sans doute compenser leurs propres frustrations.

«De gros abrutis voire de grands délinquants», s’est exclamé Clément Beaune à propos de l’identité des auteurs des multiples alertes à la bombe… Près de 70 fausses alertes à la bombe ont visé des aéroports français depuis mercredi, envoyées depuis «quasiment toujours la même adresse email située en Suisse», a indiqué dimanche le ministre des Transports.

«Il y a eu malheureusement près de 70 alertes de ce type qui ont concerné nos aéroports depuis mercredi, heureusement beaucoup moins hier samedi, premier jour de départ en vacances pour beaucoup de Français», a déclaré Clément Beaune, invité de Questions politiques (France inter, France TV, Le Monde).

Les alertes sur les aéroports sont le fait non «pas de petits blagueurs» mais de «gros abrutis voire de grands délinquants», a souligné le ministre. Concernant leur motivation, «il peut y avoir un mélange entre des gens qui font des mauvaises blagues, qui veulent faire peur pour de vrai, et parfois aussi une sorte de compétition dans la bêtise entre des hackers», a-t-il suggéré.

«Depuis mercredi, c’est quasiment toujours la même adresse email qui est utilisée, située en dehors de l’Union européenne, en Suisse», a-t-il ajouté, laissant entendre que cela mettait les auteurs de cet «email type qui se ressemble d’un jour à l’autre» hors de portée de certaines sanctions dans l’UE.

Une taxe à 600 millions sur les autoroutes et les aéroports

Une taxe à 600 millions sur les autoroutes et les aéroports

Officiellement cette de Dax est justifiée par des motifs écologiques. En faite, il s’agit tout simplement de contribuer à boucher les trous du budget. Cette nouvelle taxe va en effet très peu d’impact sur la mobilité.

Pour les autoroutes et les surtout justifiait par l’ampleur des profits des sociétés privées qui se monta presque 4 milliards en 2021. Une rentabilité excessive qui a été dénoncée par nombre d’experts.

Paradoxalement, les ports ont été exonérés d’une taxation éventuelle. Des peurs qui joua un rôle marginal pour le transport des personnes mais qui sont évidemment essentiels pour le transport des marchandises. Or la pollution globale de la mobilité provient surtout du déplacement des biens échangés.

Le problème c’est que décider une taxe c’est en même temps une balle dans le pied se traduisant par un alourdissement des coûts de marchandises importées. Par parenthèse ce qu’on va faire quand même avec la taxe carbone !

Théoriquement, le produit de cette taxe doit aller à la transition écologique. Mais dans les faits cette taxe va servir essentiellement à boucher les trous du budget. Elle aurait été vraiment utile à l’environnement si effectivement les recettes fiscales attendues avaient été affectées par exemple aux transports ferroviaires.

Aéroports : comme c’était prévisible les faux tests !

Aéroports : comme c’était prévisible les faux tests !

 

Il y a longtemps que les spécialistes savent que l’exigence d’un certificat de test pour les voyageurs internationaux par avion est un coup d’épée dans l’eau. D’abord en préalable il faut rappeler que la plupart des voyageurs internationaux utilisent  le rail et la voiture, des  modes de transports qui ne sont pas contrôlés ou presque.

 

Comme on ne se résout pas à fermer les frontières qui constituerait la seule mesure efficace, l’Europe a décidé de n’exiger que  le fameux certificat de test que pour le déplacement de voyageurs entre l’union économique et le reste du monde.

 

Le problème évidemment,  c’est que les voyageurs indélicats peuvent se munir de faux tests PCR négatifs sans qu’il soit possible de les vérifier. Normalement les tests de PCR doivent être affectés 72 heures avant le vol. Le problème est que le certificat de test négatif n’est pas un document administratif et qu’il est pratiquement impossible dans vérifier la véracité dans la plupart des aéroports des pays en voie de développement comme d’ailleurs dans beaucoup d’autres.

 

Le vrai problème que ne veulent pas affronter les Etats est la fermeture des frontières à la mobilité des personnes pendant une période suffisante. Or le virus circule évidemment avec les personnes qui se déplacent,  ce qui explique notamment la prolifération des variants britanniques mais aussi sud-africains, brésiliens et demain d’autres.

 

Covid : le grand laxisme dans les aéroports et les gares

Covid : le grand laxisme dans les aéroports et les gares

Force est de constater que les contrôles sont insignifiants dans les aéroports et les gares pour les passagers en provenance de l’étranger. Dans les aéroports, les voyageurs en provenance de l’Union Européenne et de quelques autres pays comme la Suisse ou la Norvège sont exemptés de tout contrôle.

 

Même chose pour la SNCF vis-à-vis des liaisons internationales. De la même façon, les passagers venant de sept pays où la circulation du virus est faible, comme l’Australie, le Japon ou la Nouvelle-Zélande, n’ont ni contrôle, ni test.

 

Le problème c’est que des pays comme le Japon par exemple une très forte hausse des contaminations et que la liste rouge est sans doute obsolète.

 

À l’inverse, l’Italie et l’Espagne exigent par exemple des tests négatifs de moins de 72 heures pour tous les voyageurs, y compris venant de l’Union européenne. Et l’Allemagne impose une quarantaine de dix jours à tous les voyageurs provenant de pays «à risque», dont la France.

Aéroports européens : moins 13,5% au premier trimestre

Aéroports européens : moins 13,5% au premier trimestre

 

Au total, les aéroports européens ont enregistré un recul de 13,5% de leur fréquentation au premier trimestre, mais ce sont les aéroports italiens qui sont les plus touchés, a indiqué ACI Europe, qui représente 500 aéroports dans 46 pays, dans un communiqué.

Avant même la décision lundi de placer tout le pays en confinement, «les aéroports italiens étaient déjà confrontés à une baisse énorme du trafic passagers avec un recul de 60% sur la plupart des plates-formes au cours du week-end», a noté Olivier Jankovec, directeur général d’ACI Europe.

«Maintenant, ils doivent lutter contre un effondrement total de la connectivité aérienne», a-t-il poursuivi, appelant le gouvernement à «répondre rapidement et positivement aux demandes des aéroports italiens de mise en œuvre de mesures de soutien d’urgence».

Dans toute l’Europe, «l’épidémie de Covid-19 se transforme en un choc sans précédent pour notre industrie», a ajouté M. Jankovec, n’écartant pas que des «mesures d’aides soient nécessaires ailleurs qu’en Italie pour permettre aux aéroports de remplir leur rôle d’infrastructure critique».

L’organisation prévoit pour 2020, une baisse de 7,5% du nombre de passagers dans les aéroports européens contre 2,3% de croissance prévue auparavant.

Coup politique : l’opposition veut un référendum anti Macron contre la privatisation d’Aéroports de Paris

Coup politique : l’opposition veut un référendum anti Macron contre la privatisation d’Aéroports de Paris

 

 

Les parlementaires de l’opposition sont en passe de réussir un véritable coup politique en réclamant l’organisation d’un référendum d’initiative partagée prévu par les institutions sur la question de la privatisation de l’aéroport de  Paris. Il faudra cependant que ce référendum soit maintenant soutenu par 10 % au moins du corps électoral, soit 4,5 millions d’électeurs dans le délai de neuf mois. Cependant précisément cette nécessité va ouvrir un large débat sur une question très controversée puisque l’opposition considère que la privatisation d’aéroports de Paris est un véritable cadeau financier pour Vinci et autres investisseurs. Une opération du même type que celle des autoroutes qui rapportaient  pourtant beaucoup à l’Etat. Bref la vente de bijoux de famille pourtant très lucratifs. En fait,  ce référendum pourrait bien se transformer en consultation anti macro, car il se pourrait bien qu’une majorité de Français ne soit pas très favorables  à la privatisation d’un équipement aussi stratégique. En outre ce référendum d’initiative partagée pourrait bien faire concurrence au référendum envisagé par  Emmanuel Macron sans doute sur des modifications d’ordre constitutionnel. Bref l’opposition vient de jeter un sérieux pavé dans la mare de l’agenda présidentiel. Transmise mardi en fin de journée au bureau de l’Assemblée, la proposition de loi référendaire ne contient qu’un article, visant à faire de «l’aménagement, de l’exploitation et du développement» des aérodromes parisiens un «service public national» incessible. «Il s’agit de demander aux Françaises et aux Français s’ils sont d’accord» pour que l’aménagement et la gestion de ces plateformes aériennes «revêtent le caractère de service public national» et reste donc sous la férule de l’État, a précisé l’opposition.

Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité Entré en vigueur en 2015, le référendum d’initiative partagée est lancé par une proposition de loi référendaire signée par un cinquième des parlementaires – députés comme sénateurs -, soit 185 élus au total. Celle-ci ne peut porter que sur certains domaines spécifiques, dont «l’organisation des pouvoirs publics» ou les «réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale de la nation et aux services publics qui y concourent». Le projet doit ensuite être validé par le Conseil constitutionnel. En cas d’approbation, il doit par la suite être signé par 10% du corps électoral, soit 4,5 millions de personnes, en neuf mois tout au plus, via internet ou par des «points d’accès» disséminés sur le territoire français. Une fois toutes ces étapes franchies, si le Parlement n’a pas examiné de texte sur le même sujet dans les six mois, le président de la République doit convoquer un référendum sur la proposition de loi.

 

Non à la privatisation des aéroports (IATA)

Non à la privatisation des aéroports (IATA)

L’association internationale du transport aérien (IATA), conteste la privatisation des aéroports privés en raison notamment de leurs couts. Finalement ce sont les compagnies aériennes qui donnent des leçons économiques aux pays qui ont des velléités de privatiser les infrastructures aériennes ; En effet ces équipement présentent  un caractère stratégique non seulement pour la souveraineté des pays mais aussi pour le développement touristique et plus généralement pour l’activité générale.  Pour  IATA,  la  privatisation va à l’encontre des intérêts des compagnies aériennes. Ces dernières dénoncent en effet l’attitude des différents gouvernements de chercher à faire une belle opération financière à court terme en privatisant leurs aéroports, plutôt que d’investir dans de nouvelles capacités aéroportuaires pour répondre à une demande qui va doubler d’ici à 20 ans. « Si les États recherchent uniquement à lever de l’argent, c’est l’échec assuré », explique Alexandre de Juniac, le directeur général de l’IATA, en aparté de l’assemblée générale de l’association qui se tient jusqu’à mardi à Sydney. Un conseil qui pourrait très bien s’adresser au gouvernement français qui étudie la privatisation d’ADP. Brian Pearce, chef économiste de l’IATA, abonde dans le même sens. Ce dernier recommande aux États d’avoir une vision plus large que le gain à court terme. « Les gouvernements doivent faire en sorte que les aéroports permettent de développer le tourisme et le commerce », a indiqué Brian Pearce. Or, pour l’IATA, la privatisation des aéroports peut justement entraver ces objectifs. « Les aéroports privatisés sont plus coûteux pour les compagnies aériennes que les aéroports publics ou semi-privés. Le coût médian d’un demi-tour pour un A320 est 12% plus élevé sur un aéroport privé que sur un aéroport 100% public », a expliqué Brian Pearce, se basant sur une étude interne couvrant 90 aéroports.

Aéroports de Nice et Lyon : vente officialisée

Aéroports de Nice et Lyon : vente officialisée

C’est fait l’État a encore vendu des bijoux de famille avec les aéroports de Nice et de Lyon. Objectif,  récupérer moins de 2 milliards pour financer la filière nucléaire et le déficit. En fait pour boucher les trous alors que comme les autoroutes il s’agit d’actifs qui peuvent être très rentables. La privatisation partielle des aéroports de Nice et Lyon a donc  été officialisée dimanche par deux arrêtés publiés au Journal officiel, qui confirment la cession à deux consortiums distincts la participation de 60% de l’Etat dans chacun des deux aéroports. Bercy avait annoncé fin juillet les vainqueurs des appels d’offres pour la privatisation partielle des deux premiers aéroports régionaux français. La participation de l’Etat dans l’aéroport de Nice avait été attribuée à un consortium composé de l’italien Atlantia, de l’aéroport de Rome et d’EDF Invest, et celle dans l’aéroport de Lyon à un consortium composé de Vinci, la Caisse des dépôts (CDC) et le groupe Predica. Mais ces cessions devaient encore faire l’objet d’une consultation des représentants des salariés et d’un avis de l’Autorité de la concurrence, avaient alors précisé les ministères de l’Economie et des Finances dans leur communiqué commun désignant ces acquéreurs pressentis. Deux arrêtés datés du 28 octobre et signés par le secrétaire d’Etat aux Transports Alain Vidalies, publiés dimanche au Journal officiel, confirment ces opérations. « La cession de la participation de 60% détenue par l’Etat au capital de la société Aéroports de la Côte d’Azur à une société de droit italien constituée par les sociétés Atlantia SpA, Aeroporti di Roma SpA et Electricité de France est autorisée », indique le premier. « La cession de la participation de 60% détenue par l’Etat au capital de la société Aéroports de Lyon à une société de droit français constituée par les sociétés Vinci Airports et Predica et par la Caisse des dépôts et consignations est autorisée », précise le second. Une source proche de Bercy avait précisé cet été que les pouvoirs publics tireraient près de 1,8 milliard d’euros (1,22 milliard pour Nice et 535 millions pour Lyon) de ces opérations et que ces fonds seraient utilisés pour la filière nucléaire française et le désendettement de l’Etat. La vente des participations de 60% de l’Etat au capital de ces deux aéroports a été lancée par la loi Macron pour la croissance et l’activité d’août 2015. Ces deux nouvelles privatisations partielles interviennent après la cession, à la fin 2014 et pour 308 millions d’euros, de 49,9% du capital de l’aéroport de Toulouse-Blagnac au consortium chinois Symbiose.

(Avec Reuters))

Aéroports de Nice et Lyon : toujours à vendre sur le bon coin

Aéroports de Nice et Lyon : toujours à vendre sur le bon coin

 

De toute évidence le gouvernement n’a pas retenu les leçons de la vente des les autoroutes des équipements qui rapportaient beaucoup d’argent à l’État et qui rapportent  maintenant aux sociétés privées. Mais compte tenu de l’état dramatique des finances publiques l’État continue  de vendre des bijoux de famille y compris des infrastructures aussi stratégiques que les aéroports qui pourront même être contrôlée=s par des capitaux étrangers. Une aberration économique et stratégique. On comprend évidemment que l’État cherche à boucher les trous récurrents du budget et de la dette mais ce n’est pas en vendant des actifs rentables qu’on y parviendra mais en réduisant le train de vie du fonctionnement. Au point de déliquescence que connaît la gestion des finances publiques on peut s’étonner de ne pas retrouver la vente des deux aéroports sur le bon coin ! L’Etat a lancé formellement jeudi le processus de privatisation partielle des aéroports de Nice et Lyon en publiant les cahiers des charges de ces deux opérations sur le site de l’Agence des participations de l’Etat. L’Etat s’est déjà désengagé en 2014 de l’aéroport de Toulouse et la cession de ses participations de 60% dans ceux de Nice et Lyon pourrait lui rapporter jusqu’à 1,5 milliard d’euros. De nombreux groupes et fonds d’investissement spécialisés dans les infrastructures ont manifesté leur intérêt pour ces deux aéroports régionaux français. Des offres sont notamment attendues de groupes comme l’italien Atlantia, l’opérateur de l’aéroport de Rome, l’australien Macquarie et de fonds comme Ardian, Global Infrastructure Partners ou Industry Funds Management. Le groupe espagnol d’infrastructures Ferrovial et son allié la société d’investissement Meridiam ont confirmé jeudi leur intérêt pour les deux aéroports,

Aéroports de Nice et de Lyon : en solde en février

Aéroports de Nice et de Lyon : en solde en février

 

Compte tenu d’une situation budgétaire qui va encore déraper par rapport aux objectifs de stabilité, le gouvernement continue de vendre les bijoux de famille. Après l’aéroport de Toulouse, ce sont ceux de Nice et de Lyon qui sont en quelque sorte en solde. On peut parler de solde dans la mesure où ces aéroports sont relativement rentables (comme les autoroutes qui ont été nationalisées). Notons que la situation juridique des aéroports en Europe et dans le monde n’a guère d’effet sur la performance de ces équipements. Paradoxalement les aéroports aux États-Unis sont publics !  On peut se demander légitimement si l’État n’aurait pas dû se désengager d’autres activités beaucoup moins stratégiques et qui n’entrent pas dans les fonctions régaliennes de l’État.  Le gouvernement prévoit donc  de lancer en février les appels d’offres pour la privatisation des aéroports de Nice-Côte d’Azur et de Lyon-Saint Exupéry une fois que les cahiers des charges auront été finalisés fin janvier, ont indiqué à Reuters des sources proches du (la construction automobile  par exemple). Dossier. Le ministère de l’Economie souhaitait initialement lancer la privatisation des deux aéroports avant fin 2015 mais le processus a été reporté à début 2016 en raison notamment des élections régionales de décembre. »L’idée est de finaliser les cahiers des charges à la fin du mois de janvier pour un lancement des appels d’offres probablement en février », a dit l’une des sources. « L’objectif est de finaliser ces opérations pour la fin de l’été. »  De nombreux groupes et fonds d’investissement spécialisés dans les infrastructures ont d’ores et déjà manifesté leur souhait de participer aux enchères.  Des offres sont notamment attendues de groupes comme l’italien Atlantia, l’opérateur de l’aéroport de Rome, l’australien Macquarie, des fonds Global Infrastructure Partners ou Industry Funds Management. Le groupe espagnol d’infrastructures Ferrovial s’est allié, selon des sources, à la société d’investissement Meridiam. Vinci, la Caisse des dépôts et Predica, filiale d’assurance du Crédit agricole ont formé ensemble un consortium pour participer aux privatisations, tandis que le fonds Cube s’est allié à l’aéroport de Genève pour les enchères sur Lyon-Saint Exupéry.

La Grèce vend ses aéroports….. à l’Allemagne

La Grèce vend ses aéroports….. à l’Allemagne

Conséquence du plan d’aide consentie par l’union européenne, la Grèce se vend contrainte de vendre ses aéroports ….. à……. l’Allemagne qui s’est pourtant longtemps opposée à ce plan. C’est en effet à une entreprise allemande que la Grèce s’apprête à vendre ses premiers «bijoux de famille» depuis janvier dernier. Dans un décret publié ce mardi dans le Journal officiel grec, le gouvernement «approuve» cette opération jusque-là suspendue depuis l’élection d’Alexis Tsipras. En l’occurrence, ce sont 14 aéroports régionaux qui devraient être cédés au consortium Fraport-Slentel en partenariat avec le groupe grec d’énergie Copelouzos pour 1,23 milliard d’euros. Il s’agit notamment des aéroports de villes très actives ou touristiques comme Thessalonique, Corfou, Rhodes, Kos ou encore Santorin.  Pour l’heure, aucun accord n’a encore été signé par les deux parties. «Cela ouvre la voie à un accord définitif au cours des semaines à venir», a déclaré une source gouvernementale grecque. Un porte-parole de Fraport a confirmé cette information en expliquant que la décision d’Athènes constituait «le point de départ de nouvelles négociations». Selon cet accord, le tandem germano-grec devrait investir environ 330 millions d’euros sur quatre ans dans la modernisation des aéroports concernés,  Si cette vente se confirme, la Grèce aura déjà quasiment rempli son objectif de privatisations pour cette année: le pays s’est en effet engagé auprès de ses créanciers à vendre pour 1,4 milliard d’euros. Le projet de loi prévoit ensuite 3,7 milliards tirés des privatisations en 2016 puis 1,3 milliard en 2017. Soit un total de 6,4 milliards d’ici à 2017. Les créanciers exigent la création d’un fonds de privatisation de 50 milliards d’euros – ports, aéroports, chemins de fers sont notamment concernés – qui sera géré par Athènes mais supervisé par les institutions internationales.

 

Aéroports : hausse de redevances

Aéroports : hausse de redevances

Comme l’a indiqué Hollande il n’y aura pas hausse d’impôts jusqu’en 2017. Seulement des hausses de fiscalité locale et de redevances. Une nuance sémantique d’importance qui ne change rien pour le contribuable qui aura à supporter l’augmentation de ses prélèvements obligatoires. Cette hausse dans le domaine aéroportuaire d’ADP  s’ajoute par parenthèse à la hausse qui va être décidée par ailleurs concernant la redevance télé. Sans parler des futures redevances toujours à l’étude concernant les ordinateurs, les Smartphones et les tablettes. La taxe aéroportuaire  augmentera  1% (hors inflation) chaque année. . Des niveaux plus proches des propositions d’ADP (+1,75%) que celles des compagnies aériennes qui demandaient une baisse des redevances allant de 3 à 4,5% par an (notons que dans certains ays ces taxes diminuent !).  Des compagnies aériennes qui vont être déçues et Aéroports de Paris qui s’en tire plutôt bien. Tel est le sentiment qui ressort après l’arbitrage de Matignon sur le niveau des redevances aéroportuaires qu’ADP pourra appliquer au cours des 5 prochaines années du contrat de régulation économique (CRE) 2016-2020 qui doit être signé prochainement entre l’Etat et le gestionnaire des aéroports parisiens., le gouvernement a validé cet après-midi un gel des redevances aéroportuaires (hors inflation) pour la première année du CRE, suivi par une hausse annuelle de 1% (hors inflation toujours) pour les quatre autres années. Par ailleurs, le gouvernement a réduit le programme d’investissements de 100 millions d’euros, à 3 milliards d’euros. Le niveau des redevances préconisé par le gouvernement qui sera présenté ce mercredi aux administrateurs d’ADP, est plus proche des propositions d’ADP (+1,75% par an hors inflation) que de celles des compagnies aériennes qui demandaient, comme l’a fait l’aéroport d’Amsterdam (-7%) une baisse des redevances allant de 3 à 4,5%. Le gouvernement n’a donc pas suivi l’avis de la Commission aéroportuaire. Celle-ci préconisait en une très légère hausse de redevances de 0,3%, (hors inflation) voire une baisse allant de 0,1% à 0,7% si 50 à 75 millions d’euros des recettes commerciales d’ADP étaient reversées aux compagnies aériennes. Pour rappel, cet arbitrage opposait Bercy au secrétaire d’État aux Transports. Le premier ne souhaitait pas déstabiliser Aéroports de Paris qui rapporte chaque année de gros dividendes à l’État-actionnaire (il détient 50,6% du capital d’ADP), le second était quant à lui plus soucieux de ne pas alourdir les charges des compagnies françaises.

 

Les aéroports de Nice et de Lyon çà vendre sur le bon coin …chinois !

Les aéroports de Nice et de Lyon çà vendre sur le bon coin …chinois !

 

 

Le grand vide grenier continue  au ministère des finances. On vend les bijoux de famille. Cette fois il s’agit des aéroports de Nice et de Lyon. Pour faciliter la vente, on envisage de diffuser l’annonce sur le bon coin français mais aussi chinois, certains groupes financiers   chinois s’étant  en effet manifestés comme potentiels acheteurs dans le cadre de la grande grande braderie française. Certains de ces grands groupes chinois auraient aussi manifesté leur intérêt pour l’achat de la tour Eiffel, de la Seine  et de la garde républicaine française. Pour l’instant Bercy n’entend pas détailler la liste des ventes futures de biens publics. Bercy a donc annoncé aux élus locaux et aux chambres de commerce et d’industrie (CCI) le lancement à la rentrée des processus de privatisation des aéroports de Nice et de Lyon, afin de vendre les parts de l’Etat. Le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, qui recevait les responsables niçois mardi 28 juillet, huit jours après leurs homologues lyonnais, leur a présenté des calendriers identiques. Dans les deux dossiers, une concertation sur le cahier des charges débutera en septembre, puis un appel d’offres sera publié en octobre, en vue d’une cession des parts de l’Etat au premier semestre 2016. A Nice comme à Lyon, l’Etat entend céder la totalité des 60% qu’il détient dans les sociétés gestionnaires des aéroports. Dans les deux cas, la CCI possède 25% du capital et les collectivités locales 15% (région, département et métropole à parts égales). Ces privatisations doivent être autorisées par la loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances du ministre de l’Economie, adoptée par le Parlement début juillet et qui doit encore être validée par le Conseil constitutionnel avant d’être promulguée. Une fois les cahiers des charges arrêtés, une procédure de « dialogue compétitif » devrait être engagée, avec un premier appel d’offres mi-octobre débouchant sur une pré-qualification mi-novembre, puis une seconde phase à partir de décembre devant aboutir à un choix définitif à la fin du premier trimestre 2016, a précisé à l’AFP Jacques Kleynhoff, président du conseil de surveillance d’Aéroports de la Côte d’Azur et vice-président de la CCI Nice-Côte d’Azur.

 

Espagne: réduction dans les aéroports ; en France on construit à Nantes !

Espagne: réduction dans les  aéroports ; en France on construit à Nantes !

L’Espagne devrait exporter ses aéroports vers la France ; Madrid supprime les siens, nous on construit ! L’organisme de gestion des aéroports espagnols Aena a annoncé mercredi qu’il avait décidé de procéder à 1.600 licenciements volontaires ce qui pourrait entraîner la réduction de plus d’un dixième de ses effectifs d’ici à la fin de l’année et sans doute la fermeture d’aéroports.   L’entreprise publique a indiqué dans un communiqué qu’elle était arrivée à un accord avec les syndicats pour proposer un plan de départ pour 1.600 de ses 15.000 salariés. Les partants ne seraient pas remplacés.   »Cette mesure est une des différentes actions du plan d’efficacité des aéroports pour garantir l’avenir d’Aena, qui comporte une réduction substantielle des coûts d’exploitation », a-t-elle déclaré. Aena, qui gère 47 aéroports en Espagne et 26 à l’extérieur, a précisé que sa dette s’élevait à 14 milliards d’euros. Elle affirme qu’elle financera les licenciements sans aide supplémentaire de l’Etat.   Le gouvernement espagnol coupe dans ses dépenses et réorganise ses entreprises publiques pour réduire son déficit alors que la récession a fait monter le taux de chômage à plus de 25%. En France tout va bien, le trafic intérieur baisse (double effet du TGV et de la crise) mais on construit des aéroports comme  Notre-Dame-des-Landes: une broutille, 500 millions pour une infra inutile  Pour légitimer ce projet des évaluations très approximatives, on connaît la méthode : surestimer les retombées économiques pour parvenir à un taux de rentabilité satisfaisant. Pour cet aéroport, on a aussi oublié la crise et l’évolution du trafic aérien ; un détail sans doute.

 

 




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