Archive pour le Tag 'ADP'

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ADP vendu aux fonds étrangers ?

ADP vendu aux fonds étrangers ?

 

 

 

Le gouvernement va vendre les bijoux de famille pour boucher les trous du budget. Évidemment on vend les actifs les plus rentables. C’est le cas des aéroports de Paris qui pourrait rapporter une dizaine de milliards et qui pourrait être vendu à des fonds étrangers et ou à Vinci. Il n’existe guère d’investissement aussi rentables (rien qu’Air France paie plus d’un milliard de redevances par an) ;  puisqu’ils sont systématiquement amortis par les taxes aéroportuaires. En fait le même mécanisme que pour les autoroutes, elles aussi très rentables. Le problème c’est que le pays perd la maîtrise d’infrastructure très stratégique et que la France pourrait vendre à des fonds étrangers notamment américains alors qu’inversement la prise de participation financière dans les équipements américains de ce type est interdite. À ce compte, un jour la France vendra peut-être les routes non concédées, les canaux, les rivières, les ports et même toute la voirie publique. Au moins trois consortiums ont été constitués en vue de présenter une offre pour le rachat de la participation de l’Etat dans ADP, anciennement Aéroports de Paris, qui figure parmi les premières opérations de privatisation prévues au cours de l’année 2019, apprend-on de trois sources proches du dossier. A noter que le groupe italien, Atlantia pourraiat renoncé.   Si Rome impose des mesures punitives à sa filiale Autostrade, opérateur du viaduc, et sa direction pourrait être trop occupée par les implications de la catastrophe pour s’intéresser à autre chose. Quant à Vinci, Reuters a rapporté en juin que le groupe français, qui détient 8% du capital d’ADP, a proposé à des fonds de pension y compris étranger de s’associer à une opération de reprise.

Privatisations ADP et FDJ suspendue … à cause de la SNCF

Privatisations  ADP et FDJ suspendue … à cause de la SNCF

Accusé de vouloir privatiser la SNCF, le gouvernement envisagerait d’après le Monde de reculer la vente d’ADP et de la FDJ pour ne pas affoler davantage l’opinion. D’autant que ces ventes vont bénéficier à quelques privilégiés comme Vinci proche du gouvernement  et de la technostructure.

Comme pour les autoroutes,  l’Etat va solder en effet  les bijoux de familles que représente ADP et les aéroports de Paris. Sans doute au même, à Vinci,  qui compte davantage d’ingénieurs des ponts que l’Etat lui-même, beaucoup d’ailleurs des ces ingénieurs des ponts passés dans les cabinets ministériels et l’administration avant de rejoindre Vinci. D’où une consanguinité qui favorise Vinci. L’Etat  veut récupérer un pactole de 25 milliard. En apparence uen bonne affaire pour l’Etat puisque la part de l’Etat est valorisée à 17 milliards et serait vendue autour de 25 milliards. Une apparence seulement car la rentabilité des aéroports en général est exceptionnel du fait des taxes imposées aux opérateurs aériens. Vinci qui gère de nombreux aéroports internationaux le sait. Vinci, qui détient déjà 8% du capital d’ADP, fait figure de favori pour remporter une part de 50,6%, valorisée actuellement plus de huit milliards d’euros. Le groupe a réaffirmé début février son intérêt pour une montée dans le capital d’ADP. BFM cite également parmi les candidats potentiels l’italien Atlantia, déjà propriétaire de l’aéroport de Nice, ou l’espagnol Ferrovial ainsi que les investisseurs financiers Ardian, Predica (Crédit Agricole), la Caisse des Dépôts du Québec, le groupe Macquarie, GIP (aéroport de Londres) ou encore IFM

ADP : soldé à Vinci ?

ADP : soldé  à Vinci ?

Comme pour les autoroutes,  l’Etat va solder les bijoux de familles que représente ADP et les aéroports de Paris. Sans doute au même, à Vinci,  qui compte davantage d’ingénieurs des ponts que l’Etat lui-même, beaucoup d’ailleurs des ces ingénieurs des ponts passés dans les cabinets ministériels et l’administration avant de rejoindre Vinci. D’où une consanguinité qui favorise Vinci. L’Etat  veut récupérer un pactole de 25 milliard. En apparence uen bonne affaire pour l’Etat puisque la part de l’Etat est valorisée à 17 milliards et serait vendue autour de 25 milliards. Une apparence seulement car la rentabilité des aéroports en général est exceptionnel du fait des taxes imposées aux opérateurs aériens. Vinci qui gère de nombreux aéroports internationaux le sait. Selon BFM Business, Edouard Philippe doit rendre son arbitrage final sur le dossier lors d’une réunion prévue samedi à Matignon pour finaliser la loi Pacte (plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), qui permettra notamment à l’Etat de descendre sous le seuil de 50% dans le capital du groupe, ce qui lui est interdit par la loi actuellement. Cette loi ne sera pas promulguée avant octobre. L’Etat devrait revenir sur le droit d’exploitation éternel dont dispose ADP et devrait imposer au repreneur une licence d’exploitation comprise entre 70 et 90 années, une durée assez longue pour ne pas dévaloriser l’entreprise et porter préjudice aux actionnaires minoritaires d’ADP. Et l’État disposera de droits de veto sur le foncier de l’entreprise », ajoute BFM Business. A la suite de ces informations, le titre ADP a bondi ce mercredi de 6,11% à 175,5 euros.
Vinci, qui détient déjà 8% du capital d’ADP, fait figure de favori pour remporter cette part de 50,6%, valorisée actuellement plus de huit milliards d’euros. Le groupe a réaffirmé début février son intérêt pour une montée dans le capital d’ADP. BFM cite également parmi les candidats potentiels l’italien Atlantia, déjà propriétaire de l’aéroport de Nice, ou l’espagnol Ferrovial ainsi que les investisseurs financiers Ardian, Predica (Crédit Agricole), la Caisse des Dépôts du Québec, le groupe Macquarie, GIP (aéroport de Londres) ou encore IFM

La vente d’ADP à Vinci contre l’annulation de Notre Dame des Landes ?

La vente d’ADP à Vinci contre l’annulation de Notre Dame des Landes ?

 

On peut légitimement se demander si un deal n’a pas été passé entre l’État et Vinci pour échanger l’annulation de Notre dame des landes contre la session d’une partie de l’actionnariat actuellement détenu par les pouvoirs publics concernant l’aéroport de Paris. l’enjeu financier est autrement important. Côté Bercy ,on veut évidemment vendre des bijoux de famille pour alimenter un fonds de modernisation des entreprises. Côté Vinci, par ailleurs un des leaders mondial en matière de gestion aéroportuaire,  on veut récupérer la très lucrative gestion de l’aéroport de Paris. On peut dificilemenet comprendre le raisonnement de Bercy dont l’objectif à court terme est vendre les actifs les plus rentables. Mais une situation particulièrement contradictoire et perverse. On ferait mieux de se débarrasser des actifs peu rentables qui hypothèquent le déficit budgétaire au lieu de se débarrasser d’activités qui rapportent énormément au budget de l’État. Un exemple significatif de cette contradiction est celui de la vente des autoroutes, là encore notamment à Vinci, dans la rentabilité est exceptionnelle. Côté Vinci il ne manquera pas d’anciens fonctionnaires pour  convaincre ceux  qui sont en activité d’accepter la transaction. Des anciens fonctionnaires notamment ingénieus des ponts ou énarques aujourd’hui plus nombreux chez Vinci que leurs collègues de l’administration.. Le dossier ADP est donc politiquement ultra-sensible, même si l’équation semble plutôt simple. L’État vend un produit de premier choix, ADP, que beaucoup désignent comme « l’actif le plus convoité de la planète ». Il a même un acheteur désigné, Vinci, l’un des groupes les plus agressifs à l’international sur le marché aéroportuaire. Et pourtant, l’opération n’est pas si simple à lancer.

ADP et la FDJ ne sont plus à vendre ?

ADP et la FDJ ne sont plus à vendre ?

 

La perspective de vente d’ADP et de la Française des jeux aux fins de privatisation a provoqué de nombreuses réactions négatives dans l’opinion. Les oppositions sont fortes. En ce qui concerne ADP parce qu’il s’agit d’une infrastructure stratégique. En ce qui concerne la Française des jeux parce qu’elle pourrait bien tomber dans les mains de la mafia qui ne se priverait d’arranger les résultats des tirages. Du coup l’agence des participations de l’État (APE) rétropédale.  Le quotidien Les Echos écrit sur son site internet que l‘APE a choisi Crédit suisse pour préparer la privatisation d‘ADP, dont l‘Etat détient 50,6%, tandis que Le Figaro indique de son côté que l‘agence a retenu BNP Paribas pour l‘ouverture du capital de la Française des jeux, dont l‘Etat possède 72%. “Contrairement aux déclarations parues dans la presse, aucune orientation ni a fortiori aucune décision n’a été prise par le gouvernement sur d’éventuelles évolutions du capital de FDJ ou ADP”, a déclaré une porte-parole de l‘APE.  “Il s’agit donc de rumeurs infondées”, a-t-elle ajouté, disant ne pas confirmer non plus le nom des banques citées. Après l‘annonce en juillet d‘un Fonds pour l‘innovation par le ministre de l’Economie et des Finances, l‘APE réfléchit à l’évolution de son portefeuille. La cession de titres de l‘Etat doit permettre d‘alimenter un fonds de 10 milliards d‘euros, dont les produits doivent financer à hauteur d‘environ 200 millions par an des investissements dans des secteurs innovants. “L‘APE recourt à des conseils extérieurs financiers, juridiques, stratégiques, comme elle le fait régulièrement, afin de mener des évaluations financières et stratégiques sur les entreprises du portefeuille et sur leur capital”, a précisé la porte-parole.

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RATP et ADP : les patrons reconduits

RATP et ADP : les patrons reconduits

 

Le président de la République affirme « envisager » de reconduire à la fois Pierre Mongin et Augustin de Romanet, respectivement PDG de la RATP depuis 2012 et d’Aéroports de Paris (ADP) depuis juillet 2006. « Le Président de l’Assemblée nationale et le Président du Sénat sont saisis de ce projet de nomination, afin que la commission intéressée de chacune des assemblées se prononce dans les conditions prévues par le cinquième alinéa de l’article 13 de la Constitution », ajoute le communiqué.  Selon cet article de la Constitution française, les commissions des deux chambres du Parlement doivent en effet donner leur feu vert à la proposition du président de la République. Ce dernier « ne peut procéder à une nomination lorsque l’addition des votes négatifs dans chaque commission représente au moins trois cinquièmes des suffrages exprimés », explique cet article. Il s’agirait du troisième mandat pour Pierre Mongin, qui a fait une bonne partie de sa carrière dans des cabinets ministériels de droite. Ancien directeur général de la Caisse des Dépôts, Augustin de Romanet est lui un ancien proche de Jacques Chirac. ADP est une entreprise dont l’Etat détient encore 50,6% du capital après avoir nettement réduit l’an passé sa participation. La RATP, elle, est détenue à 100% par l’Etat en tant qu’établissement public à caractère industriel et commercial.

 

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