Archive pour le Tag 'adhérents ?'

Energie et Entreprises: Le MEDEF trahit ses adhérents

Entreprises: Le MEDEF trahit ses adhérents

On peut laisser moment se demander ce qui a conduit le patron du Medef à se montrer aussi courtisan vis-à-vis du gouvernement ; ainsi contrairement aux demandes d’organisations patronales de petites et moyennes entreprises, il réfute l’idée d’un nouveau bouclier tarifaire en matière énergétique. Exactement le même discours que le ministre de l’économie.

Pire, le patron du Medef dénonce l’attitude mendiante des patrons vis-à-vis de l’emballement des prix de l’énergie. Clairement, il prend parti pour le maintien d’une régulation anarchique qui profite aux énergéticiens parasites.

« Oui, il y a des entreprises qui sont fortement pénalisées par l’inflation de leurs coûts qu’elles n’arrivent pas à répercuter dans leurs prix », a concédé le président de la première organisation patronale française. « Oui, il y a des entreprises très consommatrices d’énergie qui ont aussi des problèmes », a-t-il poursuivi. « Mais quand je regarde la globalité (des entreprises), aujourd’hui les carnets de commandes tiennent » et les priorités des patrons sont plutôt « l’embauche et les salaires ».

« A un moment, il faut aussi se dire ‘on est patrons, un patron, c’est fait pour surmonter les difficultés, ça se lève le matin avec l’envie de développer sa boîte quelle que soit la difficulté’,.

On peut laisser moment se demander ce qui a conduit le patron du Medef à se montrer aussi courtisan vis-à-vis du ; ainsi contrairement aux demandes d’organisation patronale de petites et moyennes entreprises il réfute l’idée d’un nouveau bouclier tarifaire en matière énergétique. Exactement le même discours que le ministre de l’économie.

Pire, le patron du Medef dénonce l’attitude mendiante des patrons vis-à-vis de l’emballement des prix de l’énergie. Clairement il prend parti pour le maintien d’une régulation anarchique qui profite aux énergéticiens parasites.

Ces derniers mois, nombre d’organisations professionnelles (CPME, U2P, Syndicat des indépendants notamment) ont multiplié les appels au ministère de l’Economie pour obtenir des dispositifs de soutien face à la flambée des prix de l’énergie.

Le MEDEF trahit ses adhérents

Le MEDEF trahit se adhérents

On peut laisser moment se demander ce qui a conduit le patron du Medef à se montrer aussi courtisan vis-à-vis du gouvernement ; ainsi contrairement aux demandes d’organisations patronales de petites et moyennes entreprises, il réfute l’idée d’un nouveau bouclier tarifaire en matière énergétique. Exactement le même discours que le ministre de l’économie.

Pire, le patron du Medef dénonce l’attitude mendiante des patrons vis-à-vis de l’emballement des prix de l’énergie. Clairement, il prend parti pour le maintien d’une régulation anarchique qui profite aux énergéticiens parasites.

 

« Oui, il y a des entreprises qui sont fortement pénalisées par l’inflation de leurs coûts qu’elles n’arrivent pas à répercuter dans leurs prix », a concédé le président de la première organisation patronale française. « Oui, il y a des entreprises très consommatrices d’énergie qui ont aussi des problèmes », a-t-il poursuivi. « Mais quand je regarde la globalité (des entreprises), aujourd’hui les carnets de commandes tiennent » et les priorités des patrons sont plutôt « l’embauche et les salaires ».

« A un moment, il faut aussi se dire ‘on est patrons, un patron, c’est fait pour surmonter les difficultés, ça se lève le matin avec l’envie de développer sa boîte quelle que soit la difficulté’,.

On peut laisser moment se demander ce qui a conduit le patron du Medef à se montrer aussi courtisan vis-à-vis du ; ainsi contrairement aux demandes d’organisation patronale de petites et moyennes entreprises il réfute l’idée d’un nouveau bouclier tarifaire en matière énergétique. Exactement le même discours que le ministre de l’économie.

Pire, le patron du Medef dénonce l’attitude mendiante des patrons vis-à-vis de l’emballement des prix de l’énergie. Clairement il prend parti pour le maintien d’une régulation anarchique qui profite aux énergéticiens parasites.

Ces derniers mois, nombre d’organisations professionnelles (CPME, U2P, Syndicat des indépendants notamment) ont multiplié les appels au ministère de l’Economie pour obtenir des dispositifs de soutien face à la flambée des prix de l’énergie.

« Renaissance », le parti de Macron: 10 000 adhérents au lieu de 400 000 !

« Renaissance », le parti de Macron: 10 000 adhérents au lieu de 400 000 !

Un véritable naufrage pour le parti du président « Renaissance  » qui devaient succéder à l’organisation « En marche » . Pour remobiliser dans le camp du pouvoir, les partisans de Macon avaient décidé de constituer un énorme parti visant à regrouper 400 000 adhérents.

En vérité, la campagne de recrutement du nouveau parti du pouvoir est un véritable fiasco puisque « Renaissance » ne doit regrouper qu’environ 10 000 personnes

Cet échec est double d’une part ce parti qui avait pour vocation de regrouper en son sein la totalité des sensibilités de la majorité n’est pas parvenue à son objectif. Les centristes de François Bayrou ont refusé de rejoindre l’organisation commune. Par ailleurs Édouard Philippe cultive sa différence avec son parti « horizons »totalement centré sur la perspective des élections présidentielles de 2027.

Par ailleurs, la tendance de gauche au sein de la majorité présidentielle ne cesse de s’affaiblir et de se fondre dans les orientations conservatrices de Macron.La plupart des anciens socialistes ralliés à Macron ont vendu leur âme pour un portefeuille. Ils tentent vainement exister mais sont complètement marginalisés par le recentrage nettement à droite du président de la république.

On objectera à juste titre que la plupart des partis politiques en France ne regroupent qu’une infime partie des adhérents potentiels. Les plus importants partis ne regroupent même pas 100 000 adhérents réels. La plupart des partis sont d’ailleurs davantage des clubs d’élus et de militants que des partis de masse.

Politique-«Ensemble citoyens !» : La maison commune sans adhérents !

Politique-«Ensemble citoyens !» : La maison commune sans adhérents !

 

Un curieux objet mal identifié que cette maison commune de la majorité appelée « ensemble citoyens »qui a la particularité de ne pas recruter d’adhérents en tout en souhaitant qu’on adhère à ses objectifs. En réalité ,il s’agit d’une sorte de club qui tente d’assembler les organisations très balkanisées qui soutiennent Macron. Certains au sein de la majorité auraient souhaité transformer la maison commune en véritable parti mais Macron ne s’y est opposée. L’intéressé compte surtout sur lui et veut éviter l’éventuelle pression d’un parti qui lui imposerait des orientations.

La maison commune ensemble citoyens sera donc simplement un club de politiciens dont l’objet sera surtout de délivrer la bénédiction pour les législatives prochaines.

«Ensemble citoyens !», l’association des partis de la majorité, sera lancée le 29 novembre lors d’un meeting à la Maison de la Mutualité, à Paris. La nouvelle a été annoncée mardi par le chef de file de La République en marche (LREM), Stanislas Guerini, lors d’une réunion de la direction du mouvement. L’invitation a été envoyée mercredi.

L’événement doit permettre de mettre en scène le rassemblement de la majorité derrière le chef de l’État en attendant qu’il officialise sa candidature à l’Élysée. Les détails de cette «maison commune» ont été soigneusement étudiés.

Les dirigeants de la majorité ont finalement opté pour une structure légère, au terme de plusieurs mois de négociations autour du président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand. Cette alliance de LREM et de ses alliés – le Mouvement démocrate (MoDem) ; Agir ; le nouveau parti d’Édouard Philippe «Horizons» ; et Territoires de progrès – sera fondée sur une charte de principes communs. Elle sera dirigée par un comité exécutif autour de quatre personnalités : Richard Ferrand, François Bayrou, Édouard Philippe et Jean Castex. Un beau quatuor de politiciens !

«Ensemble citoyens !» : La maison commune sans adhérents !

«Ensemble citoyens !» : La maison commune sans adhérents !

 

Un curieux objet mal identifié que cette maison commune de la majorité appelée « ensemble citoyens »qui a la particularité de ne pas recruter d’adhérents en tout en souhaitant qu’on adhère à ses objectifs. En réalité ,il s’agit d’une sorte de club qui tente d’assembler les organisations très balkanisées qui soutiennent Macron. Certains au sein de la majorité auraient souhaité transformer la maison commune en véritable parti mais Macron ne s’y est opposée. L’intéressé compte surtout sur lui et veut éviter l’éventuelle pression d’un parti qui lui imposerait des orientations.

La maison commune ensemble citoyens sera donc simplement un club de politiciens dont l’objet sera surtout de délivrer la bénédiction pour les législatives prochaines.

«Ensemble citoyens !», l’association des partis de la majorité, sera lancée le 29 novembre lors d’un meeting à la Maison de la Mutualité, à Paris. La nouvelle a été annoncée mardi par le chef de file de La République en marche (LREM), Stanislas Guerini, lors d’une réunion de la direction du mouvement. L’invitation a été envoyée mercredi.

L’événement doit permettre de mettre en scène le rassemblement de la majorité derrière le chef de l’État en attendant qu’il officialise sa candidature à l’Élysée. Les détails de cette «maison commune» ont été soigneusement étudiés.

Les dirigeants de la majorité ont finalement opté pour une structure légère, au terme de plusieurs mois de négociations autour du président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand. Cette alliance de LREM et de ses alliés – le Mouvement démocrate (MoDem) ; Agir ; le nouveau parti d’Édouard Philippe «Horizons» ; et Territoires de progrès – sera fondée sur une charte de principes communs. Elle sera dirigée par un comité exécutif autour de quatre personnalités : Richard Ferrand, François Bayrou, Édouard Philippe et Jean Castex. Un beau quatuor de politiciens !

Présidentielle : le candidat du PS sera élu par les adhérents

Présidentielle : le candidat du PS sera  élu par les adhérents

 

Les instances nationales du parti socialiste ont décidé que le candidat aux présidentielles de 2022 serait désigné par les adhérents. Le seul problème est de savoir qui est adhérent au parti socialiste. Officiellement, il y aurait encore 100 000 adhérents mais la plupart n’ont pas payé de cotisations. En réalité le nombre serait autour de 30 000. Reste à savoir quel bidouillage on va utiliser permettant d’aboutir au chiffre officiel d’adhérents.

France insoumise et En Marche : des adhérents bidon

France insoumise et En Marche : des adhérents bidon  

Le nombre d’adhésions dans les partis politiques c’est un peu comme dans les enchères : 100 000 à 300 000 pour les parties classiques, qui dit plus ?  Les nouveaux partis, à savoir la république en marche et les insoumis qui comptent pour adhérents voire pour  militants chaque internaute qui un jour a effectué  un clic sur son ordinateur pour recevoir une info d’une de ces deux organisations. Ainsi la république en marche déclare 392 000 marcheurs et les insoumis qui font toujours mieux en déclarent 550 000 ! En fait il ne s’agit pas ni d’adhérents ni de militants mais d’internautes qui à un moment donné ont été sympathisant via Interne  des deux organisations. « Ça n’a rien à voir. Pour LREM et LFI, il ne s’agit pas de militants mais de sympathisants. On ne devient pas militant en un clic sur internet, ce n’est pas sérieux », peste Daniel Fasquelle, député et trésorier des Républicains. « On a tous dans nos circonscriptions des fichiers de sympathisants. Si on les ajoutait à nos données, on aurait également des chiffres bien plus importants. Cette confusion est délibérément entretenue par ces partis pour gonfler leurs chiffres ». Même observation du côté des socialistes qui  ont pratiqué un l’adhésion à prix réduit. Pour les insoumis et la république en marche, l’adhésion est non seulement virtuelle mais en plus gratuite. Normal d’une certaine manière à la république en marche,  ne demande strictement rien aux adhérents, simplement de lire la newsletter de l’organisation et de la diffuser. Aucune organisation locale, départementale ou régionale tout dépend de Paris. Un seul responsable local : le référent désigné aussi par Paris.  Cet été, ce sont seulement 72.000 marcheurs (un tiers des adhérents revendiqués à l’époque) qui ont validé les nouveaux statuts du parti. Mais on retrouve aussi une telle déperdition dans les autres forces politiques. Moins de 100.000 adhérents ont participé au vote désignant Laurent Wauquiez comme patron de la droite. Au PS, près de 21.000 adhérents (soit 23 % des 89 527 inscrits) ont voté en janvier pour valider les modalités du futur Congrès. Cette nouvelle manière d’adhérer à un mouvement pousse les partis traditionnels à évoluer. « Nous avons parlé samedi matin, lors du conseil national [du parti Les Républicains], de l’évolution du statut de l’adhérent. On cherche à trouver un statut intermédiaire entre le simple clic sur Internet comme chez En Marche, et la carte d’adhérent… » a expliqué à 20 Minutes un membre du bureau politique samedi.

 

CGT : fuite des adhérents

CGT : fuite des  adhérents

 

C’est une véritable hémorragie que connaît la CGT avec une baisse de plus de 30 % des effectifs sur une année. Une dégradation qui ne date pas d’hier mais qui d’une certaine façon suit avec retard celle du parti communiste. Certes la CGT est encore présente dans de nombreux bastions mais la politique de fuite en avant pratiquée par la confédération est en décalage complet avec les aspirations des salariés. Des salariés qui souhaitent des négociations qui aboutissent à des résultats et pas des protestations à caractère plus ou moins politique en tout cas uniquement contestataires. De ce point de vue, la politique menée par la CGT dans certaines entreprises est également mortifère car le jusqu’au-boutisme conduit parfois à la mort de l’entreprise. On comprend que la CGT qui n’a jamais réussi véritablement sa mue  soit coincée entre les pousses au crime de Sud et les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France. Bernard Thibault avait bien essayé d’engager l’organisation dans la voie du recentrage et de l’indépendance. Mais cette politique a été vite enterrée par les caciques. Il est clair que les dernières actions à répétition complètement irresponsables lancées contre la loi travail, la loi sur le code du travail auront épuisé les velléités de contestation et surtout fait douter de l’efficacité d’une stratégie davantage adaptée aux années 1950 qu’à période actuelle.   Le Canard enchaîné à paraître ce mercredi révèle en effet que la confédération syndicale a vu ses effectifs fondre de 34% en un an. Et même s’il s’agit là d’un chiffre provisoire, l’organisation dirigée par Philippe Martinez doit faire face à une crise sans précédent.  Dans le détail, le nombre d’adhérents ayant réglé au moins un mois de cotisation est passé de 649.899 à 427.431 lors des douze derniers mois, indique l’hebdomadaire satirique.Certaines fédérations sont particulièrement touchées, comme celle du commerce, qui a vu ses effectifs chuter de 45.000 à 22.000 en l’espace d’une année. Les cheminots, eux, ne sont plus que 30.000, contre 42.000 en 2016. Tandis que la métallurgie, fief historique de la CGT, a perdu 43% de ses adhérents en quatre ans, selon Le Canard.

Les Républicains : 240 000 adhérents mais 20 000 votants !!

Les Républicains : 240 000 adhérents mais 20 000 votants !!

 

Officiellement on compte 240 000 adhérents chez les républicains mais on craint qu’il y ait moins de 50 000 votants. Un peu comme dans le parti en Marche où on annonce 380 000 adhérents mais où seulement 20 000 adhérents ont répondu à la dernière enquête interne.   “Il y aura plusieurs dizaines de milliers d‘adhérents, j‘en suis absolument convaincu, qui viendront s‘exprimer dimanche”, a jugé Guillaume Larrivé lors d‘une conférence de presse au siège de LR. Les 234.556 adhérents à jour de cotisations sont appelés à départager Laurent Wauquiez, largement favori compte tenu de son poids politique et de sa popularité auprès de la base, le “juppéiste” Maël de Calan et l‘ex-“filloniste” Florence Portelli. Dans le camp Wauquiez, on dit attendre environ 50.000 votants, soit bien moins que lors des scrutins du même genre organisés ces dernières années à droite. “S‘il n‘y a pas 100.000 votants, ce sera un échec car la participation ne sera même pas de 50%”, anticipe Pierre Liscia, porte-parole de Florence Portelli, joint par Reuters. “Si on est à moins de 50.000, c‘est la preuve du profond malaise du parti.” “Clairement, Wauquiez portera la responsabilité de cette participation faible car il a refusé de débattre. (…) En faisant campagne en catimini, il ne faut pas s’étonner que ça ne passionne pas les adhérents”, ajoute-t-il. “A moins de 100.000, ça sera une défaite pour le futur vainqueur”, avertit-on également dans l‘entourage de Maël de Calan. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes s’était dit favorable à la tenue d‘un débat mais seulement à ses conditions. Au-delà de cette cause conjoncturelle et du faible suspense, les dirigeants s‘inquiètent d‘un risque de lassitude des militants, qui ont été sollicités en 2012, en 2014 et à nouveau en 2016 pour la primaire pré-présidentielle.

Benoît Hamon : 42 000 adhérents pourquoi pas 4 millions !

Benoît Hamon : 42 000 adhérents pourquoi pas 4 millions !  

Benoît Hamon qui a réuni les fidèles de son micro parti annonce cependant 42 000 adhérents et 550 comités locaux. Des chiffres sans doute à diviser par 10 surtout quand on sait que Benoît hamon  a réalisé un score catastrophique à la présidentielle de 6 %. En outre, on a un peu de difficulté à saisir l’espace qu’il veut occuper entre le parti socialiste maintenu, Mélenchon, le parti communiste et l’extrême gauche. S’il devait se présenter comme c’est probable aux européennes, il est vraisemblable qu’il n’atteindrait pas les 5 %. On objectera à juste titre que le nombre d’adhérents affichés par chaque politique organisation politique et complètement illusoire. C’est d’ailleurs vrai aussi pour le mouvement en marche qui officiellement annonce 380 000 adhérents confondant sans doute adhésion et clics  sur Internet destinés à soutenir initialement la candidature de Macron. Le problème de Benoît hamon c’est que comme d’autres responsables politiques, comme François Hollande par exemple, c’est qu’il ne sait rien faire d’autre que de la politique. Il reconnaît la catastrophe de sa candidature aux présidentielles. «Un désastre électoral», a-t-il lui-même concédé devant près de 2000 militants réunis ce samedi. Cette page douloureuse, il la pense derrière lui. «Vu mon score, j’ai beaucoup appris et j’ai tiré les leçons de tout cela», En apparence  pourtant non puisqu’il se  maintient en politique ;  et de ressortir son gadget du revenu universel qui pourtant l’avait fait plonger dans les sondages.

 

 » Avertissement des adhérents à Vauquiez » ( Accoyer)

 » Avertissement des adhérents à Vauquiez »  ( Accoyer)

 

Bernard Accoyer actuellement secrétaire général lance un avertissement à Vauquiez concernant les risques de radicalisation du parti. Pour cela, il se fonde sur une enquête interne aux républicains qui montre clairement une très grosse majorité qui souhaite une attitude beaucoup plus constructive de la part des LR. En clair, une coopération avec le gouvernement lorsque les orientations de ce dernier sont cohérentes avec les idées des républicains. Il est probable malheureusement que Wauquiez ne tiendra aucun compte de cette mise en garde car il sait bien que ce ne sont pas les adhérents qui votent mais uniquement les militants les plus motivés. Or  ces militants les plus motivés sont souvent les plus radicaux.  d’une certaine manière, Wauquiez reproduit le phénomène Hamon qui lui aussi s’était appuyé sur les plus radicaux de son parti pour obtenir la candidature socialiste aux présidentielles. Avec le résultat que l’on sait : une véritable débâcle électorale. Les militants des Républicains ont adressé par le biais d‘un questionnaire “un dernier avertissement” au parti, qu‘ils pressent de revenir à ses valeurs, faute de quoi ils risquent de s‘en détourner définitivement, a déclaré mardi Bernard Accoyer. “Ce travail, c‘est d‘abord un avertissement. Un avertissement pour notre famille politique, pour ses élus présents et à venir, pour l‘action qui sera conduite”, a jugé Bernard Accoyer lors d‘une conférence de presse. “Cet avertissement, nous le ressentons comme étant en quelque sorte le dernier avertissement”, a-t-il ajouté, six mois après une présidentielle désastreuse, conclue par l’élimination de François Fillon au premier tour. Selon le numéro un par intérim, les fidèles de LR ont adressé le message suivant à leurs dirigeants : “si, à nouveau, vous n’êtes pas fidèles à ce que nous ressentons, ce qui est le cœur de nos convictions, à la confiance que nous pourrions mettre en vous, probablement la prochaine fois nous irons nous exprimer ailleurs ou tout simplement nous ne viendrons pas.” Toujours selon Bernard Accoyer, la droite a “commis un certain nombre d‘erreurs depuis plusieurs décennies” et ne s‘est pas montrée “suffisamment fidèle” à ses convictions, en particulier lorsqu‘elle a été au pouvoir.

Le parti de Sarkozy perd des adhérents

Le parti de Sarkozy perd des adhérents

 

Depuis l’arrivée de Sarkozy le parti les républicains perdrait des s’adhérents : autour de 3000 d’après une source de France Info. Difficile de toute façon d’évaluer avec la moindre exactitude le nombre d’adhérents dans les partis. Première confusion l’amalgame entre militants, adhérents et sympathisants. Au PS par exemple il y a des campagnes de promotion des adhésions à 20 €  pour l’année. Même pas ce que paye une adhérent à un syndicat pour un mois !  Du coup les chiffres annoncés par les différents grands partis sont tout à fait approximatif. On a parlé de 250 000 adhérents pour l’UMP, 180 000 pour le PS ou encore 80 000 pour le FN. En France les partis sont surtout des organisations d’élus et de candidats à l’élection. Les chiffres officiels des partis politiques peuvent sans doute être divisés par deux au moins. Ce qui est certain sans doute ce sont de fortes tendances à la démission au PS, une absence de progression chez les républicains voir une baisse et une certaine dynamique au FN. Il est clair que le retour de Sarkozy à droite n’a pour l’instant créé aucune dynamique nouvelle bien au contraire. 175.900 adhérents « Les Républicains » au 15 septembre. Dernier pointage connu. C’est 3.100 de moins qu’il y a un an à la même date. L’UMP comptait alors 179.000 militants encartés.  »Il n’y a ni effet Sarko, ni effet changement de nom« , reconnaît un membre de la direction.  Un autre relativise : les adhésions vont s’accélérer cet automne pour deux raisons : la campagne des régionales d’abord; les élections internes en janvier ensuite. La désignation notamment des présidents de fédérations, pour la première fois élus par les adhérents et non directement nommés : potentiellement une machine à adhésions. Chaque candidat ayant intérêt à recruter un maximum de soutiens avant l’élection. Mais ce qui est sûr, c’est que l’objectif fixé par Nicolas Sarkozy – 300.000 adhérents fin décembre – ne sera pas atteint. En interne, le parti table désormais plutôt sur 250.000. Très optimiste, alors que le compteur en affichait 210.000 à la fin de l’année dernière. Optimiste et opaque : « C’est le black-out total« , regrette un élu, un vrai secret industriel. Les chiffres ne sont d’ailleurs même pas communiqués au bureau politique.

Congrès PS : où sont passés les adhérents ?

Congrès PS : où sont passés les adhérents ?

 

Courant 2014 le PS revendiquait encore 160 000 adhérents or pour le vote des motions du  congrès de 2015, on ne retrouve que 65 000 votants officiels ! Il en manque 100 000! 65 432 votants correspondant à 92 % de bulletins dépouillés, soit un taux de participation de 54,62 %, la motion A, portée par la direction sortante du PS et soutenue par les membres du gouvernement, est arrivée en tête, avec 39 259 voix et 60 % des suffrages. Elle laisse loin derrière la motion concurrente des frondeurs et de l’aile gauche du parti qui totalise 29 % et 18 975 voix. En fait pour l’essentiel les adhérents PS sont des élus ,actuels,  anciens ou candidats potentiels. Un parti d’apparatchiks qui a perdu ses bases, ses valeurs aussi. Mais la dynamique des appareils est suffisante pour donner une légitimité à Hollande qui en plus fera l’impasse sur des primaires. Une curieuse  conception de la démocratie alors qu’un sondage aujourd’hui démontre que 77% des Français ne veulent pas de Hollande en 2017. Il est vrai qu’ailleurs c’est la même logique d’appareil, ce ne sont pas les plus compétents et/ou les plus populaires qui sont susceptibles d’être élus en 2017 mais ceux qui maîtrisent les appareils. Une sorte déni de démocratie et en même temps uen remise en cause des fondements même cinquième république. D’une  certaine manière la France est retombée dans les travers de la quatrième république avec les mêmes arrangements d’appareils, les mêmes castes incapables de faire face aux enjeux actuels . Une monarchie républicaine caractérisée par le manque de courage et de compétence. Pas étonnant qu’on rencontre des records d’abstention !




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