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Marché des actions : éclatement de la bulle ?

 

Marché des actions : éclatement de la bulle ?

 

On pourrai t bien assister dans les semaines qui viennent à de grosses prises de bénéfices préalable à une chute du marché des actions. Cela d’autant plus que le second trimestre s’annonce assez morose sur le  plan économique mondial aussi bien en Chine, en Europe ( y compris l’Allemagne) ou même aux Etats-Unis. En fait l ’économie mondiale peine à vraiment sortir de la crise  et fait même du yoyo. En Europe on s‘installe dans la croissance molle, le chômage grimpe, la précarité encore davantage. Pourtant la bourse atteint des sommets  sur le marché des actions. On a même atteint des records depuis le début d’année ( près de 20% d’augmentation). . A cet égard la bourse  est complètement déconnectée de l’économie réelle, c’est à dire de la croissance et des résultats des entreprises. La faute en premier aux obligations mal rémunérées- ou pas du tout- et le report des capitaux sur les actions. La faute surtout à la marée de liquidités déversées par les banques centrales normalement faites pour desserrer la contraintes budgétaires mais qui servent surtout aux banques pour continuer leur activités de spéculation ;  sur tout, sur les actions bien sûr, comme sur les matières premières( y compris alimentaires au risque d’affamer un peu plus les populations des pays pauvres qui du coup migrent vers les pays plus riches ) ou sur les taux. Même si elles ont accusé un coup d’arrêt la semaine dernière, les bourses européennes volent de record en record depuis le début de l’année. En France, le CAC 40 a gagné 20,37% depuis le 1er janvier. Le DAX allemand a quant à lui glané 19,20%. A Milan, le FTSE MIB s’est envolé de 21,21%. . Selon un sondage mensuel effectué par BofA Merrill Lynch auprès de 145 gérants de fonds, ils étaient 25% au mois d’avril à penser que les marchés actions mondiaux étaient surévalués. Contre 23% en mars et 8% en février. S’il s’agit du résultat le plus élevé enregistré depuis 2000, on reste néanmoins loin du record observé en 1999 lorsqu’ils étaient 42% à considérer que les actions étaient surévaluées, précise la banque américaine. Cela n’empêche pas 13% des sondés de croire qu’une bulle sur les actions est aujourd’hui le plus grand risque auquel les marchés sont confrontés. Robert Shiller en fait partie. Fin mars, lors d’une conférence de Credit Suisse sur l’investissement en Asie à Hong-Kong, le Prix Nobel d’économie 2013 a sorti un graphique montrant que le prix des actions aux Etats-Unis, corrigé de l’inflation, montait en flèche. Et que les plus hauts de 2007 étaient désormais dépassés..  plusieurs facteurs expliquent la hausse; le principal étant les politiques monétaires «extrêmement accommodantes» qui ont alimenté la machine à investir sur presque toute la planète. A commencer par les Etats-Unis. Pas étonnant dès lors que 68% des experts interrogés par BofA Merrill Lynch estiment que les actions américaines sont aujourd’hui les plus surévaluées au monde. En Europe, le bazooka monétaire a davantage tardé à sortir. Mais c’est chose faite depuis le mois de février. Dorénavant la Banque centrale européenne (BCE) rachète chaque mois, et cela jusqu’en septembre 2016, pour 60 milliards de dettes européennes sur les marchés. Soit 1140 milliards d’euros en tout. Du coup, les rendements des obligations sont en chute libre. Une grande partie ne rapporte même plus rien aux investisseurs – banques, assurances, caisses de pension en tête – qui, par conséquent, cherchent des alternatives. Mais le marché des actions n’est pas le seul à supporter des risques, le marché des obligations souveraines aussi . Et là encore en raison du programme de la BCE. Le sondage réalisé par BofA Merrill Lynch révèle d’ailleurs que 84% des experts interrogés considèrent que le marché obligataire est surévalué. Contre 75% au mois de mars. Un record. La question est quelle bulle risque d’éclater en premier.

Marché des actions : «Record historique» jusqu’à éclatement de la bulle ?

 

 

L’économie mondiale peine à vraiment sortir de la crise  et fait même du yoyo. En Europe ons ‘installe dans la croissance molle, le chômage grimpe, la précarité encore davantage. Pourtant la bourse atteint des sommets  sur le marché des actions. On a même atteint des records depuis le début d’année ( près de 20% d’augmentation). . A cet égard la bourse  est complètement déconnectée de l’économie réelle, c’est à dire de la croissance et des résultats des entreprises. La faute en premier aux obligations mal rémunérées- ou pas du tout- et le report des capitaux sur les actions. La faute surtout à la marée de liquidités déversées par les banques centrales normalement faites pour desserrer la contraintes budgétaires mais qui servent surtout aux banques pour continuer leur activités de spéculation ;  sur tout, sur les actions bien sûr, comme sur les matières premières( y compris alimentaires au risque d’affamer un peu plus les populations des pays pauvres qui du coup migrent vers les pays plus riches ) ou sur les taux. Même si elles ont accusé un coup d’arrêt la semaine dernière, les bourses européennes volent de record en record depuis le début de l’année. En France, le CAC 40 a gagné 20,37% depuis le 1er janvier. Le DAX allemand a quant à lui glané 19,20%. A Milan, le FTSE MIB s’est envolé de 21,21%. . Selon un sondage mensuel effectué par BofA Merrill Lynch auprès de 145 gérants de fonds, ils étaient 25% au mois d’avril à penser que les marchés actions mondiaux étaient surévalués. Contre 23% en mars et 8% en février. S’il s’agit du résultat le plus élevé enregistré depuis 2000, on reste néanmoins loin du record observé en 1999 lorsqu’ils étaient 42% à considérer que les actions étaient surévaluées, précise la banque américaine. Cela n’empêche pas 13% des sondés de croire qu’une bulle sur les actions est aujourd’hui le plus grand risque auquel les marchés sont confrontés. Robert Shiller en fait partie. Fin mars, lors d’une conférence de Credit Suisse sur l’investissement en Asie à Hong­kong, le Prix Nobel d’économie 2013 a sorti un graphique montrant que le prix des actions aux Etats-Unis, corrigé de l’inflation, montait en flèche. Et que les plus hauts de 2007 étaient désormais dépassés..  plusieurs facteurs expliquent la hausse; le principal étant les politiques monétaires «extrêmement accommodantes» qui ont alimenté la machine à investir sur presque toute la planète. A commencer par les Etats-Unis. Pas étonnant dès lors que 68% des experts interrogés par BofA Merrill Lynch estiment que les actions américaines sont aujourd’hui les plus surévaluées au monde. En Europe, le bazooka monétaire a davantage tardé à sortir. Mais c’est chose faite depuis le mois de février. Dorénavant la Banque centrale européenne (BCE) rachète chaque mois, et cela jusqu’en septembre 2016, pour 60 milliards de dettes européennes sur les marchés. Soit 1140 milliards d’euros en tout. Du coup, les rendements des obligations sont en chute libre. Une grande partie ne rapporte même plus rien aux investisseurs – banques, assurances, caisses de pension en tête – qui, par conséquent, cherchent des alternatives. Mais le marché des actions n’est pas le seul à supporter des risques, le marché des obligations souveraines aussi . Et là encore en raison du programme de la BCE. Le sondage réalisé par BofA Merrill Lynch révèle d’ailleurs que 84% des experts interrogés considèrent que le marché obligataire est surévalué. Contre 75% au mois de mars. Un record. La question est quelle bulle risque d’éclater en premier ?

Retraites, salaires, actions : les patrons se goinfrent : ils ont raison !

Retraites, salaires, actions : les patrons se goinfrent  : ils ont raison !

 

Sanofi est le dernier exemple en date de cet faim de fric de la part des grands patrons ( en France et ailleurs). Des patrons qui se goinfrent parce que le système le permet et même les y encourage. En moyenne de l’ordre de 3 millions par an ‘(à l’ étranger encore beaucoup plus parfois). C’est la loi du marché, de l’offre et de la demande. Il y a concurrence entre les grands patrons et il faut bien les rémunérer pour attirer les meilleurs. Autant dire qu’il n’y a que le fric pour motiver les foules à apporter une  contribution à la collectivité. Drôle de conception. D’abord contrairement à ce qui  est affirmé il y a des centaines etc. des centaines de patrons potentiels qui attendent leur tour et qui effectueraient le même travail pour beaucoup moins. Le problème c’est que la secte des grands patrons est verrouillée et qu’on  choisit au sein de la secte les successeurs des anciens pour la France surtout dans les  sectes de l’ENA , des grandes écoles qui  trustent politique, administration et bien sûr entreprises. En réalité, la plupart de ces patrons n’ont jamais pris le moindre financier, ils ont hérité de stocks options  et sont parvenus à leur poste de responsabilité par copinage. Contrairement par exemple aux Etats Unis ou en Allemagne où la performance compte  et non l’appartenance à une  grande école Pratiquement aucun des grands  patrons des entreprises cotées n’a monté sa propre boite. Il est donc faux d’affirmer que les salaires démentiels sont destinés à rémunérer les risques . D’ailleurs nombre de grands patrons qui ont échoué ne se privent pas de toucher des golden parachute. Pendant ce :temps des milliers et des milliers de PME prennent des risques travaillent autant sinon davantage et parfois parviennent tout juste à toucher un salaire décent. lI y a évidemment là un vivier de futurs grands patrons mais on ne mélange pas oligarchie et la valetaille fut elle patronale. Ils ont raison les patrons de se gaver, tout le monde se goinfre ( politiques compris), d’uen manière ou d’uen autre. En outre la morale de la sphère financière s’est imposée à la sphère économique et même sociétale. Le sens du devoir accompli,  des valeurs sont devenus  complètement obsolètes. Evidemment pendant ce temps l’écart entre les riches et les pauvres n’a jamais été aussi important et 1% des plus riches possèdent 50% de la richesse mondiale. Et alors ? Qui s’en émeut, qui s’ en plaint ( à part les pauvres) quelques marginaux . (‘ organisations ou individus), les politiques aussi mais seulement pendant les périodes électorales ! . . En 2012, le candidat Hollande promet de plafonner ce niveau de revenu, mais, pour cause d’inconstitutionnalité, il doit se contenter, une fois élu, d’appliquer sa promesse aux seuls patrons de groupes publics. Ces derniers voient fondre leur salaire fixe sous la barre des 450.000 euros. Le 24 mai 2013 dans Les Echos, Pierre Moscovici, alors ministre de l’Economie, annonce officiellement l’abandon d’un encadrement des salaires dans le privé. La rémunération fixe d’un patron du CAC est complétée par un salaire « variable » et/ou une « prime d’objectif ». Si les résultats de son groupe sont positifs et créent du bénéfice, notamment au profit des actionnaires, il voit ses revenus gonfler. Selon l’étude de Proxinvest, le salaire fixe (24% en moyenne de l’intégralité des revenus annuels) est même moins élevé que cette part variable (32%). La complexité et l’opacité des paramètres de ce dispositif ont beaucoup été dénoncé mais, là encore, les politiques n’ont pas réussi à légiférer sur cet aspect. Aujourd’hui c’est encore plus fort avec le Golden hello touché avant son arrivée par le Patron de Sanofi ( la Sécu paiera !). .  Le « golden parachute », ou parachute doré, est autrement moins compliqué à obtenir : il s’agit d’une prime de départ pour services rendus. Elle vise à compenser le fait que les patrons n’ont pas droit à l’assurance chômage. En 2002, Jean-Marie Messier touche l’incroyable somme de 20,5 millions d’euros lorsqu’il quitte sa fonction de PDG de Vivendi. Quatre ans plus tard, le départ de Noël Forgeard d’EADS – un groupe public – et son parachute doré de 8,5 millions d’euros poussent les politiques à se saisir du problème. Nommé Premier ministre en 2009, François Fillon évoque même une législation. Mais, en 2015, les parachutes dorés ne sont toujours pas interdits, ni même encadrés.

43% des actions des entreprises françaises détenues par l’étranger

43% des actions des entreprises françaises détenues par l’étranger

50% du CAC détenus par l’étranger et environ 43% de l’ensemble  des sociétés françaises cotées en Bourse détenues par des investisseurs étrangers, révèle une étude publiée mardi 3 juin par l’Observatoire de l’épargne européenne (OEE) et la banque de données économiques IODS. Ce qui permet de mieux comprendre que la bourse monte pour une entreprise lors d’un plan de chômage ou d’un rachat ; Les capitaux étrangers étant complètement insensibles aux aspects sociaux ou à l’intérêt national français. Ce qui explique auusi les politique à court terme d’entreprises qui doivent surtout « rendre du jus » aux rentiers actionnaires  et non trop se focaliser sur le long terme. La part des actionnaires non-résidents, que ce soient des fonds d’investissements, fonds de pension, fonds souverains, ou des entreprises, a subi une forte augmentation car elle n’était que de 23% en 1995. A l’inverse la part des investisseurs particuliers dans l’actionnariat des sociétés cotées françaises a très largement diminué en dix-huit ans, passant de 25% à 10%. Entre 1995 et 2013, celle des fonds d’investissement français est demeuré exactement identique, à 12%, de même que celle des banques tricolores, à 5%. L’Etat est en revanche plus présent, passant de 3% à 7%, après toutefois avoir atteint un pic à 12% en 2008? au début de la crise financière. L’étude d’OEE-IODS souligne également que les entreprises françaises, qui représentaient 25% de l’actionnariat des sociétés cotées françaises, ont renforcé leur présence avec la crise, montant de 15% à 20% depuis 2008. Plus globalement, la part des investisseurs étrangers dans l’actionnariat des sociétés cotées des pays de l’Union européenne est passée de 10% à plus de 45% entre 1975 et 2013. Comme les banques, les Etats n’ont plus qu’un poids marginal et la crise financière ne semble pas avoir modifié cette tendance en dépit des prises de participation, le plus souvent provisoires, de ceux-ci dans le capital d’institutions financières en difficulté. Les fonds de pension et les sociétés d’assurance européens, après avoir atteint un pic de 28% en 1992, ont eux aussi décliné régulièrement et leurs portefeuilles ne représentent plus que 8% de la capitalisation boursière. « Une part importante de la baisse relative de la détention d’actions en direct des fonds de pension, des sociétés d’assurances et des ménages a pour contrepartie l’augmentation des fonds d’investissement européens », les plus gros étant souvent basés en Irlande et au Luxembourg.  »Les entreprises non financières ont leur importance comme actionnaires divisée par deux, de 30 à 16%, et les actionnaires individuels, par trois, de 30% à 16% », note l’étude. Les auteurs de l’étude remettent par ailleurs en cause la pertinence du critère de la nationalité. Le poids des non-résidents dans la capitalisation boursière européenne serait en effet divisé par deux si l’on considérait qu’un investisseur « domestique » peut être un investisseur européen, et non plus seulement national.

 

Epargne : les Français fuient les actions et les obligations

Epargne : Les Français fuient les actions et les obligations

L actions et les obligations détenues en direct occupent désormais une place marginale dans le patrimoine des ménages. Elles ne pèsent plus que 2 % contre 4 % en 1995, selon IODS (Insead OEE Data Services), un cabinet qui analyse l’épargne financière des Européens. «Les épargnants ont été échaudés par les différentes crises boursières et il n’y a plus d’opérations de privatisations», explique Didier Davydoff, directeur général d’IODS. L’augmentation des dividendes, qui ont été multipliés par 2,6 entre 1995 et 2012, n’a pas réussi à fidéliser les actionnaires. Pour les mêmes raisons, les épargnants ont aussi délaissé les OPCVM (actions, obligations). Leur poids dans les patrimoines a carrément été divisé par deux, passant de 15 % en 1995 à seulement 7 % aujourd’hui. L’épargne bancaire, autrement dit les livrets, les comptes à terme et les dépôts, s’en sortent mieux (- 10 % depuis 1995). Au fil des ans, l’assurance-vie est devenue prépondérante dans le patrimoine financier des ménages: son poids a doublé entre 1995 et 2012, pour atteindre fin septembre 40 % du patrimoine (contre 21 % en 1996). Fait plus surprenant, la part des actions non cotées a elle aussi doublé dans les portefeuilles, passant de 8 % à 15 %. «Notamment parce que davantage de personnes créent une entreprise», explique Didier Davydoff. L’épargne financière (hors immobilier) a rapporté 3,9 % net de frais de gestion en moyenne par an entre 1996 et fin septembre 2012. Et 2,6 % à 2,7 % après impôt, soit bien plus que l’inflation (1,6 %) selon IODS. «Ce qui est honorable», souligne Georges Pauget, président d’IODS. Mais, sur une période plus courte, la performance est nettement moins florissante: entre début 2000 et aujourd’hui, les placements financiers n’ont rapporté que 2,6 % par an en moyenne (soit environ 1,90 % après impôt) alors que l’inflation atteignait à 1,8 %. Traditionnellement, plus fourmis que cigales, les Français ont toujours un bas de laine important (le taux d’épargne avoisine 16 % des revenus). Anticipant des baisses de revenus et des hausses d’impôts, les épargnants devraient rester prudents. Les Français consacrent une partie de plus en plus faible de leurs revenus aux placements financiers. «Les liquidités sont moins abondantes car les ménages ont moins de plus-values immobilières à réinvestir et parce que leurs revenus baissent», souligne Didier Davydoff.

 

 

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