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Les fusions et acquisitions : record à 12 milliards de dollars.

Les fusions et acquisitions : record à 12   milliards de dollars.  

 

Record mondial au premier trimestre pour les fusions acquisitions  qui sont d’abord soutenue par la reprise de la croissance mondiale, la restauration des marges des entreprises aussi de l’argent encore relativement bon marché. Il faut noter que ces opérations ont surtout concerné les grandes sociétés puisque dans le même temps leur nombre diminuent. Alors qu’en valeur les opérations de M&A ont augmenté de 67% au premier trimestre 2018 par rapport à la période comparable de 2017, leur nombre a chuté de 10% à 10.338, selon des données préliminaires de Thomson Reuters. Parmi les transactions les plus importantes conclues sur la période janvier-mars, figure l’acquisition par l’assureur santé américain Cigna du gestionnaire de prescriptions médicales Express Scripts Holding pour 54 milliards de dollars. En Allemagne, E.ON a acquis la participation majoritaire de RWE dans le spécialiste des énergies renouvelables Innogy. Les M&A ont doublé en volume au premier trimestre en Europe, tandis qu’elles ont augmenté de 67% aux Etats-Unis et de 11% en Asie. “Un environnement macro-économique plus favorable en Europe a engendré une plus grande confiance pour faire avancer les choses. Des transactions, qui étaient dans les tuyaux depuis longtemps, se sont concrétisées et certains secteurs, comme celui des services aux collectivités, ont été complètement transformés par la dernière vague de consolidation”, explique Borja Azpilicueta, responsable d’EMEA Advisory chez HSBC.

Fusion acquisitions (M&A): forte hausse de la France

Fusion acquisitions (M&A): forte hausse de la France

D‘après les données de Thomson Reuters, les transactions de M&A ont bondi de 50% en 2017 pour atteindre 245,8 milliards de dollars (205 milliards d‘euros) et signent ainsi le meilleur millésime des dix dernières années. Les entreprises françaises se sont montrées offensives avec une hausse de 180% des acquisitions à l’étranger, comme l‘illustre le rachat par Unibail-Rodamco de son concurrent australien Westfield. “Les grands groupes français sont de retour sur les opérations de M&A. Les entreprises veulent relever les défis des grandes mutations sectorielles, géographiques et digitales”, analyse Guillaume Molinier, associé gérant chez Lazard. “Les réflexions stratégiques s‘accélèrent. Avec des bilans assainis, les entreprises sont prêtes à passer à l‘offensive.” “En plus des grandes transactions, on a assisté à une recrudescence d‘opérations de taille intermédiaire souvent initiées par des entreprises qui avaient jusqu’à présent plutôt privilégié des stratégies plus traditionnelles de croissance organique”, souligne Jérémie Marrache. “C‘est un des faits marquants de l‘année 2017.” De nombreuses transactions au sein même de l‘Union européenne ont animé le marché, à l‘image du rachat par l‘allemand Siemens du français Alstom ou de l‘acquisition du constructeur automobile allemand Opel par PSA. En 2017, la France a d‘ailleurs été le moteur de l‘activité de M&A en Europe en totalisant près de 29% des transactions européennes, contre environ 15% habituellement. D‘après les données de Thomson Reuters, le volume de transactions a crû de 16% en Europe tandis qu‘il s‘est contracté de 16% aux Etats-Unis. “On sent une vraie dynamique paneuropéenne derrière l’émergence de champions européens et la mise en oeuvre de transactions transfrontalières en Europe”, note Alexandre Courbon, responsable du M&A pour la France chez Société générale CIB. “L’élection d‘Emmanuel Macron en mai 2017 a clairement agi comme un catalyseur à cet égard.” “Avec les échéances politiques derrière nous, l’Europe devrait encourager la constitution de grands groupes par des rapprochements transfrontaliers”, souligne pour sa part Emmanuel Regniez, codirecteur de la banque d‘investissement de Citi en France. Déjà favorisé par un contexte de taux d‘intérêt historiquement bas qui permet des financements à moindres coûts, le marché du M&A profite aussi désormais d‘un environnement économique plus porteur en Europe, et en particulier en France. L‘Insee a relevé en décembre sa prévision de croissance du produit intérieur brut (PIB) pour 2017 à 1,9% alors que l’économie française se traînait depuis trois ans autour de 1% de croissance.L‘optimisme des chefs d‘entreprise français tout comme les investissements des ménages sont orientés à la hausse. “Avec des conditions de financement qui restent favorables, une stabilisation des environnements macroéconomique et politique, tous les facteurs sont réunis pour inciter les entreprises à franchir le pas et acquérir des actifs pour compléter leur portefeuille”, fait remarquer Jérémie Marrache (Goldman Sachs). Dans ce contexte, les banquiers d‘affaires s‘attendent à ce que l‘activité reste soutenue en 2018 en dépit de zones d‘incertitudes, notamment géopolitiques avec les ambitions nucléaires et balistiques de la Corée du Nord.“La tendance devrait se poursuivre même si certains facteurs appellent toutefois à la vigilance”, déclare ainsi Guillaume Molinier (Lazard), citant notamment les réformes en cours aux Etats-Unis sur la fiscalité et la politique de santé, les négociations sur le Brexit ou encore la normalisation de la croissance économique en Chine. Dans le palmarès établi par Thomson Reuters, Rothschild se maintient en tête des banques d‘affaires en France, suivi de BNP Paribas et de Goldman Sachs.

Entreprises : fusions acquisitions en hausse

Entreprises : fusions acquisitions en hausse

 

Globalement le marché des fusions acquisitions est en hausse en 2013 aux Etats- Uniset  en France , en baisse en Europe. En cause pour la France, des causes contradictoires, des entreprises en difficulté rachetées à des prix intéressants, des fusions dynamiques, d’autres contraintes qui participent de la restructuration de l’appareil productif, aussi des taux de financement très bas.  Le marché des fusions et acquisitions (M&A) a repris des couleurs en France en 2013 et la bonne tenue des marchés financiers laisse désormais entrevoir un redémarrage progressif des transactions pour les années qui viennent. Si la crise de la dette souveraine dans la zone euro avait ces dernières années dissuadé les chefs d’entreprise et les investisseurs de se lancer dans de grandes opérations, les craintes semblent désormais dissipées, favorisant le retour des flux financiers étrangers, et en particulier américains, vers l’Europe. Dopé par la fusion entre Publicis et Omnicom et des transactions comme le rachat du britannique Invensys par Schneider Electric au cours du second semestre, le volume des opérations de M&A a bondi de 49% cette année en France pour atteindre 132,5 milliards de dollars (97 milliards d’euros), selon les données Thomson Reuters. Plus globalement en Europe, le marché des fusions-acquisitions a en revanche reculé de 23% en 2013 et tombe à un plus bas de dix ans, tandis qu’aux Etats-Unis il a crû de 14%. Au niveau mondial, le marché s’est contracté de 2% et le nombre de transactions est le plus faible depuis 2005. « Avec des valorisations boursières assez élevées, des financements disponibles et attractifs et une atténuation des risques macroéconomiques majeurs, l’environnement est assez porteur », souligne Alban de la Sablière, banquier d’affaires chez Morgan Stanley à Paris. « La reprise très forte des introductions en Bourse après des années de disette en France est la meilleure illustration d’un horizon dégagé. »

 




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