Archive pour le Tag 'acheter'

Politique-Bruno Le Maire : réduit à acheter des pâtes à cause de l’inflation !

Politique-Bruno Le Maire : réduit à acheter des pâtes à cause de l’inflation !


À quand une souscription nationale pour aider Bruno Lemaire, le ministre de l’économie, à acheter des pattes afin de nourrir sa famille.

« J’essaye de faire attention à ce que les prix baissent pour le consommateur. Parce que j’ai moi-même une famille nombreuse, j’ai quatre enfants à nourrir et je paye beaucoup de paquets de pâtes », avait assuré le ministre samedi sur France 2, interpellé sur la hausse des prix.

Il n’en fallait pas moins pour que les internautes sous-titrent ses déclarations avec quelques éléments. Nombre d’entre eux ont rappelé son salaire et son patrimoine, quand d’autres ont préféré opter pour l’ironie : « Bruno le Maire, 11.000 euros de salaire et 500.000 euros de patrimoine […] hors sol », « Donnez-lui une pièce, il me fait de la peine », « Quand ma fille refusera de terminer son assiette, je lui dirai de penser un peu à la famille nombreuse de Bruno Le Maire », pouvait-on lire sur Twitter quelques heures après son passage dans l’émission.
Bruno Le Maire, 10.000€ nets par mois, souffre du prix de pâtes.

Alors que devrait dire l’immense majorité des Français – dont 10 millions vivent sous le seuil de pauvreté.

Quelle déconnexion.

Bruno Le Maire : réduit à acheter des pâtes premier prix à cause de l’inflation !

Bruno Le Maire : réduit à acheter des pâtes à cause de l’inflation !


À quand une souscription nationale pour aider Bruno Lemaire, le ministre de l’économie, à acheter des pattes afin de nourrir sa famille.

« J’essaye de faire attention à ce que les prix baissent pour le consommateur. Parce que j’ai moi-même une famille nombreuse, j’ai quatre enfants à nourrir et je paye beaucoup de paquets de pâtes », avait assuré le ministre samedi sur France 2, interpellé sur la hausse des prix.

Il n’en fallait pas moins pour que les internautes sous-titrent ses déclarations avec quelques éléments. Nombre d’entre eux ont rappelé son salaire et son patrimoine, quand d’autres ont préféré opter pour l’ironie : « Bruno le Maire, 11.000 euros de salaire et 500.000 euros de patrimoine […] hors sol », « Donnez-lui une pièce, il me fait de la peine », « Quand ma fille refusera de terminer son assiette, je lui dirai de penser un peu à la famille nombreuse de Bruno Le Maire », pouvait-on lire sur Twitter quelques heures après son passage dans l’émission.
Bruno Le Maire, 10.000€ nets par mois, souffre du prix de pâtes.

Alors que devrait dire l’immense majorité des Français – dont 10 millions vivent sous le seuil de pauvreté.

Quelle déconnexion.

Acheter de la monnaie de singe pour soutenir le rouble !

Acheter de la monnaie de singe pour soutenir le rouble !

 

Visiblement Poutine a des difficultés à comprendre la problématique économique. De ce point de vue, il faut bien convenir qu’il n’est pas le seul dirigeant à manifester une telle insuffisance. Comme le rouble s’est écroulé de plus 40 % depuis peu, Poutine a trouvé la martingale : il imposerait qu’on paye le gaz et le pétrole russe en rouble. Cela contraindrait évidemment les pays acheteur à ce munir de cette devise, sorte de monnaie de singe à la valeur très fluctuante et très virtuelle. De cette manière évidemment le rouble serait soutenu par les pays acheteur. Compte tenu de la volatilité du rouble il n’est pas du tout certain que les acheteurs acceptent des transactions en monnaie de singe.

De fait, des achats de roubles doivent avoir pour effet méca­nique de faire remonter la valeur de la devise russe. Celle-ci s’est ­effondrée de 41 % face au dollar entre la veille de l’invasion de l’Ukraine et le 7 mars.  Le gouvernement russe avait déjà demandé aux exportateurs de convertir 80 % de leurs recettes en roubles. Il aurait pu leur demander de convertir 100 %. Le fait que Poutine demande aux “pays hostiles” de payer en rouble est un geste avant tout politique .

« Cette position de Vladimir ­Poutine est selon moi plus géo­politique que technique et finan­cière, renchérit Philippe Dauba-Pantanacce, économiste chargé de la géopolitique à la banque Standard Chartered. Le G7 a attendu d’être réuni (la semaine dernière, NDLR) pour dire clairement qu’il refusait de payer en roubles. La Russie attendait sans doute qu’un État membre, l’Italie ou l’Allemagne peut-être, se désolidarise. »

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Acheter des produits français ( FNSEA)

Acheter des produits français ( FNSEA)

sur Europe 1, la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), Christiane Lambert, a lancé un appel à tous les Français pour qu’ils consomment des produits locaux à Noël et favorisent ainsi le « made in France ». « C’est très important pour garder cette alimentation durable et cette production durable que nous avons en France », a-t-elle déclaré.

Les filières dans la tourmente ne manquent pas : foie gras, pintades, chapons attendent d’être dégustés. Mais avec la fermeture des restaurants, le manque à gagner pour les producteurs pourrait être conséquent. « Notre demande, c’est que les Français commandent dès maintenant et réservent leurs produits. »

Producteurs et industriels collaborent pour s’adapter à cette période inédite. Par exemple, les réunions de familles allant probablement se tenir en comités restreints, les conditionnements des produits devraient évoluer pour adopter des formats plus petits. « Si les Français sont aux rendez-vous, cela va donner du cœur à l’ouvrage aux producteurs. »

Christiane Lambert invoque une forme de patriotisme : « Vos achats sont vos emplois », martèle-t-elle.

Reconfinement : acheter des biens «non essentiels» seulement par téléphone ou mail

Reconfinement : acheter des biens «non essentiels» seulement par téléphone ou mail

Concernant les magasins actuellement fermés, il reste possible de commander ses produits par téléphone ou par mail avant de venir les chercher «physiquement» devant la boutique (y entrer reste interdit). Certains magasins continuent d’ailleurs de privilégier ce mode de fonctionnement, «à l’ancienne», en affichant leur numéro de téléphone ou leur adresse mail sur leur devanture.

En revanche, comme le confirme le ministère de l’Économie au Figaro, il n’est pas possible de venir «physiquement» acheter un produit devant une boutique sans avoir commandé auparavant (que ce soit par téléphone, par mail ou via le «click and collect»).

 

Des sous pour acheter des voitures

Des sous pour acheter des voitures

 

Finalement, on  va se rabattre sur le plan quelque classique qui consiste à octroyer des bonus pour encourager le renouvellement du parc. Certes des aides un peu plus importante seront accordés aux véhicules électriques mais les chiffres encore très modestes de ce secteur seront bien insuffisants pour sauver   de manière significative les emplois de l’industrie automobile. On va donc encourager l’achat de véhicules classiques quitte à privilégier un peu ceux qui sont moins gourmands en carburant. Justement ce sur ce créneau que la France est bien placée même si nombre de véhicules montés en France sont en fait fabriqués ( voir même totalement monter) à l’extérieur notamment dans les pays de l’Est et en Asie.

 

Le gouvernement va tenter de rendre cette incitation à vendre davantage de voitures avec aussi de mieux prendre en compte l’environnement et la relocalisation. Une compatibilité bien à respecter car ce sont les voitures classiques vont le plus profité de ces aides. Pour l’environnement il faudra attendre, d’abord l’application des mesures plus restrictives décidées par l’union européenne, ensuite la montée en gamme de l’électrique dans les chiffres sont encore accessoires.

Pour ne pas déshabiller Pierre au profit de Paul, on  va sans doute réduire un peu partout les effectifs afin d’amortir le choc et politique. De toute manière on s’attend  un plan de réduction des effectifs globales dans le monde autour de 15 %.

“Ce que je porte pour ce plan de relance, c’est que ce soit l’occasion de faciliter l’achat de véhicules électriques par tous les Français et (…) l’occasion d’aider encore davantage les Français, y compris les plus modestes, à changer de voiture pour passer à un véhicule plus propre”, a dit la ministre de l’écologie sur France Inter.

Pour tenter d’accélérer le renouvellement du parc, un dispositif d’aides publiques est déjà en vigueur aujourd’hui.

En échange de la mise au rebut d’un véhicule vieux de plus de 14 ans, un automobiliste peut bénéficier de 1.500 à 3.000 euros s’il achète un véhicule thermique neuf ou d’occasion, et jusqu’à 5.000 euros pour l’achat d’un véhicule électrique ou hybride rechargeable neuf ou d’occasion.

Cette prime à la conversion est doublée pour les 20% de ménages les plus modestes et les actifs qui ne paient pas d’impôts et parcourent de nombreux kilomètres chaque jour pour se rendre sur leur lieu de travail.

Elle peut être cumulée avec le bonus de 6.000 euros dont bénéficie aussi les voitures électriques neuves.

Selon le Parisien et BFM TV, la fourchette de la prime pourrait être portée à 2.000-4.000 euros, le critère retenu pour la voiture mise à la casse assoupli pour inclure des modèles plus récents, et le bonus électrique augmenté à 8.000 euros.

Selon une source proche des constructeurs, ceux-ci pourraient également avoir gain de cause sur le retour d’un bonus pour les voitures hybrides rechargeables, qu’ils réclament depuis plusieurs années, avec un montant de 2.000 euros.

Ce plan devrait concerner prioritairement les 200 000 travailleurs de l’industrie automobile qui opère en France. Il aura forcément des conséquences sur la sous-traitance emploie 400 000 à 500 000  travailleurs mais dont les structures sont en général beaucoup plus fragiles car elles comptent nombre de PME qui constituent le centre économique névralgique de nombre de localités moyennes. De ce point de vue un plan spécifique pour les PME de ce type mériterait d’être développé pour ne pas réserver le plan aux seules grandes marques ont surtout des assembleurs voir simplement des distributeurs.

Devant la paralysie de l’union européenne, la BCE prête à acheter des actifs pourris

Devant la paralysie de l’union européenne, la BCE prête à acheter des actifs pourris

 

 

L’union européenne est un nouveau presque paralysée à propos du plan de relance de 1000 milliards € ….mais sur six ans, soit 150 millions d’euros par an. Un montant bien insuffisant par rapport aux enjeux et dont les modalités restent encore à définir car les divergences sont très fortes entre les Etats.

À nouveau la BCE pourrait être amenée à intervenir après avoir déjà dégagé une ligne de 750 milliards de prêts . Elle pourrait cette fois accepter d’acheter des actifs pourris aux Etas et aux banques  particulièrement en grande difficulté comme l’Italie ou l’Espagne. Le problème c’est que la BCE est en train de dépasser les limites de ses compétences mais aussi de faire croître le volume de son bilan mettant à terme en cause la valeur de l’euro.

Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE ont certes conclu jeudi un accord de principe sur la création d’un fonds d’urgence de quelque 1.000 milliards d’euros pour soutenir la reprise après la crise du coronavirus mais ils ont repoussé les décisions sur ses modalités et son financement, qui pourraient prendre des mois.

Et la nouvelle enveloppe ne représente que 1% du produit intérieur brut (PIB) des 19 pays de la zone euro, alors que beaucoup d’observateurs s’attendent à une contraction de 5% à 15% du PIB.

La BCE, à la différence des autres grandes banques centrales, doit de plus s’accommoder de l’absence de coordination des politiques budgétaires dans l’UE, ce qui se traduit entre autres par des écarts de rendements (spreads) entre les dettes souveraines des pays membres.

“Faute d’un accord plus ambitieux, la BCE sera probablement la seule solution disponible en ce qui concerne les spreads périphériques”, dit ainsi Frederik Ducrozet, stratège de Pictet Wealth Management, en référence notamment aux rendements des emprunts d’Etat italiens, en nette hausse ces derniers jours.

Pour donner du temps aux Etats, la BCE devra donc très probablement annoncer de nouvelles mesures de soutien, ce qui l’obligera à se rapprocher un peu plus des limites de ses statuts et à fournir des arguments à ses détracteurs.

Surtout, en prenant une nouvelle fois l’initiative, l’institution dirigée par Christine Lagarde enclenchera probablement un mécanisme désormais familier dans lequel les dirigeants politiques, constatant que la BCE est toujours là pour les soutenir, tendent au laisser-aller et accroissent encore la nécessité de nouvelles mesures de politique monétaire.

Ce mécanisme, s’il a montré qu’il fonctionnait, a un gros défaut: il alimente les doutes sur la solidarité entre pays membres de l’UE et sur la détermination de ceux de la zone euro à assurer la pérennité de la monnaie unique.

Aujourd’hui, à peine plus d’un mois après avoir lancé un plan d’achats d’actifs de 750 milliards d’euros, la BCE doit donc envisager de faire encore plus, et peut-être dès sa prochaine réunion, jeudi prochain, selon certains analystes.

Car la situation de l’Italie devient urgente: alors que sa dette publique menace de dépasser 175% du PIB en fin d’année à cause du surcroît de dépenses et de la chute de recettes liés à l’épidémie, la note souveraine de Rome pourrait être bientôt dégradée en catégorie spéculative (“junk”), ce qui rendrait ses emprunts inéligibles aux programmes de rachats de la BCE.

Une telle situation priverait le Trésor italien du principal acheteur de ses obligations sur le marché secondaire et fragiliserait considérablement les banques de la péninsule, dont les titres d’Etat représentent une part importante des avoirs.

Contrairement au Conseil européen, la BCE a déjà fait la preuve ces dernières semaines de sa capacité à adopter vite des mesures fortes, car elle peut décider à la majorité simple des membres de son Conseil des gouverneurs alors que l’UE a besoin de l’unanimité.

Elle a ainsi pu passer outre certaines réticences de l’Allemagne et des Pays-Bas, deux des pays dits “frugaux” qui posent leurs conditions à un partage du fardeau avec les pays périphériques.

Mais la BCE a déjà pris beaucoup de risques en terme de respect de ses propres statuts: elle a commencé à acheter des titres souverains qui ne bénéficient pas d’une note en catégorie d’investissement, elle accepte des titres “junk” en garantie et elle s’autorise à enfreindre la règle selon laquelle elle ne doit pas acheter plus du tiers de la dette publique d’un pays.

La prochaine étape, pour le Conseil des gouverneurs, consistera probablement à augmenter encore les achats de titres sur les marchés, ou à accroître la part des “junk bonds” dans ceux-ci.

Elle pourrait aussi envisager d’acheter des créances douteuses, des obligations émises par les banques voire des actions de banques, et réexaminer le recours au dispositif des “Opérations monétaires sur titres” (OMT), jamais utilisé mais qui lui permettrait d’acheter sans limite des obligations d’Etat italiennes.

“Il est acquis que les OMT seront activées, c’est juste une question de temps”, estime Salman Ahmed, responsable de la stratégie d’investissement de Lombard Odier Investment Managers. “Avec les OMT, la mutualisation des dettes pourra se faire via le bilan de la banque centrale.”

Municipales Paris : une mesure idiote, Benjamin Griveaux promet un apport de 100 000 euros pour acheter un logement

Municipales Paris  : une mesure idiote,  Benjamin Griveaux promet un apport de 100 000 euros pour acheter un logement

 

De toute évidence, nombre de candidats éprouvent  des difficultés à construire un programme un peu élaboré et sérieux pour les municipales. Ainsi Benjamin Griveaux  se caractérise par l’affichage de mesures qui semblent sortir d’un chapeau d’illusionniste. Ainsi il a déjà envisagé le transfert de la Gare de l’Est en banlieue alors que la pénétration du train au cœur des villes constitue un avantage environnemental, économique et social indiscutable. Maintenant il propose une aide de 100 000 € aux candidats à l’accession à la propriété dans Paris. Une somme qui serait restituée lors de la plus-value réalisée à la revente. Une manière finalement de soutenir encore un peu plus la folie des prix dans la capitale alors qu’il faudrait essayer de faire l’inverse même si la question est complexe. En plus une proposition hasardeuse car personne ne peut exclure l’éclatement d’une bulle immobilière à moyen et long terme tellement les prix actuels excluent une grande partie des candidats à l’accession. Le problème, c’est que le prix du mètre carré à Paris qui dépasse les 10 000 € par mètre carré est en rupture quasi totale avec le niveau moyen des revenus des parisiens. Du coup le logement à Paris et devenue un objet de spéculation et qui entraîne en outre la transformation progressive de Paris en immense hôtel voir en appartement non  n’occupés.

Un investissement qu’il chiffre à 2 milliards d’euros. Le candidat LREM à la mairie de Paris, Benjamin Griveaux, souhaite que la mairie de Paris verse jusqu’à 100 000 euros d’apport aux ménages, pour qu’ils puissent acheter leur résidence principale dans la capitale, où les prix battent des records. « Je propose que la ville de Paris crée un organisme qui apportera jusqu’à 100 000 euros pour un achat en résidence principale », déclare l’ex-porte-parole du gouvernement dans une interview publiée samedi 1er février sur le site du Parisien.

« Au moment de la revente, la ville prendra une part de la plus-value qui sera plafonnée autour de 20% du prix du bien », précise-t-il. « Il faut aider [les classes moyennes] à devenir propriétaires », estime Benjamin Griveaux, qui relève qu’« à Paris, quand vous n’avez pas d’apport, vous ne pouvez pas acheter. C’est la pire des inégalités ».

 

Pour le candidat, classé troisième dans les intentions de vote derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo, et la LR Rachida Dati, les 100 000 euros d’apport représentent « l’équivalent d’une chambre pour une famille qui s’agrandit ». Sont notamment visées par la mesure les classes moyennes, par exemple les couples avec un enfant qui gagnent à deux environ 6 000 euros par mois, soit « trop pour accéder au logement social et pas assez pour acheter », a précisé l’entourage du candidat à l’AFP. Son objectif est l’acquisition

Pologne : l’ argent de l’Europe pour acheter américain !

Pologne : l’  argent de l’Europe pour acheter américain !

La Pologne va acheter à Sikorsky et sans appel d’offre pour éviter l’offre d’Air Bus Helicopters. Le Un gouvernement ultra conservateur qui s’assoit délibérément sur les valeurs de l’Europe mai aussi sur les principes de solidarité. On sait que la Pologne bénéficie très largement des subsides de l’union européenne mais en revanche, elle choisit de privilégier l’achat de ses équipements notamment militaires en dehors de l’Europe. Bref, la Pologne veut le beurre et l’argent du beurre. Non seulement elle refuse toute solidarité pour gérer la difficile question de l’immigration par contre  elle peut disposer de toutes libertés que les Polonais puissent travailler chez les autres européens. Il conviendrait de choisir soit le nationalisme, soit la solidarité et la discipline européenne.  La Pologne préfère uen nouvelle fois acheter américain et ignore  Airbus Helicopters, qui a déjà saisi la justice polonaise, a également informé la commission européenne de la procédure de gré à gré entre la Pologne et Sikorsky jugée inéquitable. Pour sa défense, la Pologne met en avant l’article 67.1 du code des marchés publics selon lequel le donneur d’ordre peut se passer d’un appel d’offres dans le cas où l’achat de services ou de matériels ne peut être fourni que par une seule entreprise pour des raisons notamment techniques. Le constructeur de Marignane estime que si cette procédure est validée, Varsovie en profite pour acheter aux forces armées de nouveaux hélicoptères via l’article 67.1. Une chose est sûre, Airbus Helicopters est bel et bien mis au ban de la Pologne par le gouvernement polonais.

 

Contrôler Alitalia sans l’acheter (Air France)

Contrôler Alitalia sans l’acheter (Air France)

 

Air France veut contrôler Alitalia sans l’acheter.  Il est clair qu’Air France n’est pas intéressé par le rachat d’Alitalia, un entreprise ingérable et en pleine dérive financière. (Il faudrait supprimer plus de la moitié du personnel !). Mais Air-France ne veut pas que Lufthansa reprenne la société italienne et rejoigne ainsi le groupe Star Alliance. Air France souhaite maintenir Alitalia au sein de la famille Sky team et soutient donc les acheteurs potentiels qui peuvent contrer Lufthansa. Le PGG D’Air France) craint que la société italienne ne passe sous la coupe de Lufthansa, le grand rival d’Air France-KLM en Europe. « Des offres ont été faites et il est apparu qu’il y avait un risque qu’Alitalia quitte SkyTeam et la joint-venture Nord-Atlantique, ce qui est quelque chose que nous pensons être négatif », a expliqué Jean-Marc Janaillac, interrogé sur des informations parues dans la presse italienne vendredi, lesquelles font état à nouveau de contacts entre Air France, EasyJet, le fonds américain Cerberus et la compagnie Delta pour éventuellement présenter une offre commune de reprise d’Alitalia. Trois groupes ont déposé une offre de reprise partielle ou totale. Lufthansa, le fonds américain Cerberus et EasyJet. Et il est clair qu’Air France-KLM redoute qu’Alitalia soit rachetée par Lufthansa, déjà puissant en Italie du Nord. Notamment aux conditions imposées par le groupe allemand. Lufthansa aurait proposé 250 millions d’euros pour reprendre l’essentiel de la flotte et la moitié des effectifs d’Alitalia. Avec United, Air Canada…, Lufthansa fait partie de Star Alliance, la plus grande alliance commerciale mondiale.

Le franc pour acheter une baguette et l’euro pour la pâtisserie

Le franc pour acheter une baguette et l’euro pour la pâtisserie

 

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que c’est le flou le plus total concernant la politique monétaire du front national. Depuis le soutien de Dupont Aigan à Marine Le Pen le Front National a donné l’impression de repousser aux calendes grecques l’abandon de l’euro. Mais dès le lendemain de l’accord le vice président du  National, Philippot, déclaré que le prix de la baguette serait fixé en francs d’ici un an. Ce qui correspond aussi aux déclarations de Marine Le Pen qui a indiqué que le franc serait destiné aux dépenses courantes et l’euro au business des entreprises et sans doute pour les dépenses moins courantes. Autrement dit on aura peut-être le franc pour acheter une baguette et l’euro pour payer la pâtisserie Le moins Le Front national entretient le flou sur l’euro depuis des mois. Constatant que les trois quarts des Français sont contre un retour du franc, le parti frontiste ne cesse d’exprimer des positions ambiguës et contradictoires, surtout depuis la mise en place de l’alliance entre Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen ce week-end. Lors d’un point presse organisé samedi 29 avril, Marine Le Pen a annoncé un accord commun avec le candidat de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, pour le second tour de la présidentielle. Dans cet accord, il est précisé que « pour réussir, une telle alliance doit se conclure sur des engagements clairs de part et d’autre capables de clarifier et d’enrichir le projet présidentiel de Marine le Pen ».  Le document fait la liste de six engagements pour concrétiser cette alliance. Sur la question de l’euro, Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan ont ainsi indiqué : « La transition de la monnaie unique à la monnaie commune européenne n’est pas un préalable à toute politique économique, le calendrier sera adapté aux priorités et défis immédiats que le gouvernement de la France devra relever. Tout sera fait pour organiser sereinement la transition de la monnaie unique vers une monnaie commune et la mise en œuvre concertée du droit pour chaque pays de gérer sa monnaie et sa banque centrale. » Dans sa profession de foi pour le deuxième tour de l’élection présidentielle, la notion de souveraineté monétaire a disparu totalement des engagements laissant la place à « une monnaie commune ». La députée européenne propose simplement que pour « restaurer la démocratie et rendre la parole au peuple », cela se fera  »en renégociant les traités européens pour retrouver notre souveraineté et bâtir une Europe des nations ».

IR : une petite baisse de l’impôt pour acheter le vote des classes moyennes

IR : une petite baisse de l’impôt pour acheter le vote des classes moyennes

 

Une baisse évidemment ridicule qui doit se situer dans une enveloppe limitée à 1 milliard, concrètement cela ce traduira par une ristourne de leur de 300 € pour les bas revenus. Toujours bons à prendre évidemment mais ridicule dans la mesure où la ficelle est grosse, il s’agit en effet d’une ristourne temporaire destinée uniquement à acheter le vote des classes moyennes. La baisse de la fiscalité promise aux ménages par François Hollande pour 2017 serait limitée en effet à un milliard d’euros au maximum et prendrait la forme d’une « ristourne » de l’impôt sur le revenu pour les classes moyennes, rapporte le journal Les Echos à paraître mardi. « Selon nos informations, la piste qui tient la corde est celle d’une baisse forfaitaire de l’impôt sur le revenu pour les classes moyennes, comme cela avait été le cas en 2014″, écrit le journal. « Le sujet doit encore être évoqué jeudi matin lors d’un entretien entre le Premier ministre et le président de la République, si bien que les lignes peuvent encore bouger d’ici là. Mais il semble qu’à ce stade, les autres options à l’étude – celles d’une hausse de la prime d’activité ou d’une baisse de CSG (contribution sociale généralisée) pour les retraités – soient écartées ». « Pour l’instant, le gouvernement travaille sur un geste fiscal d’environ un milliard d’euros, voire moins », indiquent Les Echos en soulignant que c’était la conséquence d’une croissance moins forte qu’envisagée un temps pour 2017. En juin, puis lors de son interview traditionnelle du 14-juillet, François Hollande avait évoqué une baisse de la fiscalité des ménages de l’ordre de deux milliards d’euros dans le cas où la prévision de croissance serait relevée à 1,7% pour 2017. Parmi les options envisagées, « c’est celle d’une réduction d’impôt forfaitaire sur les revenus de 2016 qui serait privilégiée, sur le modèle de la baisse d’impôts de l’été 2014″, indiquent encore Les Echos. Le journal rappelle que les contribuables dont le revenu était inférieur à 1,1 smic par tête avaient alors bénéficié d’une ristourne, jusqu’à 350 euros (pour un célibataire) ou 700 euros (pour un couple). La mesure avait bénéficié à quatre millions de ménages pour un coût total de 1,3 milliard d’euros.

(Avec Reuters)

Sarkozy sur Le Bon Coin : à vendre ou acheter ?

Sarkozy sur  Le Bon Coin : à vendre ou acheter ?

 

Sarkozy tente de réparer sa boulette sur Twitter pour faire oublier le fait qu’il ne connaît pas le bon coin. Le bon coin pourtant le site le plus connu des particuliers mais aussi pour  l’emploi (beaucoup plus efficace que Pôle emploi). Ce qui avait amené un chef d’entreprise participant à une réunion de Sarkozy à déclarer  qu’il recrutait aussi sur le bon coin. C’est quoi le bon coin ? avait demandé Sarkozy qui n’a sans doute pas acheté sa Rolex sur ce site. « Qui ne connaît pas le Bon Coin ? », interrogeait Nicolas Sarkozy sur Twitter vendredi 13 mai au soir. Visiblement, lui. Le président des Républicains n’avait pas l’air de connaître le célèbre site de petites annonces lorsqu’il a déclaré un « C‘est quoi Le Bon Coin ? » en pleine visite dans la région lyonnaise. Avec près de 25 millions de visiteurs mensuels, Le Bon Coin est pourtant l’un des sites les plus consultés en France. Il s’est imposé comme l’un des principaux acteurs du marché de l’emploi dans le pays et compte près de 250.000 offres, soit la moitié des offres proposées sur tout le territoire. Selon la direction du portail, 50.000 à 100.000 postes y sont pourvus chaque mois. Sa rubrique emploi représente 2,3 millions de visiteurs chaque mois, soit 10% de son audience totale. Devant cette méconnaissance, les réactions n’ont pas tardé sur Twitter. « Il ne connait pas la France », « il n’a jamais rien acheté d’occasion »… Les internautes n’ont pas été tendres avec l’ancien président de la République. C’est donc sur le même réseau social que Nicolas Sarkozy a lui même pris les devants pour se rapprocher de l’entreprise et discuter d’emploi. « Qui ne connaît pas le Bon Coin ? Et si nous parlions d’emploi ensemble ? », lançait-il très directement quelques heures après la polémique. Le community manager du Bon Coin a sauté sur l’occasion en lui répondant : « C’est avec plaisir que nous parlerons d’emploi avec vous. Venez nous rencontrer quand vous le souhaitez ». Rendez-vous est pris. Reste à savoir ce que Sarkozy cherchera à vendre ou acheter sur le site : peut-être des voix d’occasion pour se qualifier à la primaire ? 

 

Immobilier Paris : dix ans de salaires en plus pour acheter

Immobilier Paris : dix ans de salaires en plus  pour acheter

Encore une confirmation que le marché est désormais interdit à nombre de primo accédants. Cela vaut bien sûr à Paris mais aussi ailleurs surtout dans les grandes villes. L’immobilier est un investissement sûr, entend-on souvent. Encore faut-il en avoir les moyens. À Paris, il est de plus en plus compliqué pour un travailleur aux revenus moyens de pouvoir devenir propriétaire. Selon une étude UFC-Que choisir, il faut économiser dix années de salaire de plus qu’il y a trente ans pour acheter un 75 m² dans la capitale. En 1984, il était possible de devenir propriétaire en économisant 13,3 années de revenus net moyen. En 2014, le chiffre s’élève à 23,5 ans. Une différence d’autant plus importante, qu’il y a trente ans le salaire net moyen était de 12.255 euros annuels. Il est aujourd’hui de 26.267 euros. « L’opération n’est plus envisageable pour un primo-accédant, à moins de gagner remarquablement bien sa vie », souligne l’étude. Les prix sont devenus démentiels à Partis évidemment mais dans beaucoup de grandes villes. Pas de relance à  attendre aussi bien du neuf  ( à cause notamment du prix du foncier) que de l’ancien. Une seule solution : que les prix baissent. Ce qu’attendent les acheteurs potentiels primo- accédants comme les autres. Pas une petite baisse mais une évolution substantielle comme celles qui se sont produites en zone rurale mais dans nombre de viles moyennes et petites, dans les zones périphériques des grandes villes. De baisses qui vont jusqu’à 50% ! En fait l’immobilier est devenu un marché hautement spéculatif et comme tel il est soumis à des fluctuations irrationnelles à  la  hausse comme à la baisse. Jusqu’à ces années dernières c’était à la hausse ; une bulle dans le secteur n’est pas exclure  tellement le marché est actuellement figé et l’attentisme généralisé.

Sondage : les ménages attendent la déflation pour acheter

Sondage : les ménages attendent la déflation pour acheter

 

Pour l’immobilier, les biens durables, le reste (les achats non urgents), les consommateurs attendent la baisse des prix pour acheter. En outre 90% des français craignent de tomber dans la pauvreté, un record jamais attient. . Le baromètre exclusif élaboré par l’observatoire BFM Business et Ca Com, publié ce 3 novembre, pointe en effet du doigt les craintes des Français concernant leur pouvoir d’achat.  9 personnes sur 10 n’excluent pas totalement la possibilité de tomber un jour dans la précarité. Il s’agit d’un record dans ce baromètre. Et cette inquiétude n’est pas tout à fait injustifiée. En effet, de plus en plus de Français ont des difficultés pour boucler leurs fins de mois. 37% des personnes interrogées déclarent avoir des revenus insuffisants pour finir la fin du mois, soit une hausse de 6 points en 8 mois seulement et un bond de 15 points depuis janvier 2013.  Et cette crainte qui pèse sur les Français a une conséquence directement sur leur consommation. Il y a une augmentation de personnes qui estiment devoir se contenter de l’essentiel. Ils sont 60% aujourd’hui à penser cela, cela représente une hausse de 5 points depuis janvier 2014.  Autre conséquence plus grave : 47% des Français différent leurs dépenses parce qu’ils pensent que les prix vont baisser et qu’ils paieront moins cher demain. 38% pensent qu’il n’est pas urgent de faire des achats importants car les prix vont rester durablement stables. 10% seulement pensent que c’est le moment d’acheter car les prix vont augmenter !  Cela signifie que la France commence à entrer dans le scénario tant redouté par le gouvernement et la BCE. Car l’un des phénomènes caractéristiques de la déflation est quand les consommateurs préfèrent attendre la baisse des prix pour acheter.

 

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