Archive pour le Tag 'achète'

Politique de Défense: La Pologne achète des équipements américains avec l’argent de l’Europe

Matériel militaire: La Pologne achète des équipements américains avec l’argent de l’Europe

Depuis 2004, la Pologne a reçu près de 246 milliards d’euros du budget de l’Union européenne. Durant cette période, les cotisations versées au budget de l’UE se sont élevées à plus de 83,8 milliards d’euros. Ce qui n’empêche nullement la Pologne de privilégier l’achat d’équipements militaires américaines des industries européennes évidemment.

 

En effet, Varsovie poursuit, à coup de milliards de dollars, ses acquisitions d’équipements militaires, principalement auprès des Etats-Unis et de la Corée du Sud. Ce lundi, Varsovie a signé un accord d’une valeur de 1,13 milliard d’euros sur la production de 48 lanceurs de missiles antiaériens américains Patriot.

 

Troisième accord militaire en moins d’une semaine pour la Pologne. Varsovie a annoncé ce mardi par la voix de son ministre de la Défense avoir signé un accord définitif avec Boeing pour l’achat de 96 hélicoptères de combat Apache.

« Il s’agit de l’achat historique (…) de 96 hélicoptères d’attaque et de combat ultramodernes, les AH-64E Apache », a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, ajoutant que la valeur de la transaction s’élevait « à 10 milliards de dollars », soit 9,14 milliards d’euros.

L’accord « change le visage des opérations de l’armée polonaise et complète » les achats précédents, a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz. Fortement armé, AH-64E Apache est notamment destiné à combattre les chars ennemis.

Défense: La Pologne achète des équipements américains avec l’argent de l’Europe

Défense: La Pologne achète des équipements américains avec l’argent de l’Europe

Depuis 2004, la Pologne a reçu près de 246 milliards d’euros du budget de l’Union européenne. Durant cette période, les cotisations versées au budget de l’UE se sont élevées à plus de 83,8 milliards d’euros. Ce qui n’empêche nullement la Pologne de privilégier l’achat d’équipements militaires américaines des industries européennes évidemment.

 

En effet, Varsovie poursuit, à coup de milliards de dollars, ses acquisitions d’équipements militaires, principalement auprès des Etats-Unis et de la Corée du Sud. Ce lundi, Varsovie a signé un accord d’une valeur de 1,13 milliard d’euros sur la production de 48 lanceurs de missiles antiaériens américains Patriot.

 

Troisième accord militaire en moins d’une semaine pour la Pologne. Varsovie a annoncé ce mardi par la voix de son ministre de la Défense avoir signé un accord définitif avec Boeing pour l’achat de 96 hélicoptères de combat Apache.

« Il s’agit de l’achat historique (…) de 96 hélicoptères d’attaque et de combat ultramodernes, les AH-64E Apache », a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, ajoutant que la valeur de la transaction s’élevait « à 10 milliards de dollars », soit 9,14 milliards d’euros.

L’accord « change le visage des opérations de l’armée polonaise et complète » les achats précédents, a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz. Fortement armé, AH-64E Apache est notamment destiné à combattre les chars ennemis.

Négociant en vin condamné pour avoir acheté du Médoc à un euro la bouteille

Négociant en vin condamné pour avoir acheté du Médoc à un euro la bouteille

 

La justice a condamné ce jeudi des négociants à verser 350.000 euros à un viticulteur bordelais qui les accusait d’avoir violé la loi Egalim sur les prix agricoles en lui achetant son vin en vrac à un tarif «abusivement bas» de un euro la bouteille!

Un exploitant dans le Médoc, avait vendu près de 8500 hectolitres aux sociétés Cordier et Maison Ginestet en 2021 et 2022, aux prix de 1150 ou 1200 euros le tonneau (900 litres), selon les millésimes. Soit environ un euro la bouteille, tarif que le producteur juge très inférieur à ses coûts de revient, oscillant selon lui entre 1500 et 2000 euros le tonneau.

Le vigneron réclamait entre 715.000 et 512.000 euros aux mis en cause afin de «réparer le préjudice causé», sur le fondement de l’article L442-7 du Code de commerce tel que modifié par la loi Egalim. Adoptée fin 2018, elle doit assurer aux agriculteurs un revenu qui leur permette de vivre de leur travail. Mercredi, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé sa volonté de présenter d’ici l’été un nouveau texte de loi pour «renforcer le dispositif Egalim».

 

Covid : l’Australie achète des vaccins à la Pologne

Covid : l’Australie achète des vaccins à la Pologne

Selon des chiffres avancés par le ministre de la Santé Greg Hunt et relayé par le site de son ministère vendredi, 46,6 % des Australiens éligibles ont reçu au moins une dose de vaccin. A titre de comparaison, ce chiffre atteint 73 % dans l’Union européenne .

Du coup l’Australie a décidé d’acheter 1 million de doses à la Pologne.

En parallèle de la campagne vaccinale, les restrictions restent fortes dans le pays. Samedi, les autorités ont annoncé un renforcement des mesures sanitaires à Sydney. Les mesures de confinement ont également été étendues à l’ensemble de l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud pour la première fois cette année. Elles sont entrées en vigueur samedi après-midi pour au minimum sept jours. Les plus de cinq millions d’habitants de la plus grande ville du pays ne sont autorisés à sortir de leur domicile que pour faire du sport, aller travailler si leur emploi est jugé essentiel ou pour faire leurs courses.

Crédit Agricole achète la deuxième banque italienne

Crédit Agricole achète la deuxième banque italienne

le Crédit Agricole rachète Creval la deuxième banque italienne et va donc consolider ses positions dans la région industrielle du Nord de l’Italie, son deuxième marché après la France.

L’opération aura été plus longue et plus coûteuse que prévu. Mais Crédit Agricole a annoncé, vendredi soir, le succès de son offre publique d’achat (OPA) sur Credito Valtellinese (Creval), d’un montant de 855 millions d’euros. Selon les résultats provisoires de cette offre en cash, le groupe mutualiste détient désormais, via sa filiale italienne Credit Agricole Italia, 91,17% du capital de la banque lombarde.

La partie n’a pas été facile, malgré le soutien de plusieurs actionnaires, liés à Crédit Agricole Italia. Depuis l’annonce de l’OPA, en novembre 2020, des fonds d’investissement ont mené une véritable guérilla contre la banque française, jugeant l’offre initiale de 737 millions d’euros insuffisante, malgré l’intérêt du projet industriel. Même le conseil d’administration de Creval avait alors écarté fermement la proposition de la banque française, la qualifiant « d’opportuniste et de non sollicitée ».

Du coup, Crédit Agricole a été contraint de relever son offre pour la porter finalement à 12,5 euros l’action (dividende compris) pour l’ensemble des actionnaires, soit une hausse de 19%. Un prix qui reste cependant inférieur aux estimations des banques conseils de Creval. Le franchissement du seuil de 90% de titres apportés à l’offre va permettre à Crédit Agricole Italia de lancer un retrait de la cote de Creval pour faciliter l’intégration du réseau Creval dans Crédit Agricole Italia. Avec cette fusion, cette dernière table sur des synergies de 130 millions d’euros par an. Le retour sur investissement devrait être, selon la banque, de 10 % au bout de la troisième année.

Euronext achète la Bourse de Milan

Euronext achète la Bourse de Milan

Euronext a officialisé ce vendredi 9 octobre l’acquisition de la Bourse de Milan pour 4,33 milliards d’euros. Dans le cadre de cette opération, l’opérateur boursier paneuropéen (immatriculé aux Pays-Bas, mais dont le siège est en France, à La Défense) va également mettre la main sur la plateforme italienne MTS, une porte d’entrée sur le marché de la négociation des dettes souveraines.

Stéphane Boujnah, directeur général et président du directoire d’Euronext, s’explique sur BFM sur la création de la première place boursière d’Europe née de ce rachat

Avec cette acquisition, Euronext devient un poids lourd européen… Que va peser désormais votre groupe?

 

Stéphane Boujnah : Nous allons créer la plus grande infrastructure de marché paneuropéenne, une infrastructure qui réalisera un quart des flux de négociation d’actions en Europe, qui accueillera une capitalisation boursière consolidée de 4,4 – 4,5 trillions d’euros (soit 4.400 à 4.500 milliards d’euros pour l’ensemble des groupes cotés sur Euronext, NDLR), donc qui sera de loin la plus grande plateforme de marchés actions en Europe. C’est grâce à cette opération que nous réalisons avec Alitalie, qui sera aussi par conséquent le premier contributeur au groupe Euronext, avec des actifs plus importants en volume que la France.

 

Pour réaliser cette acquisition, vous vous êtes adossé à deux acteurs italiens. Pourquoi?

Cassa Depositi e Prestiti, un peu l’homologue de la Caisse des dépôts en France, et la grande banque italienne Intesa Sanpaolo, vont devenir tous les deux actionnaires de référence du groupe Euronext. C’était quelque chose d’assez naturel, puisqu’à l’occasion de cette opération, les investisseurs institutionnels italiens souhaitaient jouer un rôle dans le groupe qui allait conduire la croissance de Borsa Italiana. Et puis au-delà des autres actifs du groupe Euronext, nous sommes extrêmement heureux de les accueillir dans notre groupe d’actionnaires de référence. Je crois qu’ils vont jouer un rôle d’accélérateur extrêmement fort, et je peux vous dire que la chimie entre la Caisse des dépôts et Cassa Depositi est extrêmement favorable et positive.

A l’issue de cette acquisition d’un montant de 4,33 milliards d’euros, quelles sont les synergies en vue entre Euronext et Borsa Italiana?

Il y aura évidemment des synergies de coûts, notamment sur des sujets de technologie, sur lesquels les capacités technologiques du groupe Euronext sont assez loin et en avance sur celles de Borsa Italiana dans beaucoup de domaines. Pas tous, mais dans beaucoup de domaines. Et puis il y aura de magnifiques synergies de revenus parce que parmi les très beaux produits de Borsa Italiana, il y a un certain nombre de domaines dans lesquels nous allons pouvoir accélérer leur développement et leur croissance sur le continent, dans les pays d’Euronext.

Tapie aurait acheté un match PSG-Marseille? NON, c’est pas possible !

Tapie aurait acheté un match PSG-Marseille? NON, c’est pas possible !

 

 

Décidément Bernard Tapie est une victime. Déjà torturé par la justice pour l’affaire des 450 millions qui lui ont été payés indûment et qu’il devrait rembourser (un jour peut-être) voilà que Bernard Tapie est maintenant accusé d’avoir acheté un arbitre de football pour un match entre le PSG et Marseille. Évidemment l’intéressé se défend avec vigueur et clame son innocence. On le connaît, avec son bagout il serait capable de se faire donner 10 € par un clochard. Cette fois c’est l’ancien attaché parlementaire de Bernard Tapie qui accuse l’intéressé d’avoir acheté un match voir d’autres  «J’ai participé une fois à un achat d’arbitre, dit l’intéressé. Le lendemain de la rencontre, je suis allé lui remettre dans un endroit discret ce qui était convenu. La corruption n’était pas intensive, il ne s’agissait pas d’acheter tous les matches.» VA-OM ? «Tapie a toujours déclaré qu’il avait été condamné à tort. Mais j’étais là, et je n’étais pas seul, le jour où il a demandé que 250.000 francs soient versés à (Jean-Pierre) Bernès avant qu’il s’en aille à Valenciennes. Tapie a bien été le commanditaire de l’acte de corruption», affirme Fratani. Avant de charger l’ex-directeur sportif de l’OM : «À partir de 1988-1989, il se lance avec Tapie dans une entreprise de corruption qui va durer quatre saisons». Le tout en ajoutant avoir été «au courant de toutes les activités» de Bernès. Et d’ajouter : «Je les ai couvertes et il m’est arrivé d’y participer». Last but not least, Marc Fratani assure que la direction olympienne utilisait des produits pour affaiblir les équipes adverses à leur insu… «On déstabilisait aussi l’adversaire en utilisant des psychotropes : du Haldol, un anesthésiant. À l’aide de seringues à aiguilles ultra fines, le produit était injecté à l’intérieur de bouteilles en plastique», explique-t-il. A noter que ledit M. Fratani est en froid avec Bernard Tapie depuis des années.

 

L’Elysée achète 500 000 euros de vaisselle : « « un pognon dingue » !

L’Elysée achète  500 000 euros de vaisselle : « « un pognon dingue » ! 

 

1.200 pièces de vaisselle destinée à l’Elysée, pour un coût d’un demi-million d’euros selon le Canard enchaîné. Un « pognon dingue » qui n’a pas attiré l’attention de Macron qui s’est  par contre offusqué du cout de la protection sociale. 800 euros par exemple pour le minimum vieillesse,  c’est effectivement indécent !

Ce nouveau service de table, dont la commande à la Manufacture de Sèvres a été révélée début juin par le Journal du Dimanche, compte 900 assiettes de présentation et 300 assiettes à pain, soit 1.200 pièces, dont la réalisation a été confiée à l’artiste Évariste Richer. La livraison s’échelonne sur trois ans, avec une première livraison prévue pour fin 2018.

Ce coût, qui n’a pas été confirmé par l’Elysée, a suscité l’indignation d’une partie de l’opposition de gauche qui s’est engouffrée dans la brèche au lendemain des déclarations du chef de l’Etat jugeant que les aides sociales coûtaient un “pognon de dingue” sans parvenir à endiguer la pauvreté. “Emmanuel Macron a commandé pour un ‘pognon de dingue’ une nouvelle vaisselle à l’Elysée ! Pour ceux qui sont ‘tombés pauvres’, s’ils n’ont pas de pain, qu’on leur donne de la brioche !”, a réagi jeudi le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure sur Twitter.

“Mauvaise communication présidentielle”, a pour sa part estimé Alexis Corbière, député de La France insoumise. “Quand on dénonce honteusement le prétendu ‘pognon de dingue’ que coûtent les aides sociales, cette histoire de vaisselle va lui coûter cher. Paraphrasant Hollande, Macron doit se dire ‘Mon ennemi, c’est la faïence’”.

Mondial Qatar 2022 : le vote du président brésilien acheté 22 millions ?

Mondial Qatar 2022 : le vote du président brésilien acheté 22 millions ?

 

Le site Mediapart rapporte que la justice brésilienne et le FBI enquêtent sur un virement de 22 millions de dollars, effectué par le Qatar. Les procureurs brésilien et américain ont décortiqué les relevés bancaires de l’ancien patron de la Fédération brésilienne de football (CBF), Ricardo Teixeira, qui avait ouvert un compte chez Pasche Monaco – un établissement basé en Suisse et contrôlé par le Crédit mutuel jusqu’en 2013.  Ils ont alors remarqué qu’un versement de 22 millions de dollars, en provenance du groupe qatari Ghanim Bin Saad Al-Saad & Sons Group (CSSG), a été effectué sur ce compte bancaire en janvier 2011, peu de temps après l’attribution par vote du Mondial 2022 au Qatar. Mediapart rappelle alors que le CSSG, « dirigé par l’homme d’affaires Ghanim Bin Saad Al-Saad, est au cœur des soupçons de corruption sur [cette] attribution ». Visé par une enquête pour blanchiment d’argent et fraude entre 2009 et 2012, Ricardo Teixeira, patron de la puissante Fédération brésilienne depuis 1989, avait démissionné de ses fonctions en 2012. Il était l’un des membres du comité exécutif de la Fédération internationale de football (FIFA) qui ont participé, en décembre 2010, au vote attribuant les Coupes du monde 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar. Ricardo Teixeira est alors « suspecté d’avoir pris part au système présumé visant à acheter des votes pour le Qatar parmi les 22 électeurs de la FIFA ». Mais pas seulement pour son vote : « début 2013, plusieurs virements sont, en effet, émis le même jour depuis son compte, à destination de personnes physiques désignées ainsi : Warner Bros [Jack Warner était alors président de la Confédération de football d’Amérique du Nord, Amérique centrale et Caraïbes]Mohammed” [Mohamed Bin Hammam, président de la Confédération de football asiatique] et Leoz [Nicolas Leoz, président de la Confédération d’Amérique du Sud] », nous apprend le site d’information. L’ancien patron du foot brésilien fait l’objet d’un mandat d’arrêt international pour corruption émis par le département de la justice.

 

Cuisine politique : Le Pen achète Dupont-Aignan

Cuisine politique :   Le Pen achète  Dupont-Aignan

C’est comme au foot adversaire (ennemi en la circonstance,) ami un autre jour à l’occasion d’un transfert. Un transfert au prix élevé puisque marine Le Pen a du promettre le poste de Premier Ministre en cas de victoire à l’élection présidentielle en vertu d’un accord de gouvernement qui prévoit des inflexions au programme du Front national. Un accord où Dupont Aignan renie ses propres convictions et où Le Pen renonce à supprimer l’euro. Bref du marchandage sulfureux  comme sur une foire à bestiaux.  Le compromis scellé comporte six « engagements », marquant autant d’amendements au projet du FN, notamment concernant la fin de l’euro en tant que monnaie unique, qui n’est « pas un préalable à toute politique économique ».  Son soutien, officialisé vendredi, marque un virage dans la trajectoire du député de l’Essonne, qui a entamé sa carrière politique au RPR, l’ancêtre des Républicains d’aujourd’hui, revendique toujours l’héritage du général de Gaulle et a multiplié dans le passé les critiques à l’encontre du FN. « Chez Debout la France (le parti qu’il a fondé-NDLR), il n’y a pas d’arrière-boutique d’extrême droite comme au Front national », déclarait-il en mars sur France 2.

 

CGM achète le singapourien NOL

CGM achète le singapourien NOL

L’armateur français CMA CGM, numéro trois mondial du fret maritime, a lancé lundi une offre amicale de 3,4 milliards de dollars singapouriens (2,2 milliards d’euros) sur Neptune Orient Lines afin de renforcer sa présence sur les routes trans-Pacifiques. Le groupe familial basé à Marseille, non coté en Bourse, propose 1,30 dollar singapourien par action NOL, ce qui représente une prime de plus de 6% par rapport au dernier cours de clôture, vendredi, du titre, dont la cotation a été suspendue ce lundi à la Bourse de Singapour. Cette prime atteint 49% par rapport au cours de NOL avant les premières rumeurs sur un rachat du groupe, intervenues en juillet, quand des sources avaient révélé que le fonds souverain singapourien Temasek mettait en vente sa participation de près de 67% dans NOL. Dans un communiqué commun, CMA CGM et NOL précisent que Temasek apporte l’ensemble de ses titres à l’offre du groupe français, qui lancera une offre obligatoire sur les minoritaires, dont BlackRock. NOL, qui souffre de la crise prolongée qui touche l’ensemble du transport maritime, reste sur quatre années de pertes.

COP 21 : Hollande achète les votes de l’Afrique

COP 21 : Hollande achète les votes de l’Afrique

Pour obtenir le soutien des pays d’Afrique Hollande a sorti le carnet de chèques. Du coup la plupart des pays africains devraien t apporter leur soutien au projet final de Cop 21. Le président français a promis à l’Afrique une part importante de l’enveloppe prévue pour permettre la transition énergétique. Cette enveloppe globale devrait être de l’ordre de 100 milliards par an mais pour l’instant seulement 75 milliards ont été réunis ;  par ailleurs,  la répartition est encore assez aléatoire et fera l’objet d’äpres discussions. Hollande a promis à l’Afrique 1 milliard d’euros d’aide française jusqu’en 2020. En réalité ces crédits étaient déjà prévus mais Hollande les prolonge au-delà de son mandat actuel en hypothéquant les décisions du président qui sera élu en 2017. Les revendications de l’Afrique sont largement légitimes puisque les émissions polluantes des pays développés participent du processus de désertification de certains territoires en particulier dans la zone du Sahel. L’Afrique recevra donc   »une part très substantielle » de l’effort financier global consenti par la France pour lutter contre le réchauffement climatique, qui doit être lui-même porté de 3 à 5 milliards d’euros par an d’ici à 2020, a promis  François Hollande. L’Afrique subit de plein fouet les conséquences du réchauffement climatique alors qu’elle n’est responsable que de 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, dont les pays riches sont historiquement responsables. Il existe « une dette écologique que le monde doit régler à l’égard du continent africain », a estimé François Hollande. A l’unisson, les dirigeants africains ont lancé un cri d’alarme. « Il faut faire beaucoup plus », a exhorté la présidente de la commission de l’Union africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, alors que l’Afrique subit « une sécheresse sans précédent depuis des décennies ». A titre d’exemple, a-t-elle souligné, le lac Tchad a vu sa superficie fondre de 25.000 km2 dans les années 60 à 2.500 aujourd’hui. Plaidant pour un « accord ambitieux » à l’issue de la COP21, la présidente de l’UA a appelé à reconnaître une « responsabilité différenciée qui tienne compte des capacités de chacun », pays développés et émergents.

Foot -business –FIFA : l’Allemagne aussi a acheté la coupe du monde

Foot -business –FIFA : l’Allemagne aussi a acheté la coupe du monde

 

Les scandales financiers succèdent aux scandales pour la FIFA, une organisation qui croule sous les centaines de millions et où chacun se sert. (Presque tous les dirigeants de la FIFA sont impliqués dans des affaires de pots de vin). Cette fois c’est l’achat de la coupe du monde par l’Allemagne qui est en cause Après les attributions contestées des Mondiaux de 2018 et 2022 au Qatar et à la Russie, le magazine allemand Der Spiegel révèle que l’Allemagne aurait acheté plusieurs membres du comité exécutif de la Fifa qui lui a attribué celle de 2006.  Le comité chargé de défendre la candidature allemande aurait mis en place une boîte noire de 6,7 millions d’euros. La fédération allemande de football (DFB) a pris les devants et annoncé dès vendredi matin qu’elle avait effectivement relevé, au cours d’une enquête interne, cette somme de 6,7 millions d’euros virés en 2005 à la Fifa sans motif clair. Mais elle nie qu’il y ait un lien avec l’attribution du Mondial 2006, cinq ans plus tôt. Selon Der Spiegel, l’argent aurait été prêté en 2000 par l’homme d’affaires suisse d’origine française Robert Louis-Dreyfus. Il était alors patron d’Adidas. Or le pays-hôte de la compétition a été désigné le 6 juillet 2000. L’argent aurait servi à acheter les votes de quatre membres asiatiques au sein du comité exécutif de la Fifa. L’Allemagne l’avait emporté avec douze voix contre onze pour l’Afrique du Sud et une abstention. Der Spiegel affirme que les 6,7 millions d’euros auraient ensuite transité par un compte suisse de la Fifa pour être rendus à Robert Louis-Dreyfus. D’après le magazine, le président du Comité d’organisation de la Coupe du monde, star du football allemand, Franz Beckenbauer ne peut pas avoir ignoré cette situation. De même pour Wolfgang Niersbach, alors secrétaire général de la Fédération allemande, qu’il préside désormais.

 

Crise du porc : Michel Édouard Leclerc déclare qu’il achète au prix le plus fort ! On rit ou on pleure !

Crise du porc : Michel Édouard Leclerc déclare qu’il achète au prix le plus  fort ! On rit ou on pleure !

Sur France Info Michel Édouard Leclerc a déclaré qu’il achetait le porc au prix le plus fort et qu’il s’alignerait sur le prix demandé par les producteurs. De quoi évidemment rire ou plutôt pleurer car Leclerc est l’un des principaux responsables avec ses centrales d’achat de la dérégulation du marché, de la baisse des prix avec la dégradation aussi de la qualité. Il y a quelque chose de surréaliste quand Leclerc déclare qu’il faut revoir la régulation car il n’y a plus de politique agricole en Europe. Une manière pour Leclerc de faire parler deux fois de sa marque d’abord comme responsable de la désorganisation du marché ensuite comme chevalier blanc pour le reconstruire. Une vraie politique de communication chez Leclerc dont l’essentiel est de parler, parler,  de dire tout et son contraire. La marque qui s’est surtout caractérisée par son slogan : » moins cher, moins cher »  aurait pourtant intérêt à mettre un bémol à son bavardage contradictoire. Pourtant le  patron des magasins E. Leclerc « s’engage » : « Quelle que soit la solution que les éleveurs nous demanderont, nous la suivrons. »  Au marché du porc breton de Plérin, le prix du kilo s’établit maintenant à 1,31 euros, loin de l’objectif d’1,40 euros fixé cet été. Environ 60.000 porcs restent dans les exploitations, sans débouché pour l’instant. Pour Michel-Edouard Leclerc, PDG du groupe E. Leclerc, « tant que quelqu’un n’achètera pas ces 60.000 porcs, quel qu’en soit le prix, on ne va pas retrouver un prix d’équilibre ». Le distributeur s’engage sur un point : « Leclerc aujourd’hui, avec Intermarché, je pense que nous achetons le prix du porc le mieux payé d’Europe. Système U aussi a fait des propositions pour surpayer après cotation. Il y a une bonne volonté de la part de l’ensemble des distributeurs. J’en fais la promesse : quelle que soit la solution que les éleveurs nous demanderont, nous la suivrons. » Au-delà des mesures d’urgence, Michel-Edouard Leclerc appelle à des « réponses européennes » : « Il faut résoudre la question de la régulation du marché. Il n’y a plus de politique agricole ! »

Foot : la ligue professionnelle achète des caméras pour la ligne de but…….et des lunettes pour les arbitres ?

 

 

La ligue de football professionnel vient de décider la mise en passe de caméras pour vérifier si le ballon a franchi non la ligne du but. Une installation qui n’est pas tout à fait gratuite puisque son coup et de l’ordre de 200 000 € au moins par stade. On aurait sans doute souhaité que la ligue en profite pour acheter des lunettes à nombre d’arbitres dont les jugements sont approximatifs. Malheureusement la problématique de l’arbitrage ne concerne pas uniquement la France. En cause le fait surtout que la plupart des arbitres n’ont jamais joué au football surtout au niveau professionnel. Les polémiques sans fin pour savoir si le ballon a franchi ou non la ligne des buts sont bel et bien terminées en Ligue 1. Alors que la Ligue de football professionnel (LFP) avait annoncé la mise en place de la « goal line technology » en avril dernier, son application se fera dès les premiers matchs de la saison 2015-2016. Testée grandeur nature lors de la Coupe du Monde 2014, la « goal line technology » repose sur un système vidéo. 7 caméras pour chaque but sont installées dans les tribunes. Elles envoient directement les données à deux très grands ordinateurs et déterminent si le ballon a franchi la ligne de but, note BFM TV. L’arbitre reçoit alors directement l’information sur une montre spéciale. La LFP a choisi la société allemande Goal Control pour installer ce dispositif en France. Une société d’expérience, puisqu’elle l’a déjà fait pour plusieurs stades de la Coupe du Monde. L’installation de ces caméras a donc eu lieu depuis mi-juillet dans tous les stades de Ligue 1. Le coût de ces installations avait pourtant freiné l’ajout de cette nouvelle fonctionnalité pour l’arbitrage français. En fonction de l’éclairage et des tribunes du stade, le prix de cette nouveauté peut aller de 200.000 à 300.000 euros, soit de 4 millions à 6 millions pour l’ensemble des stades français. Les clubs n’auront pourtant pas à payer cette somme, la LFP prend en charge les frais.

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