Archive pour le Tag 'accusé'

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Trump accuse la fédération de basket américaine d’être «une organisation politique»

Trump accuse la fédération de basket américaine d’être «une organisation politique»

 

On sent un certain vent de panique dans le camp de Donald Trump avec des attaques un peu dans toutes les directions y compris pour discréditer des organisations sportives ! En plus avec un vocabulaire d’une nullité confondante. Le président américain Donald Trump a en effet accusé jeudi la NBA d’être devenue une organisation politique, après le boycott de plusieurs matchs de basket en réaction à l’affaire Jacob Blake.

 «Je ne sais pas grand-chose sur les protestations au sein de la NBA. Je sais que leurs audiences sont très mauvaises parce que je pense que les gens en ont marre de la NBA», a-t-il déclaré. «Ils sont devenus un peu comme une organisation politique et ce n’est pas une bonne chose», a-t-il ajouté.

La NBA a invoqué jeudi une union sacrée entre dirigeants et joueurs pour trouver un moyen de finir la saison, malgré la colère résultant de l’affaire Jacob Blake. La Ligue nord-américaine de basket a annoncé que les trois matches de play-offs prévus jeudi (Clippers-Dallas, Denver-Utah et la demi-finale de conférence Toronto-Boston) ne seraient pas joués. Ils s’ajoutent à ceux de mercredi (Milwaukee-Orlando, Houston-Oklahoma City et Lakers-Portland) également reportés après le boycott des Milwaukee Bucks. Sans prendre le risque d’annoncer des dates de reprogrammation, l’instance a dit «espérer reprendre le jeu vendredi ou samedi».

Système sanitaire: Un médecin accuse

Système sanitaire: Un médecin accuse

Le professeur Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches, toujours très critique de la politique sanitaire du gouvernement dans un livre qu’il publie Il a accordé un grand entretien au Figaro Magazine.

Alors que le parquet de Paris ouvre une enquête pour «homicide involontaire» sur la gestion de la crise du Covid-19, le Pr Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches et longtemps président de la Commission spécialisée Maladies Transmissibles du Haut Conseil de santé publique, ne retient pas ses coups dans un livre qu’il publie.

Votre livre est sans pitié pour le Conseil scientifique, qui a piloté la crise du Covid-19, mais aussi pour le gouvernement. Tous les pays n’ont-ils pas été pris par surprise?

Il était impossible de prévoir l’ampleur de cette pandémie. Mais il fallait être prêt, et nous avions les moyens de l’être depuis longtemps. Or, nous ne l’étions pas: ni du point de vue de la logistique ni du point de vue de la doctrine sanitaire.

Vous-même, n’avez-vous pas été pris de court?

Tous les médecins spécialistes des maladies infectieuses savent que l’on est toujours surpris. Cela a été beaucoup dit, et à juste titre.

Des les arguments développés par d’autres médecins mis à  part quelques sommités qui s’attendent à rajouter quelques plumes à leur chapeau déjà bien garni et servir de caution à la politique du gouvernement par exemple en niant l’utilité des masques, puis celle du dépistage, par contre en approuvant le confinement total dans les EHPAD. La vérité ,c’est que le système sanitaire français pourtant très dépensier était loin d’être à la hauteur de celui de l’Allemagne où  il est vrai les frais de gestion et de superstructure notoirement moins importants et où la décentralisation permet une autre responsabilisation des décideurs

General Motors accuse Fiat de corruption des syndicats !

General Motors accuse Fiat de corruption des syndicats !  

 

 

Aux  Etats Unis tout est bon pour défendre les intérêts locaux. Cette fois curieusement General Motors -dont les intérêts coïncident  souvent avec ceux des Etats-Unis accusent Fiat d’avoir corrompu les syndicats en leur faisant accepter des conditions d’emploi dégradées, ce qui aux yeux de GM constitue  une distorsion de concurrence. On a un peu de peine à croire que GM se soit en convertit en avocat des pauvres salariés de Fiat. Il s’agit en fait d’une réplique au projet de regroupement entre Fiat Chrysler et PSA. Un projet qui pourrait bien faire du nouveau groupe l’un des plus puissants du secteur automobile mondial. General Motors a effet porté plainte mercredi aux Etats-Unis contre Fiat Chrysler pour racket, accusant son rival de corruption lors de ses négociations avec le syndicat UAW (United Auto Workers) afin d’obtenir des avantages indus sur les salaires et les conditions de travail.

Le premier constructeur américain, qui chiffre le préjudice en milliards de dollars, a promis de réclamer des “dommages substantiels” et de réinvestir aux Etats-Unis les sommes ainsi obtenues afin de soutenir l’emploi. Craig Glidden, avocat de GM, a déclaré que cette plainte n’avait rien à voir avec le projet de fusion entre FCA et PSA, qui débouchera, s’il aboutit, à la naissance du quatrième groupe automobile mondial.

Cette affirmation n’a pas convaincu le constructeur italo-américain, qui a répliqué par communiqué en accusant son concurrent de se livrer là à une manoeuvre destinée à parasiter les discussions en cours avec PSA. “Nous sommes très surpris par cette plainte, à la fois du fait de son contenu et du moment choisi”, peut-on lire dans ce communiqué. “Nous ne pouvons qu’imaginer qu’il s’agit de perturber le projet de fusion avec PSA ainsi que nos négociations avec le syndicat UAW (également en cours-NDLR).”

Fiat Chrysler et PSA ont annoncé fin octobre leur fusion programmée, qui doit leur permettre de faire face aux nouveaux enjeux environnementaux et au durcissement de la réglementation. Selon GM, la plainte découle d’une enquête fédérale sur l’UAW et FCA, encore à l’instruction, et de ses propres investigations.

En clair, le groupe américain accuse son rival d’avoir corrompu le puissant syndicat, entre 2009 et 2015, afin de verser des salaires moins élevés et pouvoir recourir davantage à des travailleurs intérimaires, moins bien payés.

Burkina : Compaoré officiellement accusé du meurtre de Sankara

Burkina : Compaoré officiellement accusé du meurtre de Sankara

 

Ce que tout le monde ou presque savait au Burkina a pris une tournure officielle  avec la mise en accusation de Compaoré pour le meurtre de l’ancien président Sankara alors considéré comme le Che africain. L’heure est aux règlements de comptes car Compaoré  à bénéficier d’une grande bienveillance en Afrique durant les 27 ans qu’il a occupés pouvoir. Il a même été considéré comme un sage notamment dans le conflit ivoirien. Le Burkina Faso a émis un mandat d’arrêt international à l’encontre du dirigeant déchu, Blaise Compaoré, pour l’assassinat de l’ancien président Thomas Sankara il y a près de 30 ans, ont annoncé lundi à Reuters des sources judiciaires. Le problème c’est que cette affaire risque de diviser encore davantage une population déjà très éclatée et qui se trouve de plus en plus sous la menace de dèche. Et ce n’est pas la présence de la force française arcane rassure, elle est même de plus en plus contestée.

L’assassinat du dirigeant populaire en 1987 est l’un des assassins les plus infâmes de la période agitée qui a suivi l’indépendance de l’Afrique, et le gouvernement intérimaire du Burkina Faso s’est engagé à le résoudre.

Un corps soupçonné d’être celui de Sankara a été exhumé plus tôt cette année et une autopsie a révélé qu’il était criblé de balles, renforçant ainsi les affirmations selon lesquelles il aurait été exécuté lors du coup d’État de 1987 qui avait porté Compaoré au pouvoir.

Compaoré lui-même a été chassé du pouvoir en octobre dernier par une foule s’opposant à sa tentative de changer la constitution du pays d’Afrique de l’Ouest et de prolonger son règne de 27 ans. Il s’est enfui en Côte d’Ivoire voisine, où il serait maintenant basé.

« Je confirme qu’un mandat d’arrêt international a été émis par le juge d’instruction contre (l’ex) président Blaise Compaoré », a déclaré à Reuters Prosper Farama, avocat de la famille de Sankara. Il a déclaré que les accusations étaient entre autres du meurtre et de la complicité d’assassinat.

Deux autres sources judiciaires qui ont requis l’anonymat ont confirmé le mandat, qui aurait été émis le 4 décembre. Un porte-parole du gouvernement burkinabé n’était pas disponible pour commenter.

Bruno Kone, porte-parole du gouvernement ivoirien, a déclaré: «Le gouvernement n’a pas été averti. Nous n’avons rien d’officiel et aucun commentaire à faire.  »

Les accusations contre Compaoré constituent une étape majeure dans cette affaire, les autorités par intérim se préparant à passer le pouvoir à l’ancien Premier ministre Roch Marc Kabore, vainqueur de l’élection présidentielle de novembre.

Sankara a pris le pouvoir lors d’un coup d’État en 1983 et a poursuivi une philosophie du marxisme et du panafricanisme qui l’a conduit à s’appeler «Che Guevara en Afrique». De nombreux intellectuels africains le considèrent comme un visionnaire.

Au moins 10 autres personnes ont déjà été accusées de meurtre. Parmi eux, le général Gilbert Diendere, qui a dirigé un coup d’Etat manqué en septembre.

Le JDD, avocat de Sarkozy, accuse maintenant le juge Tournaire de machination

  • Le JDD, avocat de Sarkozy,  accuse maintenant le juge Tournaire de machination
  • On sait que le JDD a toujours été proche des milieux d’affaires et des politiques qui fricotent avec. L’influent Bolloré propriétaire du JDD a toujours été très proche de Sarkozy et maintenant de Macron. Son rédacteur en chef Hervé Gatégno est d’ailleurs un macroniste  déclaré qui s’exprime régulièrement sur les chaînes d’information. Mais cette fois le rédacteur en chef va beaucoup plus loin dans sa démarche militante puisqu’il accuse clairement le juge Tournaire  d’avoir fait du chantage auprès d’un accusateur de Sarkozy dans l’affaire du financement par la Libye. Et cela sans nuance démontrant  le militantisme du JDD vis-à-vis  des milieux d’affaires et des politiques qui en sont proches :

«

  • « Ce qui était vraisemblable est désormais établi : les juges chargés de l’enquête sur le prétendu financement libyen ont bien passé un accord avec Abdallah Senoussi, chef des services de renseignement et beau-frère du colonel Kadhafi, pour obtenir ses déclarations à charge contre Nicolas Sarkozy. En vertu de cet arrangement, celui qui fut le tortionnaire en chef de la dictature libyenne bénéficie de la mansuétude de la justice française alors qu’il se présente lui-même, dans ses dépositions, comme le pivot d’un système de corruption.… »

 

On observera que le JDD ne donne pas la moindre preuve de ce qui lui semble établi. C’est une accusation en règle de la justice. On ne s’étonnera pas que le JDD est l’un des journaux qui perd le plus d’audience dans la mesure où cette ligne faite de populisme et de proximité avec les intérêts financiers passe de moins en moins

Trump accuse le procureur Mueller !

Trump  accuse le procureur  Mueller !

 

 

 

Comme d’habitude Trump pratique l’art du contre-pied en accusant le procureur chargé de l’enquête sur l’influence de la Russie dans  les élections présidentielles d’être inapte à la fonction. Il faut dire que le filet se resserre Trump qui semble bien avoir eu des contacts avec la Russie lors  des élections afin notamment d’enfoncer un peu plus la candidate démocrate. Le procureur semble se montrer particulièrement efficace  dans cette enquête conduite avec courage et une grande indépendance. Ces accusations du  résident américain sont bien évidemment scandaleuses  et n’ont d’autre but que de déboulonner le procureur fait son travail d’enquête. Pour cela Donald Trump a accusé dimanche le procureur spécial Robert Mueller d’avoir des « conflits d’intérêt » qui devraient lui interdire de mener l’enquête sur les soupçons d’ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016.

Dans une série de tweets dans lesquels il attaque la crédibilité du procureur spécial, Donald Trump déclare avoir eu au cours des années « une relation d’affaires très mauvaise et conflictuelle » avec Robert Mueller. Dans le passé, le président américain avait déjà évoqué l’existence de conflits d’intérêt concernant Robert Mueller, mais c’est la première fois qu’il détaille publiquement ses accusations. « Robert Mueller va-t-il révéler un jour ses conflits d’intérêt avec le Président Trump, dont le fait que nous avons eu une relation d’affaires très mauvaise et conflictuelle, je l’ai refusé comme chef du FBI (un jour avant sa nomination comme procureur spécial) et Comey est son ami proche », a déclaré Donald Trump dans l’un de ses tweets. Des accusations qui ne constituent pas une preuve  mais visent  à salir l’intéressé afin de discréditer. Bref la dialectique habituelle de trame un jour le travail d’un collaborateur ou d’un homme politique étranger tout à fait exceptionnel et qui le lendemain est capable de qualifier d’incapables et le pire ennemi. Reste à savoir si cette dialectique de la contradiction permanente pourra durer encore longtemps dans un pays qui n’est pas habitué à une gouvernance de type bananière.

Etats-Unis : l’ancien patron du FBI accuse Trump

Etats-Unis : l’ancien patron du FBI accuse Trump

 L’ancien directeur du FBI James Comey a livré un témoignage accablant contre Donald Trump, devant la Commission du renseignement du Sénat américain, jeudi 8 juin. Les sénateurs américains cherchent à déterminer si le président des Etats-Unis a entravé l’enquête fédérale sur Michael T. Flynn, ex-conseiller à la sécurité intérieure, soupçonné d’avoir noué des relations avec Moscou pendant la campagne présidentielle. Dans un témoignage écrit publié à la veille de son audition, James Comey déclarait que Donald Trump, lors d’une rencontre le 14 février, lui avait demandé d’abandonner l’enquête du FBI sur Michael Flynn. Les sénateurs ont donc tenté d’obtenir des précisions sur cette rencontre. « Je ne pense pas que ce soit à moi de dire si la conversation que j’ai eue avec le président était une tentative d’obstruction », a d’abord déclaré James Comey, avant d’ajouter : « Je l’ai ressentie comme quelque chose de très perturbant, très préoccupant. »  A la question de savoir si le président ou l’administration lui avaient demandé explicitement « d’arrêter » l’enquête menée par le FBI sur les ingérences russes, James Comey a toutefois répondu « non ». Il a en revanche confirmé que Donald Trump lui avait demandé sa « loyauté », alors qu’il supervisait l’enquête sur une éventuelle collusion entre des membres de l’équipe de campagne de Donald Trump et la Russie pendant la campagne présidentielle de 2016.  »Mon bon sens me disait qu’il voulait quelque chose en échange de m’accorder ma demande de rester à mon poste », a-t-il déclaré. James Comey a précisé la requête de Donald Trump. « J’espère que vous pourrez trouver une façon d’abandonner cela, de lâcher Flynn. C’est un homme bien », aurait ainsi plaidé le président, le 14 février. Cette phrase à elle seule contredit le milliardaire, qui avait nié il y a trois semaines avoir formulé une telle demande. Certes, « espérer » n’est pas un crime, a convenu James Comey, interrogé par un sénateur républicain, mais « je l’ai interprété comme une instruction », a-t-il déclaré.  »J’étais tellement stupéfait par la conversation que j’en suis resté bouche bée », a-t-il dit aux élus. Croit-il qu’il a été licencié à cause de l’enquête sur la Russie ?  »Oui, car j’ai vu le président le dire lui-même », a répondu James Comey, se référant à un tweet de Donald Trump. L’ancien directeur a par ailleurs accusé l’administration de Donald Trump, qui l’a limogé début mai, de diffamation. « Bien que la loi n’exige aucun motif pour renvoyer un directeur du FBI, l’administration a choisi de me diffamer ainsi que le FBI, et c’est le plus important, en affirmant que l’agence était en déroute, qu’elle était mal gérée, et que les employés avaient perdu confiance dans leur directeur. Ce sont des mensonges purs et simples », a déclaré James Comey.

Valls de plus en plus nerveux accuse les journalistes

Valls de plus en plus nerveux accuse les journalistes

 

 

D’une certaine manière,  Manuel Valls inverse le fardeau de l’impopularité et veut  le faire porter aux journalistes accusés d’être les représentants du système. La preuve que Manuel Valls est de plus en plus nerveux. Coincé  d’un côté par les candidatures extérieures de Macron et de Mélenchon et par ceux qui a l’intérieur du PS  milite pour le tout sauf Valls. Pas facile en plus pour l’intéressé de défendre le bilan du gouvernement dont il était le premier ministre et en même temps d’être le candidat  du  renouveau voire de la révolution. Une nervosité qui s’explique aussi par le faite que la mayonnaise de sa campagne ne parvient pas à prendre. Dans un sondage de popularité Manuel Valls perd d’ailleurs encore 5 points et ce situe derrière Macron et Mélenchon et Montebourg. Manuel Valls s’est agacé contre des journalistes qui l’interrogeaient au terme d’une réunion de ses soutiens, les accusant d’être « enfermés dans le système » et d’incarner « ce dont les Français ne veulent plus ». Après avoir évoqué pendant quelques minutes sa réunion à huis clos avec quelque 200 parlementaires, élus et proches, le candidat à la primaire de la gauche s’est agacé à propos de deux questions: on lui demandait s’il n’était pas « le candidat du système » du fait du soutien de plusieurs ministres. Et l’autre question suggérant qu’il refuse l’étiquette de favori de la primaire parce qu’elle est « contre-productive ». « Ca ce sont vos questions, c’est vous qui êtes enfermés dans le système. C’est vous qui représentez le système, ce dont les Français ne veulent plus », a-t-il répliqué.  »C’est grâce à vous qu’on peut convaincre, mais c’est toujours le même questionnement. Moi je veux convaincre les électeurs », a plaidé l’ex-premier ministre. « J’irai dans les débats avec la volonté de convaincre, avec des projets et des propositions: vous allez voir, ça va décoiffer », a-t-il promis, répétant ne pas être « le favori » mais « le challenger » de la primaire. Un journaliste demande: « ‘Ca va décoiffer’ » est-il le pendant du « Je vais casser la baraque » utilisé par François Fillon durant la primaire?  »Vous voyez, vous n’êtes que dans cela. Plus vous êtes dans cela, plus les Français ne supportent plus le système », rétorque l’ancien premier ministre.

Patrick Balkany encore injustement accusé !

Patrick Balkany encore injustement accusé !

Sans doute un acharnement judicaire ! Patrick Balkany, a de nouveau été mis en examen début octobre pour des soupçons de dissimulation de son patrimoine au fisc, via des sociétés à l’étranger, a appris l’Agence France Presse jeudi 20 octobre de sources proches du dossier. Le 5 octobre, les juges d’instruction qui enquêtent sur son patrimoine l’ont mis en examen notamment pour blanchiment de corruption et de fraude fiscale aggravée « par le caractère habituel », a indiqué à l’AFP l’une des sources. Lors de son audition, Patrick Balkany a été interrogé sur la création, fin 2013 alors qu’une enquête le visait déjà, d’une nouvelle société immatriculée aux Seychelles, abritant le fruit de la vente en 2002 d’une maison à Saint-Martin (Antilles), explique la même source. Déjà mis en examen pour fraude fiscale et blanchiment, Pascal Balkany est à nouveau mis en examen concernant ses déclarations sur son patrimoine. La justice le soupçonnant d’avoir omis de déclarer ou d’avoir sous-évalué certains de ses biens. L’élu des Hauts-de-Seine a été mis en examen pour déclaration mensongère de patrimoine, a confirmé une source judiciaire. Sollicité par l’AFP, son avocat, Me Grégoire Lafarge, a dénoncé « une violation réitérée du secret de l’instruction » et « un acharnement qui n’a plus rien de juridique ». Dans ce dossier, Patrick Balkany est déjà mis en examen, notamment pour fraude fiscale, corruption passive et blanchiment de fraude fiscale. Les juges soupçonnent Patrick Balkany d’avoir omis, entre avril 2011 et janvier 2014, une partie substantielle de son patrimoine et « fourni une évaluation mensongère » dans les déclarations, selon une source proche du dossier. L’enquête menée par les magistrats financiers Renaud van Ruymbeke et Patricia Simon concerne la propriété où vit le couple à Giverny (Eure), mais donnée à leurs enfants en nue-propriété, et trois villas, deux situées sur l’île antillaise de Saint-Martin et une autre à Marrakech, Dar Gyucy.  Autant de biens immobiliers qui ont été saisis par la justice, à l’exception d’une des deux maisons antillaises, depuis revendue.  »Le patrimoine des époux Balkany est important. Pourtant aucun bien n’est à leur nom«  relève une ordonnance de saisie des juges, selon une source proche du dossier. « Ils ne disposaient pas de revenus leur permettant d’acquérir un tel patrimoine. Ils ont organisé leur insolvabilité », soupçonnent les juges, selon la même source. Les magistrats sont convaincus que le couple a eu recours à des sociétés du Liechtenstein, de Singapour ou de Panama, afin d’éviter d’apparaître comme propriétaires.

Attentats : le patron du GIGN accusé d’incompétence

Attentats : le patron du GIGN accusé d’incompétence

 

Il faut sans doute que la situation soit très grave pour que des gendarmes du GIGN dénoncent l’incompétence et le manque de courage de leurs patrons. La preuve aussi sans doute qu’il serait urgent de regrouper les forces d’intervention sous un même commandement. Ce qui a été proposé par la commission parlementaire qui a enquêté sur la tuerie du Bataclan. Une proposition rejetée par le ministre de l’intérieur. Le cloisonnement des forces d’intervention et encore davantage des organismes de renseignement portent pourtant préjudice à la lutte contre le terrorisme. Le colonel Hubert Bonneau était-il l’homme de la situation pour gérer les attentats du 13 novembre ? C’est la question qui se pose après la lecture d’une lettre dans laquelle des gendarmes d’élite du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) s’en prennent anonymement à leur chef, «peu courageux ». Ils lui reprochent notamment de ne pas avoir engagé ses hommes au Bataclan lors des attaques terroristes. La missive de trois pages adressée au patron de la gendarmerie nationale Denis Favier, révélée par Le Canard enchaîné, est seulement signée « l’esprit de l’inter » – les syndicats n’étant pas autorisés dans la gendarmerie - au nom de membres de la Force intervention, qui regroupe une centaine de militaires. Il est impossible de savoir combien d’entre eux adhèrent aux propos virulents de ce courrier, mais selon les différents gendarmes du GIGN interrogés sous couvert d’anonymat, elle émane d’une poignée de mécontents tandis que de nombreux membres de la force d’élite n’y ont pas été associés. « Voilà maintenant deux ans que nous subissons le commandement injuste et peu légitime du colonel Bonneau », écrivent donc ces mécontents, exaspérés par « un mauvais chef », « qui fait de son mieux pour minimiser la Force intervention ». L’officier n’est pas issu comme eux de « l’inter », ou « intervention », cœur de métier du GIGN, et pour les gendarmes anonymes, c’est un tort. Ils estiment qu’il « ne comprend rien aux missions d’intervention », « est peu courageux et perd ses moyens dans l’action« .  Ils pointent notamment du doigt, la soirée du 13 novembre. Au début des attentats, un groupe du GIGN s’est pré-positionné, à la demande des autorités, à la caserne des Célestins, dans le centre de Paris, pour intervenir en cas de nouvelles attaques.  »Alors que nous étions 40 opérationnels (…) prêts à mener un assaut, prêts à faire cesser la tuerie », le colonel Bonneau « attendait sagement d’être appelé » et « se cachait derrière une histoire de compétence territoriale », accusent-ils. Rétrospectivement, il se disent « scandalisés et traumatisés par cet événement ».  L’assaut au Bataclan contre les jihadistes a été mené par les unités d’élite de la police. La commission d’enquête parlementaire sur les attentats qui vient de rendre ses conclusions a conclu qu’il n’était « pas nécessaire » de solliciter le GIGN, estimant que la BRI et le Raid étaient mobilisés en nombre suffisant à la salle de spectacles. Interrogée par l’AFP, la direction générale de la gendarmerie nationale n’a pas donné suite dans l’immédiat.

 

(Avec AFP)

Dassault accusé de fraude fiscale : c’est pas possible !

Dassault accusé de  fraude fiscale : c’est pas possible !

 

France info nous apprend que Serge Dassault est depuis lundi accusé par la justice de fraude fiscale. Une surprise évidemment pour le citoyen lambda qui ne pouvait douter de l’honnêteté de cet honorable parlementaire et de ce pilier de l’industrie. Ou alors il s’agit de persécution fiscale à l’encontre d’un vieil homme qui seraiat coupable d’avoir planqué 31 millions au Luxembourg, une somme par ailleurs dérisoire pour lui. L’enquête toujours en cours sur de possibles achats de vote à Corbeil-Essonnes avait mis au jour des avoirs cachés à l’étranger par l’industriel, fabricant des avions Rafale et propriétaire du Figaro. Deux ans plus tard, le parquet national financier lui demande de rendre des comptes.  Le comptable suisse auditionné au printemps 2014 s’est présenté comme l’homme à tout faire chez Dassault. Il a géré les tirelires occultes de Marcel, le fondateur, puis de Serge, l’héritier, qui s’en est servi pour verser des cadeaux à des habitants de Corbeil. Après l’audition du comptable, qui raconte comment il venait livrer du cash dans des sacs de course près des Champs Elysées à Paris, Serge Dassault n’a plus le choix : son notaire écrit à la cellule de dégrisement de Bercy. Au même moment la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, créée après le scandale Cahuzac, épluche sa déclaration de patrimoine et saisit la justice.  Ce procès est plutôt embarrassant pour le sénateur. Il n’a pas prévu de venir s’expliquer cet après-midi sur les 31 millions d’euros cachés sur des comptes au Luxembourg, via des fondations au Liechtenstein ou des sociétés écrans. A 91 ans, Serge Dassault est pourtant en pleine forme… Mais Serge Dassault préfère attendre l’issue de la bataille de procédure que vont livrer cet après-midi ses avocats. Pour blanchiment de fraude fiscale il risque jusqu’à cinq ans d’emprisonnement. La période de prévention s’étale sur 1999-2014. 31 millions est donc le maximum sur les comptes concernés : en 2013, il n’en restait plus que douze.

Tricherie pollution automobile : la Corée accuse Nissan

Tricherie pollution automobile : la Corée accuse Nissan

À travers le volume des émissions polluantes les constructeurs engagent la guerre en s’accusant mutuellement d’être plus polluants que le concurrent. Cette fois c’est la Corée qui vise Nissan considérant notamment qu’un de ses modèles pollue encore davantage que Volkswagen. La vérité c’est sans doute que la plupart des modèles automobiles dépassent et de loin les seuils fixés en matière de pollution. Normal,  les consommations annoncées sont notoirement supérieures à celles qui sont prévues dans les publicités. Il faut compter 1 l ou 2 par rapport à ce qui est indiqué dans les informations des constructeurs. Tous les gouvernements seraient donc fondés à pointer du doigt la plupart des marques. Notons enfin qu’il est aujourd’hui pratiquement impossible de mesurer les émissions polluantes dans des conditions réelles de circulation. Le gouvernement sud-coréen a annoncé lundi qu’il allait infliger une amende au constructeur automobile japonais Nissan accusé d’avoir manipulé les émissions polluantes des moteurs diesel d’un de ses modèles phare de SUV, le Qashqai. Le ministère sud-coréen de l’Environnement a précisé qu’il allait ordonner le rappel de centaines d’exemplaires de ce modèle après des tests ayant révélé que les versions diesel étaient équipées d’un système permettant de les faire apparaître comme moins polluants qu’ils ne le sont réellement. Cette décision fait suite à des investigations menées sur 20 modèles de voitures diesel en décembre en Corée du Sud, dans le sillage du scandale Volkswagen. Le constructeur allemand avait admis l’an dernier avoir installé des logiciels permettant de tromper les tests d’émissions polluantes sur 11 millions de véhicules diesel vendus dans le monde entier. Séoul va infliger à Nissan, deuxième constructeur automobile japonais et partenaire du français Renault, une amende de 330 millions de wons (247.000 euros), a annoncé lundi le ministère sud-coréen de l’Environnement.

(avec BFM)

Dassault accusé de blanchiment de fraude fiscale

Dassault accusé de  blanchiment de fraude fiscale

Déjà en examen pour achat de voix électorales, L’industriel et sénateur Serge Dassault a aussi été renvoyé en procès pour blanchiment de fraude fiscale dans l’enquête sur son patrimoine, la justice le soupçonnant d’avoir dissimulé plusieurs millions d’euros au Luxembourg et au Liechtenstein. Le parquet national financier (PNF) a délivré début mars une citation directe visant le sénateur (Les Républicains) de 90 ans, PDG de l’un des fleurons de l’industrie française, a-t-on appris, lundi 21 mars, de source proche de l’enquête. L’audience devrait se tenir le 4 juillet devant le tribunal correctionnel de Paris, a confirmé une source judiciaire. Sollicité, son avocat, Me Pierre Haïk, n’était pas disponible dans l’immédiat. Serge Dassault devra aussi comparaître pour omission de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Cette instance, chargée de vérifier les situations patrimoniales des élus, avait émis un « doute sérieux » sur « l’exhaustivité, l’exactitude et la sincérité » de ses déclarations, le soupçonnant d’avoir omis de déclarer des avoirs détenus à l’étranger. Le PNF avait ouvert une enquête en novembre 2014. En cause, selon une source proche de l’enquête, l’existence présumée de comptes détenus au Liechtenstein et au Luxembourg par l’industriel, l’une des plus grandes fortunes françaises. L’existence de « cagnottes » dans ces deux pays avait déjà été évoquée dans le cadre de l’enquête sur un système présumé d’achats de voix lors des campagnes municipales de Corbeil-Essonnes (Essonne) en 2009 et 2010. Une enquête dans laquelle Serge Dassault est mis en examen avec sept autres personnes, dont l’actuel maire, Jean-Pierre Bechter (Les Républicains). L’une des personnes poursuivies, Gérard Limat, avait livré un témoignage clé en octobre 2014. « Grand ami » de la famille, il avait confié avoir utilisé deux comptes au Luxembourg, appartenant en réalité au sénateur, pour distribuer jusqu’en 2010 des fonds à des intermédiaires dans le cadre des campagnes à Corbeil. Les investigations ont notamment montré que près de 4 millions d’euros ont été transférés à partir de ces comptes à « des oeuvres prétendument caritatives en Algérie et en Tunisie sur la période 2009 et 2010″, d’après la source proche de l’enquête. « Ce n’est pas mon argent qui a transité dessus (…) Tous ces bénéficiaires m’ont été indiqués par Serge Dassault », avait confié Gérard Limat aux enquêteurs, d’après cette source. Sur un des comptes, « alimenté à l’origine par des fonds de Marcel Dassault », père de Serge Dassault et fondateur du groupe Dassault, il estimait, au moment de son audition, qu’il restait « de 10 à 12 millions d’euros ». Gérard Limat avait aussi confié avoir pris l’habitude de transférer de l’argent à partir « des cagnottes » luxembourgeoises à une société financière suisse, qui lui amenait ensuite les fonds en espèces à Paris pour qu’il les remette à Serge Dassault. « Je posais le sac dans un coin de son bureau et immédiatement, on parlait d’autre chose », avait-il déclaré, selon la source. D’après les enquêteurs, ces fonds se sont élevés à plus de 56 millions de francs suisses entre 1995 et 2009 (soit environ 52 millions d’euros), un chiffre que Gérard Limat n’a pas réfuté, a-t-on précisé de même source. Dans l’enquête menée par les juges d’instruction, plusieurs témoignages accréditent un système d’achat de voix. Les magistrats ont aussi saisi à la résidence et QG politique de Serge Dassault des listes d’électeurs avec les mentions « payé » et « non payé » et des annotations (« permis de conduire », « soutien sortie détention »…), formules tendant à accréditer cette pratique frauduleuse. L’industriel est mis en examen pour achat de votes, complicité de financement illicite de campagne et financement en dépassement du plafond autorisé. Il ne nie pas les dons, mais conteste toute corruption et tout lien avec les élections. Coup dur pour Serge Dassault, la Cour de cassation a validé la semaine dernière l’ensemble de cette procédure, dont il demandait l’annulation.

(Avec AFP)

Guerre en Libye : Obama accuse Sarkozy

Guerre en Libye  : Obama accuse Sarkozy

 

Dans un entretien publié jeudi par le magazine The AtlanticBarack Obama revient sur les conditions dans lesquelles une coalition conduite par la France et la Grande-Bretagne – relayées par la suite par l’Otan – a mené en 2011 des raids aériens en Libye qui ont conduit à la chute du régime de Mouammar Kadhafi. Depuis, l’Etat libyen s’est effondré, les milices rivales se disputent le pouvoir, et l’organisation Etat islamique (EI) a profité de la situation pour monter en puissance. »La Libye est plongée dans le chaos », constate le président américain. « Lorsque je me demande pourquoi cela a mal tourné, je réalise que j’étais convaincu que les Européens – étant donné la proximité de la Libye – seraient plus impliqué dans le suivi », affirme Barack Obama. Le Premier ministre britannique David Cameron a ensuite été « distrait par d’autres choses », explique-t-il. Le président français Nicolas Sarkozy « voulait claironner ses succès dans la campagne aérienne alors que nous avions détruit toutes les défenses anti-aériennes », dit-il encore.

Un proche de Dassault accusé de tentative d’assassinat

Un proche de Dassault accusé de tentative d’assassinat

C’est pas la mafia mais ça y ressemble. Une  ramification de l’affaire des achats de voix à Corbeil-Essonnes, pour laquelle l’ancien maire de la ville Serge Dassault est mis en examen. Younès Bounouara, relais de Serge Dassault dans les quartiers, est soupçonné d’avoir tiré sur Fatah Hou en février 2013. Il affirme que ce dernier l’avait menacé.  Younès Bounouara est considéré comme le relais de Serge Dassault dans les quartiers de Corbeil-Essonnes. Ce chef d’entreprise quadragénaire est renvoyé devant les assises pour avoir tenté d’assassiner Fatah Hou, en février 2013. L’affaire est étroitement liée aux soupçons d’achats de voix qui pèsent sur Serge Dassault. Le milliardaire, ancien maire de Corbeil-Essonnes, est mis en examen dans ce dossier. Il aurait favorisé à coups de liasses de billets l’élection de son protégé, Jean-Pierre Bechter, à la tête de la ville en 2010. Mais cet argent aurait ensuite été mal réparti dans les quartiers. Fatah Hou, un boxeur de la cité des Tarterêts, estime avoir été lésé par Younès Bounouara, chargé selon lui de la distribution. Serge Dassault a été enregistré à son insu fin 2012. Dans l »enregistrement, l’homme d’affaires y évoquerait ouvertement le versement d’argent. Un document publié par Mediapart en septembre 2013. Aujourd’hui, Serge Dassault nie tout achat de voix, il assure que cet argent était destiné à financer des projets industriels en Algérie. C’est au sujet de ces versements que Younès Bounouara et Fatah Hou ont eu une altercation. Younès Bounouara est soupçonné d’avoir tiré le 19 février 2013 sur le véhicule de Fatah Hou. Le boxeur est alors grièvement blessé, il en garde des séquelles. Younès Bounouara est aussi renvoyé aux assises pour « violences volontaires avec arme »  à l’encore des trois personnes qui étaient dans le véhicule de Fatah Hou et qui n’ont pas été blessées. Après les faits, Younès Bounouara s’est enfui en Algérie, avant de se rendre en novembre 2013. Il affirme s’être défendu contre Fatah Hou qui le menaçait. Serge Dassault, 90 ans, n’est, lui, pas poursuivi dans cette affaire. ( France info)

 

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