Archive pour le Tag 'accord'

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Renault : accord pour travailler plus

Renault : accord pour travailler plus

 

Un avant-goût des futurs «accords de maintien dans l’emploi» (anciennement nommés «accords compétitivité-emploi») prévus par le projet de loi présenté ce mercredi en Conseil des ministres. Les syndicats de Renault ont validé aujourd’hui l’accord négocié plusieurs mois durant avec la direction du groupe automobile afin de restaurer sa compétitivité.  Le syndicat Force ouvrière (FO), qui représente un peu plus de 15% des salariés du constructeur français, a en effet annoncé vouloir signer le texte, aux côtés de la CFE-CGC, qui s’est prononcé pour en février. «Il fallait arrêter l’hémorragie et sortir de la spirale infernale dans laquelle étaient des sites comme Douai, Sandouville et Flins», a expliqué à l’AFP Laurent Smolnik, le délégué central de FO. A elles deux, les deux organisations syndicales représentent plus de 45% des salariés de Renault, soit davantage que les 30% requis pour que l’accord soit validé. la signature devrait avoir lieur le 12 mars prochain, lors du comité central d’entreprise.  La direction du groupe automobile, dont le chiffre d’affaires a chuté de 3,2% en 2012, entend gagner grâce à cet accord 500 millions d’euros par an, soit environ 300 euros par voiture produite en France. Les syndicats comme la direction ont dû lâcher du lest pour aboutir à ce compromis. Renault s’est engagé à assurer un niveau de production minimum de 710.000 véhicules par an jusqu’en 2016, dont 110.000 à l’usine de Flins. Pour ce faire, des véhicules de constructeurs partenaires – Nissan ou Daimler – pourraient être construits en France. La direction s’est aussi engagée à ne pas fermer d’usine dans l’Hexagone et à ne pas recourir à un plan social malgré les 8260 suppressions de postes prévus d’ici 2016. Les métiers de l’ingénierie et du tertiaire devront être préservés.  En échange, les salariés devront travailler plus, tout en acceptant un gel de leur salaire en 2013. Le nombre de jours de congés capitalisables sera plafonné, de même que ceux à prendre dans l’année. En revanche, la clause de mobilité obligatoire que la direction souhaitait introduire a été retoquée. Les déplacements de salariés d’un site Renault à un autre en France ne pourront se faire que sur la base du volontariat.  Un tel accord de compétitivité avait déjà été signé dans d’autres entreprises, par exemple chez PSA, sur son site de Sevelnord, au mois de juillet dernier. Ils préfigurent les accords de maintien dans l’emploi que le gouvernement souhaite encourager. Le projet de loi sur la sécurisation de l’emploi modifie en effet le cadre juridique dans lequel ces accords peuvent être conclus. Il introduit quelques garde-fous: l’accord doit être majoritaire à 50% et sa durée limitée à deux ans. Les salaires inférieurs à 1,2 smic ne peuvent pas être abaissés. En revanche, si le salarié refuse de se conformer aux dispositions de l’accord, il sera licencié motif économique. L’entreprise, de son côté, y gagne une plus grande sécurité juridique.

 

Accord emploi : test politique pour le gouvernement

Accord emploi : test politique pour le gouvernement

 

Test politique pour le gouvernement avec les manifestations contre l’accord emploi, test aussi pour peser le poids respectif du syndicalisme réformisme et du syndicalisme radical. Pour protester contre l’accord syndicats-patronat sur la flexibilité du travail, qui sera présenté mercredi en conseil des ministres, la CGT et Force ouvrière ont appelé à manifester, mardi. Pour les deux syndicats, ce texte aurait pour principale conséquence de fragiliser la situation des salariés face aux patrons. Du côté de l’Elysée, pour que les ministres soient efficaces dans la pédagogie du texte, un argumentaire va leur être distribué mercredi, en conseil des ministres, selon les informations d’Europe 1.  Dans l’exécutif, certains font de cette manifestation un test majeur. Les stratèges de François Hollande vont donc décortiquer les cortèges pour savoir quel bataillon bat le pavé : public ou privé. « S’ils sont nombreux, il faudra mieux expliquer l’accord », confie un proche du président. De manière plus générale, un ministre de haut rang s’inquiète d’un climat social dégradé à cause du chômage et redoute « une implosion sociale ». Mais d’autres, au sommet de l’Etat, parie sur une faible mobilisation et raille la présence de l’aile gauche dans le cortège. « Cela ne va pas changer la face du monde », tacle un conseiller.. Cet accord, le chef de l’Etat souhaite en faire un totem de sa politique, un symbole de son action sociale-démocrate. « Quel sera le progrès attendu ? Pour les salariés : de nouveaux droits, l’accès à une complémentaire santé. Du côté des entreprises, désormais il y aura des accords majoritaires pour éviter les licenciements. Voilà ce qu’une politique d’emploi cohérente peut être capable d’engager pour lutter contre le chômage », a-t-il déclaré, lundi.

 

chansons-poèmes de  g.bessay:

 

Accord franco-allemand pour sauver Chypre

Accord franco-allemand pour sauver Chypre

 

Dans un communiqué commun, Pierre Moscovici et Wolfgang Schäuble saluent les résultats de cette élection, qui a vu la victoire du conservateur Nicos Anastasiades, lequel a promis de trouver rapidement un accord de sauvetage financier de l’île. Ces résultats permettront la formation d’un gouvernement qui pourra rapidement continuer les négociations sur le programme d’assistance financière à Chypre, estiment les deux ministres. « Les discussions devraient reprendre sous peu avec pour objectif d’atteindre un accord avant la fin du mois de mars », ajoutent-ils. « Nous appelons la troïka et les autorités chypriotes à progresser dans la finalisation du projet de ‘mémorandum of understanding’. » La « troïka » est constituée de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE) et du Fonds monétaire international (FMI). C’est avec elle que le futur gouvernement chypriote devra boucler un accord de sauvetage pour éviter qu’un nouvel Etat de la zone euro ne bascule, après la Grèce, dans la crise financière, ce qui risquerait de rallumer la crise de la dette. Estimés à 17,5 milliards d’euros, les besoins financiers de Chypre sont relativement modestes mais un prêt équivalent à sa richesse nationale ferait monter son ratio d’endettement à 140% du produit intérieur brut (PIB). Un tel niveau d’endettement est considéré comme non soutenable et empêcherait probablement le FMI de prendre part à un plan de sauvetage. D’autres options sont donc examinées. Les créanciers de Chypre ont ainsi suggéré de privatiser trois sociétés nationales afin de rembourser une partie de la dette. Mais cette mesure serait très largement insuffisante.  

 

AIR FRANCE : accord social navigants

AIR FRANCE : accord social navigants

 

.Selon le site d’informations économiques de la Tribune, qui cite plusieurs sources syndicales, les trois syndicats représentatifs des hôtesses et stewards (personnels navigants commerciaux) ont signé mercredi un nouvel accord collectif pour un période allant d’avril 2013 au 31 octobre 2016. Les personnels navigants commerciaux étaient la seule catégorie de personnels qui n’avait pas encore signé de nouvel accord collectif. Les négociations d’Air France avec les personnels au sol et les pilotes avaient abouti l’été dernier. Selon latribune.fr, ce nouvel accord avec les hôtesses et stewards doit permettre à la compagnie d’améliorer l’efficacité économique de cette catégorie de personnel de 20 %. La compagnie atteindrait ainsi un des objectifs visés dans le plan de restructuration « Transform 2015″ annoncé l’an dernier par le groupe Air France-KLM. En contrepartie, Air France s’est engagé à ne pas procéder à des licenciements avant 2014, précise latribune.fr. Contacté par Reuters, un porte-parole d’Air France n’a pas souhaité faire de commentaires. Le groupe Air France-KLM doit publier vendredi 22 février ses résultats annuels. Selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S, les analystes anticipent en moyenne une perte avant intérêts et taxes (Ebit) de 325,4 millions d’euros pour 2012.

 

Un accord UE/USA pour libéraliser davantage ?

Un accord UE/USA pour libéraliser davantage ?

 

On peut se demander s’il est bien opportun-en ce moment-de négocier un accord de libre échange avec les Etats Unis qui pourraient profiter de la baisse artificielle  de leur monnaie pour attaquer les marchés européens ( ou en profiter pour nous faire goûter les joies du boeuf aux homones!). En effet Les négociations entre les Etats-Unis et l’Union européenne (UE) sur l’établissement d’un accord de libre-échange, annoncées la semaine dernière et prévues d’ici juin, bénéficieront de conditions particulièrement favorables, après l’échec de plusieurs pourparlers au cours des vingt dernières années. Dans un communiqué publié la semaine dernière, le président américain Barack Obama, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy recommandent l’ouverture de négociations en vue d’un accord élargi sur le commerce et les investissements. Un projet d’accord transatlantique de ce type a été bloqué par la France en 1998, par crainte de devoir baisser les taxes sur les produits agricoles. Quelques années plus tard, le cycle de négociations sur le commerce de Doha, entamé en 2001, a de nouveau été un échec. Le commerce agricole demeure le principal point d’achoppement entre l’UE et les Etats-Unis, les restrictions européennes sur les OGM ou le boeuf nourri aux hormones étant par exemple bien plus sévères, mais le secteur a perdu de son importance dans les échanges entre les deux puissances. Depuis deux ans, le marché mondial des produits agricoles a connu une diversification qui a atténué l’aspect bilatéral du commerce en la matière entre les Etats-Unis et l’UE. Les subventions à l’agriculture restent cependant les plus importantes dans le budget européen 2014-2020, difficilement approuvé à l’issue du sommet tenu au début du mois entre chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union. Selon Fredrik Erixon, directeur de l’European Centre for International Political Economy (Ecipe), un centre de réflexion basé à Bruxelles, la Commission européenne pourrait mettre à profit les pourparlers avec les Etats-Unis pour plaider sur le plan intérieur en faveur d’une libéralisation économique plus importante .

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

Accord EDF-Véolia pour leur filiale Dalkia

Accord EDF-Véolia pour leur filiale Dalkia

Trêve entre EDF et Veolia. Les deux groupes, qui sont à couteaux tirés depuis des mois, ont mis provisoirement de côté leurs divergences en signant un accord pour émettre une émission obligataire à hauteur de 600 millions d’euros leur filiale Dalkia International, spécialisée dans les services à l’énergie. Cette émission sera souscrite par les actionnaires à hauteur de leurs participations directes respectives, selon un communiqué publié par Veolia Environnement ce vendredi 15 février. Delkia International est détenu à 25% par EDF et à 75% par Delkia Holding, elle-même contrôlée à 66% par Veolia Environnement et à 34% par EDF. EDF apportera donc 144 millions d’euros et Dalkia Holding 456 millions d’euros financés par un prêt à long terme de Veolia, a précisé le groupe.

 

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Renault: accord compétitivité contre maintien des sites

Renault: accord compétitivité contre maintien des sites

Depuis début novembre, la direction s’est engagée dans un processus de discussions « donnant-donnant »: elle subordonne l’attribution de productions de véhicules venant de partenaires de Renault (Nissan, Daimler) aux efforts demandés aux 44.642 salariés Renault en France.  La signature d’un accord, voulue courant février par la direction, « permettra à nos sites français d’être suffisamment compétitifs pour attirer des volumes venant de nos partenaires, à hauteur de 80.000 véhicules supplémentaires par an », assure Gérard Leclercq, directeur des opérations France. A titre indicatif, l’usine de Flins (Yvelines) a produit en 2011 147.971 Clio III, l’usine de Douai (Nord) 166.292 Scénic III.  L’Etat, actionnaire à 15,01%, pousse l’allié nippon Nissan à soutenir le constructeur en lui confiant des modèles à produire dans ses usines de l’Hexagone. M. Montebourg avait ainsi assuré vendredi avoir obtenu du PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, qu’il accède à cette demande, ce que n’a pas confirmé la direction.   »Le volume (de 80.000 véhicules) n’est pas suffisant, mais c’est déjà une avancée. Si la direction avait mis dès le début ces chiffres sur la table, on aurait gagné un peu de temps », a commenté Dominique Chauvin, délégué CFE-CGC.  Maintenant que la direction a déroulé toutes ses propositions, « le bras de fer va désormais commencer », estiment les syndicats qui exigent un « rééquilibrage » entre les contreparties exigées des salariés et celles proposées par la direction.  Avec le gel des salaires en 2013, « on baisse le pouvoir d’achat des salariés, c’est une mesure qu’on ne peut accepter », selon Laurent Smolnik (FO).   »Cela fait des années que des efforts sont demandés aux salariés. Quand on voit le salaire de notre PDG, c’est inadmissible », a fustigé Xavier Raynaud (CGT) qui dénonce des propositions où « tout est au conditionnel ».  La semaine dernière, quelques jours avant d’annoncer une baisse de 6,3% de ses ventes mondiales en 2012, Renault avait affiché son intention de supprimer 8.260 postes d’ici fin 2016.  La direction prévoit aussi de rendre obligatoires des mobilités entre les sites, une harmonisation à 1.603 heures de travail annuelles sur tous les sites, une réforme des comptes épargne temps et formation.   »C’est intolérable, cela va entraîner des conditions de travail déplorables pour ceux qui restent et une perte de savoir-faire », estime M. Raynaud.   »Nous voulons que soient inscrits dans l’accord les affectations de produits, les volumes escomptés, et que M. Ghosn s’engage sur les volumes des partenaires », ajoute M. Chauvin.   »On ne peut pas se contenter que du seul volet accompagnement des départs, on se doit de regarder en priorité les conditions de travail pour ceux qui vont rester, et la filière en général », dit M. Chauvin selon qui « les marges de manoeuvre sont toutefois limitées ».  Les syndicats seront par ailleurs très vigilants à la durée de l’accord, déterminée ou indéterminée.  Avant la prochaine réunion, le 29 janvier, des débrayages sont prévus mercredi à Flins, Rueil-Lardy (Essonne) et Douai.

 

 

Accord emploi: pour Mailly (FO) c’est inconstitutionnel !

Accord emploi: pour Mailly (FO) c’est inconstitutionnel !

Décidemment le conseil constitutionnel risque d’être saisi pour tout et pour rien. La preuve Mailly juge l’accord sur l’emploi inconstitutionnel. On vit mal ce qui pourrait être contre la constitution dans cet accord social. Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force ouvrière, a affirmé lundi que l’accord sur l’emploi comptait « énormément de chausse-trappes » et il a demandé aux parlementaires de ne pas se comporter en « godillots » lors de l’examen du projet de loi transposant ce texte. Selon Jean-ClaudeMailly, interrogé sur France Inter, certaines dispositions de l’accord sur la sécurisation de l’emploi – que ni la CGT, ni FO n’ont accepté de signer – pourraient être « inconstitutionnelles ». Le numéro un de FO a indiqué qu’il avait « déjà demandé rendez-vous à tous les groupes parlementaires ». « Ce sont les parlementaires qui votent la loi. Ils doivent garder leur part d’autonomie comme toujours sinon on appelle cela des parlementaires godillots », a-t-il dit. « Si le gouvernement donne un ordre et que tout le monde baisse la tête, on peut se demander à quoi sert un Parlement », a-t-il ajouté.Selon Jean-Claude Mailly, « quand on regarde les titres de l’accord, c’est très bien ». « Mais je mets au défi quelqu’un de m’expliquer que la complémentaire santé sera pour tout le monde. C’est dans l’annonce du texte, pas dans le contenu du texte », a-t-il affirmé. Il a estimé que l’ensemble de l’accord avait été « mal travaillé ».L’accord sur la sécurisation de l’emploi, conclu le 11 janvier, a été approuvé par le patronat (Medef, CGPME, UPA) et trois organisations syndicales (CFDT, CFTC, CFE-CGC). Il doit désormais être transposé dans un projet de loi qui sera soumis au Parlement en avril et mai.

 

Accord patronat syndicats : deux mesures phares

Accord patronat syndicats : deux mesures phares

‘L’accord n’est pas réellement historique car la France part de loin en matière de négociation et de ce point de vue c’est une avancée méthodologique qui vaut mieux que la loi. Sur le fond, deux mesures sont surtout à retenir d’une part la complémentaire santé obligatoire, d’autre part la possibilité pour les entreprises de baisser les salaires en période de réduction d’acticité et d’augmenter la durée du travail su le carnet de commandes l’exige.  Du point de vue des entreprises, il y a donc  la possibilité de s’adapter à l’activité, notamment, en période difficile, de pouvoir baisser les salaires, ou en période de forte activité, de pouvoir augmenter le temps de travail. Cela introduit vraiment en France un élément de flexibilité interne, alors que la rigidité actuelle était clairement un frein à l’embauche. A terme, cela pourrait remettre en cause progressivement la dualité du marché français du travail, entre CDI et CDD. Cette mesure peut changer le fonctionnement du marché du travail.  Pour les  salariés, la mesure la plus importante est la généralisation de la complémentaire santé pour tous. Au plus tard au 1er janvier 2016, toutes les entreprises devront proposer une mutuelle collective et prendre la moitié du coût en charge. La mesure pourrait concerner 3,5 millions de personnes, soit 40% des salariés. C’est la concession la plus importante faite par le patronat puisqu’on estime qu’elle coûtera entre 2 et 4 milliards d’euros par an. Cela va réduire les inégalités entre salariés des grandes entreprises et salariés des petites entreprises ou au statut précaire.

 

Emploi: accord syndicats- patronat

Emploi: accord syndicats- patronat

 

Après Trois mois de négociations, syndicats et patronats ont conclu un accord vendredi Destiné à offrir plus de souplesse aux entreprises et davantage de protection aux salariés, cet accord « marque l’avènement d’une culture du compromis après des décennies d’une philosophie de l’antagonisme social », s’est félicitée Laurence Parisot, présidente du Medef.  Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a lui aussi salué « un accord ambitieux » estimant que l’emploi était le « gagnant ».  Ce qu’on a obtenu n’est pas la perfection » mais « je donnerai un avis positif la semaine prochaine à mon bureau confédéral », a affirmé de son côté Joseph Thouvenel (CFTC).  Pour Marie-Françoise Leflon (CFE-CGC), « l’accord est équilibré ».  Pour être ratifié, un accord national interprofessionnel ne doit pas rencontrer l’opposition de plus de deux des cinq syndicats.  La CGT et FO se sont quant à elle clairement opposées au texte: « l’accord est inacceptable de notre point de vue », a déclaré Agnès Le Bot (CGT), qui a prévenu que « la partie n’était pas finie ».   »C’est un jour sombre pour les droits des salariés », a estimé Stéphane Lardy (FO) dénonçant un texte qui « renforce la précarité » et une négociation qui a « loupé sa cible ».  Alors que les discussions piétinaient depuis le 4 octobre, le patronat (Medef, CGPME, UPA) a ouvert la voie au compromis vendredi matin en lâchant du lest sur la taxation de certains CDD, casus belli des syndicats.  Cette mesure figurait parmi les engagements du candidat Hollande, et dans la feuille de route du gouvernement pour lutter contre la précarité, alors que le recours aux CDD de moins d’un mois a explosé (+88% entre 2000 et 2010).  Côté flexibilité, figurent notamment l’encadrement des accords permettant de baisser salaires et/ou temps de travail en cas de difficulté, des mesures pour faciliter et « déjudiciariser » les licenciements et la possibilité de restructurer sans plan social via une mobilité obligatoire.  En contrepartie, de nouveaux droits sont octroyés aux salariés et aux chômeurs: généralisation d’une complémentaire santé, limitation des temps partiels ou encore droits rechargeables à l’assurance-chômage.  A défaut de compromis « historique » réclamé par François Hollande avant fin 2012, l’exécutif attendait un « accord ambitieux », considérant cette réforme comme primordiale pour lutter contre le chômage, qui touche 3,13 millions de Français. La France, scrutée par les agences de notation et Bruxelles, est l’un des derniers pays en Europe à engager une telle réforme.  Ce compromis conforte également le chef de l’Etat, qui a érigé le dialogue social en moteur de réformes. Cet accord intervient cinq ans jour pour jour après celui sur la modernisation du marché du travail, à l’origine de la rupture conventionnelle, qui a mis fin depuis à plus d’un million de CDI.  Depuis l’échec de 1984, il n’y avait pas eu de nouvelle tentative de réformer en profondeur le marché du travail.

Etats-Unis : accord mur budgétaire ratifié par Obama

Etats-Unis : accord mur budgétaire ratifié par Obama

Le Président américain Barack Obama a ratifié mercredi l’accord adopté la veille par le Congrès, et qui évite aux Etats-Unis les 600 milliards de dollars de hausses d’impôts et de baisses des dépenses publiques du ‘mur budgétaire’, a annoncé la Maison blanche. La Chambre, dominée par les républicains, a adopté dans la nuit de mardi à mercredi le texte entériné lundi par le Sénat, et qui prévoit notamment de réserver la hausse de l’impôt sur le revenu aux familles qui gagnent plus de 450.000 dollars par an. Le texte élargit l’assurance chômage de longue durée à deux millions de personnes pendant une année, tandis que la réduction de 109 milliards de dollars du budget de la défense et de projets de politique intérieure, qui devait prendre effet mardi, est repoussée de deux mois.

Etats-Unis : accord sur le mur budgétaire

Etats-Unis : accord sur le mur budgétaire

 

La Maison Blanche et ses adversaires républicains sont parvenus à un accord budgétaire lundi soir, permettant d’envisager aux Etats-Unis d’éviter de justesse la cure d’austérité du « mur budgétaire », a indiqué un responsable démocrate à l’AFP. De même source, le vice-président Joe Biden et le chef de la minorité républicaine au Sénat Mitch McConnell ont conclu un compromis qui augmentera les impôts des Américains les plus aisés et repoussera de deux mois toute coupe dans les dépenses, accord qui devra encore être entériné par le Sénat à majorité démocrate et la Chambre aux mains des républicains.

 

UMP : accord Copé-Fillon

UMP : accord Copé-Fillon

Selon France Info, un accord serait possible entre Fillon et Copé d’ici mardi. Pourquoi mardi ? Parce que les députés UMP pourraient se prononcer d’ici cette date pour ou contre de nouvelles élections. Il est clair qu’un vote positif des députés mettrait Copé en grande difficulté. Jean-François Copé et François Fillon pourraient tomber d’accord sur une sortie de crise avant mardi selon France Info. Selon France Info, les deux hommes devraient parvenir à un accord dans les heures ou les jours qui viennent. Ce compromis serait trouvé avant mardi, jour où les parlementaires doivent se prononcer pour ou contre la tenue d’un nouveau scrutin avant l’été prochain. Une information démentie catégoriquement par plusieurs sources, notamment le porte-parole de Copé, Jérôme Lavrilleux.

 

Florange : Montebourg, victime de l’accord entre l’Etat et ArcelorMittal ?

Florange : Montebourg, victime de l’accord entre l’Etat et ArcelorMittal ?

Le ministre va devoir défendre un accord avec un interlocuteur qu’il ne jugeait pas digne de confiance. Des hauts fourneaux qui ne ferment pas tout de suite, pas de plan social et l’engagement d’ArcelorMittal d’investir 180 millions d’euros sur cinq ans à Florange… Présenté sous cette, forme, l’accord intervenu vendredi entre l’Etat et le groupe sidérurgiste pourrait apparaître comme une victoire. A l’Elysée, on souligne d’ailleurs «le bon accord » et les « concessions importantes obtenues » par l’exécutif. Vu sous cet angle, on peut aussi se dire que la menace d’une « nationalisation transitoire » du site a rempli son rôle : « Pour nous, cela a toujours été un moyen d’obtenir des résultats », dit encore un conseiller du chef de l’Etat. Pour François Hollande et Jean-Marc Ayrault, sans doute. Mais pour le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg, pas sûr.

 

Grèce : on approche de l’accord

Grèce : on approche de l’accord

 

Le feuilleton va peut-être se terminer mais il reste encore des divergences. Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la baisse ses exigences de réduction de la dette publique grecque et il ne reste que 10 milliards d’euros à trouver pour permettre le versement d’une enveloppe financière vitale, a déclaré vendredi le ministre grec des Finances. Mais d’autres sources associées aux discussions en cours ont mis en garde contre tout excès d’optimisme en soulignant que l’écart à combler était bien plus important et que les conditions d’un accord n’étaient pas encore réunies. Selon le ministre grec des Finances, Yannis Stournaras, le FMI a accepté que la dette grecque soit considérée comme soutenable si elle est ramenée à 124% du produit intérieur brut (PIB) en 2020, alors qu’il campait jusqu’à présent sur sa position initiale d’un seuil plancher de 120%. « Il reste un écart de cinq à six points de pourcentage du PIB à combler, environ 10 milliards d’euros », a-t-il ajouté. L’Union européenne (UE) et le FMI envisagent de réduire le poids de la dette en conjuguant une baisse des taux d’intérêt des prêts accordés à Athènes, une extension de ces prêts, un rachat partiel de la dette et l’abandon par la Banque centrale européenne (BCE) des intérêts perçus sur les obligations d’Etat grecques qu’elle détient, a expliqué à Reuters un responsable du ministère des Finances. Lundi à Bruxelles, l’Eurogroupe et le FMI s’étaient séparés sur un constat de désaccord à l’issue de leur deuxième réunion en huit jours. Ce blocage inquiète Athènes, qui dit avoir besoin des prochaines tranches de l’aide internationale, soit 44 milliards d’euros au total, pour recapitaliser ses banques et stabiliser son économie. Le Trésor grec doit en outre faire face mi-décembre à une importante échéance de dette.

 

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