Archive pour le Tag 'absolue'

Une nouvelle forme de cohabitation sans majorité absolue à l’Assemblée serait une belle occasion pour notre nation

Une nouvelle forme de cohabitation sans majorité absolue à l’Assemblée serait une belle occasion pour notre nation 

 

Mieux qu’une coalition, un gouvernement dit « de minorité », conduit par une personnalité issue du Nouveau Front populaire, aurait l’avantage de respecter à la fois le résultat des urnes et l’esprit du front républicain, considère l’ancienne ministre socialiste. par Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la culture qui par parenthèse pourrait tenir le même raisonnement avec une personnalité à  Matignon ne provenant pas du « front républicain » ! Bref, le discours toujours aussi réducteur et sectaire d’une certaine gauche.

 

A l’issue des élections législatives, beaucoup s’interrogent sur la manière de gouverner une France où trois blocs importants et extrêmement différents, voire opposés, coexistent à l’Assemblée nationale. Il est d’abord important de souligner que la défaite, car c’est une défaite, du Rassemblement national (RN) est le fruit d’une mobilisation sans précédent du cœur le plus profond de l’électorat français. Ceux qui n’ont de cesse de revendiquer les opinions de « la France profonde » ne pourront plus feindre d’ignorer cette réalité : la France dans ses profondeurs s’est exprimée massivement contre l’extrême droite.Les électeurs et électrices de droite, de gauche, du centre se sont massivement rendus aux urnes pour dire qu’ils refusaient que le pays renie son histoire et tombe aux mains d’un parti d’extrême droite, fût-il engagé dans une stratégie de dissimulation de ses profondes racines idéologiques antirépublicaines.

Ce que les Françaises et les Français ont dit lors du second tour, c’est, au fond, que ce qui nous rassemble, à savoir l’attachement viscéral au fondement de la République, qui se traduit par la devise « Liberté, égalité, fraternité », où chaque mot est essentiel et indissociable des autres, est bien le socle réaffirmé de la communauté nationale.

Pourtant, ces derniers temps, cette adhésion semblait remise en cause par une fracturation, sociale, économique ou culturelle, que certains, avec le directeur du département opinion à l’IFOP, Jérôme Fourquet, ont appelé « l’archipélisation » de la société française. Le message des urnes de dimanche soir nous dit le contraire : avant tout, il est l’affirmation qu’il existe bien une indivisibilité des citoyens et citoyennes de notre pays face à la plus grande des menaces pour la démocratie. C’est donc le contraire de la fracturation, mais bien la réaffirmation d’une adhésion à notre contrat social.

Personne parmi les électeurs de gauche qui ont voté pour des candidats du groupe Ensemble, voire des Républicains, n’a omis les divergences d’analyse politique profondes qui nous séparent. De même, ceux à droite et au centre qui ont voté pour des candidats du Nouveau Front populaire n’ont pas remisé pour autant leur opposition aux grandes lignes de notre programme.

Législatives : majorité absolue… pour les travaillistes britanniques

Législatives : majorité absolue… pour les travaillistes britanniques

 

Majorité introuvable en France mais majorité britannique absolue. Une autre différence:  les leaders britanniques disparaissent du paysage politique quand ils sont battus ! Dès jeudi soir, un premier sondage réalisé à la sortie des urnes donnait le Labour gagnant avec 410 sièges. Une victoire de même ampleur que lors de la « vague rouge » de Tony Blair en 1997. Les conservateurs arriveraient loin derrière avec 131 sièges, devant les Libéraux-Démocrates qui verraient leur présence grimper à 61 sièges. Autre fait notable : l’extrême droite de Reform UK décrocherait un nombre record de 13 sièges. Quant aux indépendantistes écossais, ils subissent un sérieux revers. Ils devraient remporter seulement 10 circonscriptions, sur 57 en Ecosse, ce qui devrait éloigner encore la perspective d’un référendum sur l’indépendance de la province.

 

NB Lorsqu’on parle de « Grande-Bretagne », il s’agit là d’un ensemble réunissant simplement l’Angleterre, l’Ecosse et le Pays de Galles. soit le Royaume-Uni, sans l’Irlande du Nord

Politique-Deuxième tour législatives : hypothétique majorité absolue pour le RN

Deuxième tour législatives :  prévisions très aléatoires

 
Les résultats du second tour serait nettement plus prévisibles avec un système électoral proportionnel. Or la diversité des situations locales pourrait bouleverser le résultat final du deuxième tour. La question centrale étant de savoir si le rassemblement national abstiendra ou pas la majorité absolue. Selon les estimations d’Opinion Way , le Rassemblement national n’est pas certain d’obtenir une majorité absolue,  le RN ( à 34 % au premier tour ) pourrait obtenir entre 250 et 300 sièges.( La majorité absolue est à 289). Les prévisions restent assez aléatoires car elles dépendront du nombre de candidats encore en lice au second tour, du report des voix et aussi des particularités locales. De ce point de vue les réserves de voix du RN sont relativement faibles par rapport aux deux autres blocs;  c’est plutôt la fourchette basse des prévisions qu’il faut prendre en compte pour les hypothèses de résultats du deuxième tour concernant le rassemblement national. En clair, le rassemblement national a peu de chances d’obtenir la majorité absolue.

 

Le  Nouveau Front populaire a recueilli 29 % des suffrages, ce qui correspond à une projection de 130 à 170 sièges. En troisième position, la majorité présidentielle, qui regroupe Renaissance, le MoDem et Horizons, pourrait obtenir entre 65 et 105 sièges avec 22 % des voix.

Quant aux Républicains qui n’ont pas suivi Eric Ciotti, ils ont obtenu 10 % des suffrages, ce qui se traduit par une projection de 30 à 50 sièges.

Sondage Législatives : pas de majorité absolue

Sondage Législatives : pas de majorité absolue

Avec 36% des intentions de vote, le Rassemblement national arriverait en première position au premier tour des législatives mais sans majorité absolue. Et le parti du front populaire deviendrait le premier parti d’opposition. Bref, la vie politique risque d’être assez mouvementée notamment au Parlement.

Selon un nouveau sondage Elabe pour BFMTV et La Tribune  le Rassemblement national (et ses alliés) pourrait envoyer entre 250 et 280 députés à l’Assemblée nationale, quand la majorité absolue est à 289. Résultat qui imposerait à Emmanuel Macron une cohabitation, en théorie avec le chef du parti politique arrivé en tête aux élections législatives.

L’alliance de gauche du Nouveau Front populaire, qui recueille 27% des intentions de vote, deviendrait le premier groupe d’opposition, entre 150 et 170 sièges. Le camp présidentiel « Ensemble » (à 20%) conserverait entre 90 et 110 sièges (contre 245 aujourd’hui). Soit une perte sèche de 130 à 150 sièges par rapport aux députés Renaissance sortants.

Les Républicains « canal historique » (10% des intentions de vote) opposés à l’alliance avec le Rassemblement national (RN), pourraient conserver entre 35 et 45 sièges (contre 62 aujourd’hui). Les autres forces politiques (divers, régionalistes…), entre 10 et 12 sièges.

Le niveau de participation attendu dépasse les 80% entre les différents électorats des européennes.

Bardella veut une majorité absolue

 Bardella veut une majorité absolue

Bardella a sans doute raison de poser d’une certaine manière ses conditions pour accéder à Matignon. Il a sans doute compris qu’une majorité relative risque de rendre la gouvernance impossible. Du coup,  il pourrait se brûler les ailes comme premier ministre à rechercher en permanence une impossible majorité entre des alliés contradictoires. Notons que le même problème se pose évidemment pour la gauche si par hypothèse elle parvenait à obtenir la majorité relative. C’est  conséquence directe d’une dissolution précipitée par Macron et à laquelle aucun parti n’était préparé et qui pourrait conduire le pays vers le chaos.

«Pour gouverner, pour nous essayer, j’ai besoin d’une majorité absolue», tonne Jordan Bardella. «Qui peut croire qu’on pourra changer le quotidien des Français en cohabitation avec une majorité relative? Personne», insiste le président du RN. Le mouvement à la flamme a beau être en tête dans les intentions de vote au niveau national, il est encore trop tôt pour déceler quelle sera l’épaisseur de son possible succès. C’est la première fois que le jeune responsable, qui mène une campagne au slogan limpide - «Bardella premier ministre» -, met dans la balance sa nomination comme deuxième personnage de l’État.

D’une certaine manière, bardella  revient sur son gouvernement d’union nationale en exigeant comme préalable une majorité absolue. Et en indiquant clairement : «La cohérence, c’est que c’est le RN qui conduit cette coalition.»

. Il renvoie ainsi par exemple Ciotti à son rôle de supplétif; un Ciotti déjà en contradiction sur les retraites. Mais le message vaut sans doute aussi pour les autres alliés du est RN.

Ce risque de majorité relative pourrait aussi concerner éventuellement la gauche qui rencontrerait à leur les mêmes incohérences dans une alliance potentielle avec d’autres courants s’ajoutant à ses propres contradictions internes.

 

Sondage législatives: Le RN proche de la majorité absolue

Sondages législatives: Le RN proche de la majorité absolue

Pour qu’un groupe politique, ou une alliance de groupes politiques, obtienne la majorité absolue à l’Assemblée nationale, il lui faut obtenir 289 sièges sur les 577 que compte l’Assemblée nationale. Dans un sondage Elabe pour La Tribune Dimanche et BFMTV, le RN recueillerait 31% des voix devant l’alliance de gauche (28%) et le camp macroniste (18%).Les projections en sièges établies par l’institut Elabe donneraient : une fourchette de 220 à 270 sièges pour le RN, de 150 à 190 pour l’alliance de gauche, de 90 à 130 élus pour les macronistes et de 30 à 40 pour LR. « Des projections à prendre avec précaution », selon Bernard Sananès président d’Elabe.

 
Ce sondage contient d’autres mauvaises pour Emmanuel Macron et sa majorité sortante. Pour sept Français sur 10, l’implication du chef de l’Etat est perçue plutôt comme un handicap pour son camp. Cela va donc dans le sens de certains députés sortants qui préfèrent mettre la photo de Gabriel Attal sur leurs documents de campagne plutôt que celle d’Emmanuel Macron.

Autre signe qu’aucun sursaut ne semble en cours dans l’opinion : à la question qui souhaitez-vous comme Premier ministre, les Français penchent à 39% pour Jordan Bardella devant Gabriel Attal (36%), viennent ensuite Jean-Luc Mélenchon (16%) juste devant Laurent Berger (15%) et Gérard Larcher (14%).

Quant au pronostic de victoire, 43% des sondés voient le RN vainqueur contre seulement 10% pour la gauche et les macronistes.

Sondages législatives: Le RN proche de la majorité absolue

Sondages législatives: Le RN proche de la majorité absolue

Pour qu’un groupe politique, ou une alliance de groupes politiques, obtienne la majorité absolue à l’Assemblée nationale, il lui faut obtenir 289 sièges sur les 577 que compte l’Assemblée nationale. Dans un sondage Elabe pour La Tribune Dimanche et BFMTV, le RN recueillerait 31% des voix devant l’alliance de gauche (28%) et le camp macroniste (18%).Les projections en sièges établies par l’institut Elabe donneraient : une fourchette de 220 à 270 sièges pour le RN, de 150 à 190 pour l’alliance de gauche, de 90 à 130 élus pour les macronistes et de 30 à 40 pour LR. « Des projections à prendre avec précaution », selon Bernard Sananès président d’Elabe.

 
Ce sondage contient d’autres mauvaises pour Emmanuel Macron et sa majorité sortante. Pour sept Français sur 10, l’implication du chef de l’Etat est perçue plutôt comme un handicap pour son camp. Cela va donc dans le sens de certains députés sortants qui préfèrent mettre la photo de Gabriel Attal sur leurs documents de campagne plutôt que celle d’Emmanuel Macron.

Autre signe qu’aucun sursaut ne semble en cours dans l’opinion : à la question qui souhaitez-vous comme Premier ministre, les Français penchent à 39% pour Jordan Bardella devant Gabriel Attal (36%), viennent ensuite Jean-Luc Mélenchon (16%) juste devant Laurent Berger (15%) et Gérard Larcher (14%).

Quant au pronostic de victoire, 43% des sondés voient le RN vainqueur contre seulement 10% pour la gauche et les macronistes.

Sondages législatives: Le RN proche de la majorité absolue

Sondages législatives: Le RN proche de la majorité absolue

Pour qu’un groupe politique, ou une alliance de groupes politiques, obtienne la majorité absolue à l’Assemblée nationale, il lui faut obtenir 289 sièges sur les 577 que compte l’Assemblée nationale. Dans un sondage Elabe pour La Tribune Dimanche et BFMTV, le RN recueillerait 31% des voix devant l’alliance de gauche (28%) et le camp macroniste (18%).Les projections en sièges établies par l’institut Elabe donneraient : une fourchette de 220 à 270 sièges pour le RN, de 150 à 190 pour l’alliance de gauche, de 90 à 130 élus pour les macronistes et de 30 à 40 pour LR. « Des projections à prendre avec précaution », selon Bernard Sananès président d’Elabe.

 

 
Ce sondage contient d’autres mauvaises pour Emmanuel Macron et sa majorité sortante. Pour sept Français sur 10, l’implication du chef de l’Etat est perçue plutôt comme un handicap pour son camp. Cela va donc dans le sens de certains députés sortants qui préfèrent mettre la photo de Gabriel Attal sur leurs documents de campagne plutôt que celle d’Emmanuel Macron.

Autre signe qu’aucun sursaut ne semble en cours dans l’opinion : à la question qui souhaitez-vous comme Premier ministre, les Français penchent à 39% pour Jordan Bardella devant Gabriel Attal (36%), viennent ensuite Jean-Luc Mélenchon (16%) juste devant Laurent Berger (15%) et Gérard Larcher (14%).

Quant au pronostic de victoire, 43% des sondés voient le RN vainqueur contre seulement 10% pour la gauche et les macronistes.

Sondage législatives : la majorité absolue en danger pour Macron

Sondage législatives : la majorité absolue en danger pour Macron

 

Selon un nouveau sondage réalisé par Elabe pour BFMTV, l’Express , la coalition Ensemble (Renaissance, le MoDem, Horizons et Agir) n’est pas assurée de parvenir à remporter la majorité absolue à l’Assemblée nationale

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Ensemble pourrait en effet obtenir entre 255 et 295 sièges, ce qui représenterait entre 55 et 95 sièges de moins qu’en 2017. En cause, la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes, composée de la France Insoumise, Europe Ecologie Les Verts, du Parti socialiste et du Parti communiste) qui parviendrait à obtenir entre 150 et 200 sièges, soit entre 77 et 127 de plus qu’en 2017.

Les Républicains et l’UDI, eux, n’obtiendraient qu’entre 55 et 75 sièges, ce qui représente 61 à 81 sièges de moins par rapport à 2017. Quant au Rassemblement National, il progresse en nombre de sièges par rapport à 2017, puisqu’il pourrait dégoter entre 30 et 50 sièges, ce qui représenterait 22 à 42 sièges supplémentaires par rapport à il y a cinq ans.

Par ailleurs, la projection du taux de participation se situe entre 44 et 47% des Français pour le second tour du scrutin, puisque 47% des sondés inscrits sur les listes électorales se disent « tout à fait certains d’aller voter », et 11% l’envisagent sérieusement. Pour rappel au premier tour, la projection du niveau de participation était également située entre 44 et 47%. Au final, le taux de participation à l’échelle nationale s’est élevé à 52,49%: soit une abstention record pour un premier tour.

La monarchie absolue ou la démocratie de la délation ???

La monarchie absolue ou la démocratie de la délation ???

 

Une défense pitoyable du baron De Rugy sur BFM hier ; De Rugy appelle même à la censure sur internet sans doute pour susbtituer à la démocratie une monarchie absolue dont s’inspire Macron.

Visiblement Macron ( comme le courtisan de Rugy) a des difficultés avec la sémantique et sa tendance à l’hystérisation des situations délicates pour le gouvernement  le conduit à déraper.  En matière de vocabulaire. En effet,  Emmanuel Macron a mis en garde lundi contre la « République de la délation». Emmanuel Macron  oppose des faits aux révélations de la presse. Or certaines révélations relatives à de Rugy constituent des faits indiscutables exemple ces dîner fastueux, cet appartement à Nantes à loyer aidé ou encore le fait qu’il n’ait pas payé d’impôts en 2015. Comment un citoyen français, par ailleurs député, qui dispose à revenu de 16 000 € mensuels environ peut-il ne pas payer d’impôt sur le revenu ? En réalité, la presse n’a fait que son travail d’autant plus que de Rugy avait  adopté une posture de père la rigueur en exigeant la réduction du train de vie des députés. Difficile de comprendre le positionnement de Macron qui pourrait traiter cette affaire par le mépris et qui pourtant déclare : “J’ai demandé au Premier ministre d’apporter toute la clarté”, a déclaré le président interrogé sur cette affaire lors d’une conférence de presse à Belgrade. “Moi je ne prend pas de décisions sur la base de révélations mais de faits”. “Il y a encore dans notre pays le respect de la personne individuelle, des droits de la défense et de la possibilité de répondre sinon ça devient la République de la délation ».

Rappelons que la délation est une dénonciation pour des motifs très condamnables. Or la dans le cas de l’affaire de Rugy il s’agit de transparence de la vie politique. Cette transparence ne serait être condamnable même si aujourd’hui on tolère beaucoup moins qu’hier les frasques de nos responsables.  si on entend par délation toute information déplaisante ou gênante alors c’est une atteinte à la liberté d’information. On tombe alors  dans une forme de monarchie absolue. Justement le modèle qui idéologiquement inspire fortement Macron dans tous ses actes. Plus que n’importe quel autre président de la république, Macron se comporte en monarque plus ou moins républicain en étouffant encore plus que par le passé les affaires politico financières, en nommant ses proches au plus haut poste de responsabilité, surtout en décidant de tout, tout le temps et partout. Pour illustrer cette tendance monarchique il suffit de se rappeler la ridicule cérémonie d’investiture au Louvres. Macron confond grandeur et pompes. Macron adopte vis-à-vis de l’affaire de Rugy  la même posture que celle adoptée au début de l’affaire Benalla., Il hystérise la situation, la traite par le mépris pour dans quelques jours, semaines ou quelques mois se contredire totalement.

 

Rappelons que la délation est une dénonciation pour des motifs très condamnables. Or la dans le cas de l’affaire de Rugy il s’agit de transparence de la vie politique. Cette transparence ne serait être condamnable même si aujourd’hui on tolère beaucoup moins qu’hier les frasques de nos responsables.  si on entend par délation toute information déplaisante ou gênante alors c’est une atteinte à la liberté d’information. On tombe alors  dans une forme de monarchie absolue. Justement le modèle qui idéologiquement inspire fortement Macron dans tous ses actes. Plus que n’importe quel autre président de la république, Macron se comporte en monarque plus ou moins républicain en étouffant encore plus que par le passé les affaires politico financières, en nommant ses proches au plus haut poste de responsabilité, surtout en décidant de tout, tout le temps et partout. Pour illustrer cette tendance monarchique il suffit de se rappeler la ridicule cérémonie d’investiture au Louvres. Macron confond grandeur et pompes. Macron adopte vis-à-vis de l’affaire de Rugy  la même posture que celle adoptée au début de l’affaire Benalla., Il hystérise la situation, la traite par le mépris pour dans quelques jours, semaines ou quelques mois se contredire totalement.

 

Démocratie : République de la délation ou de la monarchie absolue ?

Démocratie : République de la délation ou de la monarchie absolue ?

Visiblement Macron a des difficultés avec la sémantique et sa tendance à l’hystérisation des situations délicates pour le gouvernement  le conduit à déraper en  matière de vocabulaire. En effet,  Emmanuel Macron a mis en garde contre la « République de la délation». Emmanuel Macron  oppose des faits aux révélations de la presse. Or certaines révélations relatives à de Rugy constituent des faits indiscutables exemple ces dîner fastueux, cet appartement à Nantes à loyer aidé ou encore le fait qu’il n’ait pas payé d’impôts en 2015. Comment un citoyen français, par ailleurs député, qui dispose d’un revenu de 13 000 € mensuels environ peut-il ne pas payer d’impôt sur le revenu ? En réalité, la presse n’a fait que son travail d’autant plus que de Rugy avait  adopté une posture de père la rigueur en exigeant la réduction du train de vie des députés. Difficile de comprendre le positionnement de Macron qui pourrait traiter cette affaire par le mépris et qui pourtant déclare : “J’ai demandé au Premier ministre d’apporter toute la clarté”, a déclaré le président interrogé sur cette affaire lors d’une conférence de presse à Belgrade. “Moi je ne prend pas de décisions sur la base de révélations mais de faits”. “Il y a encore dans notre pays le respect de la personne individuelle, des droits de la défense et de la possibilité de répondre sinon ça devient la République de la délation ».

Rappelons que la délation est une dénonciation pour des motifs très condamnables. Or la dans le cas de l’affaire de Rugy il s’agit de transparence de la vie politique. Or aujourd’hui on tolère beaucoup moins qu’hier les frasques de nos responsables.  Si on entend par délation toute information déplaisante ou gênante alors c’est une atteinte à la liberté d’information. On tombe alors  dans une forme de monarchie absolue. Justement le modèle qui idéologiquement inspire fortement Macron dans tous ses actes. Plus que n’importe quel autre président de la république, Macron se comporte en monarque plus ou moins républicain en étouffant encore plus que par le passé les affaires politico financières, en nommant ses proches au plus haut poste de responsabilité, surtout en décidant de tout, tout le temps et partout. Pour illustrer cette tendance monarchique il suffit de se rappeler la ridicule cérémonie d’investiture au Louvres. Macron confond grandeur et pompes. Macron adopte vis-à-vis de l’affaire de Rugy  la même posture que celle adoptée au début de l’affaire Benalla., Il hystérise la situation, la traite par le mépris pour dans quelques jours, semaines ou quelques mois se contredire totalement La  preuve encore avec le limogeage de Rugy.

République de la délation ou république de la monarchie absolue ?

République de la délation ou république de la monarchie absolue ?

Visiblement Macron a des difficultés avec la sémantique et sa tendance à l’hystérisation des situations délicates pour le gouvernement  le conduit à déraper.  En matière de vocabulaire. En effet,  Emmanuel Macron a mis en garde lundi contre la « République de la délation». Emmanuel Macron  oppose des faits aux révélations de la presse. Or certaines révélations relatives à de Rugy constituent des faits indiscutables exemple ces dîner fastueux, cet appartement à Nantes à loyer aidé ou encore le fait qu’il n’ait pas payé d’impôts en 2015. Comment un citoyen français, par ailleurs député, qui dispose à revenu de 16 000 € mensuels environ peut-il ne pas payer d’impôt sur le revenu ? En réalité, la presse n’a fait que son travail d’autant plus que de Rugy avait  adopté une posture de père la rigueur en exigeant la réduction du train de vie des députés. Difficile de comprendre le positionnement de Macron qui pourrait traiter cette affaire par le mépris et qui pourtant déclare : “J’ai demandé au Premier ministre d’apporter toute la clarté”, a déclaré le président interrogé sur cette affaire lors d’une conférence de presse à Belgrade. “Moi je ne prend pas de décisions sur la base de révélations mais de faits”. “Il y a encore dans notre pays le respect de la personne individuelle, des droits de la défense et de la possibilité de répondre sinon ça devient la République de la délation ».

Rappelons que la délation est une dénonciation pour des motifs très condamnables. Or la dans le cas de l’affaire de Rugy il s’agit de transparence de la vie politique. Cette transparence ne serait être condamnable même si aujourd’hui on tolère beaucoup moins qu’hier les frasques de nos responsables.  si on entend par délation toute information déplaisante ou gênante alors c’est une atteinte à la liberté d’information. On tombe alors  dans une forme de monarchie absolue. Justement le modèle qui idéologiquement inspire fortement Macron dans tous ses actes. Plus que n’importe quel autre président de la république, Macron se comporte en monarque plus ou moins républicain en étouffant encore plus que par le passé les affaires politico financières, en nommant ses proches au plus haut poste de responsabilité, surtout en décidant de tout, tout le temps et partout. Pour illustrer cette tendance monarchique il suffit de se rappeler la ridicule cérémonie d’investiture au Louvres. Macron confond grandeur et pompes. Macron adopte vis-à-vis de l’affaire de Rugy  la même posture que celle adoptée au début de l’affaire Benalla., Il hystérise la situation, la traite par le mépris pour dans quelques jours, semaines ou quelques mois se contredire totalement.

 

Rappelons que la délation est une dénonciation pour des motifs très condamnables. Or la dans le cas de l’affaire de Rugy il s’agit de transparence de la vie politique. Cette transparence ne serait être condamnable même si aujourd’hui on tolère beaucoup moins qu’hier les frasques de nos responsables.  si on entend par délation toute information déplaisante ou gênante alors c’est une atteinte à la liberté d’information. On tombe alors  dans une forme de monarchie absolue. Justement le modèle qui idéologiquement inspire fortement Macron dans tous ses actes. Plus que n’importe quel autre président de la république, Macron se comporte en monarque plus ou moins républicain en étouffant encore plus que par le passé les affaires politico financières, en nommant ses proches au plus haut poste de responsabilité, surtout en décidant de tout, tout le temps et partout. Pour illustrer cette tendance monarchique il suffit de se rappeler la ridicule cérémonie d’investiture au Louvres. Macron confond grandeur et pompes. Macron adopte vis-à-vis de l’affaire de Rugy  la même posture que celle adoptée au début de l’affaire Benalla., Il hystérise la situation, la traite par le mépris pour dans quelques jours, semaines ou quelques mois se contredire totalement.

 

Sondage législative : Majorité absolue pour Emmanuel Macron avec 400 députés

Sondage législative : Majorité absolue pour Emmanuel Macron avec 400 députés

Selon un sondage Ipsos Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France publié vendredi les candidats La République en marche obtiendraient une majorité absolue à l’Assemblée nationale lors des élections législatives du 11 et 18 juin prochain avec un nombre de sièges variant entre 397 et 427, selon un sondage Ipsos Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France publié vendredi. Ils devanceraient ainsi l’alliance Les Républicains/UDI qui obtiendrait entre 95 et 115 sièges, ainsi que le Parti socialiste et ses alliés, crédités de 22 à 32 sièges, la France Insoumise, créditée de 11 à 21 sièges et le Front national, qui obtiendrait de 5 à 15 sièges. Le mouvement d’Emmanuel Macron recueille ainsi 31,5% des intentions de vote, soit une hausse de 2 points par rapport au sondage réalisé entre le 2 et 4 juin dernier. Les Républicains/UDI sont crédités de 22% des intentions de vote, soit une baisse d’un point. Le Front national obtient, quant à lui, 17% des intentions de vote, comme dans le sondage précédent. La France insoumise recueille 11,5% des intentions de vote, soit une baisse d’un point et le Parti socialiste et ses alliés 8%, soit une baisse d’un demi-point. Le sondage a été réalisé en ligne entre le 7 et le 8 juin auprès de 1.995 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondages Législatives: majorité absolue pour  » en Marche » ?

Sondages Législatives: majorité absolue pour  » en Marche » ?

Dans une enquête Harris Interactive et Indeed pour la chaine LCP*, réalisée après les derniers développements de « l’affaire » Richard Ferrand et publiée le 1er juin, les listes LREM-MoDem sont créditées de 31% des suffrages. Elles devancent nettement les candidats présentés par le Front National (18%, -1 point) et ceux sous l’étiquette « Les Républicains » (LR)-UDI (18% également, stable). En revanche, les intentions de vote pour les candidats de la France insoumise atteignent maintenant 11%, soit un recul de trois points sur une semaine et de cinq points sur deux semaines… Selon Harris Interactive, il n’y a plus que 50% des électeurs qui ont voté Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle qui sont prêts à voter pour des candidats de la France Insoumise, soit un recul de… 23 points en quinze jours. Une autre enquête Ipos/Sopra Steria Cevipof Le Monde**, publiée ce 2 juin, affiche grosso modo les mêmes tendances avec LREM/MoDem à 31%, LR/UDI à 22%, le FN à 18%, la France Insoumise à 11,5% et le PS/PRG à 8,5%. Par ailleurs, les deux enquêtes se sont livrées à une projection en sièges, forcément aléatoire. Ce sont les résultats de l’Ipsos qui se montrent les plus « optimistes » pour la majorité présidentielle. Ainsi, LREM et MoDem sont crédités d’une large majorité absolue à l’Assemblée nationale en pouvant potentiellement obtenir entre 395 et 425 sièges. Rappelons que la majorité absolue se situe à 289 sièges. Suivraient LR/UDI (entre 95 et 115 sièges), PS/PRG/EELV (25 à 35 sièges), France Insoumise/Parti communiste (entre 10 et 20 sièges) et le Front National (5 à 15 sièges). Rappelons aussi qu’il faut au moins 15 députés réunis sous une même étiquette pour former un groupe parlementaire. Pour Harris Interactive, La République en Marche et le MoDem obtiendraient également la majorité absolue. Mais elle serait un peu moins forte avec une fourchette comprise entre 330 et 360 sièges. La droite pourrait compter entre 135 et 150 députés ; le PS et ses alliés entre 30 et 44 ; la France Insoumise et le PCF entre 15 et 25, et le FN entre 8 et 22.

*Enquête réalisée du 30 mai au 1er juin sur un échantillon de 1.022 personnes.

** Enquête réalisée du 27 au 30 mai sur un échantillon de 14.958 personnes.

 

Sondage législatives: majorité absolue pour « en Marche »

Sondage législatives: majorité absolue pour en marche 

Majorité absolue pour en marche à l’Assemblée nationale avec 320 à 350 sièges, devant les Républicains et l’UDI (140 à 155) et les socialistes alliés aux écologistes (40 à 50), selon des projections de Kantar Sofres-Onepoint pour LCI, Le Figaro et RTL. Dans ce sondage publié mardi en vue des élections législatives des 11 et 18 juin, LREM est créditée de 31% des voix au premier tour, LR-UDI de 18%, le Front national de 17%, La France insoumise de 12%. En projections de sièges, La France insoumise et le Parti communiste gagnerait 20 à 30 élus, le FN de 10 à 15 élus. L’enquête a été réalisée en ligne du 24 au 28 mai auprès d’un échantillon de 2.022 inscrites sur les listes électorales représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

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