Archive pour le Tag 'absent !'

Politique et Antisémitisme : Macron absent a encore raté une marche !

Politique et Antisémitisme : Macron absent a encore raté une marche !


Le président de la république aura réfléchi bien longtemps avant de savoir si sa présence lors de la marche antisémitisme était politiquement utile ou pas. Force est de constater que là encore, il sera un peu à côté de la plaque puisqu’il a décidé d’être absent. Cette absence et ses faux pas récurrents caractérisent la politique de Macron notamment dans le domaine de la diplomatie. Faut-il rappeler ses positions contradictoires par exemple sur le conflit en Ukraine et ses ridicules conversations avec Poutine; Ou encore ses déconvenues en Afrique. Faut-il aussi rappeler que sa première réaction concernant le conflit à Gaza a été de proposer une alliance internationale contre le Hamas et progressivement pour évaluer vers la demande maintenant d’un cessez-le-feu. Bref toujours « le même temps ».

La présence d’un président de la république aurait sans doute donné un caractère très symbolique à la manifestation unitaire contre l’antisémitisme. Macron de ce point de vue aura encore raté la marche. Cependant cette présence aurait été à double tranchant car le président n’est guère populaire de popularité varie autour de 25 % et c’est un président qui suscite le rejet et même la haine. Et de ce point de vue, sa présence aurait peut-être porté préjudice à la manifestation.

Emmanuel Macron ne se rendra pas à la marche contre l’antisémitisme organisée ce dimanche 12 novembre à Paris. Il considère toutefois ces rassemblements comme « un motif d’espérance ».
Le président de la République ne se rendra pas à la marche contre l’antisémitisme ce dimanche 12 novembre à Paris, affirme l’entourage d’Emmanuel Macron à BFMTV. Le président de la République a toutefois salué ces rassemblements qu’il voit comme « un motif d’espérance ».

Pour s’excuser l’Élysée a sorti un communiqué « Le Président de la République combat sans relâche toutes les formes d’antisémitisme depuis le premier jour. Que des rassemblements viennent, partout en France, relayer ce combat est un motif d’espérance ».

Et ajoute: « Voilà pourquoi le Président salue avec respect celles et ceux qui, dimanche, marcheront pour la République, contre l’antisémitisme et pour la libération des otages ».

En raison de la participation du Rassemblement national à l’événement, La France insoumise a annoncé qu’elle n’y participerait pas. Renaissance, EELV ou le Parti socialiste ont exprimé leurs réserves mais seront tout de même présents.

Antisémitisme : Macron absent a encore raté une marche !

Antisémitisme : Macron absent a encore raté une marche !


Le président de la république aura réfléchi bien longtemps avant de savoir si sa présence lors de la marche antisémitisme était politiquement utile ou pas. Force est de constater que là encore, il sera un peu à côté de la plaque puisqu’il a décidé d’être absent. Cette absence et ses faux pas récurrents caractérisent la politique de Macron notamment dans le domaine de la diplomatie. Faut-il rappeler ses positions contradictoires par exemple sur le conflit en Ukraine et ses ridicules conversations avec Poutine; Ou encore ses déconvenues en Afrique. Faut-il aussi rappeler que sa première réaction concernant le conflit à Gaza a été de proposer une alliance internationale contre le Hamas et progressivement pour évaluer vers la demande maintenant d’un cessez-le-feu. Bref toujours « le même temps ».

La présence d’un président de la république aurait sans doute donné un caractère très symbolique à la manifestation unitaire contre l’antisémitisme. Macron de ce point de vue aura encore raté la marche. Cependant cette présence aurait été à double tranchant car le président n’est guère populaire de popularité varie autour de 25 % et c’est un président qui suscite le rejet et même la haine. Et de ce point de vue, sa présence aurait peut-être porté préjudice à la manifestation.

Emmanuel Macron ne se rendra pas à la marche contre l’antisémitisme organisée ce dimanche 12 novembre à Paris. Il considère toutefois ces rassemblements comme « un motif d’espérance ».
Le président de la République ne se rendra pas à la marche contre l’antisémitisme ce dimanche 12 novembre à Paris, affirme l’entourage d’Emmanuel Macron à BFMTV. Le président de la République a toutefois salué ces rassemblements qu’il voit comme « un motif d’espérance ».

Pour s’excuser l’Élysée a sorti un communiqué « Le Président de la République combat sans relâche toutes les formes d’antisémitisme depuis le premier jour. Que des rassemblements viennent, partout en France, relayer ce combat est un motif d’espérance ».

Et ajoute: « Voilà pourquoi le Président salue avec respect celles et ceux qui, dimanche, marcheront pour la République, contre l’antisémitisme et pour la libération des otages ».

En raison de la participation du Rassemblement national à l’événement, La France insoumise a annoncé qu’elle n’y participerait pas. Renaissance, EELV ou le Parti socialiste ont exprimé leurs réserves mais seront tout de même présents.

Marche antisémitisme : Macron encore absent !

Marche antisémitisme : Macron encore absent !


Le président de la république aura réfléchi bien longtemps avant de savoir si sa présence lors de la marche antisémitisme était politiquement utile ou pas. Force est de constater que là encore, il sera un peu à côté de la plaque puisqu’il a décidé d’être absent. Cette absence et ses faux pas récurrents caractérisent la politique de Macron notamment dans le domaine de la diplomatie. Faut-il rappeler ses positions contradictoires par exemple sur le conflit en Ukraine et ses ridicules conversations avec Poutine; Ou encore ses déconvenues en Afrique. Faut-il aussi rappeler que sa première réaction concernant le conflit à Gaza a été de proposer une alliance internationale contre le Hamas et progressivement pour évaluer vers la demande maintenant d’un cessez-le-feu. Bref toujours le même temps.

La présence d’un président de la république aurait sans doute donné un caractère très symbolique à la manifestation unitaire contre l’antisémitisme. Macron de ce point de vue aura encore raté la marche. Cependant cette présence aurait été à double tranchant car le président n’est guère populaire de popularité varie autour de 25 % et c’est un président qui suscite le rejet et même la haine. Et de ce point de vue, sa présence aurait peut-être porté préjudice à la manifestation.

Emmanuel Macron ne se rendra pas à la marche contre l’antisémitisme organisée ce dimanche 12 novembre à Paris. Il considère toutefois ces rassemblements comme « un motif d’espérance ».
Le président de la République ne se rendra pas à la marche contre l’antisémitisme ce dimanche 12 novembre à Paris, affirme l’entourage d’Emmanuel Macron à BFMTV. Le président de la République a toutefois salué ces rassemblements qu’il voit comme « un motif d’espérance ».

Pour s’excuser l’Élysée a sorti un communiqué « Le Président de la République combat sans relâche toutes les formes d’antisémitisme depuis le premier jour. Que des rassemblements viennent, partout en France, relayer ce combat est un motif d’espérance ».

Et ajoute: « Voilà pourquoi le Président salue avec respect celles et ceux qui, dimanche, marcheront pour la République, contre l’antisémitisme et pour la libération des otages ».

En raison de la participation du Rassemblement national à l’événement, La France insoumise a annoncé qu’elle n’y participerait pas. Renaissance, EELV ou le Parti socialiste ont exprimé leurs réserves mais seront tout de même présents.

Climat : Trop absent de la campagne électorale ?

Climat : Trop absent de la campagne électorale ?

 

« L’affaire du siècle » – une initiative soutenue par une centaine de personnalités et d’organisations – dénonce l’inaction de l’Etat dans la lutte contre le changement climatique et exige que cette question soit centrale dans le débat présidentiel.( Le Monde)

Une tribune intéressante mais au caractère un peu trop général et trop peu concret NDLR

Tribune.

La météorite climatique est visible à qui veut bien lever le regard. Et, à vrai dire, son impact fait déjà sentir ses effets. La crise écologique s’accélère partout dans le monde, y compris en France. Les rapports scientifiques s’accumulent, précisant chaque fois davantage les perspectives dramatiques qui nous attendent sans un sursaut des responsables politiques et économiques.

Dans une action menée par « L’affaire du siècle », la France a été doublement condamnée en 2021 par la justice pour son inaction climatique, notamment par le Conseil d’Etat, la plus haute instance administrative de notre pays. Juridique, l’événement est aussi social. La mobilisation exceptionnelle de 2,3 millions de citoyens en faveur de cette action en justice et les marches pour le climat, rassemblant plusieurs centaines de milliers d’entre nous, auront été des faits particulièrement marquants de ce quinquennat.

Pourtant, à quelques semaines du premier tour de l’élection présidentielle, l’urgence climatique et l’effondrement de la biodiversité sont largement absents du débat médiatique et politique. Trop de candidats à la magistrature suprême esquivent le sujet. Trop de fois ce thème est absent des discours et des interviews. Où sont leurs réponses ? Comment peut-on prétendre défendre l’Etat de droit sans dire comment l’on compte sortir la France de l’illégalité climatique ?

Pas de climat, pas de mandat !

Rédactions et journalistes doivent prendre leur responsabilité et exiger des réponses concrètes, sans reléguer le climat en fin d’interview ou de débat. Après tout, il ne s’agit rien de moins que de notre quotidien – d’aujourd’hui et de demain –, de nos factures énergétiques, de nos emplois, de nos récoltes, de notre alimentation, de notre préparation aux canicules ou aux catastrophes naturelles.

En somme, de notre possibilité de vivre une vie digne et enthousiasmante dans la France des prochaines décennies. Quelles mesures les candidats et candidates souhaitent-ils mettre en place pour conjuguer urgence climatique et justice sociale ? L’essentiel du débat présidentiel est encore devant nous. Il n’y a pas de fatalité à vivre une campagne électorale que deux tiers des Françaises et Français estiment déconnectée des vrais problèmes et qui relègue au second plan l’urgence climatique.

L’ensemble des candidats doivent dire aux citoyens comment ils et elles comptent sortir la France de l’illégalité et comment ils comptent lutter contre la crise climatique. Ensemble, nous avons le pouvoir de replacer le climat au cœur du débat pour l’élection présidentielle. Ensemble nous affirmons : Pas de climat, pas de mandat !

Participation des salariés : le grand absent de la campagne électorale

Participation des salariés : le grand absent de la campagne électorale

 

Un peu partout on se lamente des difficultés de recrutement et assez souvent d’un manque d’adhésion des salariés à la stratégie des entreprises.

En cause en France, la vision très manichéenne du pouvoir total au patron et des salariés considérés seulement comme des moyens de production.

La France aurait pourtant besoin de forme d’association des salariés pour faire face au déficit chronique de compétitivité du pays. Plus que d’autres la France a un urgent besoin aussi de redonner un sens au travail.

Malheureusement la question de la participation des salariés et la grande absente de la campagne électorale . Du côté de la droite , on se satisfait de cette partition des responsabilités pour éloigner le spectre du socialisme. Inversement à gauche, on est particulièrement heureux de n’avoir pas à se mêler de gestion qui pourrait faire apparaître les contradictions et l’incongruité de certaines revendications. Bref un accord commun pour des motifs différents qui entretient une situation duale  voire caricaturale en France. On est loin de l’association pratiquée en Allemagne qui permet à l’appareil de production d’être particulièrement dynamique et compétitif sans parler du différentiel de salaire plus favorable outre-Rhin

Macron absent 2022:une hypothèse mais qui vient déjà gangrener sa candidature

Macron absent  2022:une  hypothèse mais qui vient déjà gangrener sa candidature

 

Il est difficile de savoir quel est l’objectif que poursuivait Ismaël Emelien, ex conseiller spécial de Macron, et très proche du président de la république,  quand il a déclaré que la candidature d’Emmanuel Macron serait impossible si le quinquennat n’est pas réussi. Ce  à quoi il ne croit pas. Pour autant, en émettant cette possibilité, Ismaël Emelien pose une hypothèque sur un nouveau mandat. L’intéressé qui soutient la candidature de Macron pour 2022 voulait sans doute par ses propos évoquer une hypothèse impossible parce qu’il croit en la réussite de la politique du chef de l’Etat. Toutefois l’évocation de cette hypothèse pourrait agir comme une sorte de venin très lent pour à terme tuer la possibilité d’une prolongation du mandat de Macron. Aujourd’hui dans les circonstances politiques actuelles, les experts de l’opinion imaginent un nouvel affrontement entre Macron et Le Pen en 2022. Un nouvel affrontement qui sans doute tournerait à l’avantage de Macron moins en raison du succès de sa politique qu’en raison des faiblesses et du rejet de Marine Le Pen. Mais l’échéance de 2022 est à la fois proche et lointaine. Beaucoup de choses peuvent se passer d’ici la. Pour preuve au cours des 20 mois de mandat de Macron, l’image du président de la république à qui  tout réussissait au départ s’est très fortement détériorée tant au plan international qu’au plan national. Il n’est plus soutenu que par environ 30 % des Français et sa politique économique et sociale est clairement rejetée par 70 % de la population depuis plusieurs mois. Les Français pourraient être fatigués d’un remake de 2018 qui permettraient un nouvel affrontement entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. En outre, il faut prendre en considération que si la réélection de Macron est envisageable par contre il n’est pas certain qu’il obtienne une majorité à l’assemblée nationale tellement les députés de la république en marche se sont montrés absents, transparents autant que godillots. Tout dépendra aussi de la situation économique et sociale. Or dans ce domaine, les prévisions sont bien seraient bien hasardeuses tellement la conjoncture est incertaine. Rappelons-nous qu’après une bonne année 2017 tous les experts voyaient la croissance encore plus dynamique en 2018 et 2019. Aujourd’hui les mêmes experts espèrent un redressement en 2020 après une année 2019 très maussade qui pourrait même tutoyer la récession dans plusieurs pays. L’hypothèse d’un redressement économique à partir de 2020 est possible mais l’inverse aussi car il se pourrait bien qu’on s’installe désormais et pour une longue période dans une croissance molle qui viendrait bousculer  les déséquilibres économiques financiers et sociaux.

TF1- Jean-Pierre Pernaut absent pendant une semaine : on fait comment pour l’info ?

TF1- Jean-Pierre Pernaut absent pendant une semaine : on fait comment pour l’info ?

 

Un drame évidemment, Jean-Pierre Pernaut sera absent des écrans de TF1 pendant une semaine. Autant dire que la France sera privée d’information pendant la même période. On ne saura  donc pas comment un retraité de Romorantin a fabriqué une tour Eiffel d’un mètre de haut avec des allumettes ou comment le curé de Carpentras a réussi à relancer un groupe de majorettes en difficulté. L’émission de TF1 à midi constitue un rituel incontournable pour connaître ce qui se passe dans la France profonde,  c’est un peu comme la messe le dimanche à la télé : un bruit de fond qui met de l’ambiance dans la cuisine. Dans nombre de maisons de retraite on risque d’être complètement désorienté. Pas étonnant que TF1 perde des parts de marché si elle supprime maintenant l’info dégoulinante de bons sentiments et  débordante de banalités rurales. Heureusement Jean-Pierre Pernaut ne sera absent qu’une semaine mais c’est sur une seule jambe qu’il  tiendra l’antenne. Pour apitoyer encore un peu plus une audience défaillante, Jean-Pierre Pernaut on envisage même de lui faire présenter le journal dans un fauteuil roulant ; l’objectif étend de trouver encore une meilleure adéquation entre la ligne éditoriale et les téléspectateurs potentiels. Le présentateur du JT de 13 heures sur TF1 a donc subi, dans l’après-midi du vendredi 2 octobre, une opération en urgence après avoir chuté la veille au soir. Il souffre d’une rupture d’un ligament à une jambe. Dès lundi 5 octobre, le journaliste de 65 ans sera remplacé à la présentation du journal par Jacques Legros, son habituel joker. Même s’il devra porter une attelle pendant au moins un mois, Jean-Pierre Pernaut souhaite revenir au plus vite… si l’on peut dire !

Réforme fiscale : Pierre Moscovici  » en phase » avec Jean-Marc Ayrault mais absent !

Réforme fiscale : Pierre Moscovici  » en phase » avec Jean-Marc Ayrault mais absent !

Le ministre de l’Économie Pierre Moscovici s’est dit dimanche 24 novembre « totalement en phase » mais il sera absent des premières consultations. Signe évident qu’il n’a pas été consulté par Ayrault (comme Touraine ou Sapin et même Hollande qui a recadré la réforme d’ici la fin du quinquennat alors qu’Ayrault veut l’appliquer dès 2015).  Avec le Premier ministre au sujet de la remise à plat fiscale annoncée par Jean-Marc Ayrault mardi. « Il n’y a pas, il n’y a plus d’incident ou de malentendu », a déclaré Pierre Moscovici, lors de l’émission « Internationales » (TV5Monde/RFI/Le Monde).    »Je suis totalement en phase avec le Premier ministre et, évidemment, mon ministère, Bercy, prendra toute sa place dans la réforme fiscale et d’ailleurs comment l’imaginer autrement ? », a ajouté Pierre Moscovici, à l’issue d’une semaine qui a vu le Premier ministre dicter sa politique à Bercy par voie de presse. Concernant l’annonce via la presse du remplacement éventuel des directeurs du Budget et du Trésor, Pierre Moscovici a concédé : « Peut-être l’annonce ne m’a-t-elle pas réjoui. » « Sur le reste, ce ministère, Bercy, est tenu (…). Cette administration d’excellence a besoin d’avoir un chef, je suis le chef de cette administration », a-t-il rappelé. Concernant la réforme de la fiscalité annoncée par le Premier ministre, Pierre Moscovici s’est dit « en total accord avec Jean-Marc Ayrault : il ne s’agit pas d’un tournant mais d’un approfondissement, d’une nouvelle étape, d’une remise à plat ».    »Je ne me suis senti en rien marginalisé ou affaibli, parce que le Premier ministre, et c’est son rôle, prenait une grande initiative politique, je l’approuve », a-t-il précisé, se disant « loyal au président de la République, loyal au Premier ministre ».   »Ce sont des décisions collectives, le gouvernement, le président, c’est un ensemble, c’est l’exécutif », a-t-il dit. « Nous travaillons en totale harmonie », il n’y a « aucune divergence, aucune différence », a-t-il affirmé, ajoutant qu’ »il n’y a aucun problème politique ou personnel entre Jean-Marc Ayrault et (lui) ». Pour Pierre Moscovici, « c’est une excellente initiative que de remettre à plat l’ensemble de notre système fiscal, de faire à prélèvements constants, et de chercher la visibilité, la transparence, la simplicité et la justice dans notre système », ainsi que « d’engager une grande concertation avec les partenaires sociaux ».  Interrogé sur les rumeurs de changements au sein de la haute administration du ministère de l’Économie, Pierre Moscovici a répondu : « Des changements dans les administrations, de directeurs en l’occurrence, le directeur du Trésor et le directeur du Budget, peuvent intervenir et doivent intervenir, mais il faut qu’ils interviennent en bon ordre. »  Selon le ministre de l’Économie, cela doit se faire « dans un lieu, le Conseil des ministres, sur la proposition du ministre concerné, en concertation avec le président et le Premier ministre, et dans une relative discrétion ».  Le Premier ministre doit entamer lundi un premier round de consultations en recevant à Matignon les partenaires sociaux sur cette vaste réforme, dont les conclusions sont attendues à l’été 2014. Pierre Moscovici, qui sera en déplacement en Chine – prévu de longue date -, ne sera pas présent.

 




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