Archive pour le Tag 'Abou Dhabi'

Louis Dreyfus se vend à Abou Dhabi

Louis Dreyfus se vend à Abou Dhabi

 

 

On comprend évidemment que les problèmes de succession contraignent certaines entreprises à ouvrir leur capital à de nouveaux investisseurs y compris étrangers. Cependant cette progression des investissements arabes dans des entreprises stratégiques peut faire naître des interrogations quant à la stabilité et la souveraineté de certaines entreprises.

Louis Dreyfus Company (LDC), géant du négoce de matières premières, a annoncé mercredi un accord pour l’ouverture de son capital au fonds souverain d’Abou Dhabi ADQ, ce qui marque une rupture dans l’histoire de ce groupe resté jusqu’à présent familial après 169 ans d’existence.

La holding qui contrôle LDC a signé un accord pour la cession d’une participation indirecte de 45% à ADQ, annonce dans un communiqué le groupe contrôlé par Margarita Louis-Dreyfus.

Margarita Louis-Dreyfus a pris les commandes du groupe après la mort de son mari Robert Louis-Dreyfus en 2009. La femme d’affaires suisse, d’origine russe, a consacré les dix dernières années à racheter les parts des actionnaires familiaux minoritaires désireux de se désengager dans le cadre d’un accord de long terme défini par son défunt mari.

Après une décennie de transactions coûteuses agrémentées d’échanges acrimonieux, sur fond de recul des bénéfices sur des marchés agricoles difficiles, Margarita Louis-Dreyfus a finalement porté l’an dernier à plus de 96%, contre 50,1% initialement, la participation de son trust familial Akira dans Louis Dreyfus Company Holdings B.V. (LDHBV), la structure qui détient la participation familiale dans LDC.

LDC, ou Dreyfus, est le D du sigle ABCD désignant les quatre géants du négoce agricole mondial avec Archer Daniels Midland, Bunge et Cargill.

Comme ses concurrents, le groupe a entrepris de restructurer ses activités, en abandonnant notamment le négoce des produits laitiers et des métaux, tout en mettant l’accent sur la transformation alimentaire, en particulier en Asie.

La France exporte la TVA à Ryad et Abou Dhabi

La France exporte la TVA à Ryad et Abou Dhabi

 

La France n’a pas de pétrole mais elle dispose de l’ingénierie fiscale la plus puissante au monde. D’une certaine manière, la France va exporter la TVA dans le Golfe. La France est en effet le premier pays à avoir mis en œuvre la TVA en 1954. Progressivement elle s’est étendue à d’autres pays et le virus atteint maintenant des pays qui n’avaient pas encore goûté les réjouissances fiscales nationales françaises il faut peut-être regretter que la France n’ait  pas pensé à déposer un brevet sur chaque innovation fiscale car ce serait alors sans doute la première source de ses revenus ! L’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont donc aussi   introduit lundi une TVA pour diversifier leurs revenus, une première dans le Golfe où les habitants profitaient jusqu’à présent d’une absence de taxes et d’importantes subventions. Premier exportateur mondial de pétrole, le royaume saoudien a par ailleurs annoncé dimanche soir une hausse respective de 127% et de 83% sur les prix de différents types d’essence, avec un effet immédiat à partir du 1er janvier.  Ces annonces sont les dernières en date d’une série de mesures introduites par les monarchies pétrolières du Golfe au cours des deux dernières années pour trouver de nouvelles recettes et résorber leur déficit budgétaire dû à la baisse constante du prix du brut. L’introduction d’une taxe sur la valeur ajoutée de 5% avait fait l’objet en juin 2016 d’un accord entre les six pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG – Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Koweït, Oman et Qatar). Elle s’applique à la majorité des biens et services et pourrait rapporter aux deux pays un total de 21 milliards de dollars en 2018, soit l’équivalent de 2% de leur PIB, estiment des analystes. Bahreïn, le Koweït, Oman et le Qatar ont eux décidé de repousser à 2019 l’introduction de la TVA. La hausse des prix des carburants en Arabie saoudite est la deuxième en deux ans mais l’essence dans le royaume reste parmi le moins cher au monde. Les prix du diesel et du kérosène sont restés inchangés. Le mois dernier, Ryad a également augmenté le prix de l’électricité. L’Arabie saoudite a accumulé ces quatre dernières années 258 milliards de dollars de déficits budgétaires. Malgré la mise en place progressive de ces réformes, le pays va continuer à afficher des déficits budgétaires jusqu’en 2023, a toutefois prévenu le roi Salmane. Pour y faire face, Ryad a puisé dans ses réserves à hauteur de 250 milliards de dollars depuis 2014 et emprunté 100 milliards de dollars de plus.

 

Conférence Abou Dhabi : « Qui est le salopard qui m’a dénoncé » ( Sarkozy)

Il y a un traître dans la maison UMP, celui qui a dénoncé Sarkozy pour sa conférence grassement rémunéré à Abu-Dhabi. C’est vrai, on peut même plus faire son petit business tranquille . certains courtisans ( encore plus veules que les autres) ;  s’étonnent même de la pub faite à cet événement «  c’est son métier à Sarkozy de faire des conférences internationales » . ben voyons, il a tellement de choses à dire dommage qu’il ne fasse pas profiter les français car pour l’instant on attend encore les idées programmatiques. Et pourquoi accabler ainsi Sarkozy alors même que le cancre Montebourg va donner des conférence sur l’économie au Etat-Unis ? c’est vrai nos responsables sont demandés partout, ils exportent leur savoir, leurs compétences , leur détermination aussi. Pas comme Jean Tirole, le discret prix Nobel de l’économie qu’on entend si peu, qui parle si peu. Et pour cause, il travaille surtout dans son laboratoire de recherches ( pas comme les experts patentés qui passent leur temps sur les plateaux télé et en se limitant à mettre leurs noms sur la thèse de leurs étudiants). Tirole en plus ,il n’est pas très sexy, trop sérieux, trop ennuyeux, trop technique, trop pertinent. Pas vraiment le profil du conférencier médiatique. Tandis que Sarko, oui, en voilà un qui pourrait débiter l’annuaire du téléphone avec la drama turgie, les tics, la gravité qui imposent. Nicolas Sarkozy a donc bien raison d’être en colère.  en colère. . Selon les informations du Canard Enchaîné daté du mercredi 11 février, l’ancien chef de l’État n’a pas du tout apprécié de voir son escapade à Abou Dhabi pour une conférence rémunérée le 2 février dernier fuiter dans les colonnes de Marianne alors que l’UMP était en proie à de nombreuses divisions sur ligne à suivre dans le Doubs après son échec dès le premier tour de la législative partielle. Bande de salopards ! Jaloux ! Minables ! Ils ne me lâcheront jamais ! Est-ce que c’est de ma faute si je suis demandé partout dans le monde ?  S’il est difficile d’affirmer à l’adresse de qui s’adressait cette colère, l’ancien président serait désormais déterminé à mettre la main sur le mouchard à l’origine de la fuite dans la presse. « L’ambassade de France aux Émirats arabes unis ? C’est possible, mais ça m’étonnerait ! L’ambassade n’aurait pas filé l’info à Marianne. Non, ça vient de chez nous, j’en suis sûr », cite encore le Canard Enchaîné. Une taupe au sein de l’UMP ? L’affaire rappelle une séquence compliquée pour le parti d’opposition, lorsque plusieurs cadres, excédés par les « boules puantes » diffusées dans la presse en pleine affaire Bygmalion, s’étaient mis en tête de démasquer les langues les plus promptes à se délier. Voila en tout cas qui ne va pas contribuer à apaiser le climat électrique qui règne rue de Vaugirard depuis le retour aux affaires de l’ancien président.

 

Sarkozy : encore une conférence rémunérée à Abou Dhabi

Sarkozy : encore  une conférence rémunérée à Abou Dhabi

Il ne peut pas changer, Le coté bling-bling, son rapport au fric  ne sont pas solubles dans sa responsabilité de président de l’UMP. C’est maladif chez lui, pourquoi a-t-il vraiment besoin d’aller gratter 100 000 euros par ci, 100 000 euros par là ? Au moins Juppé lui ne se fait jamais rémunérer (ça ne suffit pas évidemment pour donner une crédibilité à une candidature pour 2017 mais quand même !°En effet Nicolas Sarkozy était lundi 2 février à Abou Dhabi pour y donner une conférence rémunérée selon Marianne. Alors que lundi matin, « l’UMP se réveille traumatisée par son élimination dans le Doubs », son président « s’envole vers des cieux plus cléments » et « se rend à Abou Dhabi pour une conférence très privée… et surtout très rémunérée », écrit l’hebdomadaire, sans préciser le montant de cette rémunération. L’ex-président de la République, indique Marianne, « répondait à l’invitation du Cheikh Mansour et du fonds souverain IPIC ». Aux Émirats arabes unis, il a « consacré son temps à une quinzaine de personnes triées sur le volet » et le matin, « il a aussi été reçu par le prince héritier qui l’a invité au Majlis, le Parlement de l’Émirat ».  Interrogé mercredi en fin de soirée par, l’entourage de Nicolas Sarkozy n’a pas réagi dans l’immédiat. Un proche du président de l’UMP a toutefois confirmé l’information auprès de Marianne : le bureau politique du parti « était convoqué le mardi, on a respecté le jour de la convocation. (Nicolas Sarkozy) était joignable toute la journée (de lundi), cela n’aurait rien changé aux discussions le lendemain ». Après l’élimination dimanche du candidat UMP au premier tour de la législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs, la cacophonie s’est installée lundi à l’UMP, la numéro deux du parti, Nathalie Kosciusko-Morizet, appelant à faire barrage au Front national en votant socialiste, alors que le numéro trois, Laurent Wauquiez, plaidait à l’inverse pour le « ni-ni » (ni PS, ni FN) et exprimait sa préférence personnelle pour le vote blanc.
Au final, après une nouvelle journée de fortes tensions mardi, le Bureau politique de l’UMP a opté de justesse pour le « ni-ni« , contre l’avis de Nicolas Sarkozy, jusque-là ardent défenseur de ce « ni-ni » mais désormais partisan d’une inflexion en appelant clairement à faire barrage au FN. Les conférences rémunérées de Nicolas Sarkozy à l’étranger sont parfois critiquées jusque dans les rangs de l’UMP. En décembre, juste après son élection à la tête du parti, il s’était rendu au Qatar pour donner une conférence à l’invitation de la Qatar National Bank, selon Paris Match. L’ancien chef d’État est régulièrement pointé du doigt pour ses amitiés avec le Qatar, pays que le FN accuse de « financer le fondamentalisme islamique en France ».  La présence, le 28 janvier, du président du PSG, le Qatari Nasser al-Khelaïfi, à la fête pour les 60 ans de Nicolas Sarkozy a fait grincer des dents. « C’est quand même étrange que le patron du PSG ait été présent à son anniversaire. Il faudrait que Sarko arrête de fricoter avec les gens du Qatar », aurait lancé Bruno Le Maire, a affirmé mercredi Le Canard enchaîné.




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