Archive pour le Tag 'Abandon'

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Hollande : Abandon définitif de l’inversion du chômage

Hollande : Abandon définitif de l’inversion du chômage

C’est faiat Hollande a définitivement renoncé à ses ambitions sur le chômage ; sur la croissance auusi puisqu’il admet maintenant que la croissance va être quasi inexistante. Il n’y a même plus recours à la sémantique hasardeuse pour masquer le vide politique. La rentrée risque d’être très périlleuse car les Français n’accepteront pas facilement une austérité qui ne permet pas de répondre à la question centrale du chômage. DSK avait qualifié le gouvernement de brèles, il ne s’est sans doute pas trompé. !   »J’avais dit qu’on allait inverser la courbe du chômage [...] et puis ce n’est pas venu », tel est l’aveu formulé par François Hollande le 14 juillet dernier. Depuis plusieurs mois, l’exécutif ne cesse de revoir progressivement ses objectifs à la baisse. Déjà en début d’année, Michel Sapin, encore au ministère du Travail, était passé d’un objectif d’inversion de la courbe à un objectif plus modeste : avoir moins de chômeurs à la fin de l’année 2014…  En somme, stopper l’hémorragie. Aucune embellie n’est attendue ce vendredi soir lors de la publication des chiffres du chômage de juin.  C’est le Pacte de responsabilité qui doit donner cette nouvelle impulsion à l’emploi. Mais le gouvernement reste très prudent. En ce qui concerne les jeunes, la politique de contrats aidés – principalement les emplois d’avenir – ont permis, sur un an, de faire baisser le nombre de chômeurs de moins de 25 ans. En revanche la situation reste dramatique pour les séniors dont le nombre de demandeurs d’emploi est en augmentation constante… Alors en plus du Pacte, qui mettra du temps à produire ses effets sur l’emploi, le gouvernement a choisi d’activer plusieurs plans, un pour relancer l’apprentissage, un autre pour mieux accompagner les chômeurs de longue durée. Et enfin, un coup de pouce supplémentaire pour les contrats de génération.

 

Bank of America : abandon des poursuites contre 9,3 milliards

Bank of America : abandon des poursuites contre  9,3 milliards

L’accord officialisé lundi met fin à quatre enquêtes judiciaires lancées en 2011 par l’agence fédérale du financement du logement (FHFA), Cet accord prévoit que la banque versera 5,83 milliards de dollars en numéraire aux agences de refinancement hypothécaire Fannie Mae et Freddie Mac.  Les 3,5 milliards de dollars restants seront consacrés à des rachats par Bank of America d’actifs toxiques encore détenus par les deux organismes parapublics.  Ce compromis va affecter fortement les bénéfices trimestriels, a immédiatement signalé la banque, qui doit publier ses résultats du premier trimestre le 16 avril.  L’établissement de Charlotte (Caroline du nord) va devoir ainsi inscrire une charge de 3,7 milliards de dollars avant impôts dans ses comptes du trimestre.  Malgré cet élément exceptionnel, Bank of America assure qu’elle disposera de suffisamment de fonds propres pour remplir les critères de Bâle imposées aux banques représentant un risque pour le système financier mondial.  L’accord officialisé lundi met fin à quatre enquêtes judiciaires lancées en 2011 par l’agence fédérale du financement du logement (FHFA), le régulateur du secteur et superviseur de « Fannie » et « Freddie ».  Elles visaient Bank of America elle même ainsi que ses filiales Countrywide et Merrill Lynch, rachetées au plus fort de la crise financière.  La FHFA leur reprochait d’avoir délibérément vendu 57,5 milliards de dollars de prêts immobiliers pourris aux deux organismes parapublics entre 2005 et 2007.   »La FHFA a agi selon son mandat pour recouvrer les pertes essuyées par les deux organismes et les contribuables américains et conclut que cet accord représente un compromis raisonnable », indique-t-elle dans son communiqué.  En conséquence, le régulateur va abandonner ses poursuites contre Bank of America, conclut pour sa part la banque dans un communiqué séparé.

Hollande-tour de France : abandon après la première étape !

Hollande-tour de France : abandon après la première étape !

Par suite de scandales et d’impopularité hollande renonce à son tour de France. La crise consécutive à la démission et aux aveux de Jérôme Cahuzac contraint le chef de l’Etat à s’adapter. Première victime : l’opération reconquête de l’opinion lancée voilà quelques semaines va devoir attendre. « C’est trop compliqué d’aller au contact des Français tant que la situation n’est pas stabilisée », reconnaissait un conseiller vendredi matin sur Europe 1. Du coup, c’est à Paris que François Hollande passera une grande partie des deux prochains week-ends. Forcément studieux. En fin de semaine prochaine, François Hollande devait passer deux jours dans la Drôme et en Ardèche et passer une nuit sur place. Un déplacement sur le modèle de celui effectué au début du mois de mars à Dijon. Et qui ne s’était pas si bien passé. Le président avait été sévèrement apostrophé à plusieurs reprises par des quidams (voir vidéo ci-dessous), et le service d’ordre avait fait du zèle. Et tout cela, c’était avant les derniers rebondissements de l’affaire Cahuzac. L’Elysée préfère donc jouer la prudence en renonçant, comme l’a annoncé Europe 1 vendredi matin, à ce déplacement à haut risques.  Pour son déjà sixième déplacement depuis son élection dans son fief corrézien, samedi, François Hollande a aussi considérablement réduit la voilure. Le chef de l’Etat ne participera donc pas à la pose de la première pierre du centre de formation de la Chambre de commerce et d’industrie de Brive, pas plus qu’il n’inaugurera à Ussel l’Établissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes. Le président se contentera finalement des salons feutrés de la préfecture de Tulle, où il apposera la Légion d’honneur au veston de plusieurs personnalités du département.. C’est donc à l’Elysée que François Hollande passera (au moins) ses deux prochains week-ends. Le chef de l’Etat va consulter tous azimuts ses conseillers pour préparer la riposte. Le travail devrait essentiellement porter sur la moralisation de la vie publique. Depuis le Maroc, c’est sur ces questions qu’il s’est engagé. « Nous avons besoin de continuer la moralisation de la vie politique et même de la vie économique. Alors, je vous le dis, j’irai jusqu’au bout sur ces questions », avait-il lancé jeudi à la tribune. C’est donc par l’assainissement de la vie publique que l’Elysée va tenter de contrecarrer le mécontentement croissant dans l’opinion. Le chantier est colossal.

 

 

Gâchis social chez Spanghero : abandon du négoce de viande et chômage partiel

Gâchis social chez Spanghero : abandon du négoce de viande et chômage partiel

 

Vel exemple de la gestion de l’emploi, Spanghero va connaitre le chômage partiel (effet sur l’image de l’entreprise et effet de la suppression du négoce de viande). Responsable : un ministre,  Benoit Hamon qui a voulu sortir de l’anonymat d’un ministère fantôme sans rien connaître au problème. Un ministre rapidement contredit par la ministre de l’agriculture. En attendant de gros dégâts commerciaux et maintenant le chômage partiel. Le vrai scandale n’est pas la viande de cheval dans la viande qui constitue le minerai de viande ; d’une certaine manière la présence de cette viande de cheval en améliore la qualité (voir articles) ; le vrai scandale c’est le minerai de viande, sa composition, ses circuits internationaux. On a assommé une entreprise avant même que ne soient terminées les enquêtes qui seront longues, complexes et à l’échelle internationale. Hamon a fait retirer l’agrément à Spanghero mais c’est lui qui mériterait un retrait de l’agrément de ministre (qui n’existe pas, ceci expliquant cela). La gauche démontre son efficacité bureaucratique pour fermer une entreprise alors qu’on l’attendrait surtout pour les rouvrir (d’autant que la santé n’a jamais été mise en cause dans l’affaire Spanghero). Hamon a faiat son show à la télé, les employés eux auront de la difficulté à trouver du travail ailleurs dans une région où le chômage atteint 17% ; (encore un élément que le très à gauche Hamon a dû oublier). La société Spanghero ne négociera plus de viande. Elle abandonne cette activité, a-t-elle annoncé ce vendredi. Un peu plus tôt, le gouvernement avait maintenu la suspension de cet agrément, décidé le 14 février. La société affirme que sa décision avait été prise avant. Dans la soirée, lors d’un CE, elle a par ailleurs annoncé des mesures de chômage partiel à Castelnaudary  La société Spanghero, soupçonnée dans le scandale de la viande de cheval étiquetée comme du bœuf, a annoncé vendredi l’abandon de son activité de négoce. Une activité qui ne représentait que « 2% de son chiffre d’affaires« . Cette annonce intervient le jour où le gouvernent a décidé de maintenir la suspension de son agrément pour ce type d’activité. Mais, selon Spanghero, l’abandon de l’activité de négoce avait déjà été décidée « en amont des conclusions de l’enquête« . Spanghero a décidé de se concentrer sur les activités de découpe, de préparation de viande et de fabrication de produits à base de viande.  Lors d’un comité d’entreprise extraordinaire à son siège de Castelnaudary, la direction a annoncé au personnel que des mesures de chômage partiel vont être prises. « On a discuté de la mise en place du chômage partiel« , a déclaré le délégué CFDT, Claude Hill. Selon lui, la direction  »a accepté de verser les compléments de salaire en février« . Il s’est dit confiant quant à l’arrivée de nouvelles commandes.

 

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Déficit : Ayrault confirme l’abandon des 3% pas « exactement » au rendez-vous

Déficit : Ayrault confirme l’abandon des 3% pas « exactement » au rendez-vous

 

Ayrault reconnaît enfin que ce tous les économistes savent : le déficit 3% du PIB ne pourra pas été atteint en 2013. Motif d’après lui :la croissance ne sera pas au rendez-vous, ce que tout le monde sait aussi depuis longtemps. Comme l’objectif de déficit, le pourtant modeste objectif de 0.8% est aussi obsolète pour 2013. Dès lors, c’est mécanique, moins de croissance, c’est  moins de rentrées fiscales et davantage de déficit. Pour l’instant, on constate que 0.5% de croissance en moins, ce qui va être probablement le cas, c’est 0.25% de déficit en plus (en % du PIB)°. Conclusion, fin 2013 on sera au moins à 3.25% de déficit et encore à condition atteindre 0.3% de croissance, ce qui n’est pas certain. Les autorités françaises se lancent donc dans l’exercice délicat de l’abandon de l’objectif de réduction des déficits publics à 3% du PIB fin 2013, écartelées entre une croissance atone et la pression de l’Union européenne pour le sérieux budgétaire, le tout sous la surveillance des marchés financiers. Pour se justifier Ayrault cible la croissance plus faible que prévu et attend maintenant les prévisions de Bruxelles avant de corriger sa copie. C’est un changement de stratégie car précédemment la France seule décidait (contre l’avis de beaucoup) du niveau de sa croissance. Un abandon de souveraineté donc ? Ou alors plutôt l’espérance que Bruxelles fera une ouverture pour accepter  un assouplissement des règles européennes récemment décidées dans le pacte se stabilité européen.  Le commissaire aux Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, avait laissé entrevoir une ouverture fin décembre en estimant qu’ »une fois que vous avez une stratégie budgétaire crédible à moyen terme, y compris par le biais de réformes, vous pouvez avoir un ajustement plus doux ». Les autorités françaises discutent actuellement avec la Commission pour tenter de la convaincre de leur détermination à tenir les dépenses et à mener les réformes structurelles visant à redresser les comptes publics et l’économie française. Après l’accord des partenaires sociaux sur le marché du travail, salué par la Commission, le gouvernement lancera cette année les travaux pour une nouvelle réforme des retraites et ceux de la « modernisation de l’action publique », qui prend la suite de la « RGPP » pour réduire les dépenses publiques. Pour Gilles Moec, économiste chez Deutsche Bank, « la France prépare les esprits » à la révision de son objectif de déficit. « Nous pensons que le gouvernement va essayer de garder le marché – et ses partenaires européens – de son côté en annonçant en termes plus concrets comment les économies dans les dépenses – et pas simplement les hausses des prélèvements – contribueront à la consolidation budgétaire », indique-t-il dans une note.

 

 

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Abandon programmé de l’objectif de déficit à 3% en 2013 par le gouvernement.

Abandon programmé de l’objectif de déficit à 3% en 2013 par le gouvernement.

 

Exit l’objectif de 3% de déficit en 2013 ; après avoir affirmé pendant des mois  que c’était l’objectif principal en matière dé rééquilibrage des comptes ; les ministres un à un montent au créneau pour affirmer le contraire, tout en maintenant la rigueur bien entendu ! Ce renoncement n’est pas en soi un contre-sens économique mais c’est un reniement politique. En outre, cela pourrait encourager à largement dépasser les 3% et finalement être proche des résultats de 2012 ; cela d’autant plus que les réductions de dépenses restent encore hypothétiques.  Une révision à la baisse de la prévision de croissance était déjà dans l’air, mais c’est la première fois qu’un membre du gouvernement ouvre aussi clairement la voie à un abandon de la cible des 3% de déficit.  D’autres ministres ont aussi préparé le terrain mercredi. Le chef de la diplomatie Laurent Fabius a jugé « probable » que la France ne tienne pas sa promesse cette année, tandis que le ministre délégué au Budget Jérôme Cahuzac a insisté sur le fait qu’il serait « très difficile » de la respecter.   »La probabilité d’atteindre cet objectif s’est amenuisée au fur et à mesure que la croissance pâlissait », a-t-il reconnu.  Certes, pour l’instant, la volonté de ramener le déficit public de 4,5% du produit intérieur brut (PIB) attendus pour 2012 à 3% à la fin de 2013 est formellement « maintenue ».  L’engagement formel en avait été pris par la France de Nicolas Sarkozy en 2010 auprès de ses partenaires européens. Cet objectif symbolique a été constamment réaffirmé depuis, y compris par les socialistes au pouvoir depuis le printemps.  Le budget pour 2013 a été bâti avec cette cible, au prix d’un effort de rigueur sans précédent chiffré à 38 milliards d’euros de hausses d’impôts et d’économies par la Cour des comptes.  Mais face à une croissance en berne, l’engagement a commencé à vaciller. Dès septembre, le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone l’avait considéré « intenable », un message repris par d’autres membres de la majorité.  Des renforts sont arrivés, de manière plus surprenante, de l’opposition: l’ex-ministre UMP des Finances François Baroin a ainsi admis qu’il ne serait pas choquant que le déficit soit à 3,5% du PIB en fin d’année plutôt qu’à 3%.  Même le Fonds monétaire international (FMI) et désormais la Cour des comptes, gardiens d’une certaine orthodoxie, ont laissé entendre que la France ne devrait pas s’acharner coûte que coûte à respecter sa parole, car cela nécessiterait un surplus d’austérité qui aggraverait la situation économique.  Autant de messages sur lesquels le gouvernement devrait s’appuyer lorsqu’il révisera son objectif.  Sa principale inquiétude réside dans la réaction des marchés: alors que l’Etat français emprunte à un coût historiquement bas, il redoute d’être sanctionné s’il apparaît comme un élève indiscipliné en matière budgétaire.  Le gouvernement tient donc à respecter les formes et le calendrier européen, qui va s’accélérer.  Le 22 février, la Commission européenne publiera ses prévisions pour les Vingt-Sept. Dans sa précédente publication, en novembre, Bruxelles misait sur une croissance de 0,4% et un déficit de 3,5% en 2013 en France, et Bercy s’attend à ce que les nouvelles estimations soient encore moins bonnes.  Leur annonce devrait enclencher le processus. Le président François Hollande a en effet ouvert la voie mardi à une révision à la baisse, « dans les prochains jours », de la prévision de croissance. A Bercy, on n’exclut pas de l’annoncer dès le 22 février.  Paris espère que la Commission assortira ses prévisions d’un assouplissement généralisé des objectifs budgétaires. Le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn avait déjà estimé en décembre que des « mesures supplémentaires d’économies » ne seraient « pas indispensables » en France.  Reste à savoir ce que va faire précisément le gouvernement. Constater le dérapage? Annoncer un nouveau tour de vis pour le contenir au moins partiellement? « Cela dépend de son ampleur », glisse une source gouvernementale. Symboliquement, un déficit contenu sous le seuil des 3,5% du PIB passerait mieux qu’un dérapage plus important.

 

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