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Trône du Corée-du-Nord : Gras comme un cochon, Kim Yong pense à sa fille

Trône du Corée-du-Nord : Gras comme un cochon, Kim Yong pense à sa fille

 Kim Jong, Le dictateur fou d’environ 140 kg pour à peine plus de 1.60m est en mauvaise santé pense à sa succession royale ( officiellement communiste) et pourrait transmettre le pouvoir à sa fille pourtant très jeune. Rien n’est sûr car en Corée du Nord n’a l’habitude de liquider certains héritiers un peu trop pressés. 

 

En mars, Kim Ju Ae avait été désignée par les médias d’Etat avec le titre très honorifique de « hyangdo » en coréen (« grande personne de conseil »), laissant penser qu’elle pourrait succéder à Kim Jong Un. « Notant l’utilisation du terme « hyangdo », réservé à un dirigeant ou à son successeur, le NIS estime que le projet successoral prend forme dans une certaine mesure », a confié aux journalistes un autre député, Park Sun-won.

Yo Jong est également considérée comme une personnalité influente. La Corée du Nord est dominée depuis 1948 par la dynastie Kim, également appelée « lignée Paektu », du nom d’une montagne sacrée qui est le berceau légendaire du peuple coréen et où, selon la propagande nord-coréenne, a vu le jour Kim Jong Il qui avait lui-même succédé à son père Kim Il Sung.

Aucune femme n’a jamais dirigé le pays, mais « l’appartenance de Ju Ae à la lignée sacrée Paektu du clan Kim et la volonté du dirigeant actuel, s’il la désigne comme successeure, l’emporteront sur son genre », estime Vladimir Tikhonov, professeur d’études coréennes à l’Université d’Oslo.

Ju Ae vit sans aucun doute à l’abri du besoin mais « elle est utilisée à des fins idéologiques et politiques et doit adopter une attitude publique pour laquelle elle est trop jeune », juge-t-il. Sur des vidéos officielles, la jeune fille a pu sembler parfois fatiguée et avoir la bougeotte. « Au final, cela reste une enfant », pointe Soo Kim de LMI Consulting, une ancienne analyste de la CIA.

Sabotage SNCF et ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Sabotage SNCF et ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Les services de police étudient évidemment avec beaucoup d’attention les conditions du sabotage SNCF. Le mode opératoire, le verbiage gauchiste est la nature même du sabotage autorise la définition de profils. De toute évidence il ne s’agirait pas d’extrémistes religieux ( de France ou d’Iran par exemple) qui n’hésitent pas à faire des morts. On pourrait par contre faire l’hypothèse de liens avec la Russie qui a l’habitude de pratiquer des opérations de déstabilisation de ce type à l’extérieur de ses frontières.

Un attentat qui aurait pu recevoir le soutien de français non seulement pour l’exécution du crime mais aussi pour le repérage des lieux d’attaques. Indiscutablement, les criminels ont bénéficié de connaissances approfondies des lieux stratégiques de régulation électrique, électronique et informatique.

Les revendications sur les réseaux sociaux mêlent pêle-mêle la contestation des JO, l’absence de gouvernement, la critique du capitalisme et de l’impérialisme. Des thèmes bien connus de l’ultra gauche politique dans l’objectif et surtout de favoriser la chienlit dans le pays. D’une certaine manière la violence verbale rejoindre la violence contre les biens et les personnes quand par exemple on accroche une pancarte dans le dos des athlètes israéliens.

Politique: Les  » Insoumis » vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

Politique: Les  » Insoumis » vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

 

De provocation en provocation, il faut s’attendre à tout de la part de certains « Insoumis »; ils sont  prêts à toutes les provocations y compris en faisant planer des menaces physiques sur les juifs. Sur la tendance, et compte tenu de leurs affinités idéologiques ( la plupart sont en réalité des communistes marxistes léninistes), ils pourraient être conduits à brandir au parlement le drapeau russe ou chinois dont les régimes sont proches de leur corpus idéologique. Voir à cet égard comment on se débarrasse des opposants chez les « insoumis ». Sans procès, sans délibération et sans motif.

Ainsi par exemple un député des « Insoumis n’a pas hésité à mettre une pancarte dans le dos des sportifs juifs récemment. Un habitué de la provocation et de l’exhibitionnisme politique.

Un autre qui a fait planer des menaces physiques sur Bellamy lequel a déposé plainte

Il serait temps que les les républicains se réveillent pour dénoncer les attaques permanentes de certains « Insoumis » qui confondent l’Assemblée nationale avec une école maternelle et les institutions démocratiques comme des gadgets dépassés. Leur modèle est celui de la Russie, de Cuba, du Venezuela, de la Chine bref celui de la dictature, de la misère et de l’oppression.

Certains responsables sont indignes de représenter les Français à l’Assemblée nationale et devraient être systématiquement poursuivis en justice pour leurs propos qui incitent à la violence voire au crime chez certains esprits fragiles et endoctrinés.

Ouverture JO: Céline Dion a chanté en live

Alors que,  toutes les prestations des artistes présents étaient pré-enregistrées en cas de problème technique, le directeur musical Victor Le Masne, révèle dans les colonnes de Ouest France que la performance de la chanteuse canadienne sur l’Hymne à l’amour en haut de la tour Eiffel n’était pas en playback.

« Nous l’avions prévu, mais elle a chanté réellement », assure le directeur musical de la cérémonie d’ouverture.

Mais au final, avec cette prestation impressionnante, Céline Dion a ainsi opéré son grand retour scénique après des années loin des projecteurs. Sur X, la star québécoise s’est dite « honorée » d’avoir pu se produire lors de cet événement. « Je suis honorée d’avoir joué ce soir, pour la cérémonie d’ouverture de Paris 2024, et tellement pleine de joie d’être de retour dans l’une de mes villes préférées », a-t-elle confié.

Sabotage à la SNCF : La piste de l’ultragauche

Sabotage à la SNCF : La piste de l’ultragauche 

L’attaque d’ampleur perpétrée contre notre réseau ferré dans la nuit de jeudi à vendredi, et dans quatre départements de façon simultanée, a temporairement paralysé une partie du pays le jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques à Paris. La résilience de la SNCF a permis au trafic de reprendre progressivement mais rapidement : hier, sept TGV sur dix circulaient sur les axes Nord, Bretagne et Sud-Ouest. Directeur général de la Police nationale de 2007 à 2012, Frédéric Péchenard a eu à gérer l’affaire de Tarnac, fin 2008, à la suite du sabotage de plusieurs caténaires. À l’époque, comme c’est le cas aujourd’hui, la gauche radicale avait été pointée du doigt.

Interview dans la Tribune
 

 Le sabotage subi par le réseau SNCF a entraîné de fortes perturbations à un moment crucial pour la sécurité de la France. N’est-ce pas alarmant ?

FRÉDÉRIC PÉCHENARD - C’est très difficile de sécuriser la totalité d’un réseau ferroviaire. Il est plus aisé de le faire pour l’aviation commerciale. Les trains sont vulnérables en gare, mais aussi sur nos dizaines de milliers de kilomètres de rails. J’en tire deux conclusions. La première est que les responsables ont bénéficié d’une complicité intérieure, car il y a eu plusieurs attaques et de manière simultanée. Même si une des quatre a échoué, cela nécessite d’être bien renseigné. La seconde est qu’on a affaire à des gens déterminés, bien que la finalité de leur sabotage paraisse curieuse. On peut penser, au vu de la sécurisation massive de la cérémonie d’ouverture des Jeux à Paris, qu’ils ont voulu s’attaquer à des endroits moins surveillés. Cet effet d’aubaine est d’ailleurs le risque pour les semaines à venir.

Comment peut-on prévenir ce genre d’attaque coordonnée ?

Il y a deux manières. La plus visible est la surveillance physique qui, encore une fois, a fonctionné pour une des quatre attaques préparées. La deuxième manière, plus efficace, c’est le renseignement. Le travail de nos services consiste à s’introduire au sein de groupes suspects puis procéder à des interpellations avant le passage à l’acte. La surveillance des milieux islamistes, d’ultragauche, mais aussi d’une puissance étrangère comme la Russie, relève de la responsabilité de la DGSI. Si vous avez tous ces fers au feu, vous vous en sortez. On l’a vu avec le nombre important d’actes déjoués ces dernières années.

Le terreau est fertile, influencé de manière dangereuse par Jean-Luc Mélenchon et ses amis de La France insoumise

Cela ressemble tout de même à un cauchemar pour nos forces de l’ordre…

C’est un vrai sujet, d’autant plus qu’on est en période de vacances et de chassés-croisés. Durant la préparation des JO, beaucoup se sont demandé : si tout notre dispositif de sécurité est à Paris, qui va protéger le reste de la France ? Pour y répondre, c’est assez simple, on a fait supprimer quasiment tous les congés de nos policiers. Plus de 95 % d’entre eux sont mobilisés, y compris dans le reste du pays. Après, le cauchemar numéro un, c’était la cérémonie d’ouverture. Tous les politiques étaient présents, les athlètes aussi, avec un énorme public sur place et un milliard de téléspectateurs. Tout incident aurait eu un retentissement extrême. Maintenant, il nous reste quinze jours d’épreuves. On a tous en mémoire l’attentat terroriste de Munich, aux Jeux de 1972, où une dizaine d’athlètes israéliens ont été assassinés. Il ne faut pas baisser la garde.

D’expérience, est-ce que le mode opératoire de ce sabotage vous en rappelle un en particulier ?

Déjà, qualifions cet acte de terroriste, pour simplifier les choses. Cela reste la principale menace qui pèse sur les Jeux. Ce terrorisme peut être islamiste, d’ultragauche, voire d’État. L’enquête le déterminera, mais il n’est jamais exclu que ce soit combiné. On l’a vu dans notre histoire avec la Fraction armée rouge, alliée aux Palestiniens pour détourner des avions, ou encore Action directe agissant en sous-main pour les Iraniens. C’est toujours difficile de savoir qui est derrière, et ce n’est pas parce qu’on arrête les exécutants qu’on identifie les commanditaires. En l’espèce, cela ressemble plutôt à un acte de l’ultragauche, de plus en plus violente. On le voit autour des mégabassines ou avec l’intervention du black bloc dans nos manifestations. Cela ressemble à l’émergence d’une nouvelle organisation de type Action directe. Le terreau est fertile, influencé de manière dangereuse, selon moi, par Jean-Luc Mélenchon et ses amis de La France insoumise, qui cherchent en permanence le chaos et l’affrontement. À côté de ce mouvement politique qui met de l’huile sur le feu, nous avons des militants qui n’ont pas peur de commettre des actes de sabotage et qui sont à deux doigts de basculer dans le terrorisme.

La cérémonie s’est-elle bien déroulée d’après vous ?

Oui, incontestablement. On peut discuter des problèmes de circulation et des mesures très restrictives, mais en matière de sécurité tout s’est parfaitement bien passé. La préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont fait un travail remarquable. D’abord par le nombre de policiers déployés, qui a permis une saturation de l’espace. Au moindre souci, la réponse gendarmique et policière aurait été très rapide. Ensuite, tout a été fait en amont. Le service national des enquêtes administratives de sécurité (SNEAS) a pu cribler pas loin d’un million de personnes, ce qui a permis d’en empêcher quelques milliers, à risque, d’être invités. Le barriérage, aussi, a obligé les gens à passer par des sas pour être fouillés. C’est pénible pour les Parisiens, mais on n’avait pas d’autre choix. Dernière raison du bon déroulement : le travail de la Région Île-de-France sur les transports. Il faut rendre hommage à Valérie Pécresse, qui a été la première à dire qu’on ne pourrait pas transporter un million de personnes. Il y aurait eu un risque de bousculades. On a obtenu une jauge à 400000, ce qui a permis à Île-de-France Mobilités de gérer les choses convenablement.

Quels sont les principaux risques désormais ?

Pour l’instant, ce sont les Jeux. Ce que cherchent avant tout les terroristes, c’est la répercussion d’actions spectaculaires. Le risque plus global lié au terrorisme, quelle qu’en soit l’origine, va durer encore des mois, voire des années. L’attaque du Hamas en Israël, le 7 octobre, l’a fait monter d’un cran. Il y a aussi un risque lié au terrorisme d’État : n’oublions pas qu’on participe à une coalition contre la Russie. Il serait étonnant que Moscou, grâce au savoir-faire du FSB ou du GRU, ne tente rien contre nous. Ils le font déjà, de façon agressive, par le biais de leurs hackers informatiques.

Les  » Insoumis » vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

Les  » Insoumis » vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

 

De provocation en provocation, il faut s’attendre à tout de la part de certains « Insoumis »; ils sont  prêts à toutes les provocations y compris en faisant planer des menaces physiques sur les juifs. Sur la tendance, et compte tenu de leurs affinités idéologiques ( la plupart sont en réalité des communistes marxistes léninistes), ils pourraient être conduits à brandir au parlement le drapeau russe ou chinois dont les régimes sont proches de leur corpus idéologique. Voir à cet égard comment on se débarrasse des opposants chez les « insoumis ». Sans procès, sans délibération et sans motif.

Ainsi par exemple un député des « Insoumis n’a pas hésité à mettre une pancarte dans le dos des sportifs juifs récemment. Un habitué de la provocation et de l’exhibitionnisme politique.

Un autre qui a fait planer des menaces physiques sur Bellamy lequel a déposé plainte

Il serait temps que les les républicains se réveillent pour dénoncer les attaques permanentes de certains « Insoumis » qui confondent l’Assemblée nationale avec une école maternelle et les institutions démocratiques comme des gadgets dépassés. Leur modèle est celui de la Russie, de Cuba, du Venezuela, de la Chine bref celui de la dictature, de la misère et de l’oppression.

Certains responsables sont indignes de représenter les Français à l’Assemblée nationale et devraient être systématiquement poursuivis en justice pour leurs propos qui incitent à la violence voire au crime chez certains esprits fragiles et endoctrinés.

Rugby à 7 JO : triomphe en or de l’équipe de Dupont

Rugby  à 7 JO : triomphe en or de l’équipe de Dupont

L’équipe de Dupont qui a si mal commencé son tournoi et balbutié son rugby pendant plusieurs matchs non seulement s’est réveillé mais a triomphé avec brio dans la deuxième phase du tournoi des JO de Paris.

L’équipe de France de rugby à 7 s’est imposée en finale du tournoi olympique en dominant les Fidji (28-7), doubles champions olympiques en titre.

Les Bleus du 7 apportent à la France son premier titre olympique en rugby, après la médaille d’argent glanée en 1924, mais à XV.

C’est un véritable tour de force qu’ont réalisé Antoine Dupont et ses coéquipiers en infligeant aux joueurs du Pacifique leur première défaite aux Jeux olympiques, après 17 succès de rang depuis 2016.

Démocratie-Quand les « Insoumis » vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

Démocratie-Quand les Insoumis vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

 

De provocation en provocation, il faut s’attendre à tout de la part de certains « Insoumis »; ils sont  prêts à toutes les provocations y compris en faisant planer des menaces physiques sur les juifs. Sur la tendance, et compte tenu de leurs affinités idéologiques ( la plupart sont en réalité des communistes marxistes léninistes), ils pourraient être conduits à brandir au parlement le drapeau russe ou chinois dont les régimes sont proches de leur corpus idéologique. Voir à cet égard comment on se débarrasse des opposants chez les « insoumis ». Sans procès, sans délibération et sans motif.

Ainsi par exemple un député des « Insoumis n’a pas hésité à mettre une pancarte dans le dos des sportifs juifs récemment. Un habitué de la provocation et de l’exhibitionnisme politique.

Un autre qui a fait planer des menaces physiques sur Bellamy lequel a déposé plainte

Il serait temps que les les républicains se réveillent pour dénoncer les attaques permanentes de certains « Insoumis » qui confondent l’Assemblée nationale avec une école maternelle et les institutions démocratiques comme des gadgets dépassés. Leur modèle est celui de la Russie, de Cuba, du Venezuela, de la Chine bref celui de la dictature, de la misère et de l’oppression.

Certains responsables sont indignes de représenter les Français à l’Assemblée nationale et devraient être systématiquement poursuivis en justice pour leurs propos qui incitent à la violence voire au crime chez certains esprits fragiles et endoctrinés.

Croissance -Consommation alimentaire : tendance à la baisse

Croissance -Consommation alimentaire : tendance à la baisse
Du fait de  la dégradation pouvoir d’achat moyen, la  grande distribution enregistre  une tendance à la baisse de la consommation alimentaire. Une tendance confirmée structurellement par l’INSEE qui note que le volume de consommation alimentaire en volume était inférieur de 5,3 % au premier trimestre 2024 par rapport à fin 2019.
La consommation alimentaire, au sens de la comptabilité nationale, comprend les produits agricoles (fruits et légumes, poissons…) et des produits agro-alimentaires (les viandes, produits laitiers, pâtes…). En volume (corrigée de l’effet des prix à qualité constante) elle a fortement baissé depuis la fin des confinements ; elle est désormais bien inférieure à son niveau de 2019. Avant la crise sanitaire, elle connaissait une hausse tendancielle modérée (+0,6 % en évolution annuelle moyenne entre 1990 et 2019), et a connu un surcroît temporaire durant la crise sanitaire. Elle a fortement baissé à partir du 1er trimestre 2022 : en 2022, elle a chuté de −3,3 % par rapport à 2021 puis de −3,5 % en 2023 par rapport à 2022. Au 1er trimestre 2024, le niveau de la consommation alimentaire en volume était inférieur de 5,3 % à fin 2019 et est retombé au niveau de 2005.A contrario, sur longue période, et toujours actuellement, les dépenses alimentaires en valeur suivent une progression régulière. Enfin, leur part dans le revenu des ménages est légèrement déclinante. Sur la période 1990-2019, la consommation alimentaire en valeur a une tendance stable d’augmentation, d’environ 2,6 % par an. Lorsque la part consacrée à l’alimentaire dans le revenu (disponible brut) a connu des évolutions plus marquées, cela tient plutôt aux revenus qui ont connu des variations trimestrielles significatives tandis que les dépenses de consommation des ménages suivaient une tendance relativement stable. La croissance régulière des dépenses alimentaires sur longue période pourrait refléter, d’un point de vue microéconomique, le pilotage budgétaire des ménages, et leurs adaptations pour rester dans leur budget.

Sur le long terme, avant la crise sanitaire, la part dédiée aux dépenses alimentaires a toutefois une tendance à la baisse (−0,1 pt par trimestre en moyenne entre 1990 et 2019) : si l’on corrige de cet effet, la part du revenu consacrée à l’alimentaire était en 2023 proche de celle de 2019. Pendant la crise sanitaire, la part des dépenses alimentaires dans le revenu a ponctuellement cru, avant de rapidement retrouver sa tendance une fois les confinements terminés.

La baisse de la consommation alimentaire en volume peut refléter une baisse des quantités mais aussi un effet « qualité » sur les produits consommés. Le partage volume-prix a joué à la baisse pour la consommation alimentaire en 2023 : en valeur (à prix courant), elle a augmenté (+5,7 %), mais beaucoup moins que les prix (+11,8 %) ; ainsi, la consommation en volume a baissé (−3,5 %). Les changements de consommation en volume reflètent notamment des comportements d’adaptation des ménages. Ces comportements sont à la fois des changements de gamme (passage de produits de marque nationale à des produits de marques distributeurs…), des changements d’enseigne (passage de Carrefour à Aldi…) ainsi qu’une recomposition par produit du panier (moins de viande pour plus de pâtes…). Tous ces comportements se traduisent par une baisse de la consommation en volume, bien qu’ils n’influencent pas directement les quantités achetées. En effet, s’il n’y a pas d’inflation d’une année sur l’autre (soit pas d’effet prix) alors si les ménages changent leurs comportements (gamme, distributeur, composition du panier) alors la baisse de la consommation en valeur se traduira par une baisse de la consommation en volume, en l’absence d’effet-prix.

 

Economie-Consommation alimentaire : tendance à la baisse

Economie-Consommation alimentaire : tendance à la baisse
Du fait de  la dégradation pouvoir d’achat moyen, la  grande distribution enregistre  une tendance à la baisse de la consommation alimentaire. Une tendance confirmée structurellement par l’INSEE qui note que le volume de consommation alimentaire en volume était inférieur de 5,3 % au premier trimestre 2024 par rapport à fin 2019.
La consommation alimentaire, au sens de la comptabilité nationale, comprend les produits agricoles (fruits et légumes, poissons…) et des produits agro-alimentaires (les viandes, produits laitiers, pâtes…). En volume (corrigée de l’effet des prix à qualité constante) elle a fortement baissé depuis la fin des confinements ; elle est désormais bien inférieure à son niveau de 2019. Avant la crise sanitaire, elle connaissait une hausse tendancielle modérée (+0,6 % en évolution annuelle moyenne entre 1990 et 2019), et a connu un surcroît temporaire durant la crise sanitaire. Elle a fortement baissé à partir du 1er trimestre 2022 : en 2022, elle a chuté de −3,3 % par rapport à 2021 puis de −3,5 % en 2023 par rapport à 2022. Au 1er trimestre 2024, le niveau de la consommation alimentaire en volume était inférieur de 5,3 % à fin 2019 et est retombé au niveau de 2005.

A contrario, sur longue période, et toujours actuellement, les dépenses alimentaires en valeur suivent une progression régulière. Enfin, leur part dans le revenu des ménages est légèrement déclinante. Sur la période 1990-2019, la consommation alimentaire en valeur a une tendance stable d’augmentation, d’environ 2,6 % par an. Lorsque la part consacrée à l’alimentaire dans le revenu (disponible brut) a connu des évolutions plus marquées, cela tient plutôt aux revenus qui ont connu des variations trimestrielles significatives tandis que les dépenses de consommation des ménages suivaient une tendance relativement stable. La croissance régulière des dépenses alimentaires sur longue période pourrait refléter, d’un point de vue microéconomique, le pilotage budgétaire des ménages, et leurs adaptations pour rester dans leur budget.

Sur le long terme, avant la crise sanitaire, la part dédiée aux dépenses alimentaires a toutefois une tendance à la baisse (−0,1 pt par trimestre en moyenne entre 1990 et 2019) : si l’on corrige de cet effet, la part du revenu consacrée à l’alimentaire était en 2023 proche de celle de 2019. Pendant la crise sanitaire, la part des dépenses alimentaires dans le revenu a ponctuellement cru, avant de rapidement retrouver sa tendance une fois les confinements terminés.

La baisse de la consommation alimentaire en volume peut refléter une baisse des quantités mais aussi un effet « qualité » sur les produits consommés. Le partage volume-prix a joué à la baisse pour la consommation alimentaire en 2023 : en valeur (à prix courant), elle a augmenté (+5,7 %), mais beaucoup moins que les prix (+11,8 %) ; ainsi, la consommation en volume a baissé (−3,5 %). Les changements de consommation en volume reflètent notamment des comportements d’adaptation des ménages. Ces comportements sont à la fois des changements de gamme (passage de produits de marque nationale à des produits de marques distributeurs…), des changements d’enseigne (passage de Carrefour à Aldi…) ainsi qu’une recomposition par produit du panier (moins de viande pour plus de pâtes…). Tous ces comportements se traduisent par une baisse de la consommation en volume, bien qu’ils n’influencent pas directement les quantités achetées. En effet, s’il n’y a pas d’inflation d’une année sur l’autre (soit pas d’effet prix) alors si les ménages changent leurs comportements (gamme, distributeur, composition du panier) alors la baisse de la consommation en valeur se traduira par une baisse de la consommation en volume, en l’absence d’effet-prix.

 

Face à la crise du logement , Christophe Béchu se réveille !

Face à la crise du logement , Christophe Béchu se réveille !

 

Curieusement c’est souvent après la fin de leur mandat que les ministres trouvent les solutions aux grands problèmes économiques et politiques qui se posent. C’est vrai par exemple le ministre des finances qui juste avant la démission du gouvernement à trouver la clef pour l’endettement français. C’est vrai aussi pour Christophe Béchu ancien ministre de l’écologie qui découvre l’importance de la crise du logement. Notons qu’il n’avait guère montré d’intérêt sur cette question quand il était ministre. L’ ex-ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires s’est, longuement, confié ce mercredi sur ses états d’âme moins d’une semaine après la démission du gouvernement Attal. Interrogé par La Tribune sur la crise du logement, Christophe Béchu a lâché ses coups. 

 
 

 Le logement fait-il l’objet d’un mauvais calcul de la part de Bercy ?

C’est dans cette dernière catégorie que le ministre range la crise du logement. Interrogé par La Tribune, il a témoigné d’une lettre - a priori restée sans réponse – envoyée à la Première ministre Elisabeth Borne « le 8 février 2023 ». « Je l’alertai sur la situation et j’y suggérai un certain nombre de pistes sur lequel il était souhaitable d’avancer », commence Christophe Béchu, qui a compté trois ministres sous sa tutelle : Olivier Klein de juillet 2022 à juillet 2023, Patrice Vergriete de juillet 2023 à janvier 2024 et Guillaume Kasbarian depuis janvier.

Avant d’asséner que « le logement fait l’objet d’un mauvais calcul de la part de Bercy ». « Il n’y a rien de personnel – nous avons de bonnes relations avec Bruno Le Maire – même si je pense qu’il a peu apprécié que j’obtienne le  »Fonds vert » [qui finance la transition écologique dans les collectivités] et si j’aurais préféré que le coup de rabot [de 10 milliards d'euros] se présente de manière différente », poursuit-il.

« On se concentre sur ce que le logement coûte sans voir ce que ça rapporte », enchaîne le ministre. En 2022, rappelle-t-il, le secteur a rapporté 91 milliards d’euros de recettes budgétaires et coûté 41 milliards d’euros de dépenses publiques. Soit un solde positif de 50 milliards d’euros. « Pourtant, on était tétanisés par le fait de dire qu’il faut qu’on évite de mettre trop d’argent », lâche Christophe Béchu.

Ou est-ce un problème local ?

Dans le même temps, il se déclare « à l’aise » avec la fin au 31 décembre 2024 du dispositif Pinel. Ce dernier permet aux particuliers qui investissent dans un logement neuf en immobilier collectif destiné à la location de bénéficier d’une réduction de leur impôt sur leur revenu. « Ce n’est pas ce qui vous assure que les gens se logent », assure le ministre.

La crise du logement est « européenne », embraye Christophe Béchu, du fait de l’augmentation des taux d’intérêt et des coûts de construction, tout en récusant tous les causes dites écologiques comme la hausse des prix de l’énergie ou la politique de zéro artificialisation nette des sols (ZAN) qui vise la sobriété foncière à horizon 2050 avec un palier en 2031. « C’est factuellement faux », martèle-t-il. « C’est d’abord un problème local », tranche le premier adjoint de la ville d’Angers.

« Si on est honnête, les gens ne veulent plus de voisins depuis le Covid. À chaque programme, vous avez des pétitions et quand vous êtes maire, il vous arrive d’y être sensible », concède Christophe Béchu qui érige en « vrai problème » l’enclenchement des permis de construire.

Y-a-t-il un problème avec les prix de sortie ?

« Nous avons également un problème des prix de sortie [prix de vente], mais il se pose à tous les étages. Cela commence avec le prix du foncier [du terrain] et ça se termine avec les prix de construction, tant est si bien qu’on a un problème de pouvoir d’achat immobilier », ajoute-t-il.

Et de remettre sur la table le crédit in fine qui dissocie le paiement des intérêts – tout au long de la vie du prêt – et le remboursement du capital – à la fin de ce dernier -. « Je suis convaincu qu’on ne fera pas l’économie de ce débat. Les prix de l’immobilier progressent plus vite que les salaires qui ne suivent pas. L’héritage a de même disparu [du fait du vieillissement de la population, Ndlr] et n’est plus un déclencheur d’achat », relève-t-il.« Je pense que ça participe à un sentiment de déclassement et que cela conduit à une rigidité qui va beaucoup trop loin sur les conditions de prêt et qui finit par bloquer une partie [du marché] », dit encore Christophe Béchu.

Ou avec le budget 2024 de Ma Prime Rénov’ ?

Aussi incroyable que cela puisse paraître, le même défend la coupe de 1 milliard d’euros dans le budget 2024 de Ma Prime Rénov’ décidée en janvier dernier par Bercy. « On a un retard considérable dans les copropriétés, mais tant que vous ne résolvez pas ce problème d’un point de vue juridique, vous ne pouvez pas déclencher les travaux », estime-t-il. En cause, selon lui, l’article 17 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen sur la propriété qui érige la propriété en « droit inviolable et sacré ».

 

Christophe Béchu défend également le retour à la rénovation par gestes après avoir vendu la rénovation globale. « Dans la vraie vie, lorsque votre chaudière tombe en panne le 15 février, pas une personne ne va attendre des devis globaux. Je suis pour une écologie du réel et préfère accompagner des changements de vecteur plutôt que d’attendre une perfection qui n’existe pas », conclut-il.

Interdiction des automobiles thermiques: report de la date de 2035 à 2040 ou 2050 ?

Automobiles -Interdiction des voitures neuves thermiques: report en 2040 ?

 

 

L’objectif visant à atteindre l’interdiction des motorisations thermiques pour les voitures neuves en 2035 semble de plus en plus illusoire si l’on s’en tient à l’évolution du parc automobile. Selon les chiffres du ministère de la Transition écologique, il y aurait plus de 38,9 millions de voitures en circulation en France. Les conducteurs tricolores sont pour la plupart propriétaires d’une citadine (30%), d’une berline (15%) ou d’un SUV (10%).

Concernant la motorisation, Les Français sont encore une majorité écrasante à faire leur plein à la station essence. Le parc automobile français est composé à 93,4% de voitures à moteurs thermiques. Malgré un chiffre en baisse, 53% d’entre elles roulent encore au diesel.
Les voitures électriques (VE) ou hybrides ne représentent que 3,2% du parc français.

Luca de Meo, directeur général de Renault, demande donc officiellement un décalage du calendrier de la fin du moteur thermique en Europe, aujourd’hui fixé à 2035. « Nous avons besoin d’un peu plus de souplesse dans le calendrier », a-t-il expliqué au quotidien Les Échos le 22 juillet. Et le patron opérationnel de Renault d’évoquer la date de 2040 comme possible nouvelle échéance.Notons aussi que les Allemands demande aussi ce report du calendrier. Du coup on évoque la date de 2040 ou 2050

Cette date de fin du moteur thermique représente un symbole très fort. Et c’est pourquoi elle est souvent évoquée, aussi bien par les constructeurs que par les autorités. Mais, en réalité, les regards de l’ensemble des acteurs de l’industrie automobile sont fixés sur des dates beaucoup plus rapprochées. « Ce qui nous inquiète surtout, ce sont les échéances plus rapprochées, à 2025 et 2030 », confirme Marc Mortureux, le directeur général de la Plateforme automobile (PFA), qui regroupe l’ensemble des acteurs français.

 

Quand les Insoumis vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

Quand les Insoumis vont-ils brandir le drapeau russe ou chinois à l’assemblée ?

 

De provocation en provocation, il faut s’attendre à tout de la part de certains « Insoumis »; ils sont  prêts à toutes les provocations y compris en faisant planer des menaces physiques sur les juifs. Sur la tendance, et compte tenu de leurs affinités idéologiques ( la plupart sont en réalité des communistes marxistes léninistes), ils pourraient être conduits à brandir au parlement le drapeau russe ou chinois dont les régimes sont proches de leur corpus idéologique. Voir à cet égard comment on se débarrasse des opposants chez les « insoumis ». Sans procès, sans délibération et sans motif.

Ainsi par exemple un député des « Insoumis n’a pas hésité à mettre une pancarte dans le dos des sportifs juifs récemment. Un habitué de la provocation et de l’exhibitionnisme politique.

Un autre qui a fait planer des menaces physiques sur Bellamy lequel a déposé plainte

Il serait temps que les les républicains se réveillent pour dénoncer les attaques permanentes de certains « Insoumis » qui confondent l’Assemblée nationale avec une école maternelle et les institutions démocratiques comme des gadgets dépassés. Leur modèle est celui de la Russie, de Cuba, du Venezuela, de la Chine bref celui de la dictature, de la misère et de l’oppression.

Certains responsables sont indignes de représenter les Français à l’Assemblée nationale et devraient être systématiquement poursuivis en justice pour leurs propos qui incitent à la violence voire au crime chez certains esprits fragiles et endoctrinés.

JO Rugby à sept : le réveil enfin

JO Rugby à sept : le réveil enfin

L’équipe de France à 7, méconnaissable  s’est enfin réveillé et a dominé ce jeudi les Argentins (26-14), en quarts de finale du tournoi olympique. Un réveil magnifique dans une ambiance folle.

Bien plus libérés que lors de leurs premières sorties, les Bleus, solides en défense et précis en attaque, prenaient logiquement les devants grâce à un essai d’Andy Timo (7-0, 4e). Et de doubler la mise, dans une ambiance complètement folle, par Aaron Grandidier (14-0, 5e). Intenables, les septistes tricolores mettaient leurs adversaires complètement sous l’éteignoir. Et inscrivaient un troisième essai avant la pause, après arbitrage vidéo, sur un superbe plongeon en coin d’Aaron Grandidier, en feu (21-0, 7e).

Consommation alimentaire : tendance à la baisse

Consommation alimentaire : tendance à la baisseDe fait de  la dégradation pouvoir d’achat moyen, la  grande distribution enregistre  une tendance à la baisse de la consommation alimentaire. Une tendance confirmée structurellement par l’INSEE qui note que le volume de consommation alimentaire en volume était inférieur de 5,3 % au premier trimestre 2024 par rapport à fin 2019.

La consommation alimentaire, au sens de la comptabilité nationale, comprend les produits agricoles (fruits et légumes, poissons…) et des produits agro-alimentaires (les viandes, produits laitiers, pâtes…). En volume (corrigée de l’effet des prix à qualité constante) elle a fortement baissé depuis la fin des confinements ; elle est désormais bien inférieure à son niveau de 2019. Avant la crise sanitaire, elle connaissait une hausse tendancielle modérée (+0,6 % en évolution annuelle moyenne entre 1990 et 2019), et a connu un surcroît temporaire durant la crise sanitaire. Elle a fortement baissé à partir du 1er trimestre 2022 : en 2022, elle a chuté de −3,3 % par rapport à 2021 puis de −3,5 % en 2023 par rapport à 2022. Au 1er trimestre 2024, le niveau de la consommation alimentaire en volume était inférieur de 5,3 % à fin 2019 et est retombé au niveau de 2005.

A contrario, sur longue période, et toujours actuellement, les dépenses alimentaires en valeur suivent une progression régulière. Enfin, leur part dans le revenu des ménages est légèrement déclinante. Sur la période 1990-2019, la consommation alimentaire en valeur a une tendance stable d’augmentation, d’environ 2,6 % par an. Lorsque la part consacrée à l’alimentaire dans le revenu (disponible brut) a connu des évolutions plus marquées, cela tient plutôt aux revenus qui ont connu des variations trimestrielles significatives tandis que les dépenses de consommation des ménages suivaient une tendance relativement stable. La croissance régulière des dépenses alimentaires sur longue période pourrait refléter, d’un point de vue microéconomique, le pilotage budgétaire des ménages, et leurs adaptations pour rester dans leur budget.

Sur le long terme, avant la crise sanitaire, la part dédiée aux dépenses alimentaires a toutefois une tendance à la baisse (−0,1 pt par trimestre en moyenne entre 1990 et 2019) : si l’on corrige de cet effet, la part du revenu consacrée à l’alimentaire était en 2023 proche de celle de 2019. Pendant la crise sanitaire, la part des dépenses alimentaires dans le revenu a ponctuellement cru, avant de rapidement retrouver sa tendance une fois les confinements terminés.

La baisse de la consommation alimentaire en volume peut refléter une baisse des quantités mais aussi un effet « qualité » sur les produits consommés. Le partage volume-prix a joué à la baisse pour la consommation alimentaire en 2023 : en valeur (à prix courant), elle a augmenté (+5,7 %), mais beaucoup moins que les prix (+11,8 %) ; ainsi, la consommation en volume a baissé (−3,5 %). Les changements de consommation en volume reflètent notamment des comportements d’adaptation des ménages. Ces comportements sont à la fois des changements de gamme (passage de produits de marque nationale à des produits de marques distributeurs…), des changements d’enseigne (passage de Carrefour à Aldi…) ainsi qu’une recomposition par produit du panier (moins de viande pour plus de pâtes…). Tous ces comportements se traduisent par une baisse de la consommation en volume, bien qu’ils n’influencent pas directement les quantités achetées. En effet, s’il n’y a pas d’inflation d’une année sur l’autre (soit pas d’effet prix) alors si les ménages changent leurs comportements (gamme, distributeur, composition du panier) alors la baisse de la consommation en valeur se traduira par une baisse de la consommation en volume, en l’absence d’effet-prix.

 

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