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Une autre Europe : Merkel dit non à Hollande

Une autre Europe : Merkel dit non  à Hollande

 

 

Pour Merkel, Hollande c’est fini, donc pas question de lui faire la moindre concession. Hollande lors de la rencontre entre les chefs d’Etats européens voulait à nouveau réorienter l’Europe mais Merkel a dit non. Et la BCE (la voix de Merkel) vient de confirmer cette position en réaffirmant que seule l’austérité permettrait de développer croissance et emploi. Désormais Hollande rejeté en France l’est auusi en Europe, il compte beaucoup moi ns que l’Italie qui a trouvé une président qui fait ce qu’il dit et qui gagne aux élections, moins que l’Espagne qui se redresse. Il n’y aura donc aucune nouvelle initiative de l’Europe en matière économique, cela d’autant plus que les institutions européennes sont affaiblies avec la montée de l’euroscepticisme. Pire il est vraisemblable que l’accord de libre échange entre les Etats-Unis et l’Europe sera adopté.  Pour la chancelière, il n’y a pas de raison de changer de politique.  Pourtant, dans son allocution lundi soir, François Hollande a une nouvelle fois plaidé pour une «réorientation de l’Europe». Il l’avait déjà promis durant sa campagne présidentielle, sans parvenir, une fois élu, à modifier en profondeur le cours des politiques de l‘Union européenne. Angela Merkel n’avait, elle, consenti qu’à colorer son discours en y ajoutant des références à la croissance et à l’emploi. Mais il n’était pas question pour elle de changer de point de vue sur les instruments pour y parvenir: assainissement des comptes publics et réformes structurelles. Mardi soir à Bruxelles, pour la rencontre informelle des chefs d’État et de gouvernement de l’UE, elle ne devait pas atténuer ses positions. La capacité du gouvernement français à redresser la situation économique du pays suscite toujours autant d’inquiétude outre-Rhin. L’Allemagne considère avoir déjà accepté beaucoup de concessions et attend des résultats. Berlin a ainsi refusé d’appuyer la réflexion de la France sur le rythme de réduction du déficit, et a clairement repoussé tout débat sur le niveau de l’euro. Mardi, le ministre des Finances Wolfgang Schäuble l’a redit: «Nous devons continuer nos efforts, nous devons nous assurer que nous ne nous cachons pas derrière la politique monétaire.» Dans les cercles du pouvoir, certains considèrent déjà que François Hollande a perdu la présidentielle de 2017 et qu’il faut préparer l’avenir. Pour autant, il n’est pas question de geler toute initiative. «Ici, on a l’impression que les deux premières années du quinquennat ont été plus ou moins perdues, poursuit Claire Demesmay. Or le gouvernement allemand a aussi le sentiment que la situation est désormais urgente et qu’il n’est pas possible d’attendre trois ans.» Berlin ne veut pas se passer de Paris aussi longtemps. Au sein du gouvernement, on sait aussi qu’il faut relativiser les résultats des élections européennes, qui ne sont pas transposables sur une élection nationale.

 

Hollande encore chahuté à Rodez

Hollande encore chahuté à Rodez  

Le président de la République est en déplacement ce vendredi à Rodez, dans le sud de la France, pour inaugurer le musée Soulages. Des militants de la Confédérartion paysanne manifestent en soutien aux gardés à vue à Amiens . Ces derniers sont déférés ce vendredi au palais de justice d’Amiens. Les policiers ont utilisés des gaz lacrymogènes pour tenir à distance les manifestants à Rodez. La Confédération paysanne a indiqué retenir un conseiller du Président. Les militants réclament la libération sans condition des quatre gardés à vue à Amiens. Selon Christian Roqueirol, membre du comité national de la Confédération et présent à Rodez, ses camarades comptent retenir le conseiller à l’agriculture de François Hollande tant que les quatre militants et le porte-parole du mouvement Laurent Pinatel ne seront pas libérés.

Mettre fin à la monarchie républicaine

Mettre fin à la monarchie républicaine

 

La France se prétend une république démocratique alors qu’elle n’est qu’une monarchie. Cette démocratie est complètement obsolète et le pouvoir incarné par le Président de la République une caricature ; un président souvent élu par défaut car Hollande n’a pas été lu, c’est Sarkozy qui a été battu. Une confusion dramatique car le PS s’est cru autorisé à appliquer une programme complètement incohérent. La vérité c’est qu’il n’y a jamais eu de programme au PS, les orientations de Hollande ont été décidées à la hâte comme la taxe à sur les riches, la loi Florange, la réforme de l’Etat, la fiscalité en général ; Tout cela et le reste a fini en eau de boudin. Le taxe sur l es riches est finalement payée par les entreprises, la loi Florange qui devait sauver les entreprises est un enfumage, la justice sociale une fumisterie et finalemenet c’est l’austérité qui s’est imposé aux entreprises comme aux ménages. Tout cela décidé par un seul homme: le président de la république (et sa horde de petits marquis). Un énarque qui ignore tout du monde économique et social réel, qui a toujours vécu de la politique et qui est le pur produit du système politique français. On se moque souvenet à juste titre des oligarques des pays de l’Est, les anciens politiques qui ont pillé leur pays mais c’est la même logique qui prévaut en France. Car les énarques qui ont confisqué le pouvoir politique se partagent la direction des entreprises privées comme publiques, s’enrichissent sans jamais risquer le moindre ou, imposent auusi une politique économique délirante. Finalement l’oligarchie a remplacé la noblesse. A la tête le monarque, ensuite les marquis du gouvernement, les barons des partis, du parlement et des collectivités locales. Tous parlent la même langue de bois, font du verbiage, déversent les mêmes pluies d’âneries. Il faut mettre fin à cette monarchie républicaine ridicule, inefficace et injuste. La remplacer par une démocratie vivante avec l’exigence d’un renouvèlement du personnel politique notamment en interdisant de faire de la politique un métier. C’est une mission pas une carrière. Donc en particulier limiter les mandats, interdire aux fonctionnaires de faire de la politique (ou alors de démissionner de la fonction publique), consulter régulièrement le peuple. La vérité c’est que ce pays n’est plus gouverné que par des petits marquis nourris au lait des partis, incompétents et méprisants. La transformation démocratique exigera une modification profonde de la sociologie des responsables pour s’appuyer sur les forces vives de la nation et non sur une caste dégénérée.

Sondage : Hollande à 3% pour 2017

Sondage : Hollande à 3% pour 2017

 

 Les Français ne sont plus que 3% à le préférer comme candidat du PS à la prochaine présidentielle de 2017, selon l’étude OpinionWay réalisée en exclusivité pourLe Figaro Magazine. Le même chiffre que les sondages lui donnaient quelques mois avant la primaire de 2011, quand il était opposé notamment à Dominique Strauss-Kahn .   L’humiliation est sévère pour le président de la République qui est dépassé par Manuel Valls  mais aussi par Martine Aubry . Un véritable coup de tonnerre pour le chef de l’Etat, au lendemain de la déroute des socialistes aux élections européennes.  81% des sympathisants socialistes veulent l’organisation d’une primaire, même si le président voulait être candidat, mais seulement 15% d’entre eux voteraient pour lui dans ce cas.  La conclusion est claire : les sympathisants socialistes craignent une nouvelle candidature du chef de l’Etat et au fond, le seul moyen de l’éviter reste d’organiser une primaire avec d’autres prétendants pour s’assurer que François Hollande ne sera pas désigné !  Les tensions au sommet de l’Etat vont inévitablement s’accroitre puisque l’homme vers qui se tourne les électeurs socialistes n’est autre que Manuel Valls, le premier ministre ! 40% des sympathisants socialistes le préfèrent comme candidat à la présidentielle, largement devant les autres. Une situation inédite sous la Ve République qui ne peut que compliquer les relations entre les deux hommes.

 

Sondage : Hollande à 3% pour 2017

 

 Les Français ne sont plus que 3% à le préférer comme candidat du PS à la prochaine présidentielle de 2017, selon l’étude OpinionWay réalisée en exclusivité pourLe Figaro Magazine. Le même chiffre que les sondages lui donnaient quelques mois avant la primaire de 2011, quand il était opposé notamment à Dominique Strauss-Kahn .   L’humiliation est sévère pour le président de la République qui est dépassé par Manuel Valls  mais aussi par Martine Aubry . Un véritable coup de tonnerre pour le chef de l’Etat, au lendemain de la déroute des socialistes aux élections européennes.  81% des sympathisants socialistes veulent l’organisation d’une primaire, même si le président voulait être candidat, mais seulement 15% d’entre eux voteraient pour lui dans ce cas.  La conclusion est claire : les sympathisants socialistes craignent une nouvelle candidature du chef de l’Etat et au fond, le seul moyen de l’éviter reste d’organiser une primaire avec d’autres prétendants pour s’assurer que François Hollande ne sera pas désigné !  Les tensions au sommet de l’Etat vont inévitablement s’accroitre puisque l’homme vers qui se tourne les électeurs socialistes n’est autre que Manuel Valls, le premier ministre ! 40% des sympathisants socialistes le préfèrent comme candidat à la présidentielle, largement devant les autres. Une situation inédite sous la Ve République qui ne peut que compliquer les relations entre les deux hommes.

 

Sondage : Hollande à 3% pour 2017

 

 Les Français ne sont plus que 3% à le préférer comme candidat du PS à la prochaine présidentielle de 2017, selon l’étude OpinionWay réalisée en exclusivité pourLe Figaro Magazine. Le même chiffre que les sondages lui donnaient quelques mois avant la primaire de 2011, quand il était opposé notamment à Dominique Strauss-Kahn .   L’humiliation est sévère pour le président de la République qui est dépassé par Manuel Valls  mais aussi par Martine Aubry . Un véritable coup de tonnerre pour le chef de l’Etat, au lendemain de la déroute des socialistes aux élections européennes.  81% des sympathisants socialistes veulent l’organisation d’une primaire, même si le président voulait être candidat, mais seulement 15% d’entre eux voteraient pour lui dans ce cas.  La conclusion est claire : les sympathisants socialistes craignent une nouvelle candidature du chef de l’Etat et au fond, le seul moyen de l’éviter reste d’organiser une primaire avec d’autres prétendants pour s’assurer que François Hollande ne sera pas désigné !  Les tensions au sommet de l’Etat vont inévitablement s’accroitre puisque l’homme vers qui se tourne les électeurs socialistes n’est autre que Manuel Valls, le premier ministre ! 40% des sympathisants socialistes le préfèrent comme candidat à la présidentielle, largement devant les autres. Une situation inédite sous la Ve République qui ne peut que compliquer les relations entre les deux hommes.

 

Affaire Tapie : Guéant toujours en garde à vue, ça chauffe !

Affaire Tapie : Guéant toujours en garde à vue, ça chauffe !

 

Troisième jour de garde à vue pour Guéant dans l’affaire Tapie.ça chauffe et certains pourraient bien finir par se déboutonner d’autant que Sarko paraît maintenant mal embarqué pour se représenter en 2017 .  Guéant à nouveau entendu mercredi matin. La garde à vue de l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant dans l’enquête sur l’arbitrage controversé dont a bénéficié Bernard Tapie dans son litige avec le Crédit Lyonnais, a été suspendue mardi soir et reprendra mercredi, a indiqué à l’AFP son avocat. « La garde à vue a été suspendue à 21h et doit reprendre mercredi vers 8h30″, a dit Me Philippe Bouchez El Ghozi. Quel rôle dans la décision de recourir à l’arbitrage ? L’ancien secrétaire général de l’Elysée, bras droit de Nicolas Sarkozy dans sa conquête du pouvoir comme dans son exercice, est entendu depuis lundi matin dans les locaux de la brigade financière à Paris. Sa garde à vue avait déjà été levée lundi soir avant de reprendre le lendemain à 8h30. Les enquêteurs de la brigade financière de la PJ parisienne devaient interroger leur ancien patron à l’Intérieur sur son rôle dans la décision de recourir à l’arbitrage, dans celle de ne pas contester la sentence, et dans la fiscalité jugée avantageuse appliquée à l’indemnité de plus de 400 millions d’euros octroyée en 2008 à Bernard Tapie.

 

À Bruxelles Hollande justifie l’austérité

À Bruxelles Hollande justifie l’austérité

Hollande persiste et signe en justifiant à Bruxelles ses réformes et en soulignant que « la France ne peut « pas vivre avec une dette aussi lourde ». « Il faut entendre les électeurs et les élus » mais « il faut leur parler aussi en vérité, en sincérité, en responsabilité », a affirmé Hollande lors d’une conférence de presse à l’issue d’un sommet européen à Bruxelles. « Des délais nous en avons eu, des assouplissements, il y en a eu aussi », a-t-il souligné faisant référence au report accordé à la France par Bruxelles pour réduire ses déficits. « Mais, a-t-il ajouté, nous ne pouvons pas vivre avec une dette aussi lourde, avec des déficits qui se sont accumulé depuis des années ». »Est-ce que j’aurais pu faire en 2012 comme mes prédécesseurs : dire on laisse filer, la dette va encore s’alourdir, on va pouvoir distribuer un argent qu’on n’a pas? non », a répondu le chef de l’Etat. Nous devons mener des réformes (…) par rapport à nous-mêmes François Hollande « Aujourd’hui, nous devons mener des réformes non pas par rapport à l’euro mais par rapport à nous-mêmes », a-t-il aussi estimé. Les réformes pour « favoriser l’embauche et éviter les licenciements, nous les faisons, ce n’est pas l’Europe qui nous le demande », « les réformes pour le financement de notre économie, le renforcement de notre industrie nous les faisons dans notre intérêt, pas pour l’Europe », a-t-il énuméré.

 

TER trop larges: la faute à RFF

TER trop larges: la faute à RFF

 

En fait c’est la confusion de rôles entre SNCF et RFF qui est cause de cette incroyable histoire de trains trop larges. RFF n’ayant pas réalisé à temps les travaux d’ajustement des quais. Pourquoi RFF ? C’est l’organisme qui gère les infrastructures ferroviaires. En fait un organisme créé surtout pour apurer le déficit ferroviaire. Mais en réalité, l’Etat n’a jamais pris les moyens d’apurer cette dette (30 milliards pour RFF). Du coup RFF ne sert pas à grand-chose. L’énigme des «TER trop larges» est donc enfin résolue: les ingénieurs de la SNCF n’ont commis aucune erreur et ceux des constructeurs de trains non plus. En revanche, Réseau ferré de France (RFF) et SNCF, aveuglées par leur guerre de pouvoir, ont été incapables de s’entendre sur un calendrier de travaux et de financement pour réaliser à l’avance la mise aux normes des quais les plus anciens du réseau alors que de nouveaux trains plus larges avaient été commandés. Les conclusions du rapport remis lundi par SNCF et RFF au secrétaire d’État aux transports, Frédéric Cuvillier, permettent de mieux comprendre l’imbroglio qui a embrasé la France il y a une semaine. D’après la chronologie détaillée fournie par SNCF et Réseau ferré de France, les deux entreprises mises en cause savaient que les nouveaux trains régionaux commandés en 2009 nécessiteraient des travaux de réaménagement des quais. Comme le soulignent les auteurs du rapport, les travaux préparatoires à la mise en service du Transilien – le train commandé en 2007 par l’Île-de-France pour remplacer les «petits gris» en banlieue – font apparaître des quais aux gabarits hétérogènes. SNCF Infra, la branche de la SNCF qui réalise les travaux, lance dès juillet 2009 une «campagne nationale de mesures» de quais destinée à «recenser les quais et à identifier les non-conformités» pour prévenir les risques. L’Établissement public de sécurité ferroviaire (EPSF), organisme indépendant qui homologue les trains, prend conscience de l’écart entre quais et trains dès novembre 2010. Un «plan d’actions correctif» est même déclenché début 2011. Mais, cette année-là, véritable paroxysme du conflit entre les deux entreprises jalouses de leur autorité, une guerre de courriers montre que l’une rejette sur l’autre la responsabilité de l’incompatibilité entre les trains commandés et les infrastructures. Fin 2012, RFF et SNCF se remettent autour de la table et organisent des comités de pilotage pour réussir le déploiement des trains régionaux commandés à Alstom et à Bombardier. Au premier trimestre 2013, les entreprises évaluent à 800 le nombre de quais à raboter. Un chiffre étendu à 1300 quelques mois plus tard. Mais les chantiers ne démarrent que début 2014. Toutefois, malgré la «réconciliation» entre les deux entreprises, ni la SNCF ni RFF n’accepte de prendre en charge ces travaux. Les entreprises demandent aux régions de les financer via les «redevances de quai» qui leur sont facturées chaque année par RFF. Cette nouvelle ardoise présentée il y a quelques jours encore fait sortir les régions de leurs gonds. La parution de l’article du Canard enchaîné conduit RFF à proposer de prendre intégralement à sa charge l’investissement de 50 millions d’euros pour mettre les quais aux normes. Trop tard, l’incendie a enflammé le pays. En guise d’épilogue, Frédéric Cuvillier a réclamé lundi un «registre complet et à jour des infrastructures», inexistant à l’heure actuelle. Il demande aussi que toute commande de trains soit conditionnée par une étude préalable de l’impact sur les infrastructures. En clair, les commandes de nouvelles rames devront déterminer qui paiera la remise aux normes des infrastructures. Les régions ne paieront pas un sou de plus

Affaire Tapie : Guéant en garde à vue

Affaire Tapie :  Guéant en garde à vue

La justice cherche à savoir si l’ancien secrétaire général de l’Elysée a favorisé, lorsqu’il était le plus proche collaborateur de Nicolas Sarkozy à l’Elysée, l’arbitrage controversé qui a soldé le litige opposant Bernard Tapie au Crédit lyonnais sur la revente d’Adidas. Gilles August et Jean-Pierre Martel, deux anciens avocats du Consortium de réalisation (CDR), structure créée en 1995 pour gérer le passif du Crédit Lyonnais après sa quasi-faillite, ont également été placés en garde à vue lundi et doivent être confrontés mardi, a-t-on indiqué de même source. Selon une enquête publiée en septembre dernier par Libération, Claude Guéant « a été le destinataire de nombreuses demandes d’intervention de Bernard Tapie depuis 2005″, lorsqu’il officiait sous les ordres du ministre de l’Intérieur puis du président Sarkozy. Les juges estiment que « les investigations ont confirmé son implication personnelle dans le suivi du dossier », toujours selon le quotidien. Mais Claude Guéant avait auparavant clamé son innocence, affirmant: « L’Elysée était au courant mais c’est le ministère des Finances qui a décidé. » Pour Bernard Tapie, il a joué un simple rôle de facteur. En avril dernier, deux des juges-arbitres qui ont tranché en faveur de l’homme d’affaires, l’ex-président du Conseil constitutionnel Pierre Mazeaud et l’avocat Jean-Denis Bredin, ont été placés sous le statut de témoin assisté. Le troisième, Pierre Estoup, a été mis en examen en mai 2013 pour escroquerie en bande organisée. Bernard Tapie, son avocat Maurice Lantourne, Stéphane Richard, PDG d’Orange ORAN.PA et ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde au ministère de l’Economie, et Jean-François Rocchi, ancien président du CDR, ont également été mis en examen du même chef. La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, a pour sa part été placée sous le statut de témoin assisté dans le volet de l’affaire porté devant la Cour de justice de la République, seule compétente pour juger les délits commis par des membres de gouvernement dans l’exercice de leurs fonctions. Un tribunal arbitral a condamné en juillet 2008 le CDR à verser à Bernard Tapie 285 millions d’euros d’indemnités, dont 45 millions à titre de préjudice moral (403 millions d’euros avec les intérêts).

 

Hollande à la télé: je reste

Hollande à la télé : je reste

Rien  de nouveau dans la déclaration télévisée de Hollande sinon qu’il a évoqué la solidifté des institutions, en clair que ces institutions lui permettent  de rester jusqu’en 2017. Il a certes acté que les européennes avaient manifesté une défiance vis çà vis de l’Europe, des partis et plus généralement de la politique mais à aucun moment il n’a évoqué sa propre responsabilité et celle du gouvernement. Une sorte de déni de réalité en quelque sorte. Hollande a réitéré sa volonté de  réorienter sa volonté de réformer l’Europe, dès demain a-t-il dit. Une promesse maintes fois faites et qui a abouti au fiasco puisque Merkel a toujours imposé toutes ses vues. En fait  il a rabâché une nouvelle fois la feuille de route du gouvernement : emploi, croissance, pouvoir d’achat, priorité à l’éducation, simplification des procédures, malheureusement du verbiage trop entendu et qui n’a encore donné aucune application concrète bien au contraire. Une chose nouvelle toutefois quand il souhaite que l’Europe se retire là où elle n’est p as nécessaire et se recentrer sur l’essentiel. Comment pourrait-il être écouté par cette bureaucratie de 55 000 fonctionnaires et cette commission bureaucratique qui se moquent  totalement de la légitimité démocratique. Il reconnait que l’Europe est illisible mais comme est illisible la politique du gouvernement. En 2013 il a augmenté les impôts et ce n’est qu’à quelques jours des élections qu’il a décidé d’alléger la fiscalité pour les moins favorisés. Même chose pour les entreprises combien faudra-t-il encore de mois et d’années pour redonner  de la compétitivité aux entreprises plombées par la fiscalité qui tue auusi l’emploi ? En réalité cette allocution n’avait qu’un objet : confirmer que Hollande restera en place ; une intervention par ailleurs sur la forme sans beaucoup de flamme, sans beaucoup d’éloquence, sans même  beaucoup de conviction. Hollande a faiat tout simplement l’impasse sur sa propre responsabilité  et ce n’est pas son hymne à l’amour de la France qui peut dissimuler le vide du propos. De toute évidence Hollande n’a rien compris mais visiblement, ce n’est pas son souci. Une seule préoccupation pour lui demeurer en place le plus longtemps possible. Or précisément la crise de régime ouverte par les européennes pose la question des institutions en place, de la démocratie et même celle du mandat d’un président qui n’a obtenu que 14% des suffrages soit environ 5% des électeurs.

Débat européennes à la télé : un révélateur des incompétences

Débat européennes à la télé : un révélateur des incompétences

Sur France 2, le grand débat des européennes à mis en lumière l’incompétence générale des participant surtout en matière économique. Paradoxalement, c’est l’écolo qui s’en est le mieux tiré (même si certains aspects relèvent de l’utopie). Pour le reste, les prestations ont été assez pitoyables, confuses, contradictoires (avec quelques lueurs parfois de lucidité sur les facteurs explicatifs de l’immigration ou sur les interactions des échanges économiques) ; La confirmation que le personnel politique n’est pas à la hauteur de l’enjeu. D e toute évidence les leaders politiques ne connaissent pas les dossiers, ni sur la France, ni sur l’Europe, ni sur environnement international. Un débat vraiment pitoyable de pros de la politique qui s’invectivent, mentent, ne cessent de se contredire. Ils sont coupés de réalités économiques et sociales, n’ont pas de compétence technique et comblent par la mauvaise foi permanente leurs insuffisances. Il faut dire auusi que l’animateur Pujadas n’a guère aidé à prendra de la hauteur (contrairement aux deux autres journalistes). Visiblement Pujadas ne sait pas non plus de quoi il parle. Pas vraiment une émission pour encourager les lecteurs à voter.

La croissance à plat pour le deuxième trimestre

La croissance à plat pour le deuxième trimestre

 

Finalemenet le fameux retournement de Hollande n’aura pas lieu en 2014, la France aura même du mal à atteindre 0.8% de progression du PIB. Après une croissance qui a été nulle au premier trimestre, l’économie française se dirige encore vers une période de vaches maigres. Les indicateurs de conjoncture publiés ce jeudi 22 mai le confirment un peu plus. Le premier d’entre eux est l’indice PMI composite publié par la société Markit pour le mois de mai. A 49,3 points il accuse une baisse de près de 1 point par rapport au mois d’avril (50,6 point). Surtout ce chiffre passe sous la barre des 50 points, censée marquer la limite entre l’expansion et la contraction de l’économie. Dans le même temps, la zone euro dans son ensemble continue à se montrer dynamique, avec un chiffre de 53,9 points en mai, presque stable (54 points). « Après la stagnation du PIB observée sur le premier trimestre, les performances de l’économie française devraient continuer de décevoir au deuxième trimestre », anticipe Jack Kennedy, économiste de Markit. De son côté l’Insee a, ce même jeudi, publié le climat des affaires dans l’industrie pour le mois de mai. Le verdict est moins douloureux puisque cet indicateur s’inscrit en très légère baisse, à 99 points, contre 100 points en avril. Au final que retenir de ces chiffres? « Ce n’est pas forcément une bonne nouvelle mais ce n’est pas non plus inattendu », commente Jean-Christophe Caffet, économiste chez Natixis. « Ces indicateurs confirment ce que nous pensons depuis un moment c’est-à-dire que la France va sous-performer la zone euro ». Pour expliquer ce phénomène, l’économiste souligne l’impact des réformes structurelles et des « ajustements macroéconomiques qui ne font que commencer. Ils créent de la croissance potentielle à long terme mais ce n’est pas sans sacrifice à court terme ». « C’est pour cela que tout le discours autour du retournement économique est contre-productif », ajoute-t-il. Mais Jean-Christophe Caffet souligne bien que la France ne va pas « retomber en récession » mais bien « connaître encore pour un moment une croissance molle

Pôle emploi condamné à verser 23.373 euros à un ex salarié

Pôle emploi condamné à verser 23.373 euros à un ex salarié

 

On savait déjà que Pôle emploi ne servait à rien pour les chômeurs mais on ignorait que cette administration ne respectait pas la réglementation pour ses propres salariés. Pôle emploi a été condamné par les prud’hommes à verser 23.373 euros à une de ses ex-salariées qui a enchaîné des contrats aidés pendant quatre ans sans être accompagnée dans sa recherche d’emploi. Pôle emploi n’a pas souhaité faire de commentaire. Requalifiée en CDI. La plaignante, âgée de 59 ans, a travaillé en tant qu’agent administratif à l’agence Pôle emploi de Chelles (Seine-et-Marne) du 1er novembre 2007 au 31 octobre 2011, en contrat d’avenir puis en contrat unique d’insertion (CUI). Dans son jugement prononcé le 10 avril, le conseil de prud’hommes de Paris a ordonné la « requalification » de ces contrats en contrat à durée indéterminée (CDI), « en l’absence de démonstration par l’employeur du respect des obligations (…) de formation et d’accompagnement professionnel », et a requalifié la rupture de contrat en « licenciement dépourvu de cause réelle et sérieuse ». La directrice de l’agence déboutée. Pour la défense de Pôle emploi, la directrice de l’agence de Chelles, tutrice de la salariée, avait fait valoir que la plaignante « avait accès aux propositions de postes » de Pôle emploi, selon le jugement. La directrice territoriale déléguée de Pôle emploi a pour sa part assuré avoir fait parvenir « deux numéros d’offre d’emploi » à la plaignante le 31 octobre 2011, au dernier jour de son dernier contrat avec Pôle emploi. « Ces faits ne peuvent être analysés comme des actions d’accompagnement personnalisé », leur oppose le jugement. Un jugement pour « tous les contrats aidés ». Bénéficiant d’aides publiques, les contrats aidés prévoient un accompagnement professionnel et des actions de formation professionnelle de la part de l’employeur. Ces contrats sont destinés à favoriser le retour à l’emploi des personnes rencontrant des difficultés d’insertion professionnelle. Le syndicat SNU Pôle emploi Ile-de-France, qui a accompagné les démarches de l’ex-salariée, a affirmé mardi dans un communiqué que « ce jugement a vocation à s’appliquer à tous les contrats aidés de Pôle emploi ».

Alstom met des bâtons dans les roues à Siemens

Alstom met des bâtons dans les roues à Siemens

 

Alstom devrait opposer une fin de non recevoir à Siemens qui lui demanderait davantage d’informations sur sa branche énergie, a déclaré mercredi une source proche du groupe français, ce qui réduirait d’autant les chances d’une contre-offre de la part du conglomérat industriel allemand. Alstom refuserait d’accéder à la requête de Siemens car cela l’obligerait à dévoiler les mêmes informations à General Electric, auteur d’une proposition d’achat de 17 milliards de dollars (12,35 milliards d’euros) sur les activités énergie d’Alstom, a précisé cette source qui n’y voit nullement une « tactique de négociation ». Alstom doit faire le point sur l’offre de GE d’ici le 2 juin mais le groupe d’énergie et de transport a ouvert ses comptes à Siemens sous la pression du gouvernement. Siemens élabore une contre-offre qui inclurait, selon des sources proches du dossier, des apports d’actifs ferroviaires et une éventuelle prise de participation de l’Etat français dans Alstom Transport. Mais plusieurs personnes au fait des projets de Siemens ont dit mercredi qu’il s’abstiendrait sans doute de toute proposition tant qu’il n’aurait pas de nouvelles informations. Siemens s’est refusé à tout commentaire. Une porte-parole d’Alstom a dit que le groupe attendait toujours une proposition ferme de Siemens, sans qu’il soit possible de dire quand elle pourrait survenir. Elle n’a pas précisé quel genre d’informations nouvelles Siemens avait sollicité. Le gouvernement français ne voit pas d’un bon oeil l’offre de GE, estimant que la cession des actifs d’Alstom dans l’énergie l’affaiblirait en le cantonnant à sa seule activité transport, de taille moins grande.

Sondage- palmarès des présidents de la 5ème république : Hollande à 0.5% !

Sondage- palmarès des présidents de la 5ème république : Hollande à 0.5% !

François Hollande est considéré comme le moins bon des présidents de la Ve République selon un palmarès* BVA réalisé pour «Le Parisien dimanche» - «Aujourd’hui en France». Sans surprise, en tête du classement, les Français plébiscitent le Général de Gaulle.  A la question, «qui est ou a été le meilleur Président de la Vème République ?», plus d’un tiers des personnes interrogées (36%), répondent le Général de Gaulle, qui a dirigé le pays de 1959 à 1969. Arrive ensuite François Mitterrand (27%), premier président socialiste de la Ve (1981-1995). Nicolas Sarkozy, président de 2007 à 2012, occupe la troisième place de ce classement (10%). Puis Valéry Giscard d’Estaing (1974-1981) arrive ex-æquo avec Jacques Chirac (1995-2007) à 8%. Ils sont talonnés de près par Georges Pompidou (1969-1974) plébiscité par 7% des sondés. François Hollande, actuellement en fonctions, ferme la marche, loin derrière : seuls 0,5% des sondés le considèrent comme le meilleur chef d’Etat. 4% des personnes interrogées ne se prononcent pas.

 

Elections européennes : l’UMP remonte, le PS à 16%

Elections européennes : l’UMP remonte, le PS à 16%

 

Avec un taux d’abstention qui se situe entre 5à et 60%, les sondages varient. Selon un sondage Opinion Way réalisé pour Le Figaro et publié ce vendredi, l’UMP l’emporterait avec 23% des voix lors des élections du 25 mai. Le FN arriverait juste derrière (22%). A neuf jours des élections européennes, l’UMP et le FN sont au coude à coude. Selon un sondage OpinionWay réalisé pour Le Figaro publié ce vendredi, l’UMP arriverait en tête, devant le FN lors des élections du 25 mai, avec 23% des voix contre 22%. Le PS arriverait en troisième (16%), suivi par le MoDem/UDI (10,5 %), les Verts (9 %) le Front de Gauche (8 %), Debout la République (2,5 %) et Nouvelle Donne (2,5 %). « Quand les écarts sont petits, il faut être très prudent », prévient Bruno Jeanbart, directeur des études politiques d’OpinionWay ajoutant que 1 point de résultat aux européennes représente seulement 150 000 voix, soit environ deux fois moins qu’à la présidentielle (360 000 voix). « Cette élection s’annonce une nouvelle fois avec très faible participation, ce qui rend d’autant plus incertains les résultats », avertit-il.

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