Archive pour le Tag 'a sauvé'

La Russie a « sauvé » Obama (Borloo)

La Russie a « sauvé » Obama (Borloo)

Interrogé sur RMC, Jean-Louis Borloo, président de l’UDI, a déclaré que la proposition russe de placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international a « sauvé les Etats-Unis d’une crise institutionnelle majeure ».  Alors que le Congrès américain menaçait de s’opposer à une intervention armée en Syrie, la Russie a « sauvé l’honneur du président Obama », a ajouté le député centriste. Pour résoudre le dossier syrien, l’ancien ministre de l’Ecologie en appelle à une « réunion de l’Assemblée générale des Nation unies ».

La BCE qui a sauvé les banques ne sait pas quoi faire pour sauver les entreprises

La BCE qui a sauvé les banques ne sait pas quoi faire pour sauver les entreprises

La question centrale aujourd’hui sur le plan financier  est de faciliter  l’accès au crédit pour les entreprises étranglées par les banques et le tassement de la rentabilité. . La BCE se dit frustrée mais ne sait pas quoi faire. En attendant  le taux principal de refinancement des banques, ramené de 0,75 % à 0,5 %, plus bas historique, le taux de la facilité exceptionnelle auquel les banques peuvent se procurer des liquidités au jour le jour est abaissé de 1 % à 0,5 %. Quant au troisième taux directeur – sur les dépôts que les banques peuvent effectuer à la BCE – il est maintenu à 0 %. Mais il pourrait éventuellement devenir négatif, ce qui reviendrait alors à demander aux banques de payer pour déposer leur argent. «Nous sommes techniquement prêts, même si cela peut avoir des conséquences indésirables que nous étudions», a déclaré Mario Draghi lors de la conférence de presse traditionnelle. Cette seule évocation de taux négatifs a eu pour effet quasi pavlovien de faire baisser l’euro qui est repassé en deçà de 1,31 dollar sur les marchés. Le président de la BCE a par ailleurs souligné que la politique monétaire resterait très accommodante. «Les principales opérations de refinancement continueront de se faire à taux fixe et à allocation illimitée, aussi longtemps que nécessaire et au moins jusqu’au 8 juillet 2014». La décision de baisse des taux a fait l’objet «d’un très large consensus, et d’un autre consensus en faveur d’une baisse de 0,25 %», selon Mario Draghi. Ce qui signifie qu’il n’y a pas eu unanimité: au moins un gouverneur souhaitait un statu quo, voire une hausse. Et à l’inverse d’autres auraient préféré une réduction supérieure à 0,25 %. « Le patron de la BCE a fait part de sa « frustration » devant la raréfaction du crédit bancaire aux entreprises et à l’immobilier » Angela Merkel avait expliqué la semaine dernière que «la BCE (était) dans une situation difficile. Dans le fond elle devrait probablement relever un peu ses taux pour l’Allemagne, mais pour les autres pays, elle aurait en fait besoin d’agir un peu plus pour s’assurer que les entreprises ont accès au crédit». Il s’agit d’un constat factuel et non pas d’une pression sur la BCE de la part de la chancelière allemande, a estimé Draghi. Pour sa part il justifie la baisse de taux par la grande modération de l’inflation en zone euro (1,2 % sur un an) et par «la faiblesse de l’activité économique. Nous allons surveiller à l’évidence toutes les nouvelles statistiques… Nous nous tenons prêts à agir s’il le faut.» Plus nouveau, le patron de la BCE a fait part de sa «frustration» (sic) devant la raréfaction du crédit bancaire aux entreprises et à l’immobilier. Tout en regrettant que seulement 20 % des financements se fassent par les marchés financiers en Europe (contre 80 % aux États-Unis), il a annoncé que «le Conseil des gouverneurs avait décidé d’entamer des consultations avec d’autres institutions européennes (Commission et BEI) sur des initiatives visant à favoriser le fonctionnement du marché des “asset backed securities” (ABS) adossés à des prêts à des entreprises non financières». Il reconnaît que «les ABS ont mauvaise réputation» et qu’ils ont été à l’origine de la crise des subprimes de 2007. On ne saurait mieux dire combien l’assèchement du crédit bancaire est aujourd’hui préoccupant en zone euro.

 

Montebourg a sauvé 60.000 emplois ? Pourquoi pas 60 millions ! Pathétique

 

Montebourg a sauvé 60.000 emplois ? Pourquoi pas   60 millions ! Pathétique

Montebourg, l’inutile ministre du redressement industriel , affirme sans honte (et sans évaluation) qu’il a sauvé 60 000 emplois ; pourquoi pas 60 Millions. En premier lieu il est impossible d’évaluer ce qui a pu être sauvé, il faudrait pour cela une étude approfondie par un organisme indépendant ;  en second lieu, Montebourg confond l’action politique et le cirque médiatique. L’ancien avocat se croît encore dans les prétoires où la forme compte davantage que le fond. Enfoncé dans les sondages, l’agitation de Montebourg est réellement pathétique ; finalemenet représentative de la paralysie du gouvernement face au chômage ( (1000 chômeurs en plus par jour). Montebourg espère que la hausse de l’euro ne pénalisera pas la France et affirme, dans un entretien au Journal du dimanche (JDD), que son ministère du Redressement productif a permis de préserver près de 60.000 emplois en moins d’un an. « Depuis mon arrivée, nous avons sauvé 59.961 emplois sur 70.909 postes menacés », déclare-t-il en dressant un bilan d’étape de son action depuis son arrivée à Bercy.   »Nous rebâtissons, comme à l’époque des grands plans pompidoliens. On renforce tous nos points forts et on unifie les forces par filières autour de projets d’avenir », résume M. Montebourg, en qualifiant sa politique de « colbertisme participatif ».  Il rappelle que le gouvernement a mobilisé « 20 milliards d’euros en faveur des entreprises pour qu’elles investissent et recrutent ». « Il ne faudrait pas que la hausse de l’euro efface tout cela. Sinon, nous aurons fait cet effort pour rien », prévient-il.   »Lorsque l’euro prend 10 centimes face au dollar, cela se traduit pour EADS par une perte de 1 milliard de profitabilité », fait-il valoir à titre d’exemple.  Plus généralement, le ministre réaffirme au JDD sa conviction qu’à ses « niveaux actuels, la monnaie unique ne correspond pas aux fondamentaux économiques de la plupart des pays européens ».  Dans ce contexte macroéconomique dégradé, il dit préférer « une Europe +croissance+, pas une Europe +maison de redressement+ » et émet le souhait que « soient entendues les objurgations du FMI et des prix Nobel d’économie contre les excès de dogmatisme de l’UE qui conduisent à la récession partout en Europe ».

 




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