Archive pour le Tag 'à Paris'

NKM et Hidalgo battues à Paris

NKM et Hidalgo battues à Paris

L’enquête Ifop-Fiducial, réalisée cette semaine pour le Journal du dimanche et Sud Radio, révèle qu’aucune des deux têtes de liste ne sort gagnante localement. Dans le 14e, la liste conduite par NKM est battue par celle de la socialiste Carine Petit, pourtant peu connue. Ce n’est pas de très bon augure pour gagner Paris, car il s’agit d’un arrondissement clé, sans lequel l’UMP ne peut espérer reconquérir la capitale. Dans le 15e, où l’enjeu est moindre pour la gauche, la première adjointe de Bertrand Delanoë résiste, dans un contexte national difficile. Mais elle n’est pas en mesure d’inquiéter le député-maire sortant, Philippe Goujon, responsable de la fédération UMP de Paris. Même en cas de triangulaire avec le Front national, l’UMP l’emporte… mais avec un résultat beaucoup plus serré, qui laisse la porte ouverte à d’éventuelles surprises si la campagne se durcit.C’est un autre enseignement de ce sondage : l’ombre du Front national continue de grossir sur la capitale. Le parti de Marine Le Pen ne dépasse pas encore la barre des 10% (dans ces deux arrondissements sondés), seuil qui permet de maintenir une liste au second tour. Mais il s’en rapproche. Les écologistes de Christophe Najdovski (EELV) tirent leur épingle du jeu, notamment dans le 14e, malgré un début de campagne jugé timide. Les listes mélenchonistes, elles, ne percent pas, ou peu. Quant aux dissidentes de droite, elle se font laminer dans les deux sondages. 

 

Centres équestres : manif à Paris

Centres équestres : manif à Paris

 

 

Une manif vraiment justifié avec le passage de la TVA de 7 à 20% surtout pour une activité à la rentabilité très précaire contrairement à l’idée que s’en fait sans doute le gouvernement.  Il fait évidemment être fou et/ou complètement incompétent pour décider d’une telle hausse qui va tuer une filière structurellement fragile. A Paris, des milliers de cavaliers et poneys contre la hausse de la TVA Des milliers de cavaliers et de poneys, venus de toute la France, vont battre les pavés parisiens dimanche pour protester contre la hausse de la TVA de 7% à 20%, a indiqué Pascal Mulet-Querner, porte-parole du collectif équitation en péril. A pied ou à poney, les militants partiront à 13H00 de la place d’Italie pour défiler jusqu’à la place de la Bastille et de la Nation.  Cette manifestation nationale est soutenue par la Fédération Française d’Equitation (FFE), la Fédération Nationale du Cheval (FNC), le Groupement Hippique National (GHN), la Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles (FNSEA) ainsi que tous les Comités régionaux d’équitation de France.   »La filière du cheval refuse catégoriquement la mise en place de toutes subventions, primes ou fonds + cheval+ », a averti le dirigeant d’un centre équestre.  Selon lui, « cette augmentation va entraîner la fermeture de 2.000 centres équestres sur 7.000, la perte de 6.000 emplois directs et envoyer 80.000 chevaux à l’abattoir ».  Serge Lecomte, président de la FFE, « travaille à une solution juridique qu’il va proposer bientôt au gouvernement ».  De son côté, la ministre des Sports, Valérie Fourneyron a déclaré à l’AFP « que le gouvernement est prêt à activer tous les leviers pour garantir les perspectives de la filière ».   »Il faut que l’on puisse réviser cette directive (NDLR: européenne) TVA et pouvoir emmener d’autres pays qui n’y sont pas favorables à ouvrir légalement un taux de TVA réduit pour les centres équestres », a-t-elle dit.   »Il faut repartir sur une directive européenne révisée, mais cette renégociation n’est pas à court terme et dans cette période nous activons donc tous les leviers en concertation avec la filière pour que cet impact de la TVA soit limité », a-t-elle ajouté.

Tireur fou à Paris : les conséquences d’un climat délétère

 

Tireur fou à Paris : les conséquences d’un climat délétère

 

Rien ne saurait justifier les actes du tireur fou de Paris, ni même d’autres violences aux personnes et aux biens. Force cependant es de constater que le climat en France est particulièrement délétère. D’une certaine manière, la violence appelle la violence ; Or le gouvernement installe ce climat de violence en créant une ambiance de désespérance dans le pays avec la montée du chômage et de la misère. Comme la montré le rapport des préfets au gouvernement, le pays est au bord de la révolte. Il suffirait d’une étincelle pour qu’elle éclate. Une  violence, encore une fois condamnable, mais dont le pouvoir est aussi responsable ; un pouvoir qui étrangle, qui appauvrit et pousse au désespoir quand les salariés perdent leur emploi, quand des propriétaires de maison ne peuvent plus rembourser leurs emprunts , quand commerçants, agriculteurs et petits patrons sont poussé à la faillite les, quand tout simplement il devient impossible de boucler les fin de mois en dépit des sacrifices consentis. Une violence qui s’alimente de l’inacceptable autosatisfaction du gouvernement qui juge avec sa suffisance technocratique que  « la France est sortie de crise, que la croissance repart, que l’inversion du chômage est proche, que le cap est bon !  ». Aveuglement, incompétence, mépris ? Sans doute les trois à la fois. Un  gouvernement incapable de discerner la ralbol général qui crée les conditions de tous les débordements y compris les plus fous, les plus inadmissibles. L’affaire du tireur fou à Paris est sans doute un acte isolé qui relève peut-être de la psychiatrie mais dans un climat aussi délétère le désespoir peut parfois conduire au pire.

Les éleveurs en colère à Paris

Les éleveurs en colère à Paris

Les éleveurs et leurs bêtes marchent sur Paris ce dimanche pour faire entendre leurs difficultés, entre flambée des charges de production et prix bloqués, et partager leur expérience avec les Parisiens. Mobilisés à l’appel de la Fédération des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) et des Jeunes Agriculteurs (JA), ils espèrent être 10.000 au moins escortés de près de 700 animaux. Cette manifestation revendicative s’achève en fête joyeuse l’après-midi au «Village agricole» des Invalides, autour d’un champ de blé et de stands de dégustation. Mais ces réjouissances n’éclipseront pas la colère et le désespoir même des éleveurs dont le travail se trouve souvent mal rémunéré, parfois même sous le coût de production. «Nous sommes confrontés à la logique de marchés qui font du yoyo depuis 2007, du plus haut au plus bas», résume le président de la FNSEA, Xavier Beulin, évoquant la fluctuation des cours des céréales et autres grandes cultures nécessaires à l’alimentation animale. «Mais personne dans ce pays ne supporte l’augmentation des prix des aliments», ajoute-t-il en visant surtout les grandes enseignes. «La renégociation des prix n’est jamais au niveau», estime Dominique Barrau, secrétaire général de la FNSEA: «On a obtenu au mieux 12% alors qu’en un an le prix des protéines a pratiquement doublé». «Le risque principal, prévient-il, c’est l’abandon des élevages et la revégétalisation des campagnes», au profit des grandes cultures plus rémunératrices. Une menace bien réelle confirme le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll qui juge le «processus extrêmement dangereux». Le ministre, qui se dit «très mobilisé» sur le sujet, entend d’ailleurs profiter de la négociation de la nouvelle Politique agricole commune (PAC) pour l’après-2014, défendant «un rééquilibrage» des aides au profit de l’élevage. Pour les JA, insiste son président François Thabuis, «le premier défi c’est le renouvellement des générations. Car s’installer aujourd’hui pour un jeune, c’est quasiment « mission impossible »». Or la moitié des éleveurs bovins ont déjà plus de 50 ans. «Et nos partenaires en aval sont eux aussi dans une situation extrêmement difficile» reprend Xavier Beulin, citant les activités d’abattage, de découpe ou de transformation. La révision de la loi de consommation, la LME qui régit les relations entre producteurs et distributeurs, leur apporte quelque espoir en prévoyant «une clause de renégociation» -reste à voir qui en prendra l’initiative. Les éleveurs demandent aussi qu’on allège les contraintes administratives trop pesantes et que cesse «toute surenchère réglementaire et fiscale» notamment en matière d’environnement. D’autant que les intempéries les ont souvent obligés cette saison à rentrer les bêtes quand les pâtures étaient inondées et que les foins n’ont pu être coupés. Ce qui alourdira d’autant leurs factures en fourrages.

 




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