Archive pour le Tag 'à nouveau'

Travail le dimanche : à nouveau autorisé

Travail le dimanche : à nouveau autorisé

La Cour d’appel de Paris a autorisé, ce mardi 29 octobre, les enseignes de bricolage à rouvrir leurs magasins franciliens le dimanche, infirmant ainsi la décision de première instance, a-t-on appris de sources concordantes. Le 26 septembre dernier, le tribunal de commerce de Bobigny (Seine-Saint-Denis) avait contraint, sur demande de leur concurrent Bricorama, les deux enseignes à fermer plusieurs de leurs magasins en Île-de-France. Ce dernier s’estimait lésé, ne bénéficiant pour sa part d’aucune dérogation l’autorisant à ouvrir ses portes le dimanche. Cette décision était assortie d’une astreinte de 120.000 euros par magasin et par dimanche ouvert.Conséquence du jugement contraire rendu en appel, les magasins franciliens de Leroy Merlin et de Castorama rouvriront dès ce dimanche, a déclaré l’avovat de Castorama, Me Richard Renaudier. « La cour d’appel a estimé que le juge des référés ne pouvait pas contredire une décision déjà prise sur le fond », a-t-il expliqué, en précisant qu’un jugement rendu en avril, à la suite d’une précédente plainte de Bricorama, avait déjà donné tort à l’enseigne. »Malgré tout, cela ne reste qu’une première étape », a-t-il souligné. Une autre décision sur le fond est attendue le 22 novembre, consécutive elle à la nouvelle procédure engagée en juillet par Bricorama et qui avait abouti au référé du mois dernier.Pour Jean-Claude Bourrelier, PDG de Bricorama, la décision rendue mardi par la cour d’appel est « totalement incompréhensible ». « Il s’agit d’une décision d’injustice. Une fois de plus (…) ce sont les puissants qui dictent leur loi », a-t-il affirmé. Outre le fait qu’il a été débouté de sa demande de faire fermer ses concurrents, il a également été condamné à payer à chacun de ses concurrents 12.000 euros de dommages et intérêts.Bricorama comme Castorama ont tous deux souligné que la seule façon de clore définitivement les procédures judiciaires et l’épineuse polémique, serait que le gouvernement modifie la loi.

 

Cahuzac : à nouveau interrogé

Cahuzac : à nouveau interrogé

La commission parlementaire  doit entendre M. Cahuzac à partir de 17H15.  Il y sera notamment question d’une réunion le 16 janvier à l’Elysée, évoquée par le ministre de l’Economie Pierre Moscovici devant la commission il y a une semaine, et au cours de laquelle ce dernier avait informé le président François Hollande et le Premier ministre Jean-Marc Ayrault de la possibilité d’interroger la Suisse sur l’existence ou non d’un compte de M. Cahuzac en Suisse.  Ce qui, dans cette rencontre, a suscité l’émoi de certains membres de la commission -notamment son président le député UDI Charles de Courson – est que l’un des protagonistes n’était autre que M. Cahuzac lui-même qui, de surcroît, selon le témoignage de M. Moscovici, était intervenu dans la discussion.  De quoi donner des munitions aux députés de l’opposition, qui doutent de la réalité de la « muraille de Chine » qui aurait été érigée à Bercy dès le 10 décembre autour de l’ex-ministre délégué au Budget, pour le tenir à l’écart des développements concernant les investigations sur son compte.  Par ailleurs, au cours de sa première audition M. Cahuzac avait affirmé sous serment: « M. Pierre Moscovici ne m’a jamais informé de cette procédure ». Des déclarations qui ont conduit les membres de la commission à demander à M. Moscovici s’il pensait que son ex-ministre délégué leur avait menti.  M. Cahuzac, qui avait démissionné le 19 mars, a été mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale. Interrogé le 26 juin par la commission, il avait refusé de répondre à plusieurs questions au motif qu’elles empiétaient sur l’enquête judiciaire.  L’audition de mardi pourrait être l’occasion de nouvelles passes d’armes entre députés de la majorité et de l’opposition, très divisés sur ce que savait François Hollande sur le compte caché de son ministre du Budget.  Charles de Courson a ciblé le président, évoquant notamment un coup de fil donné le 15 décembre au cabinet de l’Elysée par Michel Gonelle, l’opposant local à Jérôme Cahuzac à Villeneuve-sur-Lot, dont un enregistrement est à l’origine de l’affaire.   »Nous avons les preuves que le président a été parfaitement informé »; « entre le 4 et le 18 décembre », le président dispose de « l’ensemble des informations lui permettant de se rendre compte que des preuves graves, selon lesquelles Jérôme Cahuzac détenait un compte en Suisse, existent », a-t-il déclaré.  Faux, lui a répondu le rapporteur socialiste de la commission, le député PS Alain Claeys : la commission ne dispose d’ »aucun élément » permettant de « justifier une telle affirmation ».  Avant l’ancien ministre du Budget, sera auditionnée mardi matin à partir de 09H30 Marion Bougeard, sa conseillère chargée des relations avec la presse.  L’ancien juge anti-terroriste Jean-Louis Bruguière sera entendu mercredi, aussi pour une seconde fois. Des détectives privés seront également auditionnés.Lors de sa première audition le 19 juin, M. Bruguière avait affirmé qu’il n’avait jamais utilisé l’enregistrement audio sur un compte suisse de M. Cahuzac, contredisant ainsi Michel Gonelle — battu par M. Cahuzac aux municipales de Villeneuve-sur-Lot en 2001 — et irritant plusieurs députés.  M. Bruguière, qui était candidat soutenu par l’UMP face à M. Cahuzac dans cette circonscription du Lot-et-Garonne aux législatives de 2007, s’était vu remettre par M. Gonelle, le 12 novembre 2006, un enregistrement faisant état d’un compte suisse de M. Cahuzac.  La commission rendra ses conclusions et ses recommandations à l’automne.

 

Hollande : l’inversion de la courbe du chômage à nouveau tenable

Hollande : l’inversion de la courbe du chômage à nouveau tenable

Au salon de l’agriculture, Hollande a laissé entendre que l’inversion de la courbe du chômage, n’était pas tenable ; après sans doute conseil des communiquant, il affirme maintenant le contraire. C’est ce qu’on appelle du volontarisme politique. Après l’annonce mardi soir d’une nouvelle hausse du nombre de chômeurs, en janvier, désormais proche du record de 1997, le président de la République ne veut pas jeter l’éponge et renoncer à cette promesse d’inverser cette année la courbe du chômage. Dimanche au Salon de l’agriculture, il avait indiqué que cet objectif pouvait ne pas être atteint « si nous arrivons à accélérer la reprise, à anticiper la reprise. Mercredi, au cours du Conseil des ministres, il a parlé d’un objectif « tenable« . Comment ? En accélérant. Il a ainsi « appelé l’ensemble des membres du gouvernement à mettre en oeuvre les décisions prises, annoncées pour consolider la croissance, à accélérer le rythme de mise en oeuvre de ces décisions et à veiller en même temps à préserver le pouvoir d’achat des Français. » Michel Sapin, le ministre du Travail, qui a présenté au Conseil des ministres une communication sur ce thème, s’est chargé de l’explication de texte. Il a détaillé « l‘ensemble des outils en faveur de l’emploi«   : les emplois d’avenir « qui commencent et que nous allons accélérer« , les contrats de génération qui devront « avoir des effets massifs pour le deuxième semestre de cette année« , les emplois aidés « dont nous avons allongé la durée ». « Pas opportun de prendre des mesures supplémentaires » (Pierre Moscovici) En ce qui concerne la lutte contre les déficits, au cours du même Conseil, le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici, a indiqué qu’il « ne serait pas opportun, pour l’économie française, de prendre cette année des mesures supplémentaires, au-delà de celles qui sont déjà mises en oeuvre ». Pas de mesures supplémentaires. Une façon de « veiller à préserver le pouvoir d’achat des Français. »

Le PDG de Titan fait à nouveau la leçon à Montebourg: « l’extrémiste, c’est votre gouvernement »

Le PDG de Titan fait à nouveau la leçon à Montebourg: « l’extrémiste, c’est votre gouvernement »

Le PDG du fabricant américain de pneus Titan International, Maurice Taylor, a envoyé une nouvelle lettre au ministre du redressement productif Arnaud Montebourg qui l’avait qualifié d’extrémiste la veille, en lui répliquant: « l’extrémiste, c’est votre gouvernement ».  M. Taylor a fait scandale dans une première lettre au ministre rendue publique mercredi par Les Echos, dans laquelle il qualifiait les ouvriers de l’usine Goodyear d’Amiens de « soi-disant ouvriers » qui travaillent « trois heures par jour ».  M. Montebourg lui a répondu le jour même en dénonçant des propos « extrémistes » et « insultants », et a promis à Titan un zèle douanier « redoublé » sur les pneus qu’il importe.   »Votre lettre du 20 février montre à quel point la classe politique est déconnectée des vrais problèmes du monde. Vous affirmez que je suis un extrémiste. Je dois avouer que la plupart des hommes d’affaires avisés seraient d’accord pour dire que je suis fou d’avoir eu l’idée de dépenser des millions de dollars pour racheter une usine de pneus en France, et verser certains des salaires les plus élevés au monde », argumente M. Taylor dans sa nouvelle lettre reçue par courriel.   »Votre lettre n’a jamais mentionné pourquoi le gouvernement français n’était pas intervenu pour sauver l’activité agricole de Goodyear. Votre gouvernement a laissé les barjots du syndicat communiste détruire les emplois les mieux rémunérés » du secteur manufacturier en France, ajoute-t-il.   »L’extrémiste, Monsieur le ministre, c’est votre gouvernement et son manque de connaissance sur la façon de bâtir une entreprise. A aucun moment Titan n’a demandé de baisser les salaires. Nous avons juste dit que si on voulait être payé pour sept heures de travail, il fallait en travailler au moins six », affirme M. Taylor.  Le PDG de Titan, qui a essayé en vain pendant quatre ans de racheter l’usine de Goodyear à Amiens, affirme que l’opposition des syndicats a fait achopper ce projet. « Puisque vous en parlez, pourquoi le chômage est-il si élevé en France et particulièrement chez les jeunes? C’est à cause de la politique de votre gouvernement, Monsieur », ajoute-t-il.  Le patron de Titan International pneus indique aussi qu’il a une usine en France, à Flers, en Normandie, où il fabrique notamment des roues pour machines agricoles.  

 

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Farines animales à nouveau autorisées par l’Europe pour nourrir les poissons

Farines animales à nouveau autorisées par l’Europe pour nourrir  les poissons

 

C’est un hasard du calendrier plutôt malheureux. Alors que la France est secouée par le scandale de la viande de cheval écoulée dans des plats étiquetés « pur bœuf », Bruxelles a donné le feu vert au retour des farines animales pour les poissons, le 14 février. Approuvée en juillet 2012 par les experts des États membres de l’UE, cette mesure sera effective à compter du 1er juin. « Ça tombe mal », a déclaré le ministre de l’Agroalimentaire Guillaume Garot, interrogé sur France Info.  « La France s’était prononcée contre cette disposition européenne », a ajouté le ministre, qui a rappelé que la disposition de Bruxelles ne rendait « heureusement » pas obligatoire l’utilisation des farines animales.   »Il faudra la mettre en  œuvre au plan français avec un véritable esprit de responsabilité de nos industriels », a-t-il souligné. L’utilisation des farines animales pour les ruminants avait été interdite en 1997 en raison des risques de contamination par l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), ou « maladie de la vache folle ». Ce n’est qu’en 2001, que cette mesure avait été étendue aux aliments pour tous les animaux de consommation. Pour la Commission européenne, cette décision améliorera la durabilité à long terme du secteur de l’aquaculture. « Ces PAT (protéines animales transformées) pourraient être un substitut précieux aux farines de poisson, qui sont une ressource rare », a indiqué la Commission dans un communiqué. Quant au spectre de la maladie de la vache folle, il semble plus que jamais s’éloigner. « La situation épidémiologique actuelle de l’ESB montre que l’UE est désormais dans la phase finale de l’éradication de l’ESB au sein de son cheptel bovin », a affirmé Bruxelles en précisant que le risque de transmission d’ESB « entre animaux non-ruminants est négligeable ! »

 

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Sondage : moral des français à nouveau en baisse

Sondage : moral des français à nouveau en baisse

Selon le dernier Baromètre de l’économie BVA (voir ci-dessous) diffusé par BFMTV et BFM Business, 69% des sondés sont moins confiants en l’avenir de la situation économique en France, soit deux points de plus en un mois. Les électeurs de droite restent défiants à 93%. Mais les sympathisants de gauche le sont désormais à 43%.  Second thème de ce baromètre : la réforme de l’indemnisation du chômage relancée par un récent rapport de la Cour des comptes proposant une baisse des indemnités de certaines catégories de salariés, les cadres au premier chef. Dans cette optique, 79% des sondés seraient d’accord pour plafonner les indemnités à 2 000 euros, à l’image de ce qui se fait dans beaucoup de pays européens. Mais les cadres et les cadres supérieurs, les principaux concernés, ne sont que 74% à le vouloir.  Les Français sont également 66% à estimer que les employeurs recourant aux contrats de travail courts (CDD et intérim) devraient payer davantage de cotisations chômage, comme le prévoit d’ailleurs l’accord sur l’emploi signé récemment par les partenaires sociaux. En revanche, 42% seulement des sondés (et 35% des catégories supérieures) seraient favorables à une réduction de la durée d’indemnisation du chômage.  Autre question du baromètre : 85% des Français seraient disposés à payer plus cher un produit « made in France » à qualité égale. A condition toutefois que le surcoût ne dépasse pas 10%. Les plus enclins à le faire seraient les provinciaux. En revanche, 19% des habitants de l’agglomération parisienne contre 14% en moyenne nationale refuserait ce patriotisme de consommation.

 




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