Hollande- France 2 : un inventaire à la Prévert
Une intervention finalemenet très confuse en forme d’inventaire à la Prévert, sans vision globale et sans cohérence. Du bricolage (boite à outils), des signes à la gauche dure (taxe 75%), de l’austérité (retraites, impôts 2013, Unedic), des promesses illusoire sur l’inversion du chômage. François Hollande a débuté son propos sur l’Europe par regretter les délais des institutions. Ça prend toujours trop de temps. J’en ai assez du temps perdu. L’Europe, c’est tellement long dans les procédures, qu’il faut accélérer. Nous devons aller plus vite. Le problème, c’est que je ne suis pas tout seul. Il y a beaucoup de gouvernements conservateurs. » François Hollande a clôt le chapitre économie en rappelant les outils mis en place. « Il faut utiliser tout ce que nous avons mis sur la table. Je n’attends pas la croissance, je la créé », a-t-il revendiqué, citant les 20 milliards pour la compétitivité, la réforme du marché du travail, le contrat de génération, les emplois d’avenir, formation professionnelle. François Hollande débute par réitérer sa promettre de faire baisser le chômage avant la fin 2013. « Mon premier objectif, c’est d’inverser la courbe du chômage à la fin de l’année. Ça veut dire que ça augmentera jusqu’à la fin de l’année. A la fin de l’année, sous serons dans une baisse », a pronostiqué le chef de l’Etat. « C’est un engagement et c’est une bataille. Je vais mettre en place tous les moyens pour y parvenir. » François Hollande a ensuite rappelé les mesures mis en place : emplois d’avenir, contrat de génération, crédit impôt pour les entreprises. Souvent accusé de ne pas donner de cap à sa politique, François Hollande a répondu d’une formule. « Ma priorité, c’est l’emploi. Mon cap, c’est la croissance. Je veux que la France connaisse une croissance. C’est la production nationale qui est en cause. Ce qui me m heurte le plus, ce son des entreprises qui ferment, des salariés qui ne comprennent pas ce qui leur arrive. Je veux renforcer la production nationale », a-t-il insisté. François Hollande a annoncé un « choc de simplification » pour les entreprises. « Il faut trouver de la croissance aussi par la simplification. Aujourd’hui, une entreprise est obligée d’envoyer à l’administration 3.000 informations par an. 3.000 ! Il faut réduire ce chiffre par 2, par 3. Nous allons le faire. » François Hollande a confirmé que l’accord sur l’emploi serait adopté tel quel à l’Assemblée. « L’engagement que j’ai pris, c’est que ce serait tout l’accord, rien que l’accord. Il peut y avoir des corrections qui améliorent, mais toute correction devra être approuvée par les partenaires sociaux. » François Hollande a donné sa nouvelle version de la taxe à 75% sur les hauts revenus, promesse électorale retoquée par le Conseil constitutionnel. « Dans les entreprises, il y aura une transparence des rémunérations. L’Assemblée générale des actionnaires sera consultée. Et lorsque la rémunération dépassera le million d’euros, l’entreprise aura à payer des impôts à hauteur de 75%. L’entreprise sera responsabilisée. Beaucoup de grandes entreprises feront, j’imagine, pendant deux ans, en sorte de faire une pause. » »Tout l’accord, rien que l’accord ». François Hollande a confirmé que l’accord sur l’emploi serait adopté tel quel à l’Assemblée. « L’engagement que j’ai pris, c’est que ce serait tout l’accord, rien que l’accord. Il peut y avoir des corrections qui améliorent, mais toute correction devra être approuvée par les partenaires sociaux. » François Hollande a annoncé que le gouvernement réclamerait un allongement de la durée de cotisation lors de négociations sur les retraites. François Hollande a affirmé que les prestations familiales ne seraient pas taxées. « On va garder l’universalité des allocations familiales », a-t-il aussi annoncé. « Mais que les plus hauts revenus aient les mêmes allocations familiales que les plus pauvres ? Non. Ça sera revu. » »Pas d’augmentation d’impôts en 2014″. François Hollande a promis qu’en 2014, aucun autre hausse d’impôt que celle de la TVA, prévue de longue date, ne serait décidé. « En dehors de cette disposition, il n’y aura aucune autre augmentation d’impôt », a-t-il affirmé. « Pour l’Etat. Pour la sécurité sociale, on en reparlera. François Hollande a clôt le chapitre économie en rappelant les outils mis en place. « Il faut utiliser tout ce que nous avons mis sur la table. Je n’attends pas la croissance, je la créé », a-t-il revendiqué, citant les 20 milliards pour la compétitivité, la réforme du marché du travail, le contrat de génération, les emplois d’avenir, formation professionnelle.