Archive pour le Tag 'à droite'

Nouveau gouvernement : À droite , en même temps , plus à droite

Nouveau gouvernement : À droite mais en même temps encore plus à droite

Hormis la surprise du Premier ministre et l’étonnement pour Rachida Dati, l’épine dorsale du gouvernement reste à peu près la même. Un gouvernement encore un peu plus à droite. Les principaux détenteurs de portefeuilles restent en place comme pour le ministère de l’économie, le ministère de l’intérieur, le ministère de la justice ou encore le ministère des armées.

Quelques aménagements seulement pour satisfaire aux règles de dosage en matière d’égalité hommes femmes, d’équilibre politique et de pan sur le bec pour les ministres un peu frondeurs.

Jean Garrigues, historien et spécialiste politique, réagit sur Franceinfo du jeudi 11 janvier à l’annonce par l’entourage de Rachida Dati de sa nomination au poste de ministre de la Culture dans le nouveau gouvernement du Premier ministre Gabriel Attal.

« Je ne suis pas sûr que le choix de Rachida Dati apporte quelque chose au projet de réarmement civique », analyse Jean Garrigues. Pour lui, les changements opérés dans le gouvernement sont « cosmétiques » et non pas « significatifs ». Le choix de Rachida Dati apparaît comme « un choix de stratégie politique », et non pas politique « au sens idéologique du terme », estime Jean Garrigues. Avec l’arrivée de Rachida Dati, le gouvernement est droitisé dans sa nouvelle composition. « C’est aussi un problème vis-à-vis de l’aile gauche de la macronie, (…) ça peut affaiblir encore plus le gouvernement de Gabriel Attal », conclut-il.

La liste officielle

Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique : Bruno Le Maire

Ministre de l’Intérieur et des Outre-mer : Gérald Darmanin

Ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités : Catherine Vautrin

Ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques : Amélie Oudéa-Castéra

Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire : Marc Fesneau

Ministre de la Culture : Rachida Dati

Ministre des Armées : Sébastien Lecornu

Ministre de la Justice : Éric Dupond-Moretti

Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères : Stéphane Séjourné

Ministre de la Transition écologique : Christophe Béchu

Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : Sylvie Retailleau

Ministre déléguée chargée du renouveau démocratique et Porte-parole du gouvernement : Prisca Thévenot

Ministre déléguée chargée des relations avec le Parlement : Marie Lebec

Ministre déléguée à l’égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations : Aurore Bergé

Repositionnement UMP : à droite, au centre ou nulle part

Repositionnement UMP : à droite, au centre ou nulle part

 

Finalemenet la question qui se pose à l’UMP se pose à de nombreux partis. Faut-il se positionner à droite ou au centre ? Les sondages sur ce point ne sont guère éclairants. Certes, mais comment et avec quel positionnement politique ? Se droitiser ou se recentrer ? « Bien difficile de répondre », admet Céline Bracq, dont l’enquête BVA révèle que 50 % des sympathisants de droite, et 54 % de ceux de l’UMP, « souhaitent que le parti soit à l’avenir plus à droite qu’aujourd’hui ». Mais une forte proportion d’entre eux voudrait à l’inverse que l’UMP soit « plus centriste qu’aujourd’hui » (45 % et 41 %). Si l’on prend en compte l’ensemble des personnes interrogées, 6 Français sur 10 souhaitent que l’UMP se recentre. Bref, « dans un tel contexte, la tâche du futur patron de l’UMP apparaît extraordinairement compliquée », reconnaît la directrice de BVA. En fait cela traduit auusi le fait que le positionnement politique classique gauche-centre- droite est devenu obsolète. Il faut sans doute réaliser la synthèse de ces vieux clivages qui ne correspondent plus à la sociologie française. Notons d’ailleurs que le FN, pourtant  à l’extrême droite, recueille les voix des couches les plus populaires (souvent d’anciennes voix du PC et du PS, certaines auusi de l’UMP)°. Des voix toutefois d’opposition  car le FN est le réceptacle de toutes les oppositions et de toutes les contradictions. Majoritairement les Français ne prennent pas le FN pour un parti de gouvernement, c’est à dire un parti susceptible de gouverner le pays. Pour L’UMP le danger serait finalement de ne se positionner nulle part (comme le PS) avec un discours déconnecté de sa pratique, le contraire de la synthèse.

Sondage : Sarkozy favori pour 70% à droite

Sondage : Sarkozy favori pour 70% à droite  

 

Nicolas Sarkozy écrase la concurrence et reste le grand favori des sympathisants de droite pour la présidentielle 2017, selon un sondage BVA pour i>Télé publié samedi. L’ancien président est ainsi le candidat favori de 62% des sympathisants de droite interrogés (70% pour les seuls sympathisants UMP), loin devant les ex-Premiers ministres Alain Juppé (14%) et François Fillon (12%). 68% veulent des primaires. Mais ils sont aussi 68% à penser que, pour être candidat, Nicolas Sarkozy devra se soumettre à des primaires au sein de l’UMP, un exercice que le parti entend mettre en place pour la première fois pour la présidentielle de 2017. La publication de ce sondage intervient alors que Bernadette Chirac, l’épouse de l’ancien président Jacques Chirac, a déclaré cette semaine que Nicolas Sarkozy, dont elle a soutenu la campagne en 2012, entendait « évidemment » briguer un nouveau mandat en 2017.

Sondage-Nicolas Sarkozy : en tête à droite, selon BVA

Sondage-Nicolas Sarkozy :  en tête à droite, selon BVA

Le retour en grâce de Nicolas Sarkozy se confirme dans un sondage BVA où il est plébiscité à 70% par les sympathisants de droite comme un possible recours et préféré à 69% à François Fillon (27%) pour l’élection présidentielle de 2017. l’UMP devance désormais le Parti socialiste avec 39% de bonnes opinions (contre 38% au PS) dans la cote des partis politiques. Nicolas Sarkozy progresse de la 7e à la 5e place (+1 point), derrière François Fillon (39%, -1%) dans le classement de la cote d’influence des personnalités. Le président de l’UMP, Jean-François Copé, n’est que 28e avec 19% (-2). Parmi les sympathisants de droite, 70% souhaitent que l’ancien président ait davantage d’influence dans la vie politique française (-3 points par rapport à février). Ils sont 60% (-5 points) à formuler le même voeu pour son ancien Premier ministre François Fillon. Soixante-neuf pour cent des sympathisants de droite, 78% des sympathisants UMP souhaiteraient que Nicolas Sarkozy soit le candidat de l’UMP à la présidentielle de 2017, contre respectivement 27% et 22% pour François Fillon.




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