Archive pour le Tag 'à attendre'

Sommet européen Energie : pas grand chose à attendre

Sommet européen Energie : pas grand chose à attendre

 

Un sommet sur  la lutte contre la l’évasion fiscales mais aussi sur la politique énergétique.  Le document de travail du Conseil indique qu’il s’agit de « donner une orientation politique avant de laisser le conseil adopter des conclusions concrètes en juin 2013″. En somme, il ne faut pas s’attendre à de grandes avancées de l’Europe sur l’énergie. Seuls quelques « aspects essentiels » de ce vaste sujet seront abordés, indique l’agenda du Conseil européen: « ceux en lien avec la croissance et l’emploi ». De quoi décevoir les industriels européens. En particulier Anne Lauvergeon, l’ex-patronne d’Areva, qui allait en ce sens dans le Journal du Dimanche du 19 mai. Ou Gérard Mestrallet, le PDG de GDF Suez, et les huit patrons de grands groupes européens de l’énergie au nom desquels il s’exprime dans Le Monde daté du mercredi 22 mai. Tous exhortent l’Europe à sortir de l’immobilisme sur ce dossier. Ils dénoncent un manque de coordination qui pénalise l’Union face aux autres grandes puissances, et qui la rend extrêmement dépendante des importations, quand elle pourrait développer les échanges entre partenaires. Un manque d’harmonisation qui freine aussi l’Union dans ses objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Elles ont même augmenté en Allemagne en 2012, de 1,6% selon l’Agence fédérale de l’environnement. Pour ces industriels, il faut que l’Europe, plus gros importateur mondial d’énergie, vise l’autosuffisance. Et qu’elle se soude autour d’objectifs communs et investisse pour développer ses capacités de production, ses réseaux et surtout des technologies d’avenir autour des énergies vertes. Des engagements coûteux, certes, mais sans lesquels les prix de l’énergie, qui ont déjà commencé à augmenter, ne pourront que continuer dans ce sens. Et peser à terme sur la compétitivité des entreprises.

GAZ : fortes augmentations à attendre

GAZ : fortes augmentations à attendre

 

Pour faire passer la pilule, les augmentations auront lieu mensuellement car la hausse sera forte avec le nouveau barème. Le nouveau système de fixation mensuelle des tarifs du gaz en France sera mis en œuvre à partir du 1er février, a déclaré vendredi le PDG de GDF Suez Gérard Mestrallet. Les tarifs appliqués aux ménages français ont augmenté de 2,4% le 1er janvier. La réforme présentée par le gouvernement fin 2012 prévoit que l’Etat fixe un cadre annuel chaque 1er juillet et recalcule automatiquement les prix tous les mois et non plus chaque trimestre. Cette disposition devrait rendre moins sensibles les hausses de tarifs, qui font l’objet de conflits à répétition entre l’Etat et GDF Suez, le groupe s’appuyant sur la loi pour réclamer la couverture de ses coûts, notamment d’approvisionnement. « On verra ce que sera le premier mouvement, qui aura lieu normalement le 1er février », a déclaré à la presse Gérard Mestrallet. « Les tarifs vont changer en fonction de différents paramètres – essentiellement le pétrole et le prix de marché du gaz (…) – et, si ces paramètres-là évoluent sagement, ce qui a été le cas ces dernières semaines, les évolutions devraient être logiquement faibles », a-t-il également souligné. « Sur l’année 2013, on démarre avec un niveau qui correspond aux vrais coûts de GDF Suez. » Lors de l’annonce du nouveau système, début décembre, la ministre de l’Energie Delphine Batho avait évoqué une application au 1er avril. Le nouveau cadre réglementaire ne règle toutefois pas les recours sur le fond déposés devant le Conseil d’Etat par GDF Suez et ses concurrents, regroupés au sein de l’Association nationale des opérateurs détaillants en énergie (Anode), contre les hausses limitées à 2% survenues dans l’été et fin septembre.

Retraités : la pontions à attendre

Retraités : la pontions à attendre

 

 Trois raisons de revoir la question des retraites, la réforme Filon de 2010 est obsolète, les socialistes ont décidé du retour à 60 ans sans prévoir le financement, il faut boucher les trous du budget de l’Etat.; On vient de commencer avec.  la probable désindexation des pensions de retraite complémentaire – qui peuvent représenter pour certains cadres jusqu’à 50 % de leur montant – par rapport à l’inflation Autre ponction, le nouveau prélèvement de 0,3 % sur les pensions des retraités actifs pour boucher le trou de la sécu l’année prochaine. Le gain? 450 millions d’euros la première année et 600 à partir de 2014. Cette nouvelle taxe – qui concernera la moitié des retraités en France, soit près de 8 millions de personnes, et qui a doublé en niveau au cours du débat parlementaire – sera affectée dès 2014 au financement de la dépendance. Il faut aussi s’attendre à un relèvement du taux de CSG, d’abord pour les plus hautes pensions puis sans doute pour les autres aussi. . Les plus aisés d’entre eux (soit 47 % des pensionnés) bénéficient en effet historiquement d’un taux de CSG réduit, fixé à 6,6 % contre 7,5 % pour l’ensemble des actifs. La CSG, la ponction magique, un point de relèvement c’est 10 milliards de recettes pour l’Etat ; On va commencer par ponctionner les retraites élevées pour fiancer la dépendance puis on généraliser le relèvement. En calait pour fiancer des retraites on va jouer sur le niveau de ces retraites, tout autant que sur la durée de cotisation et l’âge légal de départ ; En gros le contraire de ce qu’avait annoncé Hollande ; mais c’était avant les élections et avant prise en compte des réalités de la crise.




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