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2017 sondages 11 avril – deux duels : en tête Le Pen-Macron à 24% et Fillon –Mélenchon à 18%

2017 sondages 11 avril - deux duels : en tête Le Pen-Macron à 24% et Fillon –Mélenchon à 18%

Si l’on s’en  tient à la dizaine de sondages les plus récents Le Pen et Macron sont à 24% mais Macron écraserait Le Pen au second tour.  Jean-Luc Mélenchon consolide sa montée en puissance récente et oscille et attient 18% juste au dessus de Fillon.  Fillon  par les affaires judiciaires (dernière révélation Pénélope aurait eu un emploi fictif dans administration dès 1980 !). , cible celui qu’il considère comme son rival et dont l’électorat est jugé volatil à l’approche du premier tour du 23 avril. L’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy est convaincu de pouvoir refaire son retard dans les ultimes moments de cette campagne inédite, comme il y est parvenu pour la primaire de la droite et du centre en novembre 2016. Il insiste sur l’inexpérience présumée d’Emmanuel Macron, son incapacité à former, selon lui, une future majorité cohérente, et la « supercherie » de son aspiration au renouvellement des pratiques politiques, lui « l’héritier » de François Hollande qu’il a surnommé « Emmanuel Hollande ». Il avait évoqué dimanche un échange privé avec le candidat d’En Marche ! Prouvant selon lui ses revirements sur la constitutionnalisation de la déchéance de nationalité. La réplique d’Emmanuel Macron, invité de Public Sénat et Sud Radio, a été cinglante : « François Fillon est un homme de peu de valeur, (…) Il a perdu tout repère : éthique, moral, de comportement. » Son président, Pierre Gattaz, a mis les électeurs français en garde contre l’éventualité d’un second tour entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, qui mèneraient selon lui à la « catastrophe absolue ».

Marché du travail : montée du chômage des jeunes de 7 à 24% en 30 ans

Marché du travail : montée du chômage des jeunes  de 7 à 24% en 30 ans

 

Ce qui ressort de l’analyse du marché du travail, c’est surtout l’extraordinaire montée du chômage des jeunes, la venue des femmes et le développement du travail précaire. Des femmes plus nombreuses au travail mais aussi plus souvent à temps partiel, des contrats plus souvent précaires, un chômage qui a bondi, notamment chez les jeunes : en trente ans, le marché du travail a sensiblement changé en France, selon l’Insee, pas forcément pour le meilleur. Dans un document baptisé « Trente ans de vie économique et sociale » et rendu public mercredi 29 janvier, l’institut national de la statistique note qu’en 2012, la France comptait 6,2 millions d’actifs de plus qu’en 1975, le taux d’activité des 15-64 ans étant passé de 69% à 71%. Les femmes représentent désormais près de la moitié des actifs contre 39% en 1975.Mais en trente ans, le temps partiel s’est aussi fortement développé, surtout pour les femmes. Parmi celles qui travaillent, 30% sont à temps partiel contre 16% en 1975, ce qu’elles ne souhaitent pas dans près d’un tiers des cas.  Les contrats de travail temporaires sont par ailleurs de plus en plus nombreux, en particulier chez les jeunes : en 2012, 52% des salariés de moins de 24 ans sont en CDD, en intérim ou apprentissage. Ils n’étaient que 18% en 1982. D’une façon générale le CDI a reculé en trente ans, mais reste très majoritaire, passant de 94% à 87%. Sur le front du chômage, l’Insee rappelle qu’entre 1975 et 2012, le chômage a connu dix ans de hausse puis des fluctuations entre 7,4% et 10,7%. L’institut note que les différences par âge sont de plus en plus marquées, le taux de chômage des jeunes de 15-24 ans étant notamment passé de 6,8% en 1975 à 23,9% en 2012. L’Insee note qu’en la matière, l’absence de diplômes est plus pénalisante que par le passé. Par catégorie socioprofessionnelle, les cadres n’ont pas eu à souffrir, leur taux de chômage étant resté le même en 2012 qu’au milieu des années 1980. Il a légèrement augmenté pour les professions intermédiaires, tandis que ce sont les ouvriers et employés qui ont « des taux de chômage plus élevés et plus volatils ». Alors que le gouvernement mise notamment aujourd’hui sur les contrats aidés pour faire face au chômage, l’Insee rappelle qu’à la fin des années 1990, plus de 800.000 bénéficiaires ont pu être recensés, loin des niveaux actuels (moins de 300.000 en 2012). L’institut note que ce nombre de bénéficiaires ne correspond pas au nombre d’emplois effectivement créés, en raison d’effets d’aubaine, avec un niveau maximum d’environ 500.000 emplois créés en 2000 et autour de 200.000 en 2012.

 




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