Archive pour le Tag '90%'

Sondage violences et affrontements : 90 % des Français inquiets pour l’avenir

Sondage violences et affrontements : 90 % des Français inquiets pour l’avenir

91% des Français se disent inquiets à l’idée qu’il y ait plus de violences et d’affrontements entre groupes sociaux à l’avenir dans notre pays, selon une nouvelle enquête Elabe « L’Opinion en direct » pour BFMTV.

Toujours selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estime que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ». Des expressions employées cette semaine par le porte-parole du gouvernement Olivier Véran ou le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin après la mort du jeune Thomas.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont aussi très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société.

3 Français sur 4 (78%) jugent même que la situation en France en matière de sécurité des personnes et des biens se dégrade depuis quelques années, une opinion en progression constante depuis août 2020.

Les agressions sur les personnes (68%) devant les trafics de drogue (53%), les agressions sexuelles (49%) et les incivilités (41%) sont les principaux sujets sur lesquels le gouvernement devrait agir en priorité. En outre, 56% des personnes interrogées demandent à ce que les personnes effectuent réellement les peines auxquelles elles ont été condamnées et 54% plaident pour un durcissement du Code pénal.

Pour 2 Français sur 3, les violences de l’ultradroite ne sont pas marginales
Après un week-end marqué par des rassemblements et des violences de l’ultradroite dans la Drôme, ils sont 2 Français sur 3 (66%) à estimer que ces actes ne sont pas marginaux mais traduisent un phénomène général de la montée de ces groupes dans notre pays.

En parallèle, 66% des personnes interrogées considèrent que ce qui divise les Français aujourd’hui est plus fort que ce qui les rassemble, contre 33% qui sont d’un avis contraire, des chiffres stables depuis octobre 2021.

Sondage russe: réélection de Poutine avec entre 90 et 150% ! record du monde

Sondage russe: réélection de Poutine avec entre 90 et 150% ! record du monde

Dans une interview, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a estimé que « M. Poutine sera réélu l’année prochaine avec plus de 90% des voix », a ainsi estimé Dmitri Peskov, un score jamais atteint au cours de quatre élections gagnées par le président russe. Rien d’étonnant à cela puisque tous les opposants sont en prison, en exil ou ont été empoisonnés. D’ailleurs le porte-parole du Kremlin estime que cette formalité démocratique est inutile ! Effectivement comme toute dans toutes les dictatures on fixe le résultat d’abord et ensuite on dépouille les votes pour les ajuster aux chiffres décidés d’avance.

« Les élections, bien qu’elles soient une exigence de la démocratie et que Poutine lui-même ait décidé de les organiser, théoriquement, elles ne devraient même pas avoir lieu. Car il est déjà évident que Poutine sera élu » et ce « compte tenu du niveau de consolidation de la société autour de [lui]« , a développé le porte-parole, faisant part selon lui d’un « avis tout à fait personnel ».

Le Figaro note que selon le cabinet d’étude d’opinion russe Levada, considéré comme indépendant par les Occidentaux et comme un « agent de l’étranger » par Moscou, la cote de popularité du chef du Kremlin auprès des électeurs russes était de 82% en juillet, selon une étude réalisée en porte-à-porte.

Poutine peut reste au pouvoir jusqu’en 2036
Vladimir Poutine a été élu pour la première fois président en 2000 avant d’être renouvelé en 2004. Pour contourner l’interdiction d’être réélu plus d’une fois d’affilée, il s’est offert le poste de Premier ministre du président Dmitri Medvedev de 2008 à 2012, avant de reprendre la tête du Kremlin, cette fois-ci pour deux mandats de six ans dont le dernier cours donc jusqu’en 2024.

Pour s’éviter un retour par la case ministérielle, le président russe a fait amender la constitution russe en 2020 pour y remettre son compteur de mandats à zéro, ce qui lui permet depuis de rester au pouvoir jusqu’en 2036. Une décision qui « apportera plus de stabilité », avait alors commenté Viatcheslav Volodine, le président de la Douma.

Au cours des différents scrutins présidentiels, dont il est difficile de jauger le niveau de manipulation, Vladimir Poutine a obtenu son plus bas score lors de son retour au poste présidentiel, en 2012, avec 64% des suffrages au premier tour.

Depuis plusieurs années, le pouvoir a intensifié sa lutte contre les oppositions politiques, qui a atteint son paroxysme depuis le début de la guerre en Ukraine. Le principal opposant Alexeï Navalny a été empoisonné en août 2020 puis emprisonné. Vendredi, il a été condamné à dix-neuf ans de prison en plus de ses peines précédentes à l’issue d’un procès pour « extrémisme ».

SONDAGE guerre: inquiétude pour 90 % des FRANÇAIS

SONDAGE guerre: inquiétude pour 90 % des FRANÇAIS

Selon un nouveau sondage Elabe Opinion 2022,  89% des Français redoutent que le conflit militaire se propage vers d’autres pays que l’Ukraine. et 68% des Français interrogés disent craindre une éventuelle arrivée du conflit en France.

Dans le détail, ils sont 45% d’interrogés à être plutôt inquiets par le conflit qui oppose la Russie à l’Ukraine et à proportion égale à se dire très inquiets par la guerre. A contrario, 8% des Français ne sont pas vraiment inquiets  et 2% se disent même pas du tout inquiets de ce qui a lieu à l’est de l’Europe.

85% des Français pensent que la guerre en Ukraine va avoir un impact important sur la situation économique de la France. Cette importante proportion est en forte progression (+13 points en seulement une semaine). À noter enfin que l’anticipation d’un impact important sur l’économie du pays progresse fortement en une semaine au sein de toutes les catégories de population et électorats.

À l’inverse, 13% s’attendent à un impact assez faible sur conflit sur l’économie française et 2% estiment même qu’il n’aura pas d’impact.

Foot FRANCE BOSNIE : « on s’est emmerdé pendant 90 minutes » (Larqué)

Foot FRANCE BOSNIE : « on s’est emmerdé pendant 90 minutes » (Larqué)

 

Un propos qui résume sans doute le sentiment de beaucoup d’observateurs, velui de Jean-Michel Larqué qui a livré une analyse très dure à l’égard des Bleus et de Didier Deschamps.

. « Je me suis emmerdé pendant 90 minutes, a lâché Captain Larqué ce jeudi dans Rothen s’enflamme. Il n’y a aucun enthousiasme dans cette équipe, il y a un ressort qui s’est cassé. Il n’y a rien du tout! Ça ne te provoque rien, aucun poil qui se dresse. On a passé 90 minutes à s’embêter. »

 

Covid Portugal : 90% du fait variant Delta

  • Covid  Portugal : 90% du fait  variant Delta

Parmi les pays en première ligne d’un regain de la pandémie de Covid-19 provoqué par le variant Delta notamment en Europe, le Portugal a vu le nombre de nouveaux cas quotidiens dépasser la barre des 2000. À noter que la France en comparaison affiche de leur de 3000 contaminés par jour mais la population est cette fois plus nombreuse dans l’Hexagone. La situation est donc très critique au Portugal qui commence à reprendre des mesures restrictives.

Vaccin: efficace à 90%, contre les variants aussi

Vaccin:  efficace à 90%, contre les variants aussi

Plusieurs laboratoires notamment l’entreprise de biotechnologie américaine Novavax indiquent que leur vaccin anti-Covid est  efficace à plus de 90%, y compris contre les variants, après une étude réalisée sur près de 30.000 personnes aux États-Unis et au Mexique pour Novavax.

Emprunt allemand : 180 milliards au lieu de 90

Emprunt allemand : 180 milliards au lieu de 90

 

L ‘Allemagne décide aussi d’amplifier le soutien financier à une économie jusque-là qui résiste mieux que d’autres mais qui risque d’être hypothéquée par les commandes futures de pays destinataires affaiblis.

Contrairement à l’orthodoxie allemande habituelle, on va donc recouvrir très largement à l’emprunt. La commission budgétaire du parlement a validé une prévision d’emprunts de près de 180 milliards d’euros, le deuxième par son montant pour le pays depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Les nouveaux emprunts prévus pour 2021 pourront atteindre 179,82 milliards d’euros, contre 96 milliards prévus dans le projet initial de budget présenté par Olaf Scholz en septembre.

Ce soutien devrait permettre à l’Allemagne de limiter sérieusement la casse puisque la baisse du PIB devrait se limiter autour de 6 % en 2020 pour offriront 11 % en France. On espère en Allemagne une hausse du PIB  d’un peu plus de 4 % en 2021. Parallèlement à ces mesures de soutien financière, l’Allemagne a décidé de renforcer les mesures restrictives de mobilité compte tenu des risques de propagation du virus.

La chancelière allemande et les dirigeants des Länder ont convenu mercredi de prolonger et de renforcer le confinement partiel mis en place. Les bars, les restaurants, les salles de sport et les lieux de divertissement resteront ainsi fermés au moins jusqu’au 20 décembre.

Sondage ISLAMISME : 90 % pour l’expulsion des étrangers et la déchéance de nationalité

Sondage ISLAMISME : 90 % pour l’expulsion des étrangers et la déchéance de nationalité

 

 

 

Un sondage qui tranche évidemment avec certaines positions ambiguës et/ou  molles de responsables politiques vis-à-vis de l’islamisme radical. En clair, 90 % des Français sont pour l’expulsion des étrangers radicaux, délinquants et/ou  répertoriés dans les fichiers S, également pour la déchéance de nationalité pour les délinquants et les radicaux binationaux d’après sondage IFOP-Fiducial pour CNews et Sud Radio

 

96% des Français estiment la menace comme élevée, dont 51% « très élevée ». Ce taux égale presque ceux mesurés en 2015 et 2016 (99% d’inquiétude au lendemain de l’attentat du 14 juillet à Nice).

 

Non seulement les Français sont inquiets, mais ils semblent également ressentir une pression des derniers évènements sur le cours de leur vie quotidienne puisque 41% d’entre eux déclarent penser que leur vie va changer dans les prochains mois à cause du risque d’attentat. Ce taux était de 44% après les attentats de Paris en 2015, soit seulement 3 points de plus qu’aujourd’hui.

 

Si depuis les récentes attaques les personnalités politiques d’opposition et de la majorité appellent à un renforcement de nos outils juridiques et de renseignement pour lutter efficacement contre le terrorisme, les Français semblent eux aussi favorables à une réforme de notre système judiciaire et à la mise en place de mesures d’exception qui dérogent à nos principes juridiques et constitutionnels (69% contre 77% en 2016).

 

Dans le détail, trois mesures proposées récoltent 89% d’adhésion : l’expulsion des étrangers fichés S résidants en France, la déchéance de nationalité des binationaux ayant commis des délits et la création d’un nouveau délit dit « de mise en danger par la publication de données personnelles » en réaction à la diffusion de la localisation de Samuel Paty sur les réseaux sociaux. Si ces mesures sont traditionnellement portées par les forces de droite dans le débat public, elles semblent toutefois remporter une adhésion majoritaire, même chez les sympathisants de la gauche : 79% des partisans de La France Insoumise se disent favorables à l’expulsion des fichés S et à la déchéance de nationalité, respectivement 81% et 82% des sympathisant du Parti Socialiste.

Sondage ISLAMISME: 90 % pour l’expulsion des étrangers et la déchéance de nationalité

Sondage ISLAMISME: 90 % pour l’expulsion des étrangers et la déchéance de nationalité

 

 

 

Un sondage qui tranche évidemment avec certaines positions ambiguës et-ou  molles de responsables politiques vis-à-vis de l’islamisme radical. En clair, 90 % des Français sont pour l’expulsion des étrangers radicaux, délinquants et-ou  répertoriés dans les fichiers S, également pour la déchéance de nationalité pour les délinquants et les radicaux binationaux d’après sondage Ifop-Fiducial pour CNews et Sud Radio

 

96% des Français estiment la menace comme élevée, dont 51% « très élevée ». Ce taux égale presque ceux mesurés en 2015 et 2016 (99% d’inquiétude au lendemain de l’attentat du 14 juillet à Nice).

 

Non seulement les Français sont inquiets, mais ils semblent également ressentir une pression des derniers évènements sur le cours de leur vie quotidienne puisque 41% d’entre eux déclarent penser que leur vie va changer dans les prochains mois à cause du risque d’attentat. Ce taux était de 44% après les attentats de Paris en 2015, soit seulement 3 points de plus qu’aujourd’hui.

 

Si depuis les récentes attaques les personnalités politiques d’opposition et de la majorité appellent à un renforcement de nos outils juridiques et de renseignement pour lutter efficacement contre le terrorisme, les Français semblent eux aussi favorables à une réforme de notre système judiciaire et à la mise en place de mesures d’exception qui dérogent à nos principes juridiques et constitutionnels (69% contre 77% en 2016).

 

Dans le détail, trois mesures proposées récoltent 89% d’adhésion : l’expulsion des étrangers fichés S résidants en France, la déchéance de nationalité des bi-nationaux ayant commis des délits et la création d’un nouveau délit dit « de mise en danger par la publication de données personnelles » en réaction à la diffusion de la localisation de Samuel Paty sur les réseaux sociaux. Si ces mesures sont traditionnellement portées par les forces de droite dans le débat public, elles semblent toutefois remporter une adhésion majoritaire, même chez les sympathisants de la gauche : 79% des partisans de La France Insoumise se disent favorables à l’expulsion des fichés S et à la déchéance de nationalité, respectivement 81% et 82% des sympathisant du Parti Socialiste.

 

 

Plan relance UE : la France recevra 40 milliards d’euros mais en paiera 90 !

Plan relance UE : la France recevra 40 milliards d’euros mais en paiera 90 !

Le ministre de l’économie se félicite de ce plan de relance qui va permettre à la France de toucher 40 des 400 milliards de subventions prévues. Il oublie simplement de préciser que ces subventions ne sont pas financées et qu’il incombera aux Etats d’en supporter le coût. ( la perspective de taxe carbone aux frontières comme les taxes des grands numériques étant complètement illusoires comme ressources suffisantes). Or en fonction de la contribution habituelle de la France à hauteur de 22 % budget européens (30 % pour l’Allemagne) , la part de financement de ces subventions va correspondre environ 90 milliards pour la France. D’ailleurs Macron au pire moment de la négociation à clairement affirmer que les états frugaux ( rigoureux) étaient mal placés pour justifier leur réticence  » car c’est l’Allemagne et la France qui vont pour l’essentiel financer le plan », ce qui est exact et pour plus de la moitié.

Ces subventions, « ça veut dire 40 milliards d’euros de subventions pour la France (…) et surtout qui sont immédiatement disponibles », a affirmé naïvement le ministre sur Franceinfo.

« Parce que (…) la relance c’est maintenant, il n’y a pas un instant à perdre », a-t-il insisté, précisant que cet argent contribuera à financer le plan de relance français de 100 milliards d’euros sur deux ans. Les grandes lignes avaient été dévoilées la semaine dernière par le Premier ministre Jean Castex, comprenant une enveloppe de 40 milliards d’euros pour le développement de l’industrie et 20 milliards pour la transition écologique.

Le détail du plan de relance sera présenté en conseil des ministres dans un mois. « Le dernier temps de la relance, c’est le plan de relance que je présenterai au Conseil des ministres du 24 août », a déclaré M. Le Maire sur Franceinfo.

Déjà, sur la transition écologique, le ministre a exprimé sa volonté d’y consacrer « 30% » du plan de relance, soit 30 milliards d’euros », indiquant travailler sur le sujet avec la ministre de l’Ecologie Barbara Pompili. On se demande bien comment le ministre de l’économie trouve ce chiffre de 30 milliards !

 

 

Sondage relocalisation de l’économie: plus de 90% pour

Sondage relocalisation de l’économie: plus de 90% pour

Selon un sondage Odoxa , , l’exécutif doit garantir « l’autonomie agricole de la France » (93%), prendre des mesures pour « la relocalisation des entreprises industrielles françaises » (92%) et favoriser « la recherche et la production des laboratoires pharmaceutiques français et étrangers dans notre pays » (91%).

Pour 87%, il doit renforcer la politique écologique et pour 76%  »donner une nouvelle impulsion pour que l’UE ait plus de pouvoirs en cas de nouvelle crise ». Enfin, dans leur quasi-totalité (96%), les Français s’attendent à ce que la crise sanitaire ait des conséquences lourdes pour eux-mêmes (37%) ou l’ensemble de la société (59%). Toutefois, si 61% pensent que « nos sociétés ne pourront plus jamais fonctionner comme avant » après la crise, 38% s’attendent à ce qu’elles reprennent « leur fonctionnement exactement comme avant ».

* Enquête réalisée en ligne les 8 e 9 avril auprès de 1 003 personnes de 18 ans et plus, selon la méthodes des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.

Grève des urgences : toujours soutenue par 90 % des Français

Grève des urgences : toujours soutenue par 90 % des Français

 

Visiblement le plan prévu par la ministre de la santé ne paraît pas adapté aux enjeux puisque 89% des Français soutiennent encore la grève des urgences. D’après un sondage Odoxa pour franceinfo et Le Figaro publié dimanche 29 septembre.  Ce plan n’est pas suffisant pour 64% des Français. Un avis partagé par 86% des personnels hospitaliers.   Le soutien des Français reste dans les mêmes proportions qu’au mois de juin. Ils étaient 92% il y trois mois. Ce mouvement est encore largement soutenu au sein même de l’hôpital. 93% des personnels hospitaliers soutiennent la grève, soit trois points de moins qu’au mois de juin. Ces soutiens s’expliquent notamment par le sentiment, pour une grande majorité de Français, que les services des urgences hospitalières se dégradent. Près de sept Français sur dix (69%) estiment que ces urgences se détériorent. Ce sentiment est largement partagé par 87% des personnels hospitaliers.

 

Selon cette enquête, les Français avouent ne pas être étrangers à la détérioration du service rendu aux urgences. 27% avouent s’être déjà rendus aux urgences pour une raison qualifiée de « non-légitime ». 18% y sont allés parce qu’ils n’arrivaient pas à avoir un rendez-vous chez un médecin, 14% y ont eu recours par pur confort et 7% pour ne pas avancer les frais.  Le plan dévoilé par la ministre de la Santé Agnès Buzyn le 9 septembre pour répondre au malaise des hôpitaux n’a pas convaincu les Français. Ce plan n’est pas suffisant pour 64% d’entre eux. Un avis partagé par 86% des personnels hospitaliers.

Cette enquête Odoxa pour franceinfo et Le Figaro a été réalisée par internet, les 18 et 19 septembre sur un échantillon de 1 005 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, et du 18 au 24 septembre sur un échantillon de 1 082 professionnels de santé hospitaliers.

Sondage popularité des militaires : 90% font confiance

Sondage popularité des militaires : 90% font confiance

 

Selon un sondage Odoxa Dentsu Consulting pour le Figaro et France Info, 87% ont une bonne opinion globale des militaires. L’armée est l’institution à laquelle les Français font le plus confiance (90 %) pour lutter contre le terrorisme, une crédibilité loin d’être atteinte par le gouvernement (43%) ou par le président (38%), tous deux jugés moins fiables pour protéger nos concitoyens contre cette menace.  Par ailleurs, selon le même sondage Odoxa, deux Français sur trois (65 %) se disent favorables au service national universel (SNU). Une priorité présidentielle, rappelée vendredi soir encore par Emmanuel Macron mais qui reste au centre de questionnements. Le SNU fera l’objet d’une consultation dans les mois à venir.

 

90% des Français en ville en 2050 ! La folie urbanistique

90% des Français en ville en 2050 !

La folie urbanistique et sociétale la métropolisation à grande vitesse et son corolaire la désertification du territoire. Près de 70 millions d’habitants en 2030, plus de 74 à horizon 2050 ! (Selon l’Insee) chiffres confirmés par  Le Mipim 2018 de Cannes (Marché international des professionnels de l’immobilier). Des professionnels qui se réjouissent déjà de la spéculation et des profits à réaliser.  » La métropolisation a été l’une des dominantes des dix dernières années Elle est allée de pair avec la mondialisation. La France est même plutôt en retard, à l’échelle mondiale : le Grand Paris, le chantier du siècle, ne sera pas achevé avant la fin de la prochaine décennie. Partout dans le monde, de grands ensembles urbains concentrent une part de plus en plus grande de la population et de la richesse. Il y a des métropoles globales – telles Paris, Londres, New York, Tokyo, Shanghai -, mais aussi des métropoles régionales, de plus en plus dynamiques. » Partout dans le monde la mode est effectivement à la Métropolisation. Il  s’agit de concentrer de plus en plus de populations dans un espace proportionnellement de plus en plus réduit. Aujourd’hui Quinze agglomérations  comptent plus de 400.000 habitants, selon l’Insee qui publie ce mardi l’édition 2016 des «Tableaux de l’économie française». Loin devant, Paris est l’unité urbaine la plus peuplée rassemblant, comme en 1982 d’ailleurs, note l’Insee, plus du quart de la population urbaine. Ces unités urbaines sont toutes situées sur le littoral, le long des fleuves et près des frontières, peut-on lire dans réalisée par l’Insee, qui dresse le panorama des 50 unités urbaines qui regroupent le plus grand nombre d’habitants. On observe que la répartition d’ensemble des villes qui «gagnent» ou qui «perdent» des habitants, selon les termes employés par l’Insee, se superpose à la géographie de la France en croissance (Arc Atlantique, Sud-méditerranée, vallée du Rhône, Île-de-France) et à celle de la France qui connaît des difficultés héritées de la régression des industries anciennes (Nord, Est, Centre). En réalité, la véritable explication de l’attractivité de certaines villes plus que d’autres «est à rechercher dans la dynamique de l’emploi offert dans les villes», précise l’Insee qui y oublie de préciser que la suppression des services notamment publics à largement contribué à désertifier la plus grande partie du territoire. Pour dissimuler sans doute ce  phénomène de désertification du territoire l’INSEE s’est livré à une curieuse étude qui amalgame le temps moyen pour accéder à des services aussi  différents que celui d’une gare d’une maternité ou d’une boulangerie ! En dépit de cet amalgame douteux l’étude met en évidence les disparités d’accès aux services de la vie courante. Il est clair qu’avec le dogme lié à l’hyper concentration urbaine autour des grandes métropoles et des grandes villes, le reste du territoire ne cesse de ce désertifier d’abord d’un point de vue économique avec la raréfaction des  emplois mais aussi en conséquence avec la disparition et- ou l’éloignement des services indispensables à la vie. D’une certaine manière c’est le paradoxe de nos sociétés modernes qui disposent de plus en plus de moyens de mobilité relatif aux déplacements des personnes, à la circulation des biens et de l’information  mais qui paradoxalement hyperconcentre les populations sur des territoires de plus en plus réduits. Ce qui constitue par ailleurs un non-sens environnemental. De ce point de vue les dégâts risquent d’être considérables, les couts aussi. Tant en ce qui concerne la sécurité, la qualité de vie, l’environnement ou encore la ségrégation sociale. Aujourd’hui plus de 80 % de la population vit en zone urbaine et la moitié dans des grandes villes. Dans le même temps les territoires ruraux deviennent de véritables déserts économiques et humains. Dune certaine manière la mode mondiale de la métropolisation qui entasse de plus en plus de monde dans un espace restreint constitue uen folie économique, humaine et environnementale. D’ici 30 à 40 ans, en fonction  des tendances lourdes -amplifiées par les restructurations économiques provoquées  depuis 2008- , le territoire sera organisé  autour d’une  quinzaine de 15 villes d’un millions habitants et plus, de PMV (petites et moyennes villes)   et d’immenses territoires dépeuplés ( le grand arc ouest sud ouest) ; Si on tente de faire une typologie des zones de résidence de la population, le  territoire pourrait  être structuré de la manière suivante :

-Environ  15  métropoles de plus d’un million d’habitants

-de villes moyennes de l’ordre de 300 000 habitants

-de petites villes

-de zones rurales en développement dans l’attraction des grandes agglomérations

-de zones rurales en voie de régression voire de disparition

Dans une  économie de plus en plus flexible, évolutive et de réseaux, la logique de localisations des sociétés renforce le processus de métropolisation. Mais si la concentration a des effets bénéfiques (productivité, main d’œuvre qualifiée, synergies enseignement supérieur-entreprise,  accès aux marchés etc.) la concentration a aussi des effets négatifs : les problèmes d’engorgement,  de congestion, de pollution  se traduisent par des surcoûts pour les entreprises et surtout  pour la collectivité. Des villes moyennes éprouvent elles de plus en plus de difficultés à conserver un tissu industriel (voire de services),  les  villes plus éloignées de grandes métropoles auront du mal à fixer emplois et résidents.  Ce sera le cas pour certaines petites villes du grand sud ouest et de l’ouest.  Depuis 1990, en France, c’est dans les communes périurbaines que la croissance de l’emploi total a été, et de loin, la plus élevée (+ 16 % contre + 3,5 % au niveau national). L’emploi total a aussi progressé dans l’espace à dominante rurale, même si cette progression est modeste (d’à peine 1 %, alors qu’elle est de l’ordre de 8 % hors emploi agricole). Ceci est dû en partie à une déconcentration significative d’emplois industriels vers les communes périurbaines ou sous faible influence urbaine, les seules dans lesquelles l’emploi industriel manufacturier a progressé. Par contre dans  les zones rurales qui ne bénéficient   pas de l’attractivité urbaine  les  emplois  sont rares et la population régresse.  Aujourd’hui, « l’agricole ne fait plus le rural », l’emploi agricole ne représentant guère plus de 10 % de l’emploi rural (14 % dans l’espace à dominante rurale). Certes, l’agriculture occupe toujours le territoire, son emprise s’étant en définitive peu relâchée (elle utilise près de 30 millions d’ha sur les 55 millions du territoire national, soit un recul de 5 % sur les vingt dernières années). D’ici 2040, il est à prévoir que la population aura considérablement diminué dans les zones défavorisées en raison de l’insuffisance d’  équipements publics et d’activité  économique. Nombre d’habitants de ces communes sont contraints de rechercher ailleurs un emploi, à 20, 30, parfois 50kms. Ces habitants sont tentés de se rapprocher de leurs lieux de travail (surtout si les deux époux travaillent). Cela d’autant plus que souvent les moyens de transport collectifs sont à peu près  inexistants et/ou ne permettent d’assurer  les déplacements domicile travail.  Du coup d’immenses  territoires de l’arc ouest sud ouest sont en voie de désertification.

 

Taxation hauts revenus : Mélenchon propose 90%, pourquoi pas 200% ?

Taxation hauts revenus : Mélenchon propose 90%, pourquoi pas 200% ?

 

Quand François Hollande avait proposé en 2012 de taxer les hauts   revenus à 75 % (mesure rejetée par le conseil constitutionnel) Mélenchon avait considéré cette orientation comme absurde. Pourtant il propose maintenant un impôt sur le revenu qui comporterait une taxe de 90 %. Bref un impôt confiscatoire pratiquement équivalent au revenu. Pour faire encore davantage communiste pourquoi alors ne pas proposer 200 %, c’est-à-dire réclamer le double de ce qui est  gagné. Certes on conviendra facilement que les inégalités ne cessent de s’accroître mais l’inégalité première est celle du chômage. Un chômage qui découle directement du poids écrasant des prélèvements obligatoires, de la dette et du montant exorbitant des dépenses nationales (57 % par rapport au PIB). Autant d’éléments qui tuent la compétitivité et l’emploi. Mélenchon propose cependant d’en rajouter une couche en accroissant la dette de 20 milliards par an et en la faisant financer par une nouvelle augmentation d’impôts qui feraient progresser le taux de prélèvements obligatoires de cinq points  nouveaux. Bref la fuite en avant à la mode du Venezuela, la révolution bolivarienne chère aux insoumis aujourd’hui au bord de la faillite et qui impose sa «  démocratie » socialiste par la violence (plus de 100 morts). Le jeune député insoumis Quatennens dans une interview récente réaffirmée le soutien des Insoumis à cette révolution économique et politique vénézuélienne. On reste évidemment pantois que ce courant communiste des années 50 puisse encore bénéficier de quelques soutiens  même si depuis l’échec du mouvement social contre les ordonnances l’audience de Mélenchon s’est notoirement affaiblie.

 

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