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Vaccin Covid-19 : une protection à 87 % pour les plus de 75 ans

Vaccin Covid-19 : une protection à 87 % pour les plus de 75 ans

La vaccination réduit de 87% le risque de formes graves de Covid-19 chez les plus de 75 ans dès sept jours après l’injection de la 2e dose, selon l’étude d’Epi-Phare associée avec l’Assurance maladie et l’Agence du médicament (ANSM),

Cela signifie que «les personnes vaccinées de plus de 75 ans ont neuf fois moins de risque d’être hospitalisées pour Covid que les personnes du même âge non vaccinées», dit à l’AFP le professeur Mahmoud Zureik, directeur d’Epi-Phare qui a réalisé l’étude.

L’étude d’Epi-Phare associée avec l’Assurance maladie et l’Agence du médicament (ANSM), a porté sur plus de quatre millions de Français âgés de plus de 75 ans. Sur ces 4 millions, quelque 1,4 million ont été vaccinés (entre le 27 décembre 2020 et le 24 février 2021). Les deux populations ont été suivies pendant une durée médiane d’une quarantaine de jours.

L’efficacité, c’est-à-dire la réduction du risque d’être hospitalisé pour Covid, est meilleure chez les moins âgés: elle est de 91% chez les 75-84 ans et de 81% chez les 85 ans et plus.

D’après des «résultats préliminaires», la réduction du risque de décès par Covid-19 chez les vaccinés, sept jours après la 2e dose, est de 91%, selon les auteurs de l’étude.

Livret A : épargne toujours au très haut niveau

L’épargne des Français continue de demeurer à un très haut niveau; la confiance en cause. Avec le déconfinement, on espère que cette épargne sera utilisée pour relancer la consommation et la croissance. Reste une interrogation centrale à savoir si cette épargne est justifiée uniquement par la crise sanitaire ou si elle obéit à des causes plus structurelles relatives notamment aux changements de comportements des consommateurs. Tout dépendra aussi de l’évolution de la confiance des ménages.

D’après la Caisse des dépôts, les ménages sont restés frileux, en avril, au milieu du troisième confinement. Le livret A et le livret de développement durable et solidaire (LDDS) ont engrangé 3,79 milliards d’euros le mois dernier, légèrement plus qu’en mars.

Au total, la collecte nette de ces deux produits atteint 18,42 milliards d’euros depuis le début de l’année, dont 14,93 milliards pour le Livret A. Dans le détail, le livret A a engrangé un peu moins de 3 milliards d’euros, contre 840 millions d’euros pour le LDDS. «L’encours total sur les deux produits atteint 466,7 milliards d’euros à fin avril 2021», précise la Caisse des dépôts.

À titre de comparaison, la collecte avait été exceptionnellement élevée l’année dernière à la même époque : en avril, le premier confinement avait poussé les ménages à épargner près de 5,5 milliards d’euros sur le livret A et 1,93 milliard d’euros sur le LDDS. La collecte de cette année est donc moins importante, mais elle reste bien supérieure aux 2,48 milliards d’euros déposés en avril 2019. Et elle demeure supérieure, en cumul, aux niveaux atteints entre janvier et avril en 2020.

 

Vacances : 87% des Français iront en France

Vacances : 87% des Français iront en France

. Selon une enquête* réalisée par BVA pour Les entreprises du voyage (qui fédère les entreprises du secteur), 59% des Français interrogés comptent voyager cet été, contre 55% en 2019. Parmi eux, 87% projettent un séjour dans l’Hexagone, alors qu’ils étaient environ deux tiers les années précédentes.

« La période particulière vécue actuellement par les Français ne semble pas freiner fortement les intentions de départ en vacances pour cet été, la période estivale étant sûrement vue comme la possibilité de se ressourcer après la phase de confinement », estiment Les entreprises du voyage, mais « le contexte conduit à un recentrage du choix des destinations au sein de l’Hexagone ».

Les intentions de départ sont néanmoins plus prononcées chez certaines catégories de le population. Par exemple, les deux tiers des Franciliens (67%) prévoient effectivement de mettre les voiles ainsi que 74% des 18-24 ans, 66% des familles et 71% des catégories socio-professionnelles plus élevées.

France Coronavirus 87 nouveaux décès, tassement

France Coronavirus 87 nouveaux décès, tassement

87 nouveaux décès dus au coronavirus au cours des dernières 24 heures, ce qui porte le bilan de l’épidémie à 29.296 morts depuis le 1er mars, montrent les chiffres diffusés mardi par la direction générale de la santé.

Ce bilan se répartit entre 18.912 décès dans les hôpitaux (+53) et 10.384 (+34) dans les Ehpad et autres établissements sociaux et médicosociaux dont les données n’avaient pas réactualisées depuis le 2 juin.

Le nombre de personnes hospitalisées pour une infection au COVID-19 continue de diminuer, à 11.961 patients, contre 12.315 lundi, soit 354 de moins en 24 heures.

Le nombre de cas graves en réanimation, en recul constant depuis deux mois, poursuit également sa baisse et passe sous le millier, à 955 cas contre 1.024 lundi (-69). Il faut remonter au 18 mars pour retrouver un bilan quotidien faisant état de patients moins nombreux en réanimation (931).

Pour ce qui est des contaminations, l’agence Santé publique France fait état mardi soir de 403 cas confirmés supplémentaires pour un total de 154.591 depuis le début de l’épidémie.

Réforme code du travail : 87% des patrons confiants

 Réforme code du travail : 87% des patrons confiants

Selon une enquête réalisée par le cabinet KPMG – Ifop. 87% des dirigeants d’entreprise de 200 à 249 salariés (et 77% en moyenne pour l’ensemble des dirigeants interrogés) pensent que la politique du président de la République et de son gouvernement aura un impact positif sur le dialogue social au sein des entreprises françaises. Un enjeu que 91% d’en eux estiment déterminant. . Près de 7 patrons sur 10 estiment que cela va «impliquer et responsabiliser davantage les organisations syndicales ou les représentants du personnel dans les enjeux économiques des entreprises», ajoute l’étude. Un chiffre à nuancer néanmoins: 50% d’entre eux ne voient se profiler qu’une «légère» amélioration. 84% des dirigeants estiment que, dans leur entreprise, les relations entre la direction et les représentants du personnel ou les organisations syndicales sont bonnes. Et du coup, 82% pensent pouvoir appliquer les nouvelles dispositions légales. L’obstacle principal sera que la mise en œuvre risque de demander trop de temps au regard des bénéfices attendus.

SONDAGE- Molenbeek : 87% pensent qu’il y a de nombreux en France

SONDAGE- Molenbeek : 87% pensent qu’il y a de nombreux en France

Dans un sondage Odoxa 87% des sondés pensent que nombreuses viles françaises ressemble à  Molenbeek. Une opinion aussi bien partagée par les sympathisants de droite (96%) que par les sympathisants de gauche (81%).Patrick Kanner, ministre des sports,  avait  déclenché une belle polémique en déclarant qu’il y avait en France une centaine de quartiers français de type Molenbeek. Il y a sans doute une centaine de quartiers français de type Molenbeek en France, c’est-à-dire de quartiers susceptibles d’alimenter le réservoir de terroristes. En cause l’intégrisme radical qui y règne. Malheureusement ce chiffre est sans doute sous-estimé car cela représente un quartier par département et il y a sans doute 10 fois plus de quartiers infectés par l’intégrisme. Pas forcément des quartiers de recrutement pour le terrorisme mais des quartiers communautarisés où sont niées les valeurs républicaines et où se développe un environnement sociétal de non-droit. Pour le ministre des sports, « c’est une concentration énorme de pauvreté et de chômage, c’est un système ultracommunautariste, c’est un système mafieux avec une économie souterraine, c’est un système où les services publics ont quasiment disparu, c’est un système où les élus ont baissé les bras ». Une analyse aussitôt contestée par les oligarques du parti socialiste et notamment par l’ancien marxiste de la ligne communiste révolutionnaire Julien Dray reconverti dans la langue de bois  par les délices du pouvoir. Le conseiller régional socialiste d’Ile-de-France Julien Dray a en effet  récusé l’expression de « Molenbeek français ». « On croit que par les formules on résout les problèmes. On cède à la facilité de la communication et ça ne livre aucune information réelle », a-t-il déclaré lors du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. Il a pourtant dressé un constat comparable à la situation décrite par le ministre de la Ville, déclarant que la « ghettoïsation urbaine » sociale et ethnique de la société française ces vingt dernières années avait donné naissance à des « ghettos sociaux (confrontés) à une montée de la délinquance, à des noyaux islamistes qui essayent d’utiliser ces problèmes sociaux, de les instrumentaliser. ». « Nous aussi, en France, nous avons des quartiers qui sont sous l’emprise à la fois des trafiquants de drogue et des réseaux islamistes et salafistes », avait indiqué le Premier ministre sur Europe 1.

 

SONDAGE. 87% pensent qu’il y a de nombreux Molenbeek en France

SONDAGE. 87% pensent qu’il y a de nombreux Molenbeek en France

Dans un sondage Odoxa 87% des sondés pensent que nombreuses viles françaises ressemble à  Molenbeek. Une opinion aussi bien partagée par les sympathisants de droite (96%) que par les sympathisants de gauche (81%).Patrick Kanner, ministre des sports,  avait  déclenché une belle polémique en déclarant qu’il y avait en France une centaine de quartiers français de type Molenbeek. Il y a sans doute une centaine de quartiers français de type Molenbeek en France, c’est-à-dire de quartiers susceptibles d’alimenter le réservoir de terroristes. En cause l’intégrisme radical qui y règne. Malheureusement ce chiffre est sans doute sous-estimé car cela représente un quartier par département et il y a sans doute 10 fois plus de quartiers infectés par l’intégrisme. Pas forcément des quartiers de recrutement pour le terrorisme mais des quartiers communautarisés où sont niées les valeurs républicaines et où se développe un environnement sociétal de non-droit. Pour le ministre des sports, « c’est une concentration énorme de pauvreté et de chômage, c’est un système ultracommunautariste, c’est un système mafieux avec une économie souterraine, c’est un système où les services publics ont quasiment disparu, c’est un système où les élus ont baissé les bras ». Une analyse aussitôt contestée par les oligarques du parti socialiste et notamment par l’ancien marxiste de la ligne communiste révolutionnaire Julien Dray reconverti dans la langue de bois  par les délices du pouvoir. Le conseiller régional socialiste d’Ile-de-France Julien Dray a en effet  récusé l’expression de « Molenbeek français ». « On croit que par les formules on résout les problèmes. On cède à la facilité de la communication et ça ne livre aucune information réelle », a-t-il déclaré lors du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. Il a pourtant dressé un constat comparable à la situation décrite par le ministre de la Ville, déclarant que la « ghettoïsation urbaine » sociale et ethnique de la société française ces vingt dernières années avait donné naissance à des « ghettos sociaux (confrontés) à une montée de la délinquance, à des noyaux islamistes qui essayent d’utiliser ces problèmes sociaux, de les instrumentaliser. ». « Nous aussi, en France, nous avons des quartiers qui sont sous l’emprise à la fois des trafiquants de drogue et des réseaux islamistes et salafistes », avait indiqué le Premier ministre sur Europe 1.

 

Sondage agriculture :87% pour les petites exploitations et contre la malbouffe

Sondage agriculture :87% pour les petites exploitations et contre la malbouffe

 

 

Pesticides, engrais , additifs chimiques viennent assaisonnerez la nourriture quotidienne grâce ‘uen part à l’agriculture intensive et à ‘industrie alimentaire. Au point de mettre en danger la santé. Une écrasante majorité de Français (87%) souhaitent donc que la politique agricole favorise les « petites exploitations qui privilégient la qualité des produits » tandis que 52% jugent les agriculteurs « pollueurs », selon un sondage Odoxa publié aujourd’hui dans Le Parisien. Selon cette enquête d’opinion publiée au lendemain de l’ouverture du Salon de l’Agriculture, 70% des sondés estiment que l’agriculture est un secteur dont le développement doit être prioritaire pour la France, et 76% pensent qu’il faut « continuer à la subventionner pour maintenir une France rurale ». Mais 87% veulent donc que l’agriculture française donne la priorité aux « petites exploitations qui privilégient la qualité des produits », contre 12% qui sont plutôt favorable aux « grandes exploitations qui privilégient la quantité pour rester compétitives ». Les Français expriment par ailleurs de sérieuses réserves sur le respect de l’environnement par les agriculteurs : 52% les jugeant « pollueurs », 64% estimant que la profession n’est pas suffisamment attentive à l’environnement et 51% pensant qu’elle n’accorde pas assez d’attention à la sécurité sanitaire. Enfin 82% des Français ont une bonne opinion globale de la profession, jugée « utile » à 96%. Une prise de conscience aussi contre la malbouffe dénoncée dans un article du Point Chaque année en France, la malbouffe provoque trois fois plus de morts que le tabac et cinquante fois plus que les accidents de la route. Elle est en partie responsable de 30 % de nos cancers, de nos 500 000 insuffisants cardiaques, de 2 millions de diabétiques et de 8 millions d’obèses. Effarant. En un demi-siècle, le contenu de notre assiette s’est radicalement transformé. Aujourd’hui, 80 % des aliments que nous avalons sont industriels. Souvent trop gras, trop sucrés, trop salés et bourrés de chimie. Un constat dénoncé dans un livre du docteur Laurent Chevallier qui  met les pieds dans le plat. « Plus personne ne peut nier le lien entre les dérives d’une certaine forme d’alimentation industrielle et l’augmentation significative de certains cancers et maladies cardiovasculaires, explique ce consultant en nutrition attaché au CHU de Montpellier. Je tire la sonnette d’alarme parce que, lors de mes consultations, je suis confronté tous les jours aux victimes de la malbouffe. »  Comment en est-on arrivé là ? Pour produire en quantité, le plus vite possible, au plus bas coût, les ingénieurs agronomes ont créé des variétés de légumes, de fruits et de céréales qui poussent plus vite, « boostées » à coups d’engrais et de pesticides dont on retrouve les résidus sous notre fourchette. De la même façon, on a sélectionné des races d’animaux à gros rendements. Des « usines sur pattes » qui fonctionnent avec des granulés hautement énergétiques. Un supercarburant qui a altéré la composition de la viande, du lait ou des œufs. Une matière première bas de gamme, qui est ensuite transformée au point de perdre une partie de ses nutriments, vitamines et arômes. Au milieu des années 80 la chimie s’est invitée en cuisine. Pour ressusciter le goût perdu dans le processus industriel, on a réinjecté en bout de chaîne des arômes artificiels, mais aussi des conservateurs pour allonger la durée de vie des produits, des colorants pour les rendre plus tape-à-l’oeil, des correcteurs d’acidité, sans oublier les émulsifiants, antiagglomérants, gélifiants et autres agents d’enrobage… Aujourd’hui, l’industrie agroalimentaire dispose de 357 additifs autorisés qui remplissent 24 fonctions différentes. « Un cocktail chimique dont on évalue mal tous les effets sur notre organisme », avertit Laurent Chevallier. Ajoutez-y des emballages en plastique dont certains composants ont une fâcheuse tendance à migrer vers les aliments…  « Notre nourriture n’est plus adaptée à nos gènes. Non seulement on y a ajouté des substances chimiques mais on l’a bourrée de mauvais gras pas cher à produire, hypercalorique comme l’huile de palme. Et surtout de sucre et de sel. » Trois ingrédients que l’on trouvait rarement au menu de l’omnivore tendance frugivore qu’était l’homme préhistorique et vers lesquels nous sommes naturellement attirés. Des appâts gustatifs désormais utilisés à tout-va par l’industrie agroalimentaire. Nous consommons ainsi chaque jour 8,5 grammes de sel, quatre fois plus que nos besoins physiologiques. Quant au sucre-une « calorie vide » dans le jargon des nutritionnistes, c’est-à-dire qui ne contient rien d’autre que de l’énergie-, nous en avalons 35 kilos par an. 75 % de ce sucre étant directement incorporé dans les aliments par les industriels. Avec certains produits, l’addition grimpe vite : un pain au chocolat représente l’équivalent de sept morceaux de sucre, un soda six. « C’est d’autant plus grave, dans le cas du soda, que notre cerveau ne comptabilise pas les calories sous une forme liquide. » Ce qui explique pourquoi, après avoir vidé une canette, on ne ressent pas la sensation de satiété. Notre cerveau se fait aussi berner par certains aliments industriels quasi prémâchés. « Le meilleur exemple, c’est la portion de céréales du petit déjeuner qui se transforme, avec le lait, en une bouillie vite gobée, plus ou moins grasse, salée et sucrée, indique le nutritionniste. C’est la mastication qui permet d’envoyer le signal de satiété au cerveau. Et le fait de mâcher imprègne de salive les aliments, ce qui facilite la digestion et dope l’immunité. »  Un désastre nutritionnel longtemps masqué par les progrès réalisés sur le plan de l’hygiène. En aseptisant notre alimentation, les industriels ont fait chuter le nombre de morts par intoxications alimentaires, et l’invention du réfrigérateur ajouté à l’usage des antibiotiques a fortement diminué l’incidence des cancers de l’estomac provoqués par des bactéries. Mais, dans le même temps, les maladies cardiovasculaires, le diabète, l’obésité ont explosé. Pour la première fois, malgré les progrès continuels de la médecine, l’espérance de vie d’un Américain naissant aujourd’hui ne dépassera pas celle de ses parents. Elle sera même plus faible dans les classes défavorisées. Si l’on commence à se préoccuper de qualité nutritionnelle, le risque que fait peser la présence de molécules chimiques dans nos aliments n’est pas suffisamment pris en compte. Ce que dénonce Laurent Chevallier. « N’ayons plus la naïveté de croire que si des ingrédients étaient nocifs on ne les trouverait pas dans les magasins. Régulièrement, des produits que nous avons consommés pendant des années sont retirés du marché. » La preuve, selon lui, que l’on nous met sur la table des aliments mal évalués. « On a mis trente ans à s’apercevoir que le E128, un colorant pour saucisses industrielles, attaquait les cellules du côlon chez le rat et la souris. » On a pourtant multiplié les instances de contrôle. « Pour évaluer la dangerosité d’une substance chimique, les agences se contentent la plupart du temps des études fournies par les industriels à partir de cahiers des charges inadaptés. Sans compter qu’un certain nombre de leurs experts travaillent avec ces mêmes industriels. » Bref, les mailles du filet seraient trop lâches. « Je suis sidéré que l’on n’avertisse pas les femmes enceintes des risques liés aux substances chimiques de notre alimentation. » Le cas du BHA fait bondir le nutritionniste. Cet additif, présent dans certains chewing-gums, est considéré comme cancérogène. Mais, au lieu de l’interdire, on a demandé aux industriels d’en diminuer la teneur, sans même les obliger à en indiquer la concentration sur l’étiquette.

 

 

Sondage démocratie : 87% des français pas écoutés par les politiques

Sondage démocratie : 87% des français pas écoutés par les politiques

Ce n’est pas seulement une crise de popularité mais une véritable crise de régime, d’une crise  de la démocratie représentative. Les français ne croient plus leurs politiques et dans cette démocratie mélange de monarchie et d’oligarchie. La démocratie représentative a atteint ses limites ; réduite au seul vote pour des élus discrédités, cette démocratie n’est plus qu’une caricature. Le discours convenu, cocktail de langue de bois et de mauvaise foi ne passe plus. En fait c’est aussi une contestation d’une caste qui ne se renouvèle pas et qui a transformé la fonction élective en métier (ou en accessoire de rémunération) ; du coup cette oligarchie est coupée du réel, des préoccupations concrètes notamment en matière économique et sociale. Sur 6000 000 élus au plan national, 300 000 environ sont politisés (les autres surtout dans les communes rurales sans véritable appartenance). Ces 300 000 représentent à peu près les effectifs réels des partis politiques. Pour la majorité ils sont composés de fonctionnaires qui n’ont qu’une vision très approximative du fonctionnement de l’économie et des réalités sociales.   Des partis essentiellement d’élus qui s’autodésignent et font toute leur carrière dans la politique. La preuve l’âge moyen est de 58 ans. La grosse majorité des français ne fait plus de différence entre la droite et la gauche, c’est toute la classe politique qui est discréditée. Il ne s’agit pas seulement d’une contestation du mode d’élection des candidats au pouvoir mais du fonctionnement même du débat démocratique où la médiation demeure très formelle. Même les grands médias ne trouvent plus grâce auprès des français (d’où notamment la crise de la presse).La confiance des Français en leur personnel politique a continué de s’effondrer en 2013, selon un sondage effectué par OpinionWay pour le centre de recherche de l’Institut de sciences politiques de Paris (Cevipof), rendu public lundi. 60% disent ne faire confiance ni à la droite ni à la gauche pour gouverner le pays, au lieu de 52% lors de la précédente enquête, en décembre 2012. Elles sont seulement 11% à faire confiance aux partis politiques, 23% aux médias et 28% aux syndicats, alors que l’armée jouit d’une cote de confiance de 74%, la police de 68%, l’école de 67% et les associations de 65%. Selon ce sondage réalisé avant les révélations sur la liaison présumée entre le président François Hollande et une comédienne, 87% des Français estiment être peu ou pas du tout écoutés par les responsables politiques. Les sondés sont 69% à juger que la démocratie ne fonctionne pas très bien ou pas bien du tout en France (au lieu de 54% en 2012). Pourtant, 57% disent s’intéresser à la politique. UMP et Front national font désormais jeu égal : 36% des sondés jugent que la première représente le mieux l’opposition de droite et autant émettent le même jugement sur le FN. Les personnes interrogées sont 34% à faire confiance à la présidente du FN, Marine Le Pen, au lieu de 32% en 2012. Seulement 20% disent faire confiance à François Hollande, au lieu de 27% il y a un an. Son prédécesseur UMP, Nicolas Sarkozy, recueille 36% d’opinions favorables, au lieu de 37%. L’actuel Premier ministre socialiste, Jean-Marc Ayrault, ne recueille pour sa part que 18% d’opinions favorables, au lieu de 24% il y a un an. Les sondés sont 34% à estimer que le mot « morosité » reflète le mieux leur état d’esprit actuel (+3), pour 31% c’est « lassitude » (+2) et pour 30%, « méfiance » (-2).

Sondage 2017 : Sarkozy espéré par 87% des sympathisants (IFOP-JDD)

Sondage 2017 : Sarkozy espéré par 87% des sympathisants (IFOP-JDD)

Elle appuie la stratégie de l’ancien Premier ministre car elle montre que, comme lui, les Français pensent qu’il a plus de chances que Sarkozy d’être candidat à la présidentielle de 2017. Ainsi 74% des Français estiment que Fillon participera à la compétition, contre 61% pour Sarkozy. Et surtout un sympathisant UMP sur quatre pense que l’ex-président ne sera pas candidat! « Il y a de vraies interrogations sur la capacité de Nicolas Sarkozy à revenir dans le champ politique. Les mêmes doutes d’ailleurs que pour Jospin après son échec en 2002, ou DSK quand il était au FMI », note Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. En revanche, si on demande aux Français qui ils veulent voir monter sur le ring en 2017, l’avantage est à Sarkozy. Ils sont 40% à souhaiter qu’il soit candidat, contre 38% pour Fillon. Avec une structuration politique très différente : Sarkozy est espéré par 87% des sympathisants UMP, et seulement 11% des sympathisants de gauche. Fillon est lui attendu par 52% des sympathisants UMP, mais par 30% des sympathisants de gauche. Dans la bataille des traits d’image chez les sympathisants de droite, Sarkozy écrase le député de Paris. À leurs yeux, il incarne bien davantage le dynamisme (83% contre 6% pour Fillon), le courage (71% contre 14%), et même la capacité à remporter la présidentielle (61% contre 20%). « Contrairement à Valéry Giscard d’Estaing, qui avait été rayé de la mémoire de son camp après la présidentielle perdue de 1981, Sarkozy conserve une équation personnelle très forte. Il y a chez les sympathisants de droite une sorte de déni de défaite », note Frédéric Dabi. On toucherait même, selon notre sondeur, à « l’irrationnel » quand on observe que les sympathisants de droite pensent que Sarkozy est plus à même que Fillon de sortir le pays de la crise ou de rassembler les Français. Ce sont pourtant les deux reproches qui ont été le plus fréquemment adressés à l’ex-chef de l’État. Un an après sa défaite, Sarkozy reste, selon les mots de notre sondeur, une sorte de « totem » pour la droite. Il n’est guère que sur l’honnêteté que Fillon le supplante (43 % contre 33 %). « Cela rejoint nos chiffres sur le pronostic de candidature, conclut Dabi. Il y a un vrai doute à droite sur la façon dont Sarkozy pourra se sortir des affaires. »




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