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Hamas : la position de LFI condamnées par 86 % des Français

Hamas : la position de LFI condamnées par 86 % des Français

L’attitude très ambiguë du parti de Mélenchon est condamnée par 86 % des Français vss à vis du Hamas Français (86%) d’aprsés le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro.

Ils sont en revanche 62% à soutenir la position du Parti socialiste (PS), au sein duquel plusieurs députés comme Jérôme Guedj sont montés au créneau pour dénoncer les ambivalences des Insoumis. Le parti à la rose doit même débattre ce samedi de son avenir au sein de la Nupes, lors de son Conseil national. Plusieurs voix se sont déjà élevées à gauche pour pousser vers une sortie, à l’instar de la maire PS de Paris, Anne Hidalgo ou la patronne de la région Occitanie et anti-Nupes, Carole Delga.

La majorité des Français (61%) souhaiteraient en tout cas que socialistes, communistes et écologistes claquent la porte de l’alliance de gauche. C’est d’autant plus le cas des sympathisants du PS, puisque les trois quarts d’entre eux (75%) appellent ce scénario de leurs vœux.

Automobiles-Sondage ZFE: 86 % des Français contre (étude Sénat) .

Automobiles-Sondage ZFE: 86 % des Français contre (étude Sénat) .

Selon une étude du Sénat, 86 % des particuliers et 79 % des professionnels se disent ainsi opposés au déploiement des ZFE. Parmi les répondants, 93 % sont des particuliers et 7 % des professionnels. « Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non », lit-on parmi les témoignages.

« On a eu la question des « gilets jaunes » parce qu’on touchait à la voiture. Là aussi on touche à la voiture, donc on ne peut pas ne pas y voir une similitude » mais « on ne veut pas en arriver là », a commenté Philippe Tabarot. « On a vraiment envie de ne pas créer une bombe sociale supplémentaire alors qu’il en existe déjà quelques-unes ».

Parmi les enseignements de la consultation , dont les résultats ont été analysés par un spécialiste de la donnée, plus un répondant réside loin du centre d’une agglomération et plus il a tendance à être défavorable à la mise en place d’une ZFE. Ainsi, seuls 8 % des habitants de communes rurales y sont favorables contre 23 % des habitants de centre-ville.

Le fait de disposer d’une alternative à la voiture a également une influence sur les réponses, seuls 16 % des répondants estimant avoir des solutions alternatives suffisantes. Enfin, le ressenti varie beaucoup d’une catégorie socioprofessionnelle à une autre, 25 % des cadres étant favorables aux ZFE contre 11 % des employés et 4 % des ouvriers.

Le premier frein au déploiement des ZFE réside dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77 % des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51 %) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42 %).

Malgré la menace, à terme, d’une amende de 68 euros, 83 % des particuliers n’envisagent pas pour autant de changer de véhicule pour fréquenter une ZFE.

Sondage ZFE: 86 % des Français contre (étude Sénat)

Sondage ZFE: 86 % des Français contre (étude Sénat) .

Selon une étude du Sénat, 86 % des particuliers et 79 % des professionnels se disent ainsi opposés au déploiement des ZFE. Parmi les répondants, 93 % sont des particuliers et 7 % des professionnels. « Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non », lit-on parmi les témoignages.

« On a eu la question des « gilets jaunes » parce qu’on touchait à la voiture. Là aussi on touche à la voiture, donc on ne peut pas ne pas y voir une similitude » mais « on ne veut pas en arriver là », a commenté Philippe Tabarot. « On a vraiment envie de ne pas créer une bombe sociale supplémentaire alors qu’il en existe déjà quelques-unes ».

Parmi les enseignements de la consultation , dont les résultats ont été analysés par un spécialiste de la donnée, plus un répondant réside loin du centre d’une agglomération et plus il a tendance à être défavorable à la mise en place d’une ZFE. Ainsi, seuls 8 % des habitants de communes rurales y sont favorables contre 23 % des habitants de centre-ville.

Le fait de disposer d’une alternative à la voiture a également une influence sur les réponses, seuls 16 % des répondants estimant avoir des solutions alternatives suffisantes. Enfin, le ressenti varie beaucoup d’une catégorie socioprofessionnelle à une autre, 25 % des cadres étant favorables aux ZFE contre 11 % des employés et 4 % des ouvriers.

Le premier frein au déploiement des ZFE réside dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77 % des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51 %) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42 %).

Malgré la menace, à terme, d’une amende de 68 euros, 83 % des particuliers n’envisagent pas pour autant de changer de véhicule pour fréquenter une ZFE.

ZFE: 86 % des Français contre (étude Sénat) .

ZFE: 86 % des Français contre (étude Sénat) .

Selon une étude du Sénat, 86 % des particuliers et 79 % des professionnels se disent ainsi opposés au déploiement des ZFE. Parmi les répondants, 93 % sont des particuliers et 7 % des professionnels. « Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non », lit-on parmi les témoignages.

« On a eu la question des « gilets jaunes » parce qu’on touchait à la voiture. Là aussi on touche à la voiture, donc on ne peut pas ne pas y voir une similitude » mais « on ne veut pas en arriver là », a commenté Philippe Tabarot. « On a vraiment envie de ne pas créer une bombe sociale supplémentaire alors qu’il en existe déjà quelques-unes ».

Parmi les enseignements de la consultation , dont les résultats ont été analysés par un spécialiste de la donnée, plus un répondant réside loin du centre d’une agglomération et plus il a tendance à être défavorable à la mise en place d’une ZFE. Ainsi, seuls 8 % des habitants de communes rurales y sont favorables contre 23 % des habitants de centre-ville.

Le fait de disposer d’une alternative à la voiture a également une influence sur les réponses, seuls 16 % des répondants estimant avoir des solutions alternatives suffisantes. Enfin, le ressenti varie beaucoup d’une catégorie socioprofessionnelle à une autre, 25 % des cadres étant favorables aux ZFE contre 11 % des employés et 4 % des ouvriers.

Le premier frein au déploiement des ZFE réside dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77 % des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51 %) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42 %).

Malgré la menace, à terme, d’une amende de 68 euros, 83 % des particuliers n’envisagent pas pour autant de changer de véhicule pour fréquenter une ZFE.

Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

D’après une étude de Philippe Tabarot rapporteur au sénat du volet « Se déplacer » de la loi Climat et résilience , sur un panel composé à 7% de professionnels et à 93% des particuliers, 79% et 86% de ces derniers s’y déclarent défavorables notamment aux ZFE ( Zones avec Interdiction de circuler)

Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non ». Car sans surprise, plus un répondant vit loin du centre de l’agglomération, plus il a tendance à y être défavorable. Seuls 8% des habitants de communes rurales y sont favorables, contre 23% des habitants de centre-ville.

De même que le ressenti varie beaucoup selon la catégorie socioprofessionnelle, 25% des cadres étant favorables aux ZFE contre 11% des employés et 4% des ouvriers. Le premier frein au déploiement des ZFE réside en effet dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77% des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51%) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42%).

Automobiles -Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

Automobiles -Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

D’après une étude de Philippe Tabarot rapporteur au sénat du volet « Se déplacer » de la loi Climat et résilience , sur un panel composé à 7% de professionnels et à 93% des particuliers, 79% et 86% de ces derniers s’y déclarent défavorables notamment aux ZFE ( Zones avec Interdiction de circuler)

Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non ». Car sans surprise, plus un répondant vit loin du centre de l’agglomération, plus il a tendance à y être défavorable. Seuls 8% des habitants de communes rurales y sont favorables, contre 23% des habitants de centre-ville.

De même que le ressenti varie beaucoup selon la catégorie socioprofessionnelle, 25% des cadres étant favorables aux ZFE contre 11% des employés et 4% des ouvriers. Le premier frein au déploiement des ZFE réside en effet dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77% des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51%) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42%).

Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

D’après une étude de Philippe Tabarot rapporteur au sénat du volet « Se déplacer » de la loi Climat et résilience , sur un panel composé à 7% de professionnels et à 93% des particuliers, 79% et 86% de ces derniers s’y déclarent défavorables notamment aux ZFE ( Zones avec Interdiction de circuler)

Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non ». Car sans surprise, plus un répondant vit loin du centre de l’agglomération, plus il a tendance à y être défavorable. Seuls 8% des habitants de communes rurales y sont favorables, contre 23% des habitants de centre-ville.

De même que le ressenti varie beaucoup selon la catégorie socioprofessionnelle, 25% des cadres étant favorables aux ZFE contre 11% des employés et 4% des ouvriers. Le premier frein au déploiement des ZFE réside en effet dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77% des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51%) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42%).

Sondage Législatives : 86 % des électeurs de gauche pour l’union

Sondage Législatives : 86  % des électeurs de gauche pour l’union

Selon l’enquête Odoxa Backbone-Consulting pour Le Figaro, l’alliance aux législatives est plébiscitée par les sympathisants : 86% d’entre eux la souhaitent. Parmi eux, 70% aspirent à une alliance impliquant les Insoumis.Jusque-là, les soutiens du parti de la rose aspiraient à une forme d’hégémonie au sein de la gauche. «À condition que le PS soit le leader, indique Gaël Sliman. Mais quand on fait dix fois moins que son adversaire à la présidentielle, le drame est que les sympathisants socialistes finissent par accepter l’idée qu’on puisse organiser des accords dans lesquels Jean-Luc Mélenchon serait la pierre angulaire du dispositif.»

À droite, en revanche, l’alliance est plus complexe ou plutôt, moins naturelle. Le concept d’«union des droites», qui illustre l’alliance des personnalités politiques des Républicains, du Rassemblement national et de Reconquête!, est rejeté par une majorité des Français (62%) contre 31% des sympathisants de droite. «Le front républicain et la ligne rouge qui existaient autrefois entre le RPR et le FN ont évolué», analyse Gaël Sliman.

Ceci étant dit, les sympathisants LR sont nettement moins favorables à une alliance en vue des législatives (57%) quand une nette majorité des sympathisants RN, eux, le sont (78%). Du côté des soutiens du parti d’Éric Zemmour, plus de 9 sympathisants sur 10 se prononcent pour ce rapprochement. Si les soutiens du parti des Républicains souhaitent une union de leur famille politique avec d’autres partis, c’est d’abord avec La République en Marche (LREM) : 36% d’entre eux souhaitent un rapprochement avec le mouvement d’Emmanuel Macron contre 26% avec les partis situés plus à droite.

Enfin, près d’un Français sur deux est favorable à ce que LREM obtienne une majorité absolue à l’Assemblée nationale. «Chose étonnante, précise Gaël Sliman, seule une minorité (44%) des sympathisants LREM la souhaite. C’est comme s’ils se disaient : le président a remporté la présidentielle avec 31% des inscrits. Si en plus, on se retrouve avec une majorité absolue, la seule opposition qui pourra se faire entendre sera dans la rue. Il vaut mieux une opposition à l’Assemblée.»

Sondage Guerre en Ukraine : inquiétude pour 86 % des Français

Sondage Guerre en Ukraine : inquiétude pour 86 % des Français

Selon  le sondage Odoxa Backbone Consulting, réalisé pour Le Figaro, cette inquiétude concerne 86% de la population et touche les sympathisants de tous bords, y compris ceux de La France insoumise, le Rassemblement national ou encore Reconquête ! -

«Jamais sans doute depuis plus d’un demi-siècle un conflit n’avait suscité une telle inquiétude en France», observe Gaël Sliman, président d’Odoxa.

Malgré un moral en berne, les Français ne se recroquevillent pas sur eux-mêmes. Au contraire. Dans cette période d’adversité, ils sont 77% à se prononcer en faveur de l’accueil de réfugiés ukrainiens. Une courte majorité (51%) de partisans d’Éric Zemmour partage cette position, quand bien même leur chef de file est le seul candidat à avoir exprimé son désaccord. Concernant les réponses à apporter en vue d’une résolution du conflit, l’opinion est également majoritaire sur le renforcement des sanctions économiques (79%) et celui de l’aide militaire à l’Ukraine (70%). L’intervention militaire de la France (26%) ou de l’Otan (45%) est en revanche beaucoup moins plébiscitée.

Face aux tensions, le président voit son image s’améliorer pour 29% des Français, contre 16% d’entre eux qui estiment l’inverse. Le jugement est plus sévère concernant ses rivaux, et plus particulièrement pour Marine Le PenJean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour, dont l’image se détériore.

Sur le plan international, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, ressort de son côté comme un «héros» pour 76% de la population qui le considère «à la hauteur de la situation». Les Français approuvent également l’action de la France (64%), celle de l’Union européenne (63%) et de l’Otan (54%).

 

Insécurité : un enjeu aux présidentielles pour 86% des Français

Insécurité : un enjeu aux présidentielles  pour 86% des Français

D’après sondage Ifop réalisé pour le JDD ,86% des Français assurent que l’enjeu de la sécurité sera « important, pour les présidentielles, ce thème devançant même la lutte contre le chômage (68%) et celle contre la précarité malgré la crise économique qui se profile (62%).

La préoccupation sécuritaire a bondi de 26 points depuis mai 2020, après un « été orange mécanique », selon l’expression du président (ex-LR) de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand, marqué par une série de faits divers comme l’agression mortelle d’un chauffeur de bus à Bayonne, et un automne rythmé par les attaques djihadistes, avec notamment la décapitation du professeur Samuel Paty en octobre. Si ce sont les sympathisants de droite (85%) qui jugent les sujets sécuritaires comme davantage prioritaires, le sujet est également considéré comme important à gauche (63%, dont 70% chez les électeurs socialistes).

A un an du scrutin, « la sécurité s’annonce comme un enjeu majeur de la prochaine élection présidentielle », prévient Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop. Interrogés par l’institut sur le poids de cette question dans leur choix en 2022, 86% des Français assurent qu’il sera « important, dont 44% « tout à fait important ». Sur ce terrain, les sympathisants de droite et d’extrême droite sont « en fusion » selon l’expression de Frédéric Dabi, puisque respectivement 98 et 99% des électeurs LR et RN en font un élément déterminant de leur vote. Mais la préoccupation sécuritaire n’est plus l’apanage de la seule droite : elle pèsera lourd, aussi, dans le vote des sympathisants LREM (86%), PS (80%) et même LFI (70%).

Brevet des collèges : 86,5% de réussite ; comme le Bac, un chiffre calculé

Brevet des collèges : 86,5% de réussite ;  comme le Bac, un chiffre calculé

  • Cette information de 86,5 % de réussite au brevet des collèges va sans doute surprendre les plus anciens qui ignoraient sans doute que ce diplôme existait encore. On ne sait pas très bien quel peut-être son intérêt ; il suivra sans doute le sort de l’ancien certificat d’études primaires. ,Sans doute pour les mêmes raisons que le brevet voire le bac. Cependant,  le certificat d’études primaires n’était pas distribué comme des poignées de mains avant la guerre. C’était même parfois considéré comme un honneur de passer cet examen. Un examen dont le contenu n’était pas inférieur à celui de certains bacs aujourd’hui. Un examen perd évidemment de sa légitimité quand il est accordé à près  que 100 % des inscrits. Un peu plus de 703.300 collégiens ont été admis au brevet en 2019, soit un taux de réussite de 86,5%, en baisse de 0,6 point par rapport à l’année précédente, selon les résultats provisoires publiés vendredi par l’Éducation nationale. Dans le détail, 20,5% des candidats ont obtenu la mention très bien, 21,1% la mention bien, 21,8% assez bien et 23,1% ont été reçus sans mention. au baccalauréat, il y a eu 88,1% de réussite(en 2018 : 88,3%) ? Un résultat calculé. Pourtant il n’était pas  facile pour le ministre de l’éducation de trouver le bon équilibre concernant les reçus En général, le nombre de reçus augmente régulièrement sans doute pour montrer aussi l’efficacité du système scolaire. Dans les années 1960 pour le bac, 60 % étaient reçus pour environ 90 % aujourd’hui. De nombreux experts de l’éducation constatent cependant une nette dégradation des niveaux. Cette année, le ministre de l’éducation doit en plus faire face à la grève de certains correcteurs. Il ne peut évidemment décevoir élèves et parents. En même temps, comme il prévoit une réforme assez importante des filières, il ne peut pas non plus afficher des résultats trop positifs qui pourraient nourrir des interrogations sur le bien-fondé de sa réforme. Il faut donc trouver le juste équilibre politique !  

Fiscalité carbone :l ’appel de 86 députés totalement fous

 Fiscalité carbone :l ’appel de 86 députés totalement fous 

 

La plupart des députés sont non seulement incompétents mais aussi irresponsables en particulier lorsqu’ils reprennent l’idée de ré augmenter la taxe carbone pour réduire les rémissions polluantes. Une véritable escroquerie dans la mesure où l’augmentation des taxes notamment sur le carburant n’a strictement aucun lien avec les préoccupations environnementales. Il faut rétablir la taxe carbone, mais débattre de ses modalités, soutiennent l’écologiste Matthieu Orphelin, Joël Giraud (LREM), rapporteur du budget, Hugues Renson (LREM) et Sylvain Waserman (MoDem), vice-présidents de l’Assemblée, Barbara Pompili (LREM), présidente de commission, Jean-Christophe Lagarde, président du groupe UDI, Agir et Indépendants, Christophe Bouillon (PS), Cédric Villani (LREM) et 78 autres députés. Une vision fiscaliste de l’environnement. L’ingénierie fiscale française est en effet sans limite, une pathologie qui touche toutes les sensibilités politiques, tous les technocrates, tous les écolos. Pour résumer, il s’agit de soigner le monde carboné par la saignée fiscale. Le remède radical des médecins de Molière qui guérissaient les malades, lesquels  mourraient de la thérapie de choc. Il est évident qu’en tuant l’économie française on aura aussi fait disparaître le carbone,  à un détail près : on aura reporté les émissions polluantes sur d’autres pays car il faudra bien toujours consommer… (Et accessoirement payer mais avec quelle richesse ?).  En mal de reconnaissance, les économistes qui ont été presque tous nourris au lait du néo libéralisme ont donné une légitimité pseudo scientifique à la taxe carbone. Il s’agit d’abord d’une récupération indécente d’une question sociétale qui ne peut évidemment être seulement et prioritairement régulé par la fiscalité et les prix. Le signal prix cher aux économistes ultra libéraux constitue une sorte de récupération par les mécanismes de marché de la problématique environnementale. L’argumentation consiste à affirmer qu’il convient de limiter les émissions polluantes en leur donnant un prix afin de favoriser la seule régulation marchande. Si l’économie de marché est encore la meilleure chose (ou la moins pire) pour équilibrer l’offre et la demande,  il en va différemment lorsqu’il s’agit des champs sociétaux environnementaux. Certes on peut comprendre l’absolue nécessité d’une transition écologique notamment dans le domaine du transport. Encore faudrait-il qu’il existe une alternative pour permettre le changement de comportement. Or une politique des transports ne peut se conduire que sur le long terme pour  développer à la fois les transports collectifs, le concept du véhicule individuel et son utilisation. En l’absence de ces conditions,  la fiscalité dite écologique se réduit à un impôt classique qui au demeurant vient en plus affecté  le pouvoir d’achat, donc la croissance et l’emploi. Notons aussi que ces mesures carburant touche surtout les moins favorisés qui ne peuvent pas disposer d’une liberté d’horaire pour prendre un autre moyen de transport que leur véhicule individuel. Il y a évidemment d’autres moyens de réguler que l’arme de la fiscalité et des prix : la régulation par les normes et le développement système alternatif. Mais dans le contexte actuel des transports,  la fiscalité écologique constitue une fumisterie environnementale qui n’a d’autre objet que de donner une fausse légitimité scientifique à un impôt qui va se perdre dans le trou du budget. Faudrait-il rappeler aux économistes que leur science, certes utile,  n’est pas très exacte, qu’elle est même souvent approximative. Pour preuve, la majorité des grandes ruptures n’ont pas été prévues par la plupart  de ces experts. Par exemple, la prochaine chute de la croissance française assommée par la fiscalité ou encore la prochaine grande dépression économique mondiale qui se prépare.

 

L’appel de 86 députés totalement fous pour une fiscalité carbone

L’appel de 86 députés totalement fous pour une fiscalité carbone

 

La plupart des députés sont non seulement incompétents mais aussi irresponsables en particulier lorsqu’ils reprennent l’idée de ré augmenter la taxe carbone pour réduire les rémissions polluantes. Une véritable escroquerie dans la mesure où l’augmentation des taxes notamment sur le carburant n’a strictement aucun lien avec les préoccupations environnementales. Il faut rétablir la taxe carbone, mais débattre de ses modalités, soutiennent l’écologiste Matthieu Orphelin, Joël Giraud (LREM), rapporteur du budget, Hugues Renson (LREM) et Sylvain Waserman (MoDem), vice-présidents de l’Assemblée, Barbara Pompili (LREM), présidente de commission, Jean-Christophe Lagarde, président du groupe UDI, Agir et Indépendants, Christophe Bouillon (PS), Cédric Villani (LREM) et 78 autres députés. Une vision fiscaliste de l’environnement. L’ingénierie fiscale française est en effet sans limite, une pathologie qui touche toutes les sensibilités politiques, tous les technocrates, tous les écolos. Pour résumer, il s’agit de soigner le monde carboné par la saignée fiscale. Le remède radical des médecins de Molière qui guérissaient les malades, lesquels  mourraient de la thérapie de choc. Il est évident qu’en tuant l’économie française on aura aussi fait disparaître le carbone,  à un détail près : on aura reporté les émissions polluantes sur d’autres pays car il faudra bien toujours consommer… (Et accessoirement payer mais avec quelle richesse ?).  En mal de reconnaissance, les économistes qui ont été presque tous nourris au lait du néo libéralisme ont donné une légitimité pseudo scientifique à la taxe carbone. Il s’agit d’abord d’une récupération indécente d’une question sociétale qui ne peut évidemment être seulement et prioritairement régulé par la fiscalité et les prix. Le signal prix cher aux économistes ultra libéraux constitue une sorte de récupération par les mécanismes de marché de la problématique environnementale. L’argumentation consiste à affirmer qu’il convient de limiter les émissions polluantes en leur donnant un prix afin de favoriser la seule régulation marchande. Si l’économie de marché est encore la meilleure chose (ou la moins pire) pour équilibrer l’offre et la demande,  il en va différemment lorsqu’il s’agit des champs sociétaux environnementaux. Certes on peut comprendre l’absolue nécessité d’une transition écologique notamment dans le domaine du transport. Encore faudrait-il qu’il existe une alternative pour permettre le changement de comportement. Or une politique des transports ne peut se conduire que sur le long terme pour  développer à la fois les transports collectifs, le concept du véhicule individuel et son utilisation. En l’absence de ces conditions,  la fiscalité dite écologique se réduit à un impôt classique qui au demeurant vient en plus affecté  le pouvoir d’achat, donc la croissance et l’emploi. Notons aussi que ces mesures carburant touche surtout les moins favorisés qui ne peuvent pas disposer d’une liberté d’horaire pour prendre un autre moyen de transport que leur véhicule individuel. Il y a évidemment d’autres moyens de réguler que l’arme de la fiscalité et des prix : la régulation par les normes et le développement système alternatif. Mais dans le contexte actuel des transports,  la fiscalité écologique constitue une fumisterie environnementale qui n’a d’autre objet que de donner une fausse légitimité scientifique à un impôt qui va se perdre dans le trou du budget. Faudrait-il rappeler aux économistes que leur science, certes utile,  n’est pas très exacte, qu’elle est même souvent approximative. Pour preuve, la majorité des grandes ruptures n’ont pas été prévues par la plupart  de ces experts. Par exemple, la prochaine chute de la croissance française assommée par la fiscalité ou encore la prochaine grande dépression économique mondiale qui se prépare.

 

Trump : opinions négative pour 86% des européens

Trump : opinions négative pour 86% des européens

 

 

86 % des Européens ont une opinion négative de Trump. Les Français sont encore plus sévères avec 90 %. De quoi sans doute faire réfléchir Marine Le Pen  qui a largement soutenu la posture de Trump au point de s’en imprégner. Les Européens étaient les trois quarts à avoir une mauvaise image du président américain nouvellement élu. Aujourd’hui, leur jugement s’est encore détérioré, 86% des Européens partagent une opinion négative concernant l’occupant de la Maison-Blanche – une dégradation de dix points en un an -, selon un sondage Odoxa/Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info. Une enquête réalisée en France du 31 octobre au 2 novembre et auprès d’un échantillon d’Européens, en septembre dernier. Les Français font toujours partie de ceux qui rejettent le plus Donald Trump qui recueille auprès d’eux 90 % d’opinions défavorables, en progression de neuf points par rapport au début de l’année. Un score comparable à celui des Allemands (à 90% défavorables, + sept points). Les Espagnols sont les plus «hostiles» à Trump dans la classe européenne (92%, + 12 points). Même les Italiens, pourtant relativement moins défavorables au président américain (avec 69% de mauvaises opinions au début de l’année), rejoignent le peloton européen: 76% expriment un avis défavorable à son encontre, une progression de 17 points! Au hit-parade de l’impopularité, Donald Trump arrive en tête, surclassant Vladimir Poutine de 11 points (75% d’avis défavorables), sauf en Grande-Bretagne où le chef du Kremlin recueille 82% d’opinions négatives (contre 80% à Trump). L’écart est massif avec Emmanuel Macron et Angela Merkel qui enregistrent respectivement 55 et 57% de bonnes opinions en Europe. Même les sympathisants du Front national, qui ont sérieusement penché  pour ce président «anti-establishment», se montrent désormais très «durs», le jugeant «dangereux» (pour 61% d’entre-deux), «agressif» (79%) et «incompétent» (73%). Le FN reste relativement le parti le moins défavorable à Donald Trump mais il se rapproche des autres formations. Parce qu’elle est la plus «clivante», Marine Le Pen est pour les Français la personnalité politique qui leur fait le plus penser à Donald Trump. La comparaison avec la présidente du Front national ne s’arrête pas là. «Comme pour le président américain, il était mis au crédit de Marine Le Pen de parler librement. On en a vu ses limites lors du débat de l’entre-deux tours. La parole tranchée n’est pas tout, il faut aussi de la compétence», observe Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa.

 

Sondage : « ça ne va pas mieux en France » pour 86%

Sondage : « ça ne va pas mieux en France » pour 86%

Selon un sondage IFOP pour Europe un  86% des Français pensent que globalement « non, ça ne va pas mieux en France »  même s’ils perçoivent quand même des signes d’amélioration. A la question « diriez-vous que ça va mieux pour les Français ? », 86% répondent « non ». Seuls 14% trouvent donc que la situation du pays va globalement mieux. Notons que ces 14% de satisfaits correspondent à la cote de popularité actuelle du chef de l’Etat.   51% trouvent que leur situation s’améliore. Donc collectivement, le pays ne va pas mieux. En revanche, quand on leur demande « Diriez-vous que ça va mieux pour vous ? », ils répondent « oui » à 51%. Un décalage d’opinion qui s’explique sans doute par la perte de crédibilité de la parole de François Hollande même quand son propos peut être pertinent. . On peut tirer deux enseignements de ce sondage. D’abord, l’optimisme forcené, le volontarisme de François Hollande n’imprime pas sur la situation du pays. « La reprise est là », le Président le disait le 14 janvier 2013. Au printemps 2014, François Hollande pronostiquait même « un retournement de la conjoncture ». Début 2016, le président de la république déclarait le fameux « ça va mieux pour la France ». Un volontarisme qui a été trop souvent démenti au cours des mois et des années passées au point que tout discours politique de la part du président est par avance discrédité.

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