Archive pour le Tag '84%'

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Sondage réforme de la France : 84% pour

Sondage réforme de la France : 84% pour

 

Finalemenet la classe politique est en retard par rapport à l’opinion en matière de réformes. D’après un  sondage CSA 59% ont une mauvaise mage de leur propre pays et  84% des Français estiment qu’il faut réformer en profondeur le pays, dont 28 % radicalement, d’après cette étude. L’attente de changements est la plus forte pour la gestion des finances publiques (88 %), la fiscalité (82 %), le développement économique (82 %) et la politique d’immigration (74 %). Quand on demande aux personnes sondées, sans leur soumettre une liste de réponses possibles, ce qu’il faudrait changer en priorité, ce sont les instances et le personnel politique qui arrivent en tête (25%).  Toutefois, analyse l’institut CSA, «derrière l’exigence de changement perdure un attachement fort à ce qui fait les fondamentaux du modèle français». Exception faite de l’immigration, 59 % optant pour le droit du sang plutôt que pour le droit du sol (39 %).  Les Français sont à 78 % pour un Etat interventionniste, à 56 % pour un Etat décentralisé, 60 % d’entre eux préfèrent une France dans laquelle les entreprises publiques contrôlent des secteurs clés de l’économie (transports, énergie, télécommunications…) Ils choisissent l’assurance maladie pour tous (73 %) et le système de retraite par répartition (60 %). Quant à l’orientation à donner au changement, trois grands types d’aspirations se dégagent : décadenasser les réglementations, valoriser l’effort, responsabiliser. 50 % (mais 48 % d’avis contraires) sont pour des licenciements plus faciles, 59 % pour réformer la durée légale du travail, 72 % pour l’ouverture des magasins «quand ils le souhaitent», dimanches et soirées comprises.

 

Sondage Impôts : de l’argent gaspillé pour 84%

Sondage Impôts : de l’argent gaspillé pour 84%

Selon un sondage 84% des personnes interrogées pensent que les pouvoirs publics gaspillent l’argent des impôts, et 73% préféreraient choisir elles-mêmes comment est affecté l’argent des impôts. Une majorité (56%) se dit même prête à aider financièrement les entreprises qui se trouvent près de chez eux, en prenant des parts dans leur capital (40%), en leur prêtant de l’argent (20%) et même en leur faisant des dons (2%).   Un sondage révèle que le principe même de participer à l’effort national en payant ses impôts semble remis en cause par une partie de la population. Surtout, la manière dont est gérée la manne issue des prélèvements obligatoires irrite.  Seule une petite majorité de Français considère ainsi que payer l’impôt est un « devoir citoyen », et une grande partie d’entre eux juge que l’argent public est mal utilisé, selon une étude d’Opinion Way pour la plateforme de prêts participatifs Finsquare, publiée lundi 1er décembre.   »La majorité des Français interrogés dans le cadre de cette étude ne remettent pas fondamentalement en cause le principe de l’impôt: pour 56% d’entre eux, payer l’impôt est un devoir citoyen, c’est-à-dire une obligation morale de contribuer financièrement à ce qui fonde le vivre ensemble et garantit la cohésion de la société », souligne Finsquare dans un communiqué.  Mais une « forte minorité » (37%) perçoit l’impôt comme une « extorsion de fonds », affirme la société. De façon paradoxale, cette proportion atteint 50% chez ceux qui ne paient pas d’impôt sur le revenu, et monte à 56% chez ceux qui gagnent moins de 1.000 euros par mois.   »Depuis 2008, les pouvoirs publics n’ont cessé d’en appeler à l’effort collectif pour redresser la situation économique du pays. Mais, concrètement, pour les gens, cela s’est traduit par une pression fiscale accrue et non par une amélioration de la situation », analyse Polexandre Joly, co-fondateur et directeur général de Finsquare.

 

CDD : 84% des embauches

CDD : 84% des embauches

 

 

Faute de croissance assurée et durable, faute de confiance, faute de pérennité des carnets de commandes, c’est le CDD qui faat office de contrat  pour les embauches. En cause aussi la complexité du code du travail.  Cette hégémonie des CDD risque de pose rapidement la problématique du contra unique. La proportion des contrats à durée déterminée (CDD) monte en effet  en flèche, en France. Ils représentent au deuxième trimestre, plus de 84% des embauches. C’est un nouveau signe de la précarisation du marché du travail dans les entreprises de plus de dix salariés. La proportion d’embauche en CDD est quasi continue depuis 2011. Mais au deuxième trimestre de cette année, elle a progressé de près d’un point, pour atteindre le taux record de 84%. Les secteurs les plus concernées par cette recrudescence de CDD sont d’abord le tertiaire, avec plus de huit embauches sur dix en CDD, puis l’industrie, sept sur dix et enfin la construction un peu moins de six sur dix en septembre. Les fins de CDD ont constitué le premier motif d’inscription à Pôle emploi confirmant ainsi une tendance plus générale de la hausse des chômeurs en activité réduite. Cependant, il faut relativiser cette tendance à la flexibilité. Sur l’ensemble des contrats en cours en France, seuls 5% sont des CDD contre 30% aux Pays-Bas ou aux États-Unis. Outre-Atlantique, on devrait même arriver d’ici peu à 50% de contrats flexibles.

 

Sondage -baisse du chômage: 84% des Français ne croient pas Hollande

Sondage -baisse du chômage: 84% des Français  ne croient  pas Hollande

 

A la question de savoir s’ils pensaient que cet objectif serait atteint, 84% des sondés ont répondu par la négative (41% « probablement pas » et 43% « certainement pas ») tandis que 16% ont répondu positivement (14% « probablement » et 2% « certainement »).Comparé à janvier, où la même question avait été posée, les pessimistes ont gagné 9 points.  Les sympathisant de l’UMP et du FN sont sans surprise les plus sceptiques: respectivement 97% et 96% ne croient pas à l’engagement de François Hollande (avec dans le détail 69% des sympathisants UMP et 68% des FN qui n’y croient « certainement pas »).  Même chez les sympathisants de gauche, le doute domine largement : 65% ne pensent pas que le président atteindra son objectif (53% probablement pas, 12% certainement pas). Ils sont 35% à y croire encore mais seulement 3% qui pensent que cela adviendra « certainement ».  Une proportion qui rejoint finalement les plus optimistes des UMP (2%) et du FN (2%). Ce sondage a été réalisé du 29 au 31 juillet

 

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