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Le président algérien réélu avec avec 84 % !!!

 Le président algérien réélu avec avec 84 % !!!

 

Le président algérien sortant Abdelmadjid Tebboune a été réélu le 7 septembre 2024 pour un deuxième mandat avec un score record de près de 84 % des voix, selon des résultats officiels définitifs publiés par la Cour constitutionnelle. Les premiers résultats dévoilés le 7 septembre annonçaient une victoire du président sortant avec près de 95 % des suffrages exprimés, lors d’un scrutin marqué par une désaffection persistante de l’électorat.Face au chef d’Etat sortant, seuls deux candidats étaient en lice: le chef du parti islamiste modéré Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abdelaali Hassani, qui s’est adjugé 9,56 % des voix, et Youcef Aouchiche, leader du Front des forces socialistes (FFS, plus vieux parti d’opposition) qui a obtenu 6,14 %. Les trois candidats, dont le président réélu, ont accusé l’Agence nationale indépendante des élections (ANIE, organisme chargé d’organiser les élections) d’ «irrégularités» et de «contradictions».

Lahouari Addi, auteur de plusieurs publications sur le système politique algérien, analyse les résultats de ce scrutin pour The Conversation Africa.

Quels sont les principaux enseignements que vous tirez de cette élection ?

L’un des principaux enseignements est que le régime ne veut pas changer, il ne veut pas s’ouvrir à la société civile et rendre effectif le pluralisme politique. Le premier mandat d’Abdelmadjid Tebboune (2019-2024) a été marqué par l’arrestation de dizaines d’activistes et de journalistes, et rien n’indique que cela va changer.

Il semble que le bilan de Tebboune en matière de droits humains et de libertés publiques soit pire que celui d’Abdel Aziz Boutéflika, son prédécesseur. Des promesses ont été faites durant la campagne électorale, notamment la construction de deux millions de logements et l’augmentation des salaires des travailleurs et des fonctionnaires, mais elles ressemblent à toutes les promesses électorales : demain, on rase gratis.

Comment ces résultats affecteront-ils la dynamique politique de l’Algérie ?

Il y a deux chiffres qu’il faut retenir : le taux d’abstention qui a été de 77 % et le score officiel de Tebboune : 84 %. D’un côté, l’abstention est forte, ce qui signifie que la population rejette le candidat du régime; de l’autre, le résultat obtenu par Tebboune est irréaliste. Il n’existe pas de candidats élus à 84 % si le vote n’est pas truqué. En démocratie, le candidat qui obtient 51 % est élu et il est légitime. Si le chiffre est gonflé, c’est qu’il ne correspond pas à la réalité.

Ce sont là des pratiques de régimes autoritaires qui n’acceptent pas l’idée qu’une opposition existe, même si elle est minoritaire. Le régime a donné aux deux autres candidats les chiffres de 9,56 % et 6,14 %, et il ne peut supporter l’idée que les concurrents de Tebboune aient obtenu des chiffres supérieurs à 10 %. Par conséquent, à travers ces chiffres le régime s’est discrédité à l’intérieur et à l’extérieur.

L’abstention des électeurs n’est pas de la résignation mais plutôt une forme de résistance passive. Sans violence, la majorité de la population exprime son rejet du régime.

En ce qui concerne le score dérisoire du Parti islamiste modéré, à mon avis, les chiffres publiés officiellement ne sont pas réels. Nous ne savons pas quel est l’ancrage électoral des islamistes car il n’y a pas de sondages et les chiffres officiels des élections ne sont pas crédibles. Mais selon les observateurs, les islamistes ont perdu de leur popularité qu’ils avaient il y a vingt ans, même s’ils demeurent un courant important.

Quels sont les défis et opportunités auxquels le pays sera confronté au cours de cinq prochaines années?

Ces défis seront notamment économiques. Tant que le prix du pétrole est relativement élevé, l’Etat aura les moyens d’acheter la paix sociale. Mais malgré cela, les jeunes continuent de traverser la Méditerranée au péril de leur vie. L’émigration clandestine vers l’Espagne est le signe que Tebboune ne trouve pas de solution aux problèmes auxquels sont confrontés les jeunes : le chômage et la drogue.

L’autre défi est régional. Les relations entre l’Algérie et les États du Sahel, qui étaient bonnes il y a quelques années, sont mauvaises. Le Mali accuse l’Algérie d’ingérence, et celle-ci ne voit pas d’un bon œil les mercenaires de Wagner à sa frontière. Ils sont accusés de tuer des touaregs maliens qui ont des cousins en Algérie.

Par ailleurs, le Maroc semble remporter des victoires diplomatiques sur la question du Sahara occidental, ce qui pose problème à Tebboune. Récemment, la France a reconnu la marocanité du Sahara, ce que l’Algérie a officiellement dénoncé. L’Algérie n’est plus la puissance diplomatique du tiers-monde qu’elle était dans les années 1960 et 1970. Visiblement, Tebboune n’a pas la stature internationale pour parler de la paix au Sahel, de la guerre à Gaza, de l’Ukraine, etc. Et cela ennuie beaucoup les militaires qui ont misé sur lui pour faire sortir l’Algérie de son isolement.

Sondage situation économique : 84 % des Français inquiets

Sondage situation économique : 84 % des Français inquiets

84% (+5 par rapport au 1er juin 2023) des Français sont inquiets pour la situation économique du pays, 80% (+9) pour le niveau de la dette publique, 66% (-1) pour leur propre situation financière. Dans une moindre mesure, 39% des actifs (+2) sont quant à eux inquiets pour leur emploi. Sondage Elabe.  

A ce jour, l’inquiétude macro-économique traverse l’ensemble des pans de la société mais la situation économique du pays et le niveau de la dette publique inquiète plus sensiblement les électeurs de M. Le Pen (respectivement 91% et 89%) et de V. Pécresse (91% et 89%). Les 50 ans et + expriment également une plus grande crainte à propos du niveau de la dette publique (86% contre 67% à 78% pour les autres catégories d’âge).

L’inquiétude pour son pouvoir d’achat reste fortement corrélée à la situation financière en fin de mois : 89% des personnes qui déclarent se restreindre sont inquiètes pour leur situation financière (dont 46% très inquiètes), contre 51% des Français qui bouclent facilement leurs fins de mois mais sans épargner et « seulement » 29% des Français qui parviennent à épargner.

Dans ce contexte, 4 Français sur 5 estiment désormais qu’il est urgent de réduire la dette publique en France

80% (+4 points depuis le 5 octobre dernier) des Français jugent urgent de réduire la dette publique en France, dont 32% (+7) très urgent et 48% (-3) assez urgent. A l’inverse, 19% (-5) considèrent que cela n’est pas urgent, dont 16% (-5) pas vraiment et 3% (=) pas du tout.

Le sentiment d’urgence à agir est majoritaire dans toutes les catégories de population et électorats et augmente significativement parmi les professions intermédiaires (80%, +13) et les employés/ouvriers (82%, +7).

 

Pour les Français, les allocations familiales (32% -4 par rapport au 5 octobre 2023, 3 réponses parmi 18 items) restent le domaine prioritaire sur lequel il faudrait baisser la dépense publique, suivies de près par le numérique (31%, +4) et le chômage (30%, +2). Un trio de tête qui reste inchangé depuis octobre dernier.

Derrière ce trio, plus de 2 Français sur 10 citent également la culture (25%, +2) et l’environnement, la transition écologique et énergétique (21% +3).

Pour 14% (-2) seulement, la dépense publique ne devrait baisser sur aucun des 17 domaines testés.

 

Dans la perspective de maitriser le déficit public et les dépenses de l’Etat, les mesures annoncées par le ministre de l’Économie le 18 février dernier, rencontrent un succès partiel. Trois groupes de mesures se distinguent :

Celles qui sont nettement approuvées :

  • 80% des Français sont favorables à la baisse des dépenses de fonctionnement de tous les ministères (énergie, achats, mobiliers, report de recrutements, réduction des déplacements)dont 45% tout à fait
  • 71% à la réduction du budget de Business France (institution publique qui accompagne les entreprises françaises à l’international et les entreprises étrangères en France)dont 20% tout à fait
  • 70% à la réduction du budget du Centre national d’études spatiales (institution publique qui gère le programme spatial français), dont 20% tout à fait

Celles qui divisent

  • 51% sont favorables à la baisse du budget alloué au fond vert (qui aide les collectivités territoriales à lutter contre le changement climatique) contre 48% opposés
  • 50% à la réduction du budget de l’Agence nationale de la cohésion des territoires (institution publique qui aide les collectivités locales dans leurs projets en faveur du dynamisme économique) contre 49% opposés
  • 47% à la réduction du budget alloué à MaPrimeRénov’ (aide de l’État à destination des propriétaires qui souhaitent réaliser des travaux de rénovation énergétique au sein de leur logement) contre 51% opposés
  • 46% à la participation forfaitaire (10% du coût de la formation) des salariés pour bénéficier d’une formation avec le compte personnel de formation (CPF) contre 53% opposés

Celle rejetée :

  • 64% à la réduction du budget de France Compétences (institution publique qui finance la formation professionnelle et l’apprentissage)

Quelques écarts significatifs peuvent être notés :

  • La baisse des dépenses de fonctionnement de tous les ministères est approuvée par l’ensemble des électorats y compris les électeurs d’E. Macron (88%)
  • La baisse du budget alloué au fond vert rencontre l’opposition d’une majorité d’électeurs de J-L. Mélenchon (58% opposés ; 42% favorables) et de Y. Jadot (79% opposés), mais est soutenue par les autres électorats (54% E. Macron, 60% M. Le Pen, 66% V. Pécresse et 87% E. Zemmour)

Seul l’électorat d’E. Macron (62%) est favorable à la participation forfaitaire salariés pour bénéficier d’une formation avec le compte personnel de formation

 

4 autres mesures, évoquées dans le débat public pour réduire les dépenses publiques, rencontrent l’opposition d’une majorité de Français :

  • La désindexation des pensions de retraite (83% opposés, dont 50% très opposés)
  • La baisse du nombre de maladies de longue durée (ALD) sur la liste établie par le ministère de la Santé qui sont remboursées à 100% (72% opposés)
  • La suppression de l’indemnité carburant travailleur (59% opposés)
  • La réduction des prises en charge des déplacements médicaux par taxis (56% opposés)

Situation économique : 84 % des Français inquiets

Situation économique : 84 % des Français inquiets

84% (+5 par rapport au 1er juin 2023) des Français sont inquiets pour la situation économique du pays, 80% (+9) pour le niveau de la dette publique, 66% (-1) pour leur propre situation financière. Dans une moindre mesure, 39% des actifs (+2) sont quant à eux inquiets pour leur emploi. Sondage Elabe. 

 

A ce jour, l’inquiétude macro-économique traverse l’ensemble des pans de la société mais la situation économique du pays et le niveau de la dette publique inquiète plus sensiblement les électeurs de M. Le Pen (respectivement 91% et 89%) et de V. Pécresse (91% et 89%). Les 50 ans et + expriment également une plus grande crainte à propos du niveau de la dette publique (86% contre 67% à 78% pour les autres catégories d’âge).

L’inquiétude pour son pouvoir d’achat reste fortement corrélée à la situation financière en fin de mois : 89% des personnes qui déclarent se restreindre sont inquiètes pour leur situation financière (dont 46% très inquiètes), contre 51% des Français qui bouclent facilement leurs fins de mois mais sans épargner et « seulement » 29% des Français qui parviennent à épargner.

Dans ce contexte, 4 Français sur 5 estiment désormais qu’il est urgent de réduire la dette publique en France

80% (+4 points depuis le 5 octobre dernier) des Français jugent urgent de réduire la dette publique en France, dont 32% (+7) très urgent et 48% (-3) assez urgent. A l’inverse, 19% (-5) considèrent que cela n’est pas urgent, dont 16% (-5) pas vraiment et 3% (=) pas du tout.

Le sentiment d’urgence à agir est majoritaire dans toutes les catégories de population et électorats et augmente significativement parmi les professions intermédiaires (80%, +13) et les employés/ouvriers (82%, +7).

 

Pour les Français, les allocations familiales (32% -4 par rapport au 5 octobre 2023, 3 réponses parmi 18 items) restent le domaine prioritaire sur lequel il faudrait baisser la dépense publique, suivies de près par le numérique (31%, +4) et le chômage (30%, +2). Un trio de tête qui reste inchangé depuis octobre dernier.

Derrière ce trio, plus de 2 Français sur 10 citent également la culture (25%, +2) et l’environnement, la transition écologique et énergétique (21% +3).

Pour 14% (-2) seulement, la dépense publique ne devrait baisser sur aucun des 17 domaines testés.

 

Dans la perspective de maitriser le déficit public et les dépenses de l’Etat, les mesures annoncées par le ministre de l’Économie le 18 février dernier, rencontrent un succès partiel. Trois groupes de mesures se distinguent :

Celles qui sont nettement approuvées :

  • 80% des Français sont favorables à la baisse des dépenses de fonctionnement de tous les ministères (énergie, achats, mobiliers, report de recrutements, réduction des déplacements)dont 45% tout à fait
  • 71% à la réduction du budget de Business France (institution publique qui accompagne les entreprises françaises à l’international et les entreprises étrangères en France)dont 20% tout à fait
  • 70% à la réduction du budget du Centre national d’études spatiales (institution publique qui gère le programme spatial français), dont 20% tout à fait

Celles qui divisent

  • 51% sont favorables à la baisse du budget alloué au fond vert (qui aide les collectivités territoriales à lutter contre le changement climatique) contre 48% opposés
  • 50% à la réduction du budget de l’Agence nationale de la cohésion des territoires (institution publique qui aide les collectivités locales dans leurs projets en faveur du dynamisme économique) contre 49% opposés
  • 47% à la réduction du budget alloué à MaPrimeRénov’ (aide de l’État à destination des propriétaires qui souhaitent réaliser des travaux de rénovation énergétique au sein de leur logement) contre 51% opposés
  • 46% à la participation forfaitaire (10% du coût de la formation) des salariés pour bénéficier d’une formation avec le compte personnel de formation (CPF) contre 53% opposés

Celle rejetée :

  • 64% à la réduction du budget de France Compétences (institution publique qui finance la formation professionnelle et l’apprentissage)

Quelques écarts significatifs peuvent être notés :

  • La baisse des dépenses de fonctionnement de tous les ministères est approuvée par l’ensemble des électorats y compris les électeurs d’E. Macron (88%)
  • La baisse du budget alloué au fond vert rencontre l’opposition d’une majorité d’électeurs de J-L. Mélenchon (58% opposés ; 42% favorables) et de Y. Jadot (79% opposés), mais est soutenue par les autres électorats (54% E. Macron, 60% M. Le Pen, 66% V. Pécresse et 87% E. Zemmour)

Seul l’électorat d’E. Macron (62%) est favorable à la participation forfaitaire salariés pour bénéficier d’une formation avec le compte personnel de formation

 

4 autres mesures, évoquées dans le débat public pour réduire les dépenses publiques, rencontrent l’opposition d’une majorité de Français :

  • La désindexation des pensions de retraite (83% opposés, dont 50% très opposés)
  • La baisse du nombre de maladies de longue durée (ALD) sur la liste établie par le ministère de la Santé qui sont remboursées à 100% (72% opposés)
  • La suppression de l’indemnité carburant travailleur (59% opposés)
  • La réduction des prises en charge des déplacements médicaux par taxis (56% opposés)

 

Politique–Sondage loi Immigration : 84% des Français pour la déchéance de nationalité

Politique–Sondage loi Immigration : 84% des Français pour la déchéance de nationalité

Selon un sondage Odoxa-Backbone consulting pour le Figaro, 84% des Français sont favorables à la déchéance de nationalité pour les binationaux auteurs de crimes contre les forces de l’ordre.

La moitié des Français (50%) se déclarent «satisfaits» de la loi. Près d’un quart d’entre eux (24%) se dit à l’inverse «insatisfaits», tandis que 26% affirment ignorer les grandes lignes du texte. Les sondés, qui se déclarent au fait du projet de loi, sont en revanche 68% à en saluer le contenu.

Sept des huit principales mesures testées suscitent l’adhésion d’une écrasante majorité de Français. Plus de huit sur dix sont ainsi favorables à la déchéance de nationalité pour les binationaux auteurs de crimes contre les forces de l’ordre. 76% se déclarent favorables au rétablissement du délit de séjour irrégulier et 75% adhèrent à la mise en place de quotas pour l’immigration.

Seule une mesure est toutefois rejetée par une courte majorité des Français (52%) : «l’interdiction de l’enfermement des mineurs dans les centres de rétention administrative (CRA)».

Depuis l’adoption du projet de loi, Marine Le Pen et ses troupes revendiquent une «victoire idéologique», tandis que le chef de l’État a décrété «une défaite» pour le RN. Dans les faits, la majorité des Français (55% ) voient en Marine Le Pen la grande gagnante de cette séquence législative, loin devant Gérald Darmanin (28%), Emmanuel Macron 25%) et Élisabeth Borne (23%). Éric Ciotti et les siens sortent aussi renforcés de la séquence puisque 41% des sondés estiment que c’est un succès pour les LR. Sans surprise, plus de la moitié des Français (58%) perçoivent une défaite pour Jean-Luc Mélenchon et la Nupes.

Sondage loi Immigration : 84% des Français pour la déchéance de nationalité

Sondage loi Immigration : 84% des Français pour la déchéance de nationalité

Selon un sondage Odoxa-Backbone consulting pour le Figaro, 84% des Français sont favorables à la déchéance de nationalité pour les binationaux auteurs de crimes contre les forces de l’ordre.

La moitié des Français (50%) se déclarent «satisfaits» de la loi. Près d’un quart d’entre eux (24%) se dit à l’inverse «insatisfaits», tandis que 26% affirment ignorer les grandes lignes du texte. Les sondés, qui se déclarent au fait du projet de loi, sont en revanche 68% à en saluer le contenu.

Sept des huit principales mesures testées suscitent l’adhésion d’une écrasante majorité de Français. Plus de huit sur dix sont ainsi favorables à la déchéance de nationalité pour les binationaux auteurs de crimes contre les forces de l’ordre. 76% se déclarent favorables au rétablissement du délit de séjour irrégulier et 75% adhèrent à la mise en place de quotas pour l’immigration.

Seule une mesure est toutefois rejetée par une courte majorité des Français (52%) : «l’interdiction de l’enfermement des mineurs dans les centres de rétention administrative (CRA)».

Depuis l’adoption du projet de loi, Marine Le Pen et ses troupes revendiquent une «victoire idéologique», tandis que le chef de l’État a décrété «une défaite» pour le RN. Dans les faits, la majorité des Français (55% ) voient en Marine Le Pen la grande gagnante de cette séquence législative, loin devant Gérald Darmanin (28%), Emmanuel Macron 25%) et Élisabeth Borne (23%). Éric Ciotti et les siens sortent aussi renforcés de la séquence puisque 41% des sondés estiment que c’est un succès pour les LR. Sans surprise, plus de la moitié des Français (58%) perçoivent une défaite pour Jean-Luc Mélenchon et la Nupes.

Sondage délinquance : 84 % redoutent une hausse

Sondage délinquance : 84 % redoutent une hausse

 

-Selon le dernier baromètre sécurité Fiducial-Odoxa  84 % des Français redoutent une hausse de la délinquance notamment de la part des jeunes.

La délinquance la plus spectaculaire et illustrée par la guerre des bandes qui se multiplient dans de nombreux quartiers y compris des villes moyennes.

Cette situation s’expliquerait par la responsabilité de l’école et de la justice considérée comme trop laxistes. Pour l’école, ce qui est en cause c’est à la fois la discipline mais aussi le contenu des programmes insuffisamment orientés vers les matières de base. Pour la justice, c’est son manque de fermeté face aux responsables de la sécurité.

Pour les Français la responsabilité incombe aussi aux familles et au milieu social. Ces différents facteurs explicatifs s’inscrivant sur fond de crise économique qui réduit des perspectives d’emploi d’autant que les intéressés sont peu éduqués et encore moins qualifiés.

Comme le révèle le dernier baromètre sécurité Fiducial-Odoxa que dévoile Le Figaro, pas moins de 84 % des Français craignent que les problèmes touchant les nouvelles générations se traduisent par une hausse de la délinquance et de l’insécurité. 

«les Français identifient deux sources principales: des problèmes d’éducation (51 %) et le manque de sévérité et d’application des sanctions judiciaires (49 %)».

72 % des Français et 62 % des 18-34 ans estiment les politiques de formation et de sanctios sont notamment notoirement insuffisantes. «On présente parfois de manière binaire les solutions politiques à l’insécurité: la gauche considérerait que la réponse est essentiellement la résolution de problèmes sociaux, la droite affirmerait au contraire qu’il faut sanctionner pour être efficace, note le baromètre sécurité. Les Français, eux, attendent des solutions à tous les niveaux» et ce «tant en matière de prévention, d’éducation et d’action sociale que de sanctions et de sévérité à l’égard des délinquants». Bref, une réponse à spectre large. Convaincus par la nécessité de sanctionner plus tôt, les Français se déclarent aux deux tiers (68 %) favorables à l’abaissement de la majorité pénale à quinze ans. 

78 % des Français jugent négative l’action de Macron sur les questions régaliennes

Changement d’heure : 84% pour arrêter cette stupidité, pourquoi ?

Changement d’heure : 84% pour arrêter cette stupidité, pourquoi ?

 

 

84 % des Français qui ont répondu à la consultation de l’assemblée nationale se sont prononcés pour la suppression de cette idiotie. Une consultation identique avait été conduite par la commission européenne au cours de l’été et avait obtenu le même résultat. . Le 31 mars 2019,  il  va falloir se soumettre à nouveau au rituel ridicule de changement d’heure ; Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire. En matière d’énergie, ce qui est économisé  le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle ! Des études récentes montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure  et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation. Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ». Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile.  54 % Selon un sondage Opinion Way pour Comprendre Choisir, les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %). (59 %) mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une  réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ». En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France). La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été. Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %.  Un rapport remis au Sénat français en 1997concluait : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

 

Changement d’heure : 84% pour arrêter cette idiotie

Changement d’heure : 84% pour arrêter cette idiotie

 

 

84 % des Français qui ont répondu à la consultation de l’assemblée nationale se sont prononcés pour la suppression de cette idiotie. Une consultation identique avait été conduite par la commission européenne au cours de l’été et avait obtenu le même résultat. . Le 31 mars 2019,  il  va falloir se soumettre à nouveau au rituel ridicule de changement d’heure ; Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire. En matière d’énergie, ce qui est économisé  le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle ! Des études récentes montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure  et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation. Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ». Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile.  54 % Selon un sondage Opinion Way pour Comprendre Choisir, les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %). (59 %) mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une  réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ». En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France). La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été. Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %.  Un rapport remis au Sénat français en 1997concluait : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

 

Retraites : 84% des Français pour l’harmonisation

Retraites : 84% des Français pour l’harmonisation

Une étude qui n’apporte pas grand-chose et qui témoigne de la complexité de la réforme des retraites. Plus de huit Français sur dix (84%) seraient favorables à une harmonisation des régimes de retraite, mais seulement 40% se prononcent pour un régime unique, selon une étude du ministère des Solidarités rendue publique mercredi. La question première est de savoir à quel niveau se ferait l’harmonisation. Par le bas, par le haut, autour de la moyenne. Même interrogation concernant l’éventuel socle unique, quel contenu ? Le niveau d’une  pension du régime général pour uen carrière complète est d’environ 1100 euro. Mais il y a des très fortes disparités autour de cette moyenne selon les statuts.39% estiment « qu’il ne devrait y avoir qu’un seul régime de retraite avec des caractéristiques identiques pour tous». Sans aller si loin, un peu moins de la moitié (45%) se prononce pour « un socle commun de retraite (…) gardant certaines différences selon le statut professionnel». Seules 16% des personnes interrogées préfèrent ainsi « des régimes différents pour tenir compte des différences de statut professionnel». CES résultats pourraient « traduire à la fois une volonté de renforcer l’équité entre les différents régimes, et une envie de simplification et de plus grande lisibilité« , selon la Drees service statistique du ministère). . Dans le détail, les opinions divergent selon les statuts : « les inactifs, notamment les retraités, préconisent le régime unique pour 44% d’entre eux, contre 35% des actifs ». Chez ces derniers, le régime unique est davantage plébiscité par les ouvriers (49%) que par les cadres et professions libérales ou professions intermédiaires (24% dans les deux cas). Les salariés du public, sans surprise moins favorables au régime unique (26%) que les salariés du privé (36%), se positionnent pour 57% d’entre eux pour un socle commun avec des différences selon le statut. Autre enseignement, si l’ensemble des sondés « restent très majoritairement attachés à un système de retraite essentiellement public » (9 sur 10 en 2015), un peu moins de la moitié estime qu’il faudrait à l’avenir ajouter « un complément d’assurance ou d’épargne individuelle » à l’actuel système par répartition. Bref, pas vraiment de quoi éclairer le gouvernemenet qui prudemment a repoussé l’échéance de la reforme en 2019 voire plus  tard.

 

Attentats : 84% des Français veulent davantage de contrôles.

Attentats : 84% des Français veulent  davantage de contrôles.

Les attentats ont opéré  un basculement idéologique vers le sécuritaire ;  98 % des Français évaluent comme élevée la menace terroriste, selon le sondage IFOP pour Le Figaro et RTL. Des résultats qui vont contraindre le gouvernement de passer de la posture martiale à la prise d’action qui ne se cantonne pas au symbolique ou à l’accessoire. D’une certaine manière le gouvernement est pris au piège, en tout cas ses décisions seront très attendues.  Jamais depuis 1992, les menaces n’avaient atteint un tel niveau. A titre de comparaison, la menace avait été jugée élevée par 93 % des Français après Charlie Hebdo. Une différence qui peut s’expliquer par le type de victimes et le mode opératoire des terroristes. En s’en prenant à des anonymes, la France entière s’est sentie encore plus impliquée par les attentats. De la même manière, il n’existe pas de différence entre les zones rurales et zones urbaines. «C’est bien toute la France qui est ébranlée», reconnaît Jérôme Fourquet, directeur du pôle opinion de l’IFOP. La gauche, qui s’est toujours montré inflexible sur la défense des libertés individuelles, a largement basculé vers une dimension plus sécuritaire. De ce point de vue, ces attentats marquent sans doute un virage idéologique. Ainsi, 84 % des personnes interrogées se disent prêtes à accepter davantage de contrôles et une certaine limitation de leurs libertés pour mieux garantir la sécurité. Même à gauche, 65 % du Front de gauche et 87 % du PS souscrivent à cette idée. Corollaire des paroles martiales de François Hollande et Manuel Valls sur la France qui est désormais entrée en guerre, 59 % des Français approuvent ces déclarations et les conséquences que cela implique. Cette adhésion a une très forte conséquence sur les toutes les mesures envisagées par le gouvernement. «Désormais, les Français adhèrent non seulement à la rhétorique de la guerre, Valls avait déjà parlé de guerre en janvier dernier, mais également aux décisions entraînant une restriction des libertés publiques», affirme Jérôme Fourquet. Le fichier S, qui regroupe les personnes suspectées d’activités contraire à la sécurité du pays, constitue un point important de l’enquête et sans doute de la phase constitutionnelle et législative qui s’ouvre. Or, les Français sont largement favorables (74 %) à l’emprisonnement des personnes qui figurent sur ce fichier S. Une proposition qui retient l’adhésion de presque tous les Français, quelle que soit leur préférence partisane. Ils sont 47 % au FG, 64 % au PS, 87 % chez LR et 94 % au FN. L’électorat de gauche, traditionnellement très rétif à toutes atteintes aux libertés publiques, a cette fois-ci basculé.  Conséquence directe des attentats, 85 % approuvent l’intervention militaire en Syrie, alors même que les terroristes ont justifié leurs actes par les précédentes actions militaires françaises dans ce pays. Autre conséquence de l’attentat, les Français sont à 62 % contre l’accueil des migrants quand ils étaient 47 % à le souhaitent il y a seulement un mois.

 

Apple Watch : vendue 350 euros pour un coût de 84 dollars !

Apple Watch : vendue 350 dollars  pour un coût de 84 dollars !

 

D’après  une étude du cabinet IHS, le coût de production du modèle d’entrée de gamme n’atteint que 24% de son prix de vente. Seulement 2,50 dollars sont consacrés à la main d’oeuvre. Du jamais vu dans l’histoire de la firme à la pomme. Trimestre après trimestre, Apple publie des résultats colossaux. Le secret de sa réussite? Des marges importantes réalisées sur chacun de ses produits. L’Apple Watch, dernier en date, ne déroge pas à la règle. Ainsi, selon le cabinet IHS Technology, l’Apple Watch Sport avec un boîtier de 38 millimètres, le modèle d’entrée de gamme d’Apple, coûterait-il 83,70 dollars à fabriquer…pour un prix de vente de 349 dollars (399 euros sur le marché européen)! Le coût de production de cette montre représente donc seulement 24% de son prix de vente. Un ratio plus important que celui des autres produits de la marque qui varie de 29 à 38%. A titre d’exemple, le coût de production de l’iPhone 6 atteint, selon les calculs du site américain Teardown.com, 227 dollars tandis que celui de l’iPhone 6 Plus grimpe à 242,50 dollars. Deux appareils vendus respectivement aux États-Unis à 649 dollars et 749 dollars, soit des ratios coût de production/prix de vente de 35% et 32%.  Selon IHS, qui s’est amusé à décortiquer la montre, les composants les plus chers sont l’écran (20,50 dollars) et le processeur (10,20 dollars). La batterie ne revient qu’à 0,80 cent. Au total les coûts des matériaux qui composent la montre s’élèvent à 81,20 dollars auxquels s’ajoute le coût de la main d’œuvre (2,50 dollars). Soit donc un total de 83,70 dollars. «Le ratio (coût de production/prix de vente, ndlr) de l’Apple Watch est plus faible que celui de l’iPhone 6 Plus et des autres nouveaux produits d’Apple et pourrait être source d’importants bénéfices si les ventes correspondent à l’intérêt suscité par l’Apple Watch», souligne Kevin Keller, analyste chez IHS. ( lu dans le Figaro)

Impôts sur le revenu : 84% pour la déclaration en ligne

Impôts sur le revenu : 84% pour la déclaration en ligne

Un résultat pas étonnant puisque l’enquête a été réalisée par internet ! Le 31 décembre 2014, la France comptait 26 millions d’abonnements Internet haut et très haut débit sur réseaux fixes. En 2014, 80,7 % des foyers ont un accès Internet, soit 22,5 millions de foyers (47 millions d’internautes en janvier 2015 selon Médiamétrie, tandis que 19,3 % des foyers n’y ont pas accès, soit 5,4 millions de foyers, sur un total de 27,8 millions de foyers. En 2014, tous lieux de connexion pris en compte (et non que domicile), 83 % des Français sont des internautes. Plus de Huit Français connectés donc seraient pour  la télédéclaration en ligne de leurs impôts selon un sondage Odoxa pour le Syntec numérique et le Parisien/Aujourd’hui en France mercredi 22 avril. « Moderne » pour 93% des personnes interrogées, « écologique » pour 87%, « rapide » pour 86%, « moins coûteux pour la collectivité » pour 85%, la télédéclaration a la cote. Et 84% des personnes interrogées estiment que c’est « une bonne chose ». « Même les seniors sont conquis: 97% des plus de 65 ans y sont favorables », souligne le quotidien qui précise que « le chiffre est sans doute à relativiser puisque l’étude à été réalisé sur Internet ». Selon Bercy, le nombre de télédéclarations est passé de 12,8 millions en 2012 à 14 millions en 2014, indique le journal. Malgré tout, 38 % des sondés ne souhaitent pas que ces informations transitent en ligne, quand 27 % affirment avoir l’habitude du papier au moment où le gouvernement envisage de rendre ce service obligatoire. Sondage Odoxa réalisé les 16 et 17 avril 2015 sur internet auprès d’un échantillon de 1.003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Montant retraites: 84% des Français actifs logiquement inquiets

Montant retraites: 84% des Français actifs  logiquement inquiets 

 

Selon un sondage Ipsos pour l’Union mutualiste retraite. Cette inquiétude est très légitime compte tenu tannât de l’état des finances des caisses complémentaire que de celle de la sécu. ON s’oriente en effet doucement vers les 69 ans pour l’âge de départ et in faudra aussi compter sur un rabotage des montants. En prenant en compte l’ensemble des Français (actifs, inactifs, retraités), l’inquiétude est légèrement moins forte: 70% des personnes interrogées se disent inquiètes pour leur niveau de vie, 78% pour le montant de leur retraite, 55% pour l’accès aux soins et la capacité à vivre de façon indépendante. Une forte majorité de Français (72%) pense qu’il sera nécessaire de faire une nouvelle réforme des retraites dans les deux ans qui viennent. La dernière a pris effet début 2014.Et ils sont encore plus nombreux, 78%, à estimer que l’âge légal du départ à la retraite sera repoussé dans les années à venir au-delà de 62 ans. Pour faire face aux importants déficits des régimes de retraite complémentaire, 45% des salariés du privé sont favorables à un report de l’âge auquel on peut toucher la retraite complémentaire, 27% à une augmentation des cotisations, 11% à une baisse des pensions. On connait le trou de la sécu mais à terme ce ne sera pas mieux pour les retraites complémentaires. . Pour payer les 70 milliards d’euros de pensions de retraite versées chaque année à quelque 14,6 millions de retraités, les régimes Agirc et Arrco sont obligés de puiser dans leurs réserves financières. En 2013, leur déficit atteignait déjà 4,4 milliards d’euros et si rien n’est fait, il pourrait grimper à 20 milliards d’euros en 2040. Pire, les réserves de l’Agirc (dont relèvent 4 millions de cadres) pourraient être totalement épuisées dès 2018, celles de l’Arrco (auxquelles contribuent 18,1 millions de salariés) d’ici 2024 ! Pendant des années, ces deux régimes ont encaissé plus de cotisations qu’ils ne versaient de pensions, ce qui leur a permis d’accumuler une réserve de plus de 62 milliards d’euros. Le hic, c’est que, depuis 2009, la montée du chômage plombe les rentrées de cotisations assises sur la masse salariale et que le nombre de départs en retraite s’accélère. Résultat : il n’y a plus qu’un seul cotisant pour 0,6 retraité. Et la situation ne devrait pas s’améliorer avec les départs en retraite de la « génération baby-boom » : en 2040, l’Arrco comptera 0,8 retraité pour un cotisant ; l’Agirc 0,9 retraité pour un cotisant. D’où la nécessité de prendre de nouvelles mesures d’urgence pour faire des économies, mais aussi générer de nouvelles rentrées d’argent. Sauf que syndicats de salariés et patronat n’ont pas vraiment les mêmes remèdes.

Enfoirés: 84% des Français ne sont pas « choqués » par la chanson à polémique

Enfoirés: 84% des Français ne sont pas « choqués » par la chanson à polémique

Dans un sondage les Français contredisent les «  bobos » qui s’étaient dits choqués par les paroles d’une chanson des enfoirés. Et le politiques qui croyaient être dans le ton ( comme Fleur Pellerin, ministre de l’inculture) aurait mieux faiat de se taire. Certes ce n’ est pas la chanson du siècle mais c’est pourtant vrai que les vieux ( dont je suis )n’ont  pas laissé un  environnement très favorable aux jeunes et qu’inversement, il serait bien souhaitable qu’on se bouge un peu y compris les jeunes. On peut par ailleurs être tolérant compte tenu du travail énorme fait par les Enfoirés. Ce n’ est pas l’avis  de d’Attali, qui, en toute modestie comme habitude,   condamne la chanson en s’érigeant en penseur universel économique, social , environnemental et même culturel  ‘ « Goldman n’est qu’un faiseur de chansonnettes » ;  évidemment comparé au penseur exceptionnel qui peut parler de tout et surtout de rien avec la tonalité prétentieuse et méprisante des docteurs de la foi ( surtout en lui), il n’y a pas photo. . « Tout ce qu’on a, il a fallu le gagner, à vous de jouer, mais faudrait vous bouger! » Anti-jeunes ou pas? La polémique sur l’une des chansons des Enfoirés, Toute la vie, a divisé les Internets le week-end dernier. La ministre de la Culture Fleur Pellerin a même estimé qu’il s’agissait d’une « maladresse dans la formulation ». Mais les Français restent quand même attachés à la bande de chanteurs, jeunes et vieux, emmenés par Jean-Jacques Goldman. Huit Français sur dix (84%) affirment ne pas être « choqués » par ce texte, qui a suscité l’émoi et la colère d’internautes, notamment à cause du ton qualifié de « paternaliste » ou « donneur de leçon », selon un sondage Odoxa (*), pour Le Parisien-Dimanche. A la question, « le principe de cette chanson vous choque-t-il ? », 84% des personnes interrogées ont répondu « non », 23% ont répondu « oui ». Le clip de la chanson, écrite par Jean-Jacques Goldman, montre deux générations s’opposer autour de thèmes sociaux. Depuis sa mise en ligne, les critiques pleuvent. A tel point que le chanteur, muré dans un silence médiatique depuis 2003, a fini par accepter de justifier ses choix sur le plateau du Petit Journal, sous la forme d’un sketch. Indépendamment de la polémique qu’elle a provoqué, 55% des sondés « aiment » la chanson, 44% « ne l’aiment pas ».  77% des Français interrogés affirment avoir « une bonne opinion » des « Enfoirés », contre 23% « une mauvaise opinion ». Et quelque 81% des sondés trouvent les « Enfoirés » « sympathiques », et 76% « utiles ». Selon le même sondage, ils sont 61% à dire « qu’il est tout à fait légitime de critiquer les Enfoirés si on pense qu’ils disent des bêtises, même si la cause qu’ils défendent est juste ». Pour 35%, on ne peut pas les critiquer car « même s’ils peuvent dire des bêtises, ce qui compte avant tout, c’est la cause qu’ils défendent et l’argent qu’ils récoltent pour les Restos du cœur. »

Sondage réforme de la France : 84% pour

Sondage réforme de la France : 84% pour

 

Finalemenet la classe politique est en retard par rapport à l’opinion en matière de réformes. D’après un  sondage CSA 59% ont une mauvaise mage de leur propre pays et  84% des Français estiment qu’il faut réformer en profondeur le pays, dont 28 % radicalement, d’après cette étude. L’attente de changements est la plus forte pour la gestion des finances publiques (88 %), la fiscalité (82 %), le développement économique (82 %) et la politique d’immigration (74 %). Quand on demande aux personnes sondées, sans leur soumettre une liste de réponses possibles, ce qu’il faudrait changer en priorité, ce sont les instances et le personnel politique qui arrivent en tête (25%).  Toutefois, analyse l’institut CSA, «derrière l’exigence de changement perdure un attachement fort à ce qui fait les fondamentaux du modèle français». Exception faite de l’immigration, 59 % optant pour le droit du sang plutôt que pour le droit du sol (39 %).  Les Français sont à 78 % pour un Etat interventionniste, à 56 % pour un Etat décentralisé, 60 % d’entre eux préfèrent une France dans laquelle les entreprises publiques contrôlent des secteurs clés de l’économie (transports, énergie, télécommunications…) Ils choisissent l’assurance maladie pour tous (73 %) et le système de retraite par répartition (60 %). Quant à l’orientation à donner au changement, trois grands types d’aspirations se dégagent : décadenasser les réglementations, valoriser l’effort, responsabiliser. 50 % (mais 48 % d’avis contraires) sont pour des licenciements plus faciles, 59 % pour réformer la durée légale du travail, 72 % pour l’ouverture des magasins «quand ils le souhaitent», dimanches et soirées comprises.

 

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