Archive pour le Tag '8000'

Bourse : hausse record pouvoir d’achat en baisse

La Bourse franchit la barre des 8000 points quand le pouvoir d’achat baisse

 

C’est  le paradoxe, alors que les indicateurs économiques tirent la croissance, la Bourse, elle, vient de dépasser le record de 8000 points.

D’une certaine manière, c’est encore la conséquence du processus inflationniste particulièrement anti redistributif. En effet tendis que les profits des grandes sociétés progressent, le pouvoir d’achat des ménages, lui, diminue. Grâces à l’inflation nombre d’entreprises ont pu plus ou moins discrètement ajouté des augmentations de prix à l’inflation générale. Les actionnaires ont été largement récompensés avec une de distribution de 100 milliards en 2023 pour les dividendes.

En quelque sorte la valorisation boursière évolue à l’inverse de l’économie réelle. En cause, des masses monétaires énormes délivrées par les banques centrales et notamment la banque centrale européenne est sans intérêt. Pas même la moitié de ces aides financières n’ont soutenu réellement l’économie. Elles se baladent  maintenant et soutienneny artificiellement les marchés boursiers. 

Conséquence du climat : 8000 ha de vignes arrachées en bordelais

Conséquence du climat : 8000 ha de vignes arrachées en bordelais

Conséquence du climat, notamment de la sécheresse, des maladies mais aussi de la surproduction 8.000 hectares du vignoble bordelais seront arrachés au premier semestre avec une subvention de 6.000 euros par hectare.

Élaboré depuis le printemps dernier, le guichet du plan d’arrachage du vignoble bordelais à hauteur de 6.000 euros l’hectare, a fermé ses portes le 20 décembre. Le bilan définitif de cette première vague s’établit à 8.000 hectares, répartis à parts égales entre les deux enveloppes de renaturation et de diversification.
le désarroi des vignerons face aux conditions drastiques du plan d’arrachage

Le viticulteur rappelle également que « l’arrachage de 8.500 hectares en un an, c’est un effort considérable pour le vignoble ! Le dernier plan d’arrachage en 2006-2007 c’était 4.500 hectares en trois ans. » 8.000 hectares, par rapport aux 108.000 hectares exploités actuellement dans le vignoble bordelais, ça représente 7,5 % des surfaces mais autour de 10 % si on exclut les 20 % des plus grands châteaux du bordelais qui n’ont aucun problème pour vendre leurs vins et ne sont donc pas réellement concernés par la problématique de l’arrachage.

Car la situation est extrêmement délicate pour de nombreux viticulteurs en panne de trésorerie et sans débouchés commerciaux suffisants pour leur production. « Face à la crise économique profonde, un grand nombre d’exploitations du vignoble de Bordeaux, aux profils multiples, se trouvent dans des situations très difficiles et dans l’incapacité, matérielle et financière de poursuivre l’entretien de leur vignoble », résumait le Syndicat des Bordeaux début décembre. Le CIVB parle lui de « crises successives et conjoncturelles – climatiques, sanitaires, géopolitiques – et d’une crise plus profonde qui s’est installée dans le temps, résultat d’un déséquilibre entre notre offre et la demande. »

Cryptomonnaie : Nouveau piratage de 8000 portefeuilles

 

 Cryptomonnaie : Nouveau piratage de 8000 portefeuilles

Une nouvelle déconvenue pour le monde de la cryptomonnaie  dans la technologie est pourtant vantée pour sa sûreté totale ! La cryptomonnaie Solana devait faire partie des jetons numériques les plus prometteurs du secteur, à l’aube du « Web 3″, des NFT, et de ses nouveaux échanges dans les mondes virtuels du Metaverse. Mais l’ »altcoin » (jeton alternatif) SOL, créé en 2018 pour concurrencer les succès du bitcoin et de son rival l’ether, enchaîne les déconvenues. Dernier en date, un deuxième piratage en moins d’un an confirmé ce mercredi 3 août par l’entreprise sur le compte Twitter « Solana Status ».

Au total, 7.767 portefeuilles détenteurs de cette cryptomonnaie sont concernés par le piratage. La valeur du butin volé sur ces comptes atteindrait plus de 6 millions de dollars, selon plusieurs cabinets d’étude capables de comptabiliser les mouvements de l’adresse cryptée utilisée par le hacker.

Comme les chaînes de blocs des autres crypto-actifs, la blockchain Solana promet des échanges plus rapides, sécurisés, et plus facilement intégrables dans une nouvelle génération d’applications et de services Web. L’Américain se positionne aussi comme un actif de référence pour acheter et vendre des NFT (non fungible tokens). De cet actif est même né la plateforme spécialisée « Solanart » pour vendre des œuvres numériques.

En terme de poids sur le marché des cryptos toujours dominé par le protocole Bitcoin (446 milliards de dollars de valorisation), Solana se classe au 9e rang des cryptomonnaies, à plus de 13 milliards de dollars de valorisation, selon le site Cryptoslate. L’actif bénéficie d’ailleurs d’un fort soutien des communautés. Suite à l’annonce du piratage, son cours reculait de près de 5%, s’échangeant à plus de 40,1 dollars, dans un secteur qui reprend timidement des couleurs après le krach du printemps.

Tandis que les piratages de portefeuilles numériques se multiplient, c’est un deuxième coup dur pour les crypto-fans qui ont déjà subi le krach du bitcoin en mai dernier, emporté par les craintes de la finance traditionnelle et la remontée des taux d’intérêts de la Réserve fédérale américaine.

Un premier piratage impliquant Solana avait eu lieu en février dernier entre des protocoles informatiques pour des services de finance décentralisée (DeFi) et des portefeuilles numériques. Les sommes – 320 millions de dollars au total - avaient finalement pu être récupérées suite à des négociations avec le hacker, rapportait Bloomberg. De quoi faire tout de même reculer alors le cours de la crypto de 11% en 24 heures.

Dans la foulée de ce nouveau piratage, la fondation Solana, qui porte le projet, a mis en ligne un formulaire pour recevoir les témoignages et plaintes des propriétaires des portefeuilles.

Jeanne Dussueil

Cryptomonnaies : la folie avec le Dogecoin qui a progressé de 8000 % depuis le début de l’année

  • Cryptomonnaie : la folie avec le Dogecoin qui a progressé de 8000 % depuis le début de l’année
  • Un article du Wall Street Journal qui explique la folie des cryptomonnaies et de ses éventuelles conséquences en cas de chute sur les marchés financiers.
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  • La crypte menée la plus connue à savoir le bitcoins a enregistré une chute brutale de 10 % récemment. Une chute qui n’est sans doute pas terminé compte tenu de la très grande volatilité de ce produit financier qui en réalité ne s’appuie sur aucun actif. En outre les banques centrales sont actuellement en train d’étudier les possibilités de mettre au point des crypto monnaie reposant elle sur les actifs de ces institutions financières. Lundi, le dogecoin a fait l’actualité à Wall Street : la cryptomonnaie à tête de chien a grimpé en flèche, portant sa progression depuis début janvier à 8 100 %, soit plus que les gains du S&P 500 (dividendes compris) depuis… 1988.
  • Cette ascension a fait du dogecoin, né du mème « Doge » (NDLR : qui utilise une photo de chien de la race shiba accompagnée de texte humoristique, souvent en mauvais anglais), un actif qui vaut désormais quelque 50 milliards de dollars, soit plus que Marriott International ou Ford.
  • Le destin du dogecoin n’est pas sans rappeler l’envolée de GameStop : en début d’année, des traders s’étaient regroupés sur Reddit et d’autres réseaux sociaux pour faire du vendeur de jeux vidéo sur le déclin une superpuissance boursière.
  • Cette fois-ci, ils sont allés encore plus loin : ils ont transformé une parodie en actif bien réel, offrant au passage des gains colossaux aux premiers acheteurs. Et ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin : ils ont décidé que ce mardi serait le « Doge Day » et s’organisent tant bien que mal pour que la cryptomonnaie vaille ce soir un dollar, contre 39 cents lundi à la clôture et moins d’un penny en janvier.

 

  • Ces deux épisodes soulignent le poids des investisseurs individuels qui, pour peu qu’ils se réunissent au sein de communautés en ligne, peuvent avoir un impact étonnamment fort sur les cours de Bourse. Ils témoignent aussi de la certitude que les prix vont continuer de monter et portent en eux le risque qu’au premier retournement du marché, ces fortunes disparaissent aussi vite qu’elles étaient apparues.
  • « Les gens qui se lancent en ce moment sont souvent des novices, ils n’étaient pas là au dernier krach du bitcoin », raconte Robert Drach, gérant chez Drach Advisors à Tallahassee, où il s’occupe des investissements de clients individuels.
  • Pour l’heure, les montagnes russes des actifs chouchous des forumeurs n’ont pas eu beaucoup d’influence sur le reste de la sphère financière. Le titre GameStop a flambé en janvier avant de retomber sans que les grands indices ne soient touchés. Cela étant, nombreux sont les investisseurs qui suivent ces bizarreries, se disant qu’un effondrement du dogecoin ou du bitcoin pourrait pousser les hedge funds et d’autres grands investisseurs à réduire leur exposition aux actifs risqués, et pourrait donc provoquer un mouvement plus général d’aversion au risque.
  • Même s’il n’y a actuellement aucune raison de redouter un krach boursier, l’ascension du dogecoin « me fait beaucoup penser à une bulle », ajoute Robert Drach. « Cela m’inquiète toujours un peu, pas seulement pour les investisseurs en dogecoin, mais aussi pour les investisseurs en actions. »
  • L’envolée du dogecoin s’inscrit dans un contexte plus général de progression des cryptomonnaies et d’enthousiasme (potentiellement exagéré) des investisseurs vis-à-vis de ces actifs et du reste du marché
  • Quoi qu’il en soit, pour le moment, le dogecoin illustre un fait aussi improbable qu’avéré : en 2021, ce sont les paris les plus fous qui peuvent rapporter le plus. Une personne qui aurait investi 10 000 dollars en dogecoin le 31 décembre aurait été, hier lundi, à la tête d’un pactole dépassant les 821 000 dollars, selon des données Kraken. La même somme placée en actions GameStop vaudrait un peu moins de 87 250 dollars. Et 11 150 dollars, dividendes inclus, si elle avait été investie dans un ETF suivant le S&P 500.
  • Si le dogecoin touche la barre symbolique du dollar, sa valeur dépassera celle de grands noms de la bourse américaine, dont Advanced Micro Devices, CVS Health et General Motors.
  • « C’est absurde, soupire Billy Markus, co-créateur du dogecoin. Je n’ai jamais vu ça, c’est un de ces trucs qui ne s’arrête plus de grimper une fois qu’il a démarré. »
  • Le dogecoin n’a aucune utilité et, contrairement à la plupart des cryptomonnaies, il existe en quantité illimitée : chaque jour, des ordinateurs résolvent des énigmes mathématiques pour débloquer de nouveaux dogecoin. Lundi, on en dénombrait environ 129,2 millions en circulation, selon CoinDesk.
  • L’envolée du dogecoin s’inscrit dans un contexte plus général de progression des cryptomonnaies et d’enthousiasme (potentiellement exagéré) des investisseurs vis-à-vis de ces actifs et du reste du marché. Depuis le début de l’année, cette allégresse a profité aux « memes stocks », ces valeurs devenues virales (Gamestop par exemple), mais aussi aux jetons non fongibles qui servent à garantir l’authenticité d’une œuvre d’art ou d’images sportives.
  • Particulièrement volatiles, les cryptomonnaies peuvent enregistrer des hausses ou des baisses à deux chiffres en l’espace de quelques heures. Sur la plateforme d’échange de cryptomonnaies Coinbase Global, les cours du bitcoin et de l’ether ont atteint de nouveaux records la semaine dernière. Puis, dimanche, le bitcoin s’est effondré de plus de 10 %, plombé par des spéculations affirmant que le département du Trésor allait engager des poursuites contre certaines institutions accusées de blanchir de l’argent grâce aux cryptomonnaies.
  • Les chèques envoyés aux ménages américains et la faiblesse des taux d’intérêt ont fait flamber les actions l’an passé, mais aussi dopé le dogecoin, selon Robert Drach.
  • « Je trouve ça gonflé de gagner des tonnes d’argent grâce à un [ETF] sur le S&P 500 tout en se moquant des gens qui achètent du dogecoin, parce que ce sont les mêmes liquidités qui soutiennent tous ces actifs », ajoute-t-il.
  • Les traders racontent, eux, qu’ils ont eu l’idée du « Doge Day » après avoir vu une publicité sur le compte Twitter de Slim Jim. Filiale de Conagra Brands, la marque de snack salés utilise régulièrement des mèmes pour faire parler d’elle. Cette fois-ci, elle voulait lancer DogeSlimJim mardi, demandant à la « DogeArmy » de faire passer le message, et avait rempli son compte de mèmes reprenant le célèbre shiba.
  • Lanie Friedman, porte-parole de Conagra, a expliqué que la marque voulait lancer un produit numérique inspiré du doge, sans donner plus de précisions. Elle a toutefois précisé que la campagne de Slim Jim n’avait aucun lien avec la valeur du dogecoin.
  • Shaun Becker habite à Phoenix. C’est après avoir vu les tweets de Slim Jim qu’il a commencé de parler du « Doge Day » sur son compte Twitter. Analyste spécialiste des risques de la conformité, cet homme de 36 ans a acheté ses premiers dogecoin le 8 février, quand des célébrités (dont Elon Musk, le patron de Tesla, et le rappeur Snoop Dogg) ont commencé d’en faire la publicité. Ses 1 179,42 dollars d’investissement valaient 4 477 dollars lundi, pour un dogecoin à 39 cents.
  • « J’ai bon espoir que, mardi, il atteigne au moins un dollar, prédit-il. Même si on ne met que 100 dollars, on peut doubler sa mise. Je ne veux pas pousser les gens à faire des investissements risqués, je veux juste que tout le monde ait une part du gâteau. »
  • La semaine dernière, les petits nouveaux avaient accumulé tant de bitcoins que Robinhood Markets a eu du mal à tout gérer.
  • Selon la très populaire application de trading, l’intérêt que suscite cette cryptomonnaie depuis jeudi dernier « a fait peser une pression très forte sur les systèmes d’échange », qui ont fini par lâcher. Tout a été réparé en moins de deux heures, souligne Robinhood, mais de nouveaux problèmes sont survenus vendredi, lorsque le dogecoin a signé un nouveau record en séance à 45 cents. Ils ont perturbé quelques ordres et retardé l’envoi de notifications à certains clients, a précisé l’entreprise.
  • Robinhood (et d’autres plateformes de trading destinées aux particuliers) ont connu des pannes et des incidents techniques l’an passé en raison de l’explosion de la demande. En début d’année, Robinhood avait également été vertement critiquée pour avoir suspendu puis limité les achats de titres dont la popularité avait grimpé en flèche (GameStop notamment).
  • Entre jeudi et vendredi, sur Kraken, une Bourse qui appartient à Payward, les volumes d’échange de dogecoin ont atteint 71 fois leur moyenne sur 30 jours.
  • (Traduit à partir de la version originale en anglais par Marion Issard)
  • Traduit à partir de la version originale en anglais

Coronavirus France : près de 8000 cas en 24 heures

Coronavirus France : près de 8000 cas en 24 heures

7852 nouveaux cas ont été détectés ces dernières 24 heures, a annoncé ce mardi 15 septembre Santé Publique France dans son communiqué quotidien. La veille, 6158 cas avaient été détectés.

37 personnes sont mortes de la Covid en France ces dernières 24 heures, portant le total à 30.999 victimes.

Le nombre de patients entrant en réanimation a encore augmenté, avec 479 nouveaux malades hospitalisés au cours des 7 derniers jours, soit 31 de plus en 24 heures.

866 «clusters», ou foyers de contagion, sont toujours en activité sur le territoire, dont 68 nouveaux qui ont été détectés ces dernières 24 heures. Le taux de positivité s’élève désormais à 5,4%.

Au total, 82 départements en métropole et outre-mer sont classés en situation de vulnérabilité «modérée ou élevée», un chiffre en hausse.

Air France : 8000 à 10 000 départs

Air France : 8000 à 10 000 départs

 

La direction travaille sur un scénario prévoyant entre 8.000 et 10.000 suppressions de postes pour la compagnie Air France et sa filiale HOP. L’hypothèse haute table sur près de 8.500 suppressions de postes au sein de la compagnie Air France (-19% des effectifs), réparties entre les personnels au sol (6.000), les hôtesses et stewards (2.000), et les pilotes (421). S’ajouteront également les suppressions de postes chez HOP, estimées par des syndicalistes à plus de 1.000. Le plan de restructuration sera dévoilé fin juin-début juillet.

Le plan de restructuration d’Air France pour s’adapter la baisse de 20% des capacités prévue en 2021 se précise. Il sera présenté fin juin-début juillet aux représentants du personnel. Selon nos informations confirmant celles de Bloomberg et des Echos, la direction travaille sur un scénario prévoyant entre 8.000 et 10.000 suppressions de postes au sein du groupe incluant les compagnies Air France et sa filiale régionale HOP. Air France compte 45.000 salariés en CDI, HOP, 2.700. L’hypothèse haute table sur près de 8.500 suppressions de postes au sein de la compagnie Air France  (-19% des effectifs), réparties entre le personnels au sol (6.000), les hôtesses et stewards (2.000), et les pilotes (421). Soit plus de la moitié des 4.000 départs naturels environ d’ici à 2022 identifiés en février par la direction. S’ajouteront également les suppressions de postes  chez HOP, estimées par des syndicalistes à près de 1.200.

 

Islamisme : plus de 8000 personnes radicalisées en France

 

Islamisme : plus de 8000 personnes radicalisées en France

Les intellos bobos qui ne cessent de protester contre l’état d’urgence et la déchéance de nationalité ferait bien de regarder d’un peu plus près les réalités sociales et notamment ce chiffre inquiétant de nombre de personnes radicalisées en France. Un nombre qui a doublé en un an ! Certes cela ne représente qu’une centaine de personnes en moyenne par département mais cela constitue un vivier potentiel pour le terrorisme soit en France,  soit dans l’État islamique. Environ 1500 Français ont rejoint l’État islamique, ils ont été recrutés parmi les individus radicalisés. Du  coup à la lueur de ces chiffres inquiétants le débat byzantin et faux-cul de certains politiques sur l’état d’urgence et la déchéance de nationalité revêt un caractère surréaliste. Le Figaro dévoile en exclusivité la carte de France des personnes signalées pour «radicalisation». Le phénomène a doublé en moins d’un an et touche de plus en plus d’adolescents et de femmes. Ils ont été repérés par leur entourage ou par les services de l’État (police, gendarmerie, Éducation nationale) en raison d’un repli identitaire, d’une apologie du terrorisme ou de leur hostilité aux institutions. Un dernier bilan officiel établi le 28 janvier révèle que 8250 personnes ont été signalées comme radicalisées sur l’ensemble du territoire contre 4015 en mars dernier, soit plus qu’un doublement en moins d’un an. Contrairement à une idée reçue, ces individus «ne basculent quasiment jamais en pianotant seuls sur leur ordinateur. Le déclencheur est dans 95% des cas lié à un contact humain», précise-t-on à l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste. Si la contagion a gagné tout le pays, Paris, l’Île-de-France et le Sud-est comptent le plus grand nombre de cas recensés.

Réforme du Code du travail : 50 articles au lieu de 8000 ! ( Badinter)

Réforme du Code du travail :  50 articles  au lieu de 8000 ! ( Badinter)

Voilà sans doute une vraie réforme qui sans doute ne se fera pas. Celle du code du travail qui en faiat substitut à la concertation la loi dans tous les aspects du contrat de travail. Bref la bureaucratie à la place  de la négociation. C’est Badinter qui la propose et qui ne peut pas être soupçonné d’être de droite. Obèse, indigeste, difficilement compréhensible par le tout-venant, le code du travail est sur la sellette. Le code du travail est sans cesse remis en cause par les différents acteurs sociaux. Mais cette fois, il s’agit d’une attaque lancée par deux éminences du sujet : Robert Badinter, l’ancien Garde des Sceaux, et l’universitaire Antoine Lyon-Caen. Ensemble, ils ont signé une tribune dans Le Monde dans laquelle ils dénoncent un texte « obèse » et indigeste. Ils détaillent tous leurs arguments dans l’ouvrage « Le travail et la loi », publié chez Fayard. Les deux spécialistes notent que depuis 1974, le code du travail est passé de 600 articles à 8.000 devenant « obscur et inquiétant » au lieu d’être « protecteur et rassurant ». Mais surtout, ils dénoncent des textes « trop souvent dictés par une finalité immédiate, dans l’espérance toujours déçue qu’une modalité nouvelle suscitera des milliers d’emplois. » Pour les deux auteurs de la tribune, cette complexité accentue le chômage au lieu de l’endiguer. Un discours que tient depuis longtemps l’ex-ministre (Affaires européennes puis Agriculture) de Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire. Robert Badinter et Antoine Lyon-Caen ne se contentent pas de le remettre en cause, ils proposent une autre voie, plus simple, plus efficace tout en restant le garant des grands principes de protection de salariés. Leur projet tient dans 50 articles qui pourraient fonder une Déclaration des droits du… travail.  Leur révolution repose avant tout sur la réaffirmation de grands principes comme le CDI qui est « la forme normale » du contrat, la période d’essai dont la durée doit être « raisonnable » et le repos dominical qui doit subsister. Quant au licenciement, il doit être utilisé pour des « motifs réels et sérieux » et, lorsqu’il s’applique, doit donner lieu à des indemnités excepté lorsque des fautes graves sont avérées.

 

PSA : 1500 postes supprimés en plus des 8000

PSA : 1500 postes supprimés en plus des 8000

 

  »Il y aura 1.500 départs par attrition naturelle, ce qui correspond au rythme naturel des départs pour le groupe, mais le plan reste à 8.000, il n’y a pas de changement de périmètre », a déclaré un porte-parole du constructeur. « PSA nous a caché ce chiffre jusqu’au dernier moment », a estimé de son côté Xavier Lelasseux, représentant CFDT chez les constructeur. « Non seulement le groupe ne veut pas réduire le plan social, mais on découvre qu’il voulait dès le début un plan de plus grande envergure. » Selon deux syndicats, la direction veut désormais ramener d’ici la mi-2014 son effectif en France à 55.900 personnes via son plan social annoncé en juillet, et qui porte sur 7.979 postes, mais aussi grâce au non remplacement des démissions et départs en retraite. Confronté à de lourdes pertes financières et à des surcapacités de production, le constructeur automobile a également annoncé cet été la fermeture pour 2014 de son usine d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Avant de rendre leur avis sur ce plan, les représentants des salariés avaient demandé au cabinet d’expertise Secafi d’étudier la réalité des difficultés de PSA et de vérifier si l’ampleur du plan était proportionnée à ces difficultés. Le cabinet a présenté mardi la version finale de son rapport. « Les négociations sur l’ensemble des mesures proposées vont maintenant pouvoir démarrer », a déclaré un porte-parole du groupe. « Elles devraient déboucher sur un accord qui permettra, espérons-le, de concrétiser le plus rapidement possible le plan d’action. » Quatre syndicats – CFE-CGC, CFTC, FO et GSEA – ont rendu un avis défavorable sur le plan tandis que la CGT et la CFDT se sont abstenues, mais cela n’entravera pas le processus.

 




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