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2017 : près de 80 % des sympathisants de gauche pour une primaire

 

2017 : près de 80 % des sympathisants de gauche pour une primaire

L’éventualité d’une primaire à gauche dans la perspective de l’élection de 2017 prend de l’ampleur avec le soutien de 78% des sympathisants de gauche. Une primaire justifiée par le rejet de la candidature de François Hollande qui ne reçoit à gauche que 10 % de soutien. Plus François Hollande et l’PS s’entêtent  à vouloir éviter une primaire à gauche et plus les sympathisants la réclament. À la question « êtes-vous favorable ou opposé à l’organisation d’une primaire », 28% des sympathisants de gauche se disent « tout à fait favorables », 50% « plutôt favorables », contre 15% de « plutôt opposés » et 6% de « tout à fait opposés », selon un sondage Elabe pour BFM TV.  Dans le détail, les sympathisants socialistes sont les plus ouverts à cette élection (81%) juste devant les militants d’Europe Ecologie-Les Verts (79%). Du côté du Front de Gauche, les adhérents sont un peu plus réservés avec 70% d’approbation alors que leur porte-voix, Jean-Luc Mélenchon refuse fermement de s’opposer à François Hollande.  »Je ne veux pas être dans une primaire car si François Hollande gagne la primaire, je ne respecterai pas le résultat et n’appellerai pas à voter pour lui », a-t-il clamé au micro RTL ce jeudi 14 novembre. À droite et au centre, 78% des sympathisants sont favorables à une telle primaire à gauche, tout comme 53% des sympathisants frontistes et 62% des sondés n’exprimant aucune préférence partisane.  Et si l’actuel président de la République apparaît en pôle position pour se présenter à un second mandat, les électeurs ne sont pas du même avis. Si une telle primaire devait avoir lieu, « le meilleur candidat de la gauche à l’élection présidentielle » serait pour les sympathisants de gauche Manuel Valls. L’actuel Premier ministre reçoit 29% des intentions de vote, devant Martine Aubry (22%) et François Hollande (19%). Derrière, Emmanuel Macron (15%), Arnaud Montebourg (8%), Jean-Luc Mélenchon (4%) et Cécile Duflot (1%) complètent le classement. Sur l’ensemble de l’échiquier politique, Manuel Valls conserve sa première position (29%) alors qu’Emmanuel Macron le talonne (28%). Martine Aubry (13%) et Arnaud Montebourg (11%) suivent et devancent même François Hollande qui ne reçoit que 10% des intentions de vote, devant Jean-Luc Mélenchon (4%) et Cécile Duflot (1%).

Investissement immobilier: 80% à Paris et dans le sud de la France

Investissement immobilier: 80% à Paris et dans le sud de la France

 

 

On peut mieux comprendre la crise de l’immobilier quand on analyse le profil des acquéreurs qui mobilisent près de 80 % des investissements locatifs au premier semestre 2015 concentrés sur l’Ile-de-France, les régions Aquitaine, Midi-Pyrénées, Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Languedoc-Roussillon :  ces investisseurs ont en moyenne 45 ans, dispose d’un revenu médian de 5500 € pour un bien d’une valeur de 160 000 €. Pour eux il s’agit essentiellement de se constituer un patrimoine susceptible de leur procurer des revenus lors de la retraite. Cette concentration géographique s’accentue, puisque ces six régions sur 22 représentaient 73% des transactions en 2010. Au premier semestre 2015, le locatif privé a représenté 13,7% du total des logements construits, contre 12,8% l’année d’avant, un niveau en retrait par rapport à celui de l’année 2011 (18%) où l’investissement locatif était encore boosté par le dispositif fiscal « Scellier », remplacé depuis par le « Duflot » puis le « Pinel », plus cadrés. Stable depuis plusieurs années, le revenu annuel médian des acquéreurs, âgés de 45 ans en moyenne, est de 67.500 euros à l’échelle nationale, avec des disparités régionales, puisqu’il monte à 74.390 euros en Ile-de-France et jusqu’à 73.600 euros en Rhône-Alpes. Neuf transactions sur dix portent sur des appartements, d’une taille moyenne de 41 m2, pour un montant d’acquisition moyen de 160.000 euros (mais 195.000 euros en Ile-de-France et 171.000 euros en Provence-Alpes-Côte d’Azur). Profiter d’une fiscalité attractive (54%), bénéficier d’un futur complément de retraite (44%) et se constituer un patrimoine (41%) sont les principales motivations citées par les particuliers qui investissent dans la pierre. Cette étude repose sur une enquête réalisée auprès de quelque 3.000 clients du Crédit Foncier

Attentats :plus de 13000 dans le monde, +80%

Attentats :plus de 13000   dans le monde, +80%

Deux motifs d’inquiétude en partie liés, l’augmentation du nombre d’attentats dans le monde +80% soit plus de 13000 et la croissance du nombre de combattants étrangers dans l’Etat islamique 22 000 soit environ le tiers. Les attentats dans le monde ont augmenté de plus d’un tiers l’an dernier et le nombre de victimes de 80%, l’année 2014 ayant vu l’Etat islamique éclipser Al Qaïda comme principal groupe djihadiste, selon le rapport annuel du département d’Etat américain publié vendredi. En 2014, le département d’Etat a répertorié 13.463 attentats, soit une hausse de 35% par rapport à 2013, qui ont fait plus de 32.700 morts, soit 80% de plus qu’en 2013. Plus de 9.400 personnes ont été enlevées, soit trois fois plus que l’année précédente, indique le rapport, intitulé « Country Reports on Terrorism 2014″. Les dirigeants d’Al Qaïda « semblent en perte de vitesse en tant que chefs autoproclamés d’un mouvement mondial, face à la rapide expansion de l’EIIL et à la proclamation d’un califat », lit-on dans le rapport qui utilise l’acronyme de l’Etat islamique en Irak et au Levant. « La guerre civile en cours en Syrie a été un éperon pour les activités terroristes dans le monde », a déclaré la coordinatrice du département d’Etat pour l’antiterrorisme, Tina Kaidanow, lors d’une conférence de presse. Les Etats-Unis sont de plus en plus inquiets du nombre de groupes ayant décidé de s’aligner sur l’Etat islamique. La coordinatrice a souligné qu’il y avait une « attirance » pour l’EI au niveau mondial. Les groupes djihadistes profitent de la faiblesse des gouvernements pour prospérer, que ce soit en Syrie, en Irak, au Yémen, en Libye ou au Nigeria, souligne Tina Kaidanow. L’Etat islamique est particulièrement meurtrier. L’attaque menée par l’EI contre une prison de Mossoul en Irak en juin 2014 lors de laquelle l’organisation fondamentaliste sunnite a tué 670 prisonniers chiites « a été l’attentat le plus meurtrier dans le monde depuis le 11 septembre 2011″, indique le rapport. Les attaques ont toutefois diminué dans un certain nombre de pays dont le Pakistan, les Philippines, le Népal et la Russie. Le département d’Etat signale un afflux sans précédent de combattants étrangers en Syrie, dû à l’efficacité de l’EI sur les réseaux sociaux. A la fin décembre 2014, plus de 16.000 combattants étrangers s’étaient rendus en Syrie, soit plus que ceux qui se sont rendus en Afghanistan, au Pakistan, en Irak, au Yémen ou en Somalie « à quelque moment que ce soit des 20 dernières années », indique le rapport. Le mois dernier, un responsable du département d’Etat a indique que l’armée des combattants étrangers en Syrie avait encore grossi, pour atteindre 22.000 hommes.

Sondage Hollande : 80% des Français mécontents

Sondage Hollande : 80% des Français mécontents

Jamais sans doute un homme politique autant déçu. Une large majorité (79%) des Français sont mécontents de l’action de François Hollande depuis son élection, selon un sondage OpinionWay pour Le Figaro et LCI diffusé vendredi. Le chef de l’Etat, qui s’apprête à fêter les trois ans de son élection à la présidence de la République, le 6 mai 2012, ne satisfait que 20% des personnes interrogées. Le taux de satisfaction progresse toutefois de cinq points par rapport à un précédent sondage effectué en octobre 2014. Les sondés créditent surtout François Hollande pour la défense des intérêts de la France à l’étranger (32%), la lutte contre l’insécurité (30%) et la protection de l’environnement (29%). En revanche, le président convainc beaucoup moins sur la lutte contres les déficits et la dette (19%), les réformes engagées (18%), ainsi que le respect de ses engagements de campagne et la lutte contre le chômage (14%). Pour 57% des personnes interrogées, la situation de la France se détériore, 34% pensant qu’elle ne change pas véritablement et 9% qu’elle s’améliore. Ce sondage a été réalisé les 15 et 16 avril auprès d’un échantillon de 1.016 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Loi Macron : « Ramassis de vieilles idées des années 80» (Duflot)

Loi Macron : « Ramassis de vieilles idées des années 80» (Duflot)

 

 

Pour Cécile Duflot la loi Macron est un fourre-tout, un ramassis de villes idées des années 80. Elle n’a pas tort car c’est effectivement un inventaire à la Prévert sorti des vides greniers des ministères et de Bercy. Sur le fond, c’est clairement inspiré du social libéralisme. Même si passer de 7 à 12  jours de travail le dimanche dans certains cas ne peut par exemple constituer une révolution économique. La loi Macron n’est évidemment pas à la hauteur de l’enjeu et comme d’habitude chez Hollande pleine de contradictions. . Cécile Duflot estime qu’il faut refuser ce « tour de passe-passe idéologique ». « Non, la loi Macron n’est pas moderne. Elle est même d’un certain point de vue un grand bond en arrière, une occasion manquée de changer de modèle ».  « Beaucoup de critiques, souvent justes, ont ainsi pointé les risques sociaux du texte. Mais chose peu dite, ce projet de loi peut également marquer un net recul écologique du quinquennat » et « vient fragiliser le modèle environnemental français, déjà en retard », affirme-t-elle. L’ancienne ministre du Logement accuse le gouvernement de « passage en force » en proposant dans le texte « d’alléger par ordonnances toutes les mesures du code de l’environnement qui viendraient soi-disant gêner l’activité et la croissance ». « En prônant le transport par car », ajoute-t-elle, le projet de loi Macron « va renforcer le transport routier, premier facteur d’émissions de gaz à effet de serre » et « organise la concurrence entre le rail et la route ».  Outre la « cécité écologique », Cécile Duflot pointe aussi « un renoncement social » avec l’extension du travail du dimanche, « véritable régression et menace pour la cohésion sociale ». « En facilitant le licenciement et en affaiblissant le code du travail, cette loi prend le risque à court terme d’accroître le chômage » et « en matière de logement, elle encourage les pratiques spéculatives de ‘la vente à la découpe’ qui menace les locataires aux faibles revenus », accuse-t-elle encore. « Au final, le texte baptisé loi pour l’activité et la croissance, porté par Emmanuel Macron, est en fait un catalogue fourre-tout de vieilles idées des années 1980 enfouies dans les cartons de Bercy. Leur prétendue modernité est un recul », juge Duflot. « C’est pourquoi mettre en échec cette loi est un devoir pour tous ceux qui ont encore de l’espoir et veulent inventer le siècle qui vient. Parce que parfois le sursaut se fonde d’abord sur un refus », insiste-t-elle.

 

Sondage entreprises : trop de fiscalité pour 80% des Français

Sondage entreprises : trop de fiscalité pour 80% des Français

 

Sous l’effet de la crise les connaissances économiques des français progressent et ils soutiennent maintenant massivement les entreprises (même s’ils sont par ailleurs réticents à revenir sur certains avantages, 35 heures par exemple). 89% des Français les soutiennent et souhaitent un allégement de la fiscalité et de la bureaucratie.  C’est la prise en compte par l’opinion des grandes mutations économiques, technologiques et géopolitiques, qui explique ce mouvement.  Les Français tirent aussi les leçons de l’impuissance des pouvoirs publics à enrayer depuis vingt ans notre chômage massif. Quand l’État montre ses limites, les entreprises retrouvent du crédit. Sans surprise, nous estimons que la sphère publique n’est pas une bonne gestionnaire. Ses moteurs consomment 57% de la richesse nationale pour des rendements très faibles. Considérer que ce sont les sociétés, petites ou grandes, qui créent la richesse, l’investissement et l’emploi, est devenu une évidence. Du coup, les sondés attendent de la part de nos responsables politiques, patronaux et syndicaux, plus de maturité et moins de conservatisme dans le traitement de ces dossiers. Aussi surprenant que cela puisse paraître, toutes les familles politiques adhèrent à cette évolution. Il n’y a globalement plus de fracture profonde entre la droite et la gauche sur ces sujets. À l’exception – et encore, car elle assez peu virulente – du PC et du Front de Gauche, on note que 82% des Français (dont 74% des sympathisants socialistes) considèrent que l’État doit faire confiance aux entreprises et leur donner plus de liberté. Les Français, bien plus lucides que leurs dirigeants de tous bords, estiment à plus de 80% que l’environnement fiscal, juridique et administratif, décourage la création d’entreprises en France.

 

Les 2/3 en apprentissage en Suisse, en France, 80% au bac !

Les 2/3 en apprentissage en Suisse, en France, 80% au  bac !

 

La priorité des  réformes  de l’enseignement c’est évidemment celle des contenus et non celle des rythmes scolaires, ensuite c’est celle de orientation. En France, 80% sont orientés vers le bac  (des bacs très diversifiés dont beaucoup ressemblent à de mauvais CAP d’antan). Du coup une grande partie, bac de seconde zone en poche, rejoignent pôle emploi. C’est la grande différence par exemple avec la Suisse (ou encore l’Allemagne) où l’apprentissage est une filière privilégiée.    »En Suisse, la proportion d’une classe d’âge de gamins qui va au bac, c’est 20 %. Ils ont un taux de chômage de jeunes de 5%. Il faut regarder les faits », d’après Pascal Lamy, ancien président de l’Organisation mondiale du commerce. D’après les chiffres de l’OFCE, le taux de chômage des Suisses de moins de 25 ans s’élève à 8,5% sur l’ensemble de l’année 2013i on est évidemment loin des 23,9% de jeunes chômeurs comptés en France l’an dernier par l’OFCE.  L’ancien directeur de l’Organisation mondiale du commerce sous-évalue le nombre de bacheliers. En Suisse l’équivalent du bac c’est le certificat de maturité gymnasiale. D’après l’Office fédéral de la statistique, 34% des jeunes ont décroché leur « Matu » l’an dernier, c’est beaucoup plus que les 20% avancés par Pascal Lamy… mais bien en-dessous des 73% de bacheliers français l’an dernier.  Pour autant, il y a bel et bien moins de jeunes chômeurs et moins de bacheliers en Suisse qu’en France. Un phénomène qui s’explique en grande partie par le succès de l’apprentissage professionnel. D’après les chiffres de l’OFCE, près de 7 jeunes suisses sur 10 sont sur le marché du travail avant leur 25 ans quand ils ne sont que 35% en France. « La formation professionnelle commence dès l’âge de 12 ans avec la sensibilisation au monde de l’entreprise et aux différents métiers. Ce qui les amène au sortir de la scolarité obligatoire, c’est-à-dire à 15 ans,  à s’orienter pour les deux tiers vers un apprentissage« , explique François Garçon, chercheur à l’Université Paris 1 et auteur du livre Le Modèle Suisse.  Preuve qu’il n’y a pas de culte du diplôme en suisse, sur les sept ministres du gouvernement helvète, trois sont passés par une formation professionnelle. En France, on est gouverné par 7 énarques sur 18 ministres !

 

Sondage gouvernement: défiance historique , 80%

Sondage gouvernement: défiance historique , 80%

D’Après un sondage  l’IFOP pour Le JDD, les Français n’ont absolument pas confiance dans la capacité du gouvernement à retourner la situation économique. Seuls 18% d’entre eux estiment que l’exécutif peut réduire les déficits publics, 16% améliorer la croissance économique et seulement 15% inverser la courbe des chiffres du chômage. « C’est une défiance à la fois massive et indifférenciée. Cela symbolise le rejet de l’exécutif alors même que la tonalité du discours a pourtant changé », relève Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. Cette défiance dépasse même les 90% chez les sympathisants de l’UMP et du FN. Plus préoccupant, elle est majoritaire à gauche. Seuls 42% des électeurs socialistes y croient encore. Voilà qui place le gouvernement dans une situation très compliquée alors que tous les clignotants économiques sont au rouge. Sans surprise, les Français placent toujours la lutte contre le chômage (70%) en tête de leurs préoccupations devant la santé (56%) et la lutte contre la délinquance (53%). La nouveauté cette année, c’est le recul de chacun des thèmes. « C’est un signe de lassitude, le signe supplémentaire d’absence de résultats probants depuis des années. Mais ce qui est plus préoccupant, constate Frédéric Dabi, c’est l’effondrement de la dimension prioritaire de la réduction de la dette (Ndlr, -10 points). C’est le score le plus bas depuis janvier 2010 alors même que ce thème est au centre du discours de François Hollande depuis son élection. Les gens ont le sentiment de faire des efforts pour rien », conclut le sondeur.

 

Impôts : 80% des français vont payer plus

 

Impôts : 80% des français vont payer plus

 

350 à 700 euros de ristourne pour 3.3 millions de français pour mieux faire passer les augmentations que vont subir 80% des autres français. Et tout cela pour rien ou à peu près puisque les déficits ne diminuent pas, la croissance est en berne et le chômage toujours en croissance ; Bref une politique de gribouille. Les avis d’imposition arrivent   chez les contribuables, et ce jusqu’au 5 septembre. Les 37 millions de foyers fiscaux français vont donc savoir s’ils vont payer plus ou moins que l’an dernier. Or, pour beaucoup, la surprise risque d’être… mauvaise. Pour 3,7 millions de contribuables, pas de problème. Ils vont bénéficier de la ristourne de 350 euros (700 euros pour un couple) annoncée par Manuel Valls au printemps. Ce sont ceux gagnant l’équivalent d’1,1 Smic par mois. Jusqu’à 1,13 Smic, le crédit d’impôt sera dégressif. Sur ces 3,7 millions de contribuables, 1,9 million ne paiera plus d’IR du tout grâce à cette ristourne.  Ces contribuables devraient par ailleurs bénéficier en 2015 de la pérennisation de cette baisse ainsi que d’une nouvelle mesure destinée à compenser le rejet par le Conseil constitutionnel de la baisse des cotisations salariales prévues par le Pacte de responsabilité.  Mais ces générosités ne concernent finalement que 10% des contribuables. Pour les autres, la note 2014 devrait être plus salée qu’en 2013. Gilles Carrez, le président UMP de la Commission des finances de l’Assemblée, estime que 12 à 15,5 millions de contribuables sur 19 millions qui paient l’IR vont voir leur impôt sur le revenu augmenter dans les jours qui viennent. D’ailleurs, le gouvernement attend 3,5 milliards d’euros de recettes d’IR en plus en 2014. Il faut bien que quelqu’un paie ! A cela plusieurs explications. D’abord, les revenus ont un peu augmenté en 2013, accroissant d’autant les revenus imposables. Et ce, même si le barème de l’IR a bien été indexé sur l’inflation.  Malheureusement, les réformes fiscales votées les années précédentes vont contribuer à alourdir la note. Il s’agit du plafonnement de l’avantage lié au quotient familial (1.500 euros par part au lieu de 2.000), la fiscalisation de la part patronale des mutuelles complémentaires santé, ainsi que le plafonnement à 10.000 euros des niches fiscales. Sans parler de la fiscalisation de la majoration de pension de 10% pour les retraités ayant eu trois enfants.  François Hollande et Manuel Valls ont à plusieurs reprises annoncé des baisses d’impôts pour les classes moyennes. Il y a urgence politique à ce qu’ils les précisent après l’arrivée de ces avis d’imposition.

Sondage inversion Chômage : 80% n’y croient pas

Sondage inversion Chômage : 80% n’y croient pas

Pour la première fois, un baromètre sonde directement les chômeurs. Alors que le nouveau ministre du Travail François Rebsamen doit annoncer les chiffres du chômage du mois de mars 2014 ce vendredi 25 mars, les demandeurs d’emplois sont plus pessimistes que jamais. Selon une étude d’OpinionWay pour le site de recherche d’emploi en ligne Qapa, 80% des demandeurs d’emplois estiment que la courbe du chômage ne va pas s’inverser dans les trois prochains mois.  D’une manière générale, 16% seulement estiment que le pacte de responsabilité des entreprises, dont la feuille de route nécessaire à sa mise en œuvre a été définie cette semaine, va avoir un effet positif sur l’emploi. En revanche, individuellement, le demandeur d’emploi est beaucoup plus optimiste. 70% d’entre eux espèrent renouer avec le monde du travail dans les trois mois qui viennent.

 

Un « contre-pacte » de 80 milliards d’économies (UDI)

Un « contre-pacte » de 80 milliards d’économies (UDI)

Interrogé sur le pacte de compétitivité et les 50 milliards d’économies proposés par le gouvernement, M. Jégo (président de l’UDI) a reconnu que vouloir « faire des économies dans les dépenses publique (allait) dans le bon sens. Pas pour punir les Français mais pour dégager des moyens pour la compétitivité de nos entreprises ».   »50 milliards d’économies, ce n’est pas suffisant. Nous présenterons mardi un contre-pacte, avec 80 milliards d’économies », a-t-il affirmé. Ce plan sera présenté lors d’une conférence de presse par Hervé Morin et Chantal Jouanno, lui-même étant ce jour-là « en campagne pour les européennes ».  Selon M. Jégo, « il y a deux problèmes dans le plan du gouvernement: il y a un flou dans un certain nombre de dispositions et (…) plus grave, il n’y a pas de réformes structurelles. C’est un coup de rabot ».  Il a donné deux exemples de réformes structurelles à mener: d’une part les retraites. « Plutôt que de geler les pensions des fonctionnaires, il faudrait avoir le courage d’appliquer dès 2015 les 62 ans pour l’âge légal de départ à la retraite et les 41,5 ans de cotisations. C’est voté dans la loi mais ça doit s’appliquer plus tard. Faisons-le tout de suite et on aura de gains financiers », a-t-il dit.   »2e exemple: les allocations sociales. On a un maquis d’allocations sociales (…) Nous proposons d’aller vers une allocation sociale unique ».   »Le gouvernement manque de courage. Il n’a rien engagé », a-t-il déploré.  M. Jégo a également estimé que le gel des salaires des fonctionnaires, annoncé par le Premier ministre Manuel Valls dans son plan d’économies, était « une mauvaise chose ».   »Nous proposons de revenir aux 39 heures dans la fonction publique, au rythme d’une heure par an en plus, ça permettrait de faire entre 20 et 30 milliards d’économies », a-t-il dit, évoquant la possibilité, « si, au bout du chemin, quand on est revenu aux 39 heures, la croissance est là » de « redescendre à 35″.  L’UDI votera-t-elle le pacte du gouvernement, le 29 avril à l’Assemblée? « Nous en discuterons au sein » du parti. « Nous voulons nous inscrire dans une logique d’opposition constructive. C’était la marque de fabrique de Jean-Louis Borloo, nous la reprenons à notre compte ».

 

Sondage- Mini SMIC : 80% contre

Sondage- Mini SMIC : 80% contre

Près de huit Français sur dix estiment que pouvoir payer un salarié en dessous du Smic ne serait pas efficace pour l’emploi, selon un sondage Tilder-LCI-OpinionWay. Alors que le président du Medef Pierre Gattaz a lancé le débat sur un salaire « transitoire » qui serait inférieur au Smic, 78% des personnes interrogées considèrent que « ce ne serait pas une bonne chose pour faciliter les embauches en France ». À l’inverse, 21% des Français estiment qu’instaurer un salaire inférieur au Smic « serait une bonne chose pour faciliter les embauches ». 1% se déclare sans opinion. Interrogés sur le gel des prestations sociales jusqu’en octobre 2015, annoncé mercredi par le Premier ministre Manuel Valls, 51% des Français l’approuvent, 48% s’y disent opposés. Plus d’une personne interrogée sur deux (56%) juge « justifié » le maintien du gel du point d’indice des fonctionnaires. 43% pensent le contraire. Le sondage a été effectué en ligne (système Cawi) les 16 et 17 avril auprès d’un échantillon de 1.003 personnes majeures (méthode des quotas).

 

Sondage Europe : pas efficace pour 80%

Sondage Europe : pas efficace pour 80%

Alors que l’élection européenne a lieu en juin prochain, 83 % des Français jugent que l’action de l’Europe est pas ou peu efficace selon un sondage BVA pour Le Parisien/Aujourd’hui en France. Selon ce sondage, 57% des personnes interrogées pensent que l’action de l’Union européenne est « peu efficace » et 26% estiment qu’elle ne l’est « pas du tout ». Quinze pour cent estiment que cette action est « assez efficace » tandis que seuls 1% des sondés la voient « très efficace ». Un pour cent ne se prononcent pas. Par ailleurs, 58% des personnes interrogées affirment qu’ils ne voteront pas à l’élection européenne « en fonction du gouvernement » (51%en 2009), 30% le feront pour « sanctionner le gouvernement » (24% en 2009) et 10% pour le soutenir (20% en 2009). Deux pour cent des sondés ne se prononcent pas.

 

Sondage- retraites : 80% des français inquiets

Sondage- retraites : 80% des français inquiets

 

Plus de trois Français sur quatre ne font pas confiance au gouvernement pour garantir l’avenir des retraites et leur inquiétude monte sur leurs conditions de vie, après leur retrait de la vie active, selon un sondage Ipsos pour l’Union mutualiste retraite et Liaisons sociales, publié jeudi. 76% des personnes interrogées disent ne pas faire confiance « au gouvernement pour assurer l’avenir des retraites » : 50% ne lui font « pas du tout confiance » et 26% « plutôt pas confiance ». Seulement 4% lui font « tout à fait confiance » et 20% « plutôt confiance », alors qu’il prévoit cette année une réforme pour rétablir l’équilibre financier des régimes. Selon ce sondage, 63% des Français se prononcent pour une réforme « en profondeur du système en mettant à plat tous les sujets » Et seulement 31% souhaitent « qu’on aménage en partie le système afin de contribuer à résoudre les problèmes de financement les plus importants mais sans risquer de blocage social ». Sur les mesures à prendre, 66% jugent « nécessaire » une augmentation de la durée de cotisation, 63% une hausse des cotisations retraite des salariés et des entreprises et 61% un relèvement de l’âge légal de départ. Concernant les conditions de vie à la retraite, 80% des personnes interrogées sont inquiètes quant au montant de leur future pension et 71% le sont pour le niveau de vie. 58% d’entre elles sont inquiètes sur leur capacité à vivre de manière indépendante à la retraite et 57% le sont sur la santé et l’accès aux soins. L’inquiétude atteint des niveaux records par rapport aux précédentes éditions de ce sondage : 17% seulement se disent confiants sur le montant de leur retraite (22% en octobre 2012), soit le plus bas niveau depuis avril 2009. Les femmes se montrent encore plus inquiètes : 83% le sont sur le montant de leur retraite, 76% sur leur niveau de vie, 66% sur leur capacité à vivre de manière indépendante et 64% sur la santé. De même, les actifs occupés sont 86% à s’inquiéter du montant de leur retraite et 77% du niveau de vie. En revanche, les retraités sont moins inquiets (65% le sont sur le niveau de vie et 68% sur le montant de la retraite) mais les résultats révèlent une importante baisse de confiance dans cette population, avec des niveaux jamais atteints depuis avril 2009. Par ailleurs, 49% des Français disent avoir épargné en vue de leur retraite. Parmi ceux qui n’ont pas épargné, 80% évoquent le manque de moyens, alors qu’ils étaient seulement 68% à avancer cet argument en avril 2009.

 

Emploi : 80% des embauches en CDD

Emploi : 80% des embauches en CDD

 

. Selon la caisse nationale des Urssaf, l’Acoss, les embauches en contrat à durée indéterminée (CDI) ont chuté de 6% au premier trimestre 2013. C’est plus que le recul moyen des embauches sur la même période (-0,5%), et davantage aussi que celui des embauches en contrat à durée déterminée (CDD) de plus d’un mois (-1,1%).  La préférence des entreprises pour les contrats très courts, qui ne requièrent que peu de visibilité, est encore plus flagrante sur un an: les embauches en CDI ont chuté de 12,7%, celles en CDD de plus d’un mois de 2,6%, tandis que les signatures de contrats de moins d’un mois progressent de 6,9%. Le recul des recrutements en CDI concerne aussi bien les petites entreprises (moins de 20 salariés) que les plus grosses, et tous les secteurs d’activité. En revanche, les petites entreprises ont repris en début d’année leurs recrutements en CDD de plus d’un mois (+1,6% après -1,2%). La préférence des employeurs pour les recrutements en CDD ne date pas d’hier. En dix ans, la part de ces contrats dans les embauches est passée de 71,3% à 81,7%. Initialement prévu pour pallier un surcroît d’activité ou remplacer un salarié absent, le CDD est de plus en plus souvent utilisé comme une variable d’ajustement. En période de crise, les entreprises se séparent en effet d’abord des salariés en CDD et des intérimaires, dont elles ne renouvellent pas les contrats, plutôt que de leurs salariés permanents. La fin de CDD représente ainsi le premier motif d’entrée à Pôle emploi, très loin devant les licenciés économiques.  La taxation des CDD, négociée par les partenaires sociaux dans le cadre de l’accord pour la sécurisation de l’emploi, vise à remédier à cette dualité du marché du travail français dénoncée dans de nombreux rapports: d’un côté des salariés en CDI dont l’emploi est très protégé, et de l’autre, des travailleurs contraints d’enchaîner les contrats précaires. Le CDI reste cependant le contrat de travail le plus fréquemment utilisé, près de 80% des salariés y étant toujours soumis.

 

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