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Sondage Immigration: 77 % ne font pas confiance gouvernement

Sondage Immigration: 77 % ne font pas confiance gouvernement


Un sondage réalisé par l’institut CSA pour CNews, Europe 1 et le Journal du Dimanche, indique que 77% des Français déclarent ne pas avoir confiance en la capacité du gouvernement à contrôler l’immigration.Rien d’étonnant à cela quand par exemple seulement 7 % sont effectivement reconduits à la frontière. Résultat c’est 200 à 300 000 immigrés illégaux chaque année.

Ce manque de confiance est marqué chez 80% des femmes et 73% des hommes, ainsi que chez 81% des jeunes de 18-24 ans et 75% des personnes de 65 ans et plus. Dans les différentes catégories socioprofessionnelles, 82% des employés et ouvriers, 78% des personnes sans activité professionnelle et 71% des cadres et professions intellectuelles supérieures jugent que le gouvernement est incapable de gérer la crise migratoire.

En ce qui concerne les affiliations politiques des sondés, on observe des divergences. D’après le sondage, la totalité des sympathisants de gauche, avec 69% en général et 85% pour ceux de La France insoumise, ainsi que ceux de droite, avec 87% en général et 98% pour les proches du Rassemblement national, déclarent ne pas faire confiance au gouvernement pour cette question.

Revenus des dirigeants du CAC 40 : plus de 12 % et 5,77 millions par an

Revenus  des dirigeants du CAC 40 : plus de 12 % et 5,77 millions par an 

Non seulement les rémunérations des grands patrons paraissent évidemment excessives au regard de l’équité mais aussi par rapport aux résultats des entreprises. Si ces rémunérations sont déjà scandaleuses, il ne faut pas oublier non plus que la plupart des patrons du CAC 40 se gavent  aussi d’actions qui ne leur coûtent pas un sou et qui le plus souvent leur rapportent davantage que leur rémunération annuelle.

Si l’on rentre dans le détail des rémunérations versées aux patrons du CAC 40 l’an dernier, 21,6% des émoluments moyens ont été attribués sous forme de salaire fixe, 27,4% en variable, 42,6% en stock-options et actions de performance et 8,4% via d’autres instruments (jetons de présence).  Pour le seul salaire, la rémunération moyenne des premiers dirigeants des sociétés du CAC 40 a ainsi augmenté de 12% en 2018 à 5,77 millions d’euros, selon une étude publiée mercredi par le cabinet de conseil de vote aux investisseurs Proxinvest.

Ce niveau de revenu correspond à 277 Smic en base 39 heures ou à 152 fois le salaire brut moyen des Français.

Les dirigeants des sociétés de l’indice phare de la Bourse de Paris gagnent aussi en moyenne 90 fois plus que les salariés de ces mêmes sociétés, contre seulement 73 fois en 2014.

« La hausse de la rémunération des dirigeants du CAC40 est trois plus rapide que celle des salariés », a déclaré lors d’une présentation à la presse Loïc Dessaint, directeur général de Proxinvest.

La rémunération de ces numéros un exécutifs, qui comprend une part fixe, variable et actionnariale, atteint « un nouveau record sur les dix dernières années, [...] une dérive qui s’explique principalement par les hausses du Top 4″, explique le cabinet.

Les émoluments de l’ensemble des numéros un des 120 plus grosses sociétés cotées françaises (SBF 120) se sont en revanche en moyenne tassés en moyenne de 4% par rapport à 2017, à 3,6 millions d’euros.

Une bonne partie de la hausse de la moyenne du CAC 40 est due à l’intégration en 2018 dans l’indice phare de la Bourse de Paris de Dassault Systèmes, dont le directeur général Bernard Charlès a perçu 33,1 millions d’euros, dont 30,2 millions d’euros d’actions l’an dernier, selon Proxinvest.

L’acquisition définitive de ces actions est liée à la réalisation de critères de performances, lesquels restent toutefois secrets. Proxinvest estime que M. Charlès a 90% de chances de les atteindre, alors que Dassault n’évalue ces chances qu’à 55%, d’où une rémunération déclarée par l’entreprise de – seulement – 22,9 millions.

Deuxième patron le mieux rémunéré de France, François-Henri Pinault a perçu 17,3 millions d’euros, d’après le calcul de Proxinvest qui inclut 5,07 millions facturés au groupe Kering par Artémis, une société d’investissement appartenant à M. Pinault.

Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, déplore une prime exceptionnelle d’un montant de 5,8 millions versée à M. Pinault « sans condition de performance ».

Carlos Ghosn, numéro un de Renault-Nissan avant d’être démis de ses fonctions à la suite de son arrestation au Japon, est parvenu à se hisser à la troisième marche du podium avec 14,3 millions d’euros – et ce même s’il a été privé d’actions gratuites et de retraite. La hausse de sa rémunération, décidée par lui-même, avait atteint 137,5% sur un an à 13,3 millions d’euros pour le seul constructeur Nissan.

 

Salaire des dirigeants du CAC 40 : plus de 12 % et 5,77 millions par an

Salaire des dirigeants du CAC 40 : plus de 12 % et 5,77 millions par an 

Non seulement les rémunérations des grands patrons paraissent évidemment excessives au regard de l’équité mais aussi par rapport aux résultats des entreprises. Si ces rémunérations sont déjà scandaleuses il ne faut pas oublier non plus que la plupart des patrons du CAC 40 se gave aussi d’actions qui ne leur coûtent pas un sou et qui le plus souvent leur rapportent davantage que leur rémunération annuelle. La rémunération moyenne des premiers dirigeants des sociétés du CAC 40 a ainsi augmenté de 12% en 2018 à 5,77 millions d’euros, selon une étude publiée mercredi par le cabinet de conseil de vote aux investisseurs Proxinvest.

Ce niveau de revenu correspond à 277 Smic en base 39 heures ou à 152 fois le salaire brut moyen des Français.

Les dirigeants des sociétés de l’indice phare de la Bourse de Paris gagnent aussi en moyenne 90 fois plus que les salariés de ces mêmes sociétés, contre seulement 73 fois en 2014.

« La hausse de la rémunération des dirigeants du CAC40 est trois plus rapide que celle des salariés », a déclaré lors d’une présentation à la presse Loïc Dessaint, directeur général de Proxinvest.

La rémunération de ces numéros un exécutifs, qui comprend une part fixe, variable et actionnariale, atteint « un nouveau record sur les dix dernières années, [...] une dérive qui s’explique principalement par les hausses du Top 4″, explique le cabinet.

Les émoluments de l’ensemble des numéros un des 120 plus grosses sociétés cotées françaises (SBF 120) se sont en revanche en moyenne tassés en moyenne de 4% par rapport à 2017, à 3,6 millions d’euros.

Une bonne partie de la hausse de la moyenne du CAC 40 est due à l’intégration en 2018 dans l’indice phare de la Bourse de Paris de Dassault Systèmes, dont le directeur général Bernard Charlès a perçu 33,1 millions d’euros, dont 30,2 millions d’euros d’actions l’an dernier, selon Proxinvest.

L’acquisition définitive de ces actions est liée à la réalisation de critères de performances, lesquels restent toutefois secrets. Proxinvest estime que M. Charlès a 90% de chances de les atteindre, alors que Dassault n’évalue ces chances qu’à 55%, d’où une rémunération déclarée par l’entreprise de – seulement – 22,9 millions.

Deuxième patron le mieux rémunéré de France, François-Henri Pinault a perçu 17,3 millions d’euros, d’après le calcul de Proxinvest qui inclut 5,07 millions facturés au groupe Kering par Artémis, une société d’investissement appartenant à M. Pinault.

Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, déplore une prime exceptionnelle d’un montant de 5,8 millions versée à M. Pinault « sans condition de performance ».

Carlos Ghosn, numéro un de Renault-Nissan avant d’être démis de ses fonctions à la suite de son arrestation au Japon, est parvenu à se hisser à la troisième marche du podium avec 14,3 millions d’euros – et ce même s’il a été privé d’actions gratuites et de retraite. La hausse de sa rémunération, décidée par lui-même, avait atteint 137,5% sur un an à 13,3 millions d’euros pour le seul constructeur Nissan.

 

Sondage élus : trop payés pour 77 % des Français (OpinionWay)

Sondage élus : trop payés pour 77 % des Français (OpinionWay)

Les élus trop payés pour  77 %, selon un sondage OpinionWay pour LCI diffusé mardi. 14 % des personnes interrogées estiment toutefois que la rémunération des élus est la bonne mais seulement 8 % des sondés jugent que leur salaire n’est pas assez élevé. La défiance est un peu moins importante chez les personnes appartenant à une catégorie socio-professionnelle (CSP) supérieure. Ils sont 71 % à estimer que les élus perçoivent une rémunération trop haute contre 85 % des CSP -, détaille LCI. Le ressentiment envers les élus et leur rémunération est également plus fort en régions qu’à Paris et ses alentours. 19 % des Franciliens disent ainsi avoir confiance en leurs élus, contre 11 % des habitants du Nord-Est de la France.. Le sondage montre également que les sympathisants de Marine Le Pen sont les plus critiques envers la rémunération des élus. 93 % de ceux qui ont voté pour la présidente du Rassemblement national (ex-FN) au premier tour de la présidentielle en 2017 estiment que les élus sont trop payés. En comparaison, les partisans de Benoit Hamon sont 74 % à le penser et ceux de François Fillon 73 %, note LCI.  La rémunération des élus fait partie des sujets évoqué par les « gilets jaunes ». Certains appellent à une baisse des salaires. La semaine dernière, le porte-parole du gouvernement Benjamin avait affirmé que ce sujet était très « démago ».  »A la question de savoir s’il faut moins les payer (les élus) pour régler les problèmes, je ne tomberai pas là-dedans. Pour moi, c’est très démago. Je gagne très bien ma vie. Je travaille 100 heures par semaine, c’est un choix et je suis très heureux comme ça. Ce n’est pas anormal, quand on investit beaucoup de son temps, qu’on puisse donner des indemnités conséquentes aux élus », avait estimé le porte-parole du gouvernement.

Ce sondage a été réalisé en ligne au mois de janvier 2019 sur un échantillon de 1042 personnes majeures.

Sondage ISF : 77% pour le rétablissement

Sondage ISF : 77% pour le rétablissement  

Encore un sparadrap qui va coller aux pattes de Macron. En effet, celui qui est considéré comme le président des riches ne parvient pas à se défaire de cette image négative. Cela d’autant plus qu’il s’accroche à la suppression de l’impôt sur la fortune  alors que les Français sont  77 % à vouloir le rétablir. Le pire c’est que même 60 % des partisans de La République en marche souhaitent le rétablissement de l’impôt de solidarité sur la fortune. (Sondage IFOP JDD). Plus des deux tiers (77%) des Français sont donc favorables au rétablissement de l’impôt de la Solidarité sur la fortune (ISF) à l’issue du « grand débat national » voulu par Emmanuel Macron, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche.  Ils sont 82% à se dire favorables à la réduction d’un tiers du nombre de parlementaires, 80% à vouloir la prise en compte du vote blanc dans les résultats des élections et 80% pour l’instauration d’un référendum d’initiative citoyenne (RIC), l’une des principales revendications des gilets jaunes.

Enquête réalisée en ligne par téléphone les 4 et 5 janvier auprès de 1.003 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.

Formation professionnelle : inefficace pour 77% des Français

Formation professionnelle : inefficace pour 77% des Français

 

77% des interrogés estiment que le système de formation n’est pas efficace  (84% des cadres), ils sont également 77% à juger qu’il n’est pas facile à comprendre (85% des moins de 35 ans) ou encore 75% jugent qu’il n’est pas facile d’accès. Ces résultats reflètent « la très forte défiance des Français à l’égard du système de formation, une défiance qui se lit plus fortement encore auprès des sympathisants LREM, des moins de 35 ans et des cadres qui ont exprimé des opinions plus négatives encore. » D’après un sondage BVA – la tribune.  Par ailleurs, 63% des sondés jugent « prioritaire » de soutenir la formation des demandeurs d’emploi. La même proportion (63%) juge prioritaire de soutenir la formation des salariés les moins qualifiés.  Il faut rappeler qu’actuellement, ce sont en priorité les actifs occupés du secteur privé (42,8%) et les agents du secteur public (17,4%) qui se partagent la plus grande part de l’enveloppe annuelle consacrée à la formation professionnelle (32 milliards d’euros). À l’inverse, les personnes en recherche d’emploi (15,1%) et les jeunes (23,7%) bénéficient d’une part bien plus faible de la dépense consacrée à la réforme rappelle une récente étude du ministère du Travail. Un sondage qui conforte le gouvernemenet dans sa reprise en main du système notamment pour a collecte des fonds et le contrôle.  La formation permanente génère en effet des gâchis considérable par manque de transparence. Avec pourtant un budget énorme de l’ordre de 35 milliards annuels, elle ne parvient ni à satisfaire les besoins les plus stratégiques comme ceux des chômeurs ou les besoins prioritaires des entreprises. La loi de mars 94 n’a pas apporté les réponses attendues à une  vraie réforme ; en fait on a ménagé les intérêts des uns et des autres et surtout de ceux qui se gavent de cette manne (structures, organismes de formations, syndicats patronaux et salariés). En outre on a jouté uen couche bureautique supplémentaire avec le compte personnel formation qui donne des droits individuels mais freinent la mutualisation. Or on ne peut pratiquer l’égalité en matière de formation permanente selon les branches, les qualifications,  les restructurations, les moments les besoins sont très différents. Le plus scandaleux c’est sas doute qu’on n’  a pas été capable d’accorder une priorité absolue à la formation de chômeurs.

 

 

PS : 77% des Français ont une mauvaise image

PS :   77% des Français ont une mauvaise image

Le PS passe du premier rang qu’il occupait avant Macron au 5 ème rang des partis et  77% des personnes interrogées ont en une « mauvaise image » du parti selon  sondage pour RTL, Le Figaro et LCI.   Avec 20% seulement d’ »image positive » (deux fois moins que La République En Marche), le parti du congrès d’Épinay est en 10e et avant-dernière position, derrière La France insoumise (25%), Les Républicains (25%), le Front national (24%) et Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan (21%). L’indifférence domine. Pour 7 Français sur 10, le PS n’est pas important, sa ligne politique est illisible. Antoine Gautier, chargé d’études au département politique et opinion de Harris Interactive explique que « dans un contexte de défiance vis-à-vis du politique, notons que le jugement émis à l’endroit du Parti socialiste apparaît plus sévère encore que celui exprimé à propos de la plupart des autres formations testées. » Le PS ne s’impose dans aucun domaine, mais les Français attendent le Parti socialiste sur les domaines sociétaux tels que la culture (32%), l’égalité femmes-hommes (31%), la laïcité (27%) et l’écologie (26%), moins dans les domaines macro-économiques comme le pouvoir d’achat (18%), le chômage ou la résorption du déficit public et de la dette. En clair, les français déçus par Hollande n’attendent plus rein du PS sur le plan socio-économique.

Sondage : Fillon un mauvais programme pour 77%

Sondage : Fillon un mauvais programme  pour 77%

 

 

Une majorité de Français considère que François Fillon mène une mauvaise campagne (53 %) selon un sondage et Elabe pour BFM. Ils sont même 77% à souhaiter que le candidat modifie son programme ; 22% sont pour son maintien. La preuve évidemment que le programme de Fillon à surtout été taillé pour remporter la primaire de la droite, c’est-à-dire pour séduire plutôt les couches aisées et âgées mais pas pour mobiliser un spectre sociologique plus large. Sur les grands axes prioritaires de sa campagne,  Fillon est contestée surtout concernant la réforme de la sécurité sociale notamment le non remboursement des maladies autres que graves mais aussi sur la réduction du nombre de fonctionnaires et sur la fiscalité. C’est aussi la démonstration que le processus des primaires n’est pas forcément le moyen le plus adapté pour dégager un candidat suffisamment rassembleur pour être sûr de remporter les élections. En l’état des sondages François Fillon figure toujours en tête devant Marine Le Pen toutefois sa popularité est en baisse. Pas étonnant,  sa campagne ne parvient pas véritablement à démarrer pire elle est contestée y compris parfois dans ses propres rangs qui tentent de ramer pour adoucir la rugosité des mesures annoncées par Fillon. Du coup une surprise à l’élection présidentielle n’est pas impossible avec la perspective d’un Macron en seconde position. Fillon ne s’y est d’ailleurs pas trompé puisqu’il multiplie maintenant les attaques contre Macron considéré hier encore comme un phénomène médiatique très temporaire. En fait Macron  s’installe durablement et surtout séduit y compris au sein du parti socialiste où des candidatures comme celles de Montebourg, Hamon ou Valls lesquels suscitent  chez certains de fort rejet. Pour preuve le soutien presque explicite qu’apporte maintenant Ségolène Royal à Emmanuel Macron. En réalité s’il veut conserver des chances, François Fillon doit opérer un virage à 180° puisque seulement 17 % des personnes interrogées dans le sondage souhaitent qu’il maintienne le programme défendu pour la primaire. Rien n’est joué dans cette élection présidentielle d’autant qu’y compris Marine Le Pen enregistre aussi un tassement lié sans doute à l’incongruité de certaines de ses positions et à ses nombreuses contradictions. Un autre personnage pourrait venir troubler le jeu,  François Bayrou qui meurt d’envie de ce présenter à nouveau mais  ne peut espérer qu’un score relativement médiocre encore inférieur à ce qu’il avait obtenu lors des consultations précédentes. Du coup,  se pose la question de son aile éventuelle alliance par exemple avec Fillon. Mais Deux tiers des Français (66%) sont opposés à une alliance entre François Fillon et le président du MoDem François Bayrou. Les sympathisants de droite y sont majoritairement défavorables (58%). Les sympathisants Les Républicains sont contre à 65%, alors que les sympathisants du MoDem y sont favorables à 57%. Reste alors la possibilité d’une alliance avec Macron. Pour l’instant François Bayrou attend pour se déterminer. En clair il rejoindra Macron si celui-ci fait une percée supplémentaire dans les sondages.

Chômage : 77% des Français ne croient pas Hollande

Chômage : 77% des Français ne croient pas Hollande

 

 

il est clair que les Français ne croient pas à la supercherie de l’inversion de la courbe du chômage. . Ils sont 82% à ne pas croire en cette inversion providentielle de la courbe qui conditionne la candidature de François Hollande. De toute manière, cela ne change pas grand-chose, puisque même s’ils y croyaient, les trois-quarts d’entre eux ne seraient toujours pas convaincus par le bilan du président sortant.Le sondage Odoxa publié vendredi 28 octobre conforte le constat d’une précédente étude qui ne comptait que 4% des Français satisfaits par l’action de François Hollande. Le locataire de l’Élysée compte de moins en moins de soutiens, à l’inverse d’Alain Juppé et Emmanuel Macron qui arrivent en tête des personnalités qui, selon les personnes interrogées, feraient « plutôt mieux » que l’actuel chef de l’État en ce qui concerne le chômage. Aujourd’hui, seuls 17% des Français pensent que la baisse du nombre de chômeurs enregistrée en septembre « annonce l’inversion de la courbe du chômage promise depuis longtemps par François Hollande ». Si 93% des proches de la droite ne s’attendent pas à l’inversion de la courbe, c’est aussi le cas de 61% des sympathisants de gauche, selon l’enquête réalisée pour France Info. Par ailleurs, « si le chômage venait à baisser régulièrement au cours des mois à venir », cela n’inciterait pas 77% des personnes interrogées à améliorer leur jugement à l’égard de François Hollande, contre 23% d’un avis contraire. Sur cette question toutefois, une majorité de sympathisants de gauche (54%) aurait une meilleure image du président de la République, contre 7% seulement des proches de la droite. D’après l’étude, d’autres feraient « plutôt mieux » que François Hollande pour faire baisser le chômage. Alain Juppé arrive en tête de ces personnalités, avec 35% de réponses positives, mais pour 17% il ferait « plutôt moins bien » et pour 47% « ni mieux ni moins bien ». L’ex-Premier ministre devance Emmanuel Macron (31% « plutôt mieux », 19% « plutôt moins bien »), Marine Le Pen (25% « plutôt mieux », 37% « plutôt moins bien ») et Nicolas Sarkozy (21% « plutôt mieux », 33% « plutôt moins bien »).
L’enquête a été réalisée en ligne les 26 et 27 octobre auprès de 983 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4% à 3,1%.

Revenu universel : L’idée farfelue rejetée à 77% en Suisse

Revenu universel : L’idée farfelue rejetée à 77% en Suisse

 

. 76,9 % des électeurs se sont finalement prononcés contre la création d’un revenu universel de base. Dans tous les cantons, le « non » l’a emporté. L’initiative, proposée par un groupe sans étiquette politique, prévoyait de verser chaque mois à tous les Suisses et aux étrangers installés depuis au moins cinq ans sur le territoire une somme de 2.500 francs suisses (soit 2.260 euros) par adulte et 650 francs suisses (586 euros) par enfant. Ceux travaillant mais gagnant moins auraient reçu une compensation pour atteindre cette somme. Une idée du même type a été défendue notamment par la fondation socialiste Jean Jaurès.  Un concept complètement farfelu qui consisterait à verser un revenu de 750 euros à tous les citoyens financé par la suppression de la protection sociale actuelle, plus une augmentation de la TVA ! Pas sûr que les couches défavorisées soient très gagnantes (par exemple pour financer les coûts de santé) pas plus que l’économie (encore des impôts en plus avec la TVA) ou encore la société française qui aurait un urgent besoin de revaloriser la valeur travail au lieu d’installer de plus en plus de population dans l’assistanat. Un concept défendu par la Fondation socialiste Jean Jaurès qui propose donc  Le versement d’un revenu universel couvrant les besoins minimaux pour le logement, la santé ou la retraite, c’est possible si le  montant est « proche du seuil de pauvreté », indique dans une étude la Fondation Jean-Jaurès, proche du Parti socialiste.  Un mois après l’appel du Premier ministre à ouvrir le débat sur la mise en place d’un revenu universel, la Fondation Jean-Jaurès, qui assure ne pas prendre parti sur « l’opportunité d’une telle réforme », publie dimanche une étude dans laquelle elle a chiffré l’impact de la mise en place d’un « revenu de base » en termes de redistribution et de rapport au travail. Une « telle réforme constituerait une révolution d’une ampleur similaire à celle de la création de la sécurité sociale en 1946″, écrit la Fondation, alors que le sujet est de plus en plus présent dans le débat public. Trois hypothèses ont été retenues par les auteurs du rapport: avec des montants d’allocation de 500, 750 et 1.000 euros par mois. Si chaque cas est finançable, « le niveau intermédiaire » de 750 euros, — avec un montant variable suivant l’âge –, apparaît selon le groupe de travail comme « l’utopie la plus réaliste ». Versée à tous les Français jusqu’à 65 ans, l’allocation serait fixée à 225 euros jusqu’à 15 ans, puis 375 euros jusqu’à 18 ans. Elle atteindrait 750 euros entre 18 et 65 ans pour atteindre 1.125 euros après 65 ans, suggère l’étude.  Une mesure dont le coût est évalué à 565 milliards d’euros, soit 26% du PIB, et qui « pourrait être financée en réorientant l’ensemble des dépenses actuelles de protection sociale (retraite, assurance-maladie, chômage, allocations familiales), à l’exception de celles consacrées à la prise en charge des affections de longue durée », écrit le groupe de réflexion. A cela s’ajouterait « une hausse de deux points de la TVA, dans une logique consistant à faire peser davantage la protection sociale sur la consommation plutôt que sur le travail », poursuivent les auteurs. Ce niveau d’allocation, « proche du seuil de pauvreté absolue », permettrait « de couvrir les besoins essentiels de chacun en termes de logement, de santé ou de retraite, en limitant les effets désincitatifs sur la recherche d’emploi », estiment-ils. Le versement de tout ou partie de la prestation pourrait être réalisé sous la forme de bons échangeables contre des prestations de services publics dans les secteurs des transports, du logement, de la santé ou encore de la culture, suggèrent-ils. En revanche, un « niveau de 1.000 euros impliquerait des effets désincitatifs puissants sur l’offre de travail et une hausse excessive des prélèvements obligatoires », justifie la Fondation. A l’inverse, le somme de 500 euros, « par-delà son caractère insuffisant pour couvrir les besoins essentiels, générerait des effets anti-redistributifs dégradant le niveau de vie des plus pauvres », estime-t-elle.

(Avec Challenges et AFP)

 

Migrants : 77% des Français pour l’expulsion si la demande d’asile a été rejetée

Migrants : 77% des Français pour l’expulsion si la demande d’asile a été rejetée

Si une majorité se dégage toujours pour faciliter l’intégration des migrants par contre plus des trois quarts (77%) des Français souhaitent que l’on oblige les migrants dont la demande d’asile a été rejetée à quitter le territoire national, selon un sondage réalisé par BVA pour Orange et iTELE et publié dimanche. Ce chiffre est en progression régulière depuis un an (70% en mai et 73% en novembre 2015), note l’institut de sondage, qui observe que si les sympathisants de gauche sont moins nombreux qu’à droite à partager cette opinion, elle est quand même majoritaire chez eux (52%). Quelque 52% des sondés souhaitent que la France facilite l’intégration des migrants (contre 45% qui y sont hostiles), « des résultats qui n’ont pas évolué depuis mai 2015″, selon BVA. Seuls 26% des sondés estiment que la France devrait accueillir davantage de migrants, étant donné que d’autres pays européens en accueillent un nombre plus important. Enfin, 73% des personnes interrogées sont favorables à l’intervention de l’armée en soutien de la police ou de la gendarmerie pour sécuriser certaines zones où les migrants sont rassemblés, comme à Calais, point de passage le plus proche vers la Grande-Bretagne .

Reuters

Gouvernement d’union nationale : 77% des Français pour

Gouvernement d’union nationale : 77% des Français pour

 

 

Il est clair que les clivages gauche droite sont complètement dépassés et qu’ils n’intéressent que les apparatchiks des appareils. Le contexte de terrorisme donne une légitimité supplémentaire à la nécessité d’une union nationale. Pour l’opinion publique, la classe politique devrait être unie après les attentats de Paris. 77% des personnes interrogées se disent « favorables » à un gouvernement d’union nationale regroupant tous les partis de gauche, du centre et de droite. Les plus enclins à la mise en place d’un tel dispositif sont les sympathisants de la droite et du centre (81%). 75% des partisans du Parti socialiste approuvent également cette idée. Pour autant, si les Français soutiennent ses engagements, ils n’ont pas réellement confiance en François Hollande. Ainsi, 54% des sondés expriment des craintes quant à la gestion de la crise par l’actuel chef de l’Etat. Le président de la République peut toutefois compter sur le soutien de son camp. 78% des partisans de la gauche assurent soutenir François Hollande, ils sont seulement 31% à droite et au centre et 21% au Front national. Pour l’opinion publique, la classe politique devrait être unie après les attentats de Paris. . Alors que les députés ont affiché mardi lors de la séance des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale un spectacle indigne, selon de nombreuses réactions, multipliant huées et vociférations, l’opinion publique se montre soudée derrière son gouvernement. D’après le sondage Elabe « L’opinion en direct » pour BFMTV publié ce jeudi, les mesures proposées lundi par François Hollande devant les parlementaires réunis en congrès à Versailles recueillent un large soutien auprès de l’opinion publique, au-delà des clivages partisans. Ainsi, 94% des Français soutiennent la proposition de déchoir de la nationalité française les personnes condamnées pour terrorisme. A condition qu’elle dispose d’une autre nationalité. 78% des sondés se disent même « tout à fait favorables » à cette disposition.

 

Valls-voyage à Berlin : 77% choqués

Valls-voyage à Berlin : 77% choqués

 

 

Selon un sondage de l’institut Elabe pour BFMTV rendu public mercredi, 77% des Français se disent « choqués » par ce déplacement du Premier ministre et la presse s’est encore largement fait l’écho mercredi de la controverse, qui n’a fait qu’enfler depuis quatre jours. Le Parisien évoque une « grosse gaffe ». Libération, classé à gauche, accuse : « Valls marque contre son camp. » Le Monde barre sa première page d’un « Manuel Valls, la mauvaise passe ». Des observateurs doutent de la réalité du tête-à-tête Valls-Platini et les explications du chef de l’Etat et du Premier ministre, pas plus que celles du président de l’UEFA, n’ont éteint un incendie attisé par l’opposition de droite.   »Les justifications de ce voyage sont de plus en plus embrouillées », a dit à la presse parlementaire la députée du parti Les Républicains (LR), Valérie Pécresse, selon qui Manuel Valls devrait rembourser ce voyage aux frais de l’Etat. Un avis partagé par l’ancien Premier ministre François Fillon, qui parle d’ »erreur », le centriste François Bayrou ou la députée Front national Marion Maréchal Le Pen, laquelle a jugé « scandaleux » le voyage à Berlin de Manuel Valls.  Dans Le Parisien, l’ancienne ministre LR Nathalie Kosciusko-Morizet, ironise : « On apprend que Valls est allé soutenir le Barça aux frais du contribuable, heureusement qu’il n’est pas fan des All Blacks (les rugbymen néo-zélandais-NDLR) ! » L’affaire embarrasse le gouvernement et le Parti socialiste, dont Manuel Valls a quitté le congrès samedi après-midi pour cet aller-retour Poitiers-Berlin – Poitiers où, déjà, des ministres et des dirigeants du PS critiquaient en privé cette escapade.   »Ce voyage en Falcon de Valls est une connerie », a déclaré sans ambages mercredi sur Europe 1 le député du Parti radical de gauche Olivier Falorni. « Disons que c’est maladroit », a concédé une ministre en privé. « Je pense qu’il aurait sans doute gagné en image s’il avait regardé le match de foot en bras de chemise au milieu des militants socialistes », a pour sa part estimé la députée Karine Berger au Talk Orange-Le Figaro

Présidentielle 2017 :non à Hollande pour 77%

Présidentielle 2017 :non à Hollande pour 77%

 

Curieuse démocratie, il a suffi qu’une  poignée de militants socialistes votent la motion majoritaire pour légitimer la candidature de Hollande en 2017. Pourtant les Français ne veulent pas de cette candidature à 77%. Ils vont comprendre quand les dirigeants socialistes ? La candidature de Hollande relève de l’imposture démocratique puisqu’en même temps il se dispense des primaires ! Si la motion soutenue par le gouvernement a remporté 60% des votes lors du Congrès un Français sur cinq est favorable à une candidature de François Hollande. Si la motion portée par Jean-Christophe Cambadélis est venue valider la ligne du président de la République et de son gouvernement, sa cote de popularité peine toujours à décoller.  77% des Français rejettent une possible candidature de François Hollande à la présidentielle de 2017, selon un sondage Odoxa pour « Le Parisien/iTÉLÉ ». Même les sympathisants de gauche votent majoritairement contre leur chef de file (54%), alors que le pourcentage monte à 90% chez les sympathisants de droite. Des chiffres en léger mieux malgré tout alors qu’ils n’étaient que 15% à appeler de leurs vœux un second mandat présidentiel, contre 21% ce samedi 23 mai. Si les frondeurs ont subi une lourde défaite lors du Congrès du PS, la route est donc encore longue pour François Hollande surtout que les résultats de la motion de Jean-Christophe Cambadélis est à nuancer avec le faible taux de participation des socialistes. Mais le chef d’État ne compte pas baisser les bras alors que pour 58% des Français, ce dernier est déjà en campagne pour 2017. Une situation qu’il avait largement décriée chez son prédécesseur Nicolas Sarkozy, lors d’un meeting au Grand-Quevilly en février 2012 : « Le président candidat et désormais candidat président. Quel bouleversement », rappelle Le Parisien

Sondage manif patrons : 77% des Français pour l’allégement de la fiscalité

Sondage manif patrons : 77% des Français pour l’allégement de la fiscalité

 

Finalemenet la manif des patrons n’ aura pas été  inutile , cela aura au moins permis d’améliorer un peu les connaissances économiques ;  les Français comment à comprendre la problématique de l’entreprise et de sa compétitivité. Un faiat tout à faiat significatif de cette évolution : 77% des français sont favorables à un allégement de la fiscalité pour améliorer cette compétitivité. Plus de six Français sur dix (64%) pensent donc que les patrons « ont raison » de se mobiliser pour manifester « contre la politique du gouvernement », selon un sondage Odoxa réalisé pour BFM Business, Challenge et Aviva assurance, à paraître aujourd’hui.  Si 64% de Français, interrogés les 27 et 28 novembre, estiment que les patrons « ont raison de se mobiliser pour ce qu’ils appellent leur +souffrance et leur ras-le-bol+ contre la politique du gouvernement », ils sont aussi 77% à être plutôt favorables à un allègement de la fiscalité des entreprises. Les Français soutiennent une par une toutes les revendications les plus importantes du MEDEF, sauf une. Ainsi, plus de six Françaix sur dix approuvent la demande du MEDEF de relever les seuils sociaux (61%), de ne pas avoir à informer plusieurs mois à l’avance leurs salariés en cas de cession (62%), de réformer la loi dite « pénibilité » (64%).  En revanche, les Français ne sont pas d’accord avec le MEDEF pour revenir sur la présence des représentants des salariés dans les conseils d’administration des grandes entreprises: 81% pensent qu’il s’agit là d’une bonne chose. Interrogés sur la politique économique menée par le Premier ministre Manuel Valls, les Français sont partagés. 39% la jugent pas assez favorable aux dirigeants d’entreprises, 32% trop favorable et 28% la jugent bien équilibrée.  De manière plus globale, 80% des Français sont « plutôt moins confiants » concernant l’avenir économique en France, alors qu’ils sont 19% à être « plutôt confiants », en hausse de 6 points par rapport au mois précédent. Enfin, l’indice de moral, c’est-à-dire la différence entre les « confiants » et les « défiants » est toujours très négatif, mais s’améliore nettement (+13 points) par rapport au mois précédent, pour s’établir à -61, note l’étude.

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