Archive pour le Tag '76%'

Sondage terrorisme : 76 % des Français toujours inquiets

Sondage terrorisme : 76 % des Français toujours inquiets

Le terrorisme constitue un sujet d’inquiétude pour la plus grande partie des Français.

Selon un sondage Ifop pour le JDD, 76 % d’entre eux estiment que la menace est élevée, alors que 24 % des personnes interrogées pensent le contraire. Il y a peu de différences selon la proximité politique des sondés, même si davantage de personnes proches du Rassemblement national pensent que la menace est élevée (87 %) que celles proches d’Europe Ecologie-Les Verts (63 %).

Mais de façon générale, les Français sont globalement préoccupés par la question globale de la sécurité. D’après un autre sondage de l’institut CSA pour CNEWS, près de 6 Français sur 10 (57 %) considèrent ne pas être suffisamment entendus par le gouvernement pour assurer leur sécurité.

57 % des Français estiment que le gouvernement ne prend pas suffisamment en compte leur sécurité.

Sondage système santé : 76 % des Français inquiets

Sondage système santé : 76 % des Français inquiets
D’après une étude de l’Ifop,  6% des Français sont inquiets; le  système de santé est «fragilisé» (46%) ou même en «détresse», Un avis partagé par 86% des professionnels de santé.

Parmi les faiblesses identifiées par les Français, trois se détachent nettement : la pénurie de soignants, qui inquiète 91% des personnes interrogées, la difficulté à accompagner les seniors en situation de dépendance (90%), ainsi que la situation des hôpitaux publics (89%).
À cause de cette pénurie de soignants, 59% des Français sondés affirment avoir dû renoncer à une consultation médicale. Près des deux tiers des personnes interrogées déclarent avoir des difficultés d’accès aux soins là où elles habitent. Pour y remédier, les Français, dans une grande majorité, réclament le retour de l’obligation de garde pour les médecins libéraux (79%). Et lorsqu’on leur demande quelle mesure les candidats à l’élection présidentielle doivent prendre s’ils sont élus, ils répondent qu’il faut recruter des professionnels de santé (89%) puis investir dans l’accompagnement des seniors (85%) et augmenter les salaires des personnels soignants (82%).

Automobile : baisse de 76 % des ventes en avril

Automobile : baisse de 76 % des ventes en avril

 

Même dans les pays où le des confinements a commencé déjà depuis un certain temps, les commandes automobiles ne reprennent pas. Certes progressivement les immatriculations devraient augmenter à partir de mai juin. Ceci étant  l’année 2020 devrait être catastrophique avec une baisse qui pourrait atteindre de l’ordre de 20 %. L’agence de notation Moody’s prévoit d’ores et déjà une baisse moyenne pour l’année de près de 15 %. En cause évidemment le Coronavirus, mais surtout les incertitudes relatives aux dispositions environnementales actuelles et futures sans parler des interrogations sur le type de véhicule le plus pertinent et le plus durable.

Au total, il s’est vendu en avril 270 682 voitures en Europe contre 1,143 million l’an passé ce qui représente une chute de 76,3 %. L’Italie et l’Espagne ont le plus souffert avec des baisses respectives de 97,6 % et de 96,5 %. La France a accusé un recul de 88,8 %. Les constructeurs français bien implantés dans les pays du Sud, les plus touchés par l’épidémie, voient leurs ventes chuter plus sévèrement que leurs concurrents allemands: PSA accuse une baisse de 81,2 % et le groupe Renault de 79 %. De son côté, Fiat Chrysler touche le fond avec une baisse de 87,7 % des immatriculations sous ses marques (Fiat, Jeep, Lancia, Chrysler, Alfa Romeo…).

 

 

Sondage crise sanitaire et les masques : pour 76% le gouvernement a menti

Sondage crise sanitaire et les masques : pour 76%  le gouvernement a menti

Trois Français sur quatre (77%) pensent que vis-à-vis des masques le gouvernement n’a été ni « clair » ni « cohérent« . Le sentiment d’inefficacité est partagé par tous les bords politiques, il est plus visible chez les sympathisants du Rassemblement national et de La France insoumise, un peu moins présent chez les sympathisants LREM. 73% des personnes interrogées estiment que le gouvernement « n’a pas fait ce qu’il fallait pour équiper les soignants et les hôpitaux« .

D’après ce sondage, les Français demandent une généralisation du port du masque : 72% demandent que le masque soit rendu obligatoire dans toutes les communes de France. Les seniors sont particulièrement demandeurs de cette mesure, à 81%.

Près de 4 Français sur 10 (37%) affirment qu’ils portent régulièrement un masque de protection. Parmi eux, près de la moitié indique même le porter « systématiquement dès qu’ils sortent de chez eux« . Parmi ceux qui portent des masques, 6 sur 10 (59%) utilisent des masques à usage médical, soit de type chirurgical, soit FFP2, des équipements qui sont pourtant en rupture de stock depuis des mois. Globalement, on estime donc que 22% des Français se promènent chaque jour dans les rues avec un masque à usage médical. Les autres utilisateurs prennent des masques prévus pour un autre usage comme des masques de chantier, ou des masques fabriqués maison.

 

Cette enquête Odoxa-Dentsu Consulting a été réalisée auprès d’un échantillon de 1 003 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogés par internet entre les 7 et 9 avril 2020.

Sondage Coronavirus et les masques : pour 76% le gouvernement a menti

Sondage Coronavirus et les masques : pour 76%  le gouvernement a menti

Trois Français sur quatre (77%) pensent que vis-à-vis des masques le gouvernement n’a été ni « clair » ni « cohérent« . Le sentiment d’inefficacité est partagé par tous les bords politiques, il est plus visible chez les sympathisants du Rassemblement national et de La France insoumise, un peu moins présent chez les sympathisants LREM. 73% des personnes interrogées estiment que le gouvernement « n’a pas fait ce qu’il fallait pour équiper les soignants et les hôpitaux« .

D’après ce sondage, les Français demandent une généralisation du port du masque : 72% demandent que le masque soit rendu obligatoire dans toutes les communes de France. Les seniors sont particulièrement demandeurs de cette mesure, à 81%.

Près de 4 Français sur 10 (37%) affirment qu’ils portent régulièrement un masque de protection. Parmi eux, près de la moitié indique même le porter « systématiquement dès qu’ils sortent de chez eux« . Parmi ceux qui portent des masques, 6 sur 10 (59%) utilisent des masques à usage médical, soit de type chirurgical, soit FFP2, des équipements qui sont pourtant en rupture de stock depuis des mois. Globalement, on estime donc que 22% des Français se promènent chaque jour dans les rues avec un masque à usage médical. Les autres utilisateurs prennent des masques prévus pour un autre usage comme des masques de chantier, ou des masques fabriqués maison.

 

Cette enquête Odoxa-Dentsu Consulting a été réalisée auprès d’un échantillon de 1 003 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogés par internet entre les 7 et 9 avril 2020.

Coronavirus Corée : 76 nouveaux cas au lieu de 909 lors du pic

Coronavirus Corée :  76 nouveaux cas au lieu de 909 lors du pic

76 nouveaux cas confirmés de coronavirus en Corée du Sud, une tendance à la baisse qui alimente les espoirs d’un contrôle de l’épidémie dans cet important foyer d’infection. Ce nombre de nouveaux cas quotidiens est nettement inférieur au pic de 909 contaminations recensées le 29 février.

D’après les données du Centre de contrôle et de prévention des maladies (KCDC), 9.037 personnes ont contracté le virus depuis que l’épidémie est apparue en Corée du Sud.

Deux décès supplémentaires ont été signalés, portant le bilan à 120 morts. Notons que la Corée du Sud est intervenue très tôt dans sa lutte contre la pandémie avec des mesures particulièrement radicales et suivies par le corps médical et la population. Une stratégie combinant le confinement, le dépistage systématique et le port de masques notamment

 

Sondage vœux Macron 2020:pas convaincant pour 76% (Odoxa)

Sondage vœux Macron 2020:pas convaincant pour 76%  (Odoxa)

Un score sans appel puisque 76 % des Français n’ont pas jugé convaincants le propos de Macron pour ses vœux 2020. Pas étonnant, Macron est apparu coincé comme un jeune évangéliste qui tenterait de se convaincre lui-même de son propre discours. Une prestation très triste, convenue manquant sérieusement de charisme. Le moins qu’on puisse dire c’est que le discours de Macron n’était guère enthousiasmant, guère novateur encore moins mobilisateur. Un schéma ultra classique d’abord pour se féliciter de l’action menée jusque-là, ensuite la description d’un environnement socio-économique idyllique qui n’existe que dans la tête de Macron, enfin l’affirmation de la poursuite des grandes réformes. À peine une petite ouverture sur les retraites où  Macron était attendu.  Il faudra faire vite a-t-il seulement indiqué renvoyant ainsi la patate chaude à Édouard Philippe.

Macron  se réserve sans doute ainsi une porte de sortie en ne s’impliquant pas trop dans une situation complètement bloquée. Si le climat devait se durcir et si l’opinion , comme ses probable, fait plonger la popularité de Macron, il sera toujours temps de se séparer de ce premier ministre qui il faut bien le dire à créé une véritable pagaille avec son idée d’âge pivot transformant ainsi la réforme d’un système en mesure financière punitive pour tous.

Une bavure qui s’ajoute au manque de préparation d’une réforme qui révèle par exemple tout d’un coup qu’l il faudrait augmenter les enseignants pour un montant de 10 milliards par an, si on ne veut pas les léser en matière de retraite. Si on ajoute à cette somme le coût des exceptions déjà accordées et de celles qui sont prévisibles on doit sans doute atteindre ainsi de 20 milliards. Bref finalement la réforme de retraite de Macron serait comme celle de Sarkozy, elle coûtera plus cher que le système actuel.

Visiblement, Macron paraissait très coincé dans le climat actuel. Sans doute pourquoi il  s’est limité pour les vœux à un exercice ultra traditionnel sans originalité et sans grande dimension. Une sorte de discours évangélique de jeune curé de campagne un peu coincé .

Sondage Castaner : le ministre de l’intérieur condamné par 76 % des Français

Sondage Castaner  : le ministre de l’intérieur condamné par 76 % des Français

 

 

Les Français ne sont pas dupes de la décision de mettre à l’écart le préfet de Paris après les violences de samedi dernier à Paris. Ils considèrent à juste titre que le préfet de Paris a servi de bouc émissaire pour protéger le ministre de l’intérieur lequel est condamné par 76 % des Français pour son incompétence. Plus de la moitié des Français (55%) souhaitent que le mouvement des “Gilets jaunes” cesse après les violences et pillages du 16 mars à Paris et désavouent à 76% le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro diffusé jeudi. Les personnes interrogées considèrent à 68% que le limogeage du préfet de police de Paris et du directeur de la sécurité publique dans la capitale, décidé après le saccage samedi des Champs-Elysées en marge d’une manifestation des “Gilets jaunes”, est une mauvaise décision “car c’est le ministre de l’Intérieur (…) qui est le principal responsable de cet échec”. Au total, 76% ne font pas confiance à Christophe Castaner “pour restaurer l’ordre public et éviter pareils débordements à l’avenir”. Seuls 23% font confiance au ministre de l’Intérieur. Un pour cent ne se prononce pas. Soixante-dix pour cent n’ont pas confiance en Emmanuel Macron (contre 30%) et 67% en Edouard Philippe (contre 32%; un pour cent ne se prononce pas). Les sondés jugent à 58% que le mouvement des “Gilets jaunes” est discrédité après les exactions du 16 mars, qu’il porte une part de responsabilité dans ces événements (51%) et déclarent à 55% qu’il doit cesser. Ils considèrent toutefois à 55% que les manifestants expriment “une protestation légitime”.

L’enquête a été réalisée en ligne les 20 et 21 mars auprès d’un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

Sondage référendum politique migratoire : 76% pour

Sondage référendum politique migratoire : 76% pour

Trois Français sur quatre seraient favorables à la tenue d’un référendum sur la politique migratoire de la France, selon un sondage* Ifop pour Valeurs actuelles rendu public mardi 24 avril. À la question « Vous personnellement, souhaiteriez-vous être consulté par référendum pour donner votre avis sur la politique migratoire de la France? », 76% des sondés ont répondu « oui » (dont 43% « certainement » et 33% « probablement »), contre 24% de « non ». Le total des « oui » atteint 93% chez les sondés proches de La France insoumise, 88% chez ceux du Front national et 83% chez les proches des Républicains. À l’inverse, 61% des électeurs proches de la République en marche souhaiteraient un tel référendum, et 68% des proches du Parti socialiste. L’idée séduit plus les ouvriers (78%) que les cadres (68%), un peu plus en province (76%) qu’en région parisienne (73%), et elle suscite l’adhésion la plus large dans la tranche 50-64 ans (81%), contre 72% chez les 18-24 ans.

 
*Enquête réalisée en ligne les 19 et 20 avril auprès de 1.009 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points. 

 

 

Société inégalitaire en France : Pour 76% des Français

Société inégalitaire en France : Pour 76% des Français

C’est le résultat d’un sondage«  de Kantar Public.  Seulement 20% des personnes interrogées estiment la société égalitaire, et 4% ne se prononcent pas, L’accès aux soins, l’emploi et le logement sont les domaines dans lesquels les inégalités sont jugées les plus graves: ils sont cités par respectivement 57%, 53% et 46% des personnes interrogées. Parmi les inégalités,  il y a celles par exemple des salaires (mais moins importantes en France  que la moyenne mondiale).  Les 10 % des salariés les moins bien rémunérés touchent moins de 1 200 euros par mois, les 10 % aux salaires les plus élevés au minimum 3 544 euros. Ces derniers touchent donc au moins 2 344 euros de plus, soit trois fois plus que les moins bien payés. Tout en haut de l’échelle, les 1 % les mieux rémunérés perçoivent au minimum un salaire mensuel de 8 061 euros, soit six mois et demi de salaires des 10 % les moins bien payés. Les inégalités de salaires sont plus élevées chez les hommes que chez les femmes, ces dernières étant beaucoup moins nombreuses à percevoir de hautes rémunérations. Le salaire minimum des 10 % des femmes les mieux rémunérées est de 3 036 euros, contre 3 892 euros pour les hommes, soit 856 euros de plus. Si l’on prend en compte les 1 % des salariés les mieux rémunérés, l’écart est beaucoup plus important : les femmes gagnent au minimum 6 053 euros et les hommes 9 253 euros, soit 3 200 euros de plus. Au-delà des salaires, il faudrait prendre en compte les revenus. Au-delà des ’inégalités citées, la pire concerne sans doute l’accès à la connaissance. Un aspect que n’aborde pas l’étude. En effet,  la plupart des discriminations concernant l’emploi, le logement ou  la santé découle assez directement du niveau de connaissance générale et de formation. La première inégalité prend sa source dans le milieu familial et à l’école. Un système scolaire malheureusement pleine perdition si l’on en  juge par les évaluations internationales concernant aussi bien l’école primaire, le secondaire ou les universités. Certes les filets de protection sociale sont nécessaires pour  les adultes les moins favorisés mais la vraie stratégie de réduction des inégalités est celle qui consiste à permettre un meilleur accès à la connaissance. Dans l’enquête évoquée, les situations décrites comme devant bénéficier d’efforts particuliers sont les personnes souffrant d’un handicap (citées par 53% des répondants), celles qui ont très peu d’argent (47%) et celles vivant dans des quartiers où l’insécurité est forte (38%).

Enquête réalisée par Internet du 9 au 23 octobre auprès d’un échantillon représentatif de 2.602 personnes (méthode des quotas) en France métropolitaine, 164 personnes en Corse, 525 personnes en Guyane, à Mayotte et à la Réunion.

 

Sondage riches : toujours utiles mais en baisse pour 76% des Français

Sondage  riches : toujours utiles mais en baisse pour 76% des Français

 

Une enquête qui démontre que les Français sont réalistes et qu’ils ne sont pas prêts comme les gauchistes à considérer les riches comme nuisibles à l’économie. Certes ce concept de riche et très vague ;  il couvre ceux  qui ont accumulé fortunes et patrimoines grâce à leur travail, d’autres qui ne sont que des profiteurs ou des spéculateurs, enfin il faudrait distinguer les différents seuils de richesse. De ce point de vue s’il y a une définition du seuil de pauvreté, on peine à définir ce que pourrait être le seuil de richesse. Pour l’ancien ISF, l’impôt concernait  les  foyers fiscaux dont le patrimoine dépasse 1,3 million d’euros au 1er janvier de l’année. Il y a une différence entre ce niveau de patrimoine et celui de très riches comme Bettencourt  ou Bernard Arnaud dans les fortunes tourne autour de 35 à 40 milliards. Globalement cependant les Français estiment que les personnes riches contribuent au développement économique du pays. Ce soutien ne constitue cependant pas une adhésion au pratique d’évasion fiscale qui permet aux très riches de s’affranchir d’une grande partie de la fiscalité sur les revenus ou sur les bénéfices. Un sondage Ifop pour le site Atlantico révèle que 76% des personnes interrogées pour cette étude estiment que « la présence de personnes riches en France est utile à l’ensemble de la société ». Bien que ce chiffre reste élevé, il est inférieur de 13 points à celui relevé en 2013.  57% des sondés considèrent qu’il est « toujours possible de faire fortune en France », soit une proportion quasiment exacte à celle de 2013. « L’élection d’Emmanuel Macron n’a pas été marquée par un changement de climat qui verrait les Français massivement penser que tout est possible, que les perspectives se rouvrent », remarque le directeur du département opinion publique de l’Ifop. Enfin, les trois premières qualités citées pour « devenir riche » sont « être travailleur » (pour 48% des sondés), « avoir des relations » (cité par 32% des sondés) et  »avoir des parents riches » (29% des sondés). Finalement un sondage qui n’est pas très éclairant sur le jugement que portent  les Français sur les riches tellement ce concept de richesse est vague quant au seuil qu’on peut retenir et aux modalités qui ont permis d’acquérir ce patrimoine.

 

 

 

Sondage changement d’heure : 76% préfèrent l’heure d’été

 

Sondage changement d’heure : 76% préfèrent l’heure d’été

Selon un sondage Ooreka-OpinionWay (*),  ils sont 52% à être favorable à sa suppression. Et les 50 – 64 ans apparaissent encore plus réticents : interrogés sur cette éventualité, ils déclarent à 63% souhaiter la fin du changement d’heure. Cette désapprobation des Français semble principalement s’expliquer par le fait qu’ils ne croient pas aux avantages supposés de celui-ci : 56% des Français ne pensent pas que le changement d’heure permette de faire des économies d’énergie, ce qui était pourtant l’objectif initial lors de sa mise en place. A l’inverse, une majorité de Français (63%) est convaincue que le changement d’heure a des répercussions sur leur organisme, ce chiffre atteignant 71% chez les 35 – 49 ans. Si le changement d’heure venait à être supprimé, il faudrait choisir entre rester à l’heure d’été ou à celle d’hiver. L’opinion des Français, elle, apparaît bien arrêtée sur la question : 76% d’entre eux préfèreraient rester à l’heure d’été avec un soleil qui se couche plus tard.

Sondage :76% pour des primaires à gauche et Hollande rejeté

Sondage :76% pour des primaires à gauche et Hollande rejeté

 

Hollande a du souci à se faire car non seulement 75% des lecteurs ne souhaitent pas qu’il se représente mais au sein de la gauche les électeurs veulent uen primaire. Et ils préfèrent largement Valls à Hollande. Or Hollande se considère comme le candidat de droit de la gauche et qui ; peut se dispenser de cette primaire et de cet exercice démocratique superflu. Alors que s’ouvre vendredi le congrès du PS, 76 % des sympathisants réclament la tenue d’une primaire pour 2017. 42 % préfèrent une candidature de Manuel Valls, contre 27 % pour François Hollande. Une primaire et Manuel Valls. Alors que les cadres du PS s’apprêtent à se réunir en congrès, du 5 au 7 juin à Poitiers, un sondage Opinionway pour Le Figaro et LCI fait état d’une très forte demande des sympathisants socialistes pour organiser une primaire en vue de l’élection présidentielle de 2017. Ils sont ainsi 76 % à se déclarer en faveur de ce processus de sélection et ce, même si François Hollande décide de se représenter. Mauvaise nouvelle aussi pour le chef de l’Etat, les sympathisants socialistes lui préféreraient alors Manuel Valls avec 42 % et ce en dépit du positionnement politique du premier ministre, très à droite sur l’échelle du PS.  En face, François Hollande ne recueillerait que 27 % des voix des sympathisants socialistes. Pour Frédéric Micheau, le directeur des études d’Opinionway, «Manuel Valls apparaît comme le préféré des sympathisants non pas pour la ligne politique qu’il incarne mais pour sa capacité à remporter l’élection présidentielle, à maintenir le PS au pouvoir ou, au moins, à le faire accéder au second tour».

 

Sondage conférence sociale : les partenaires sociaux pas représentatifs pour 76% des Français

Sondage conférence sociale : les partenaires sociaux pas représentatifs pour 76% des Français

 

Apparemment les Français sont fatigués du simulacre de dialogue social et des dissensions ; ils souhaitent que Hollande décide enfin. Pour les Français, les syndicats ne sont plus représentatifs. « Quitte à mécontenter certains partenaires » sociaux, une majorité de Français souhaite que le gouvernement « tranche » sur l’économique et le social dans le cadre des discussions de la conférence sociale, selon un sondage publié ce samedi.  Une majorité de Français, 53%, souhaite que le gouvernement « tranche quitte à mécontenter certains partenaires » sociaux en matière économique et sociale, selon un sondage BVA pour i-Télé rendu public ce samedi 12 juillet 2014. Au lendemain de la troisième conférence sociale du quinquennat de François Hollande qui s’est achevée sur un goût d’échec avec notamment le boycott de certains syndicats, les Français semblent plébisciter la fermeté et la rapidité de la part de l’exécutif. A l’inverse, ils sont 44% à souhaiter que le gouvernement « continue à réunir les partenaires sociaux afin qu’ils se mettent d’accord ». Pour le reste, 3% ne se prononcent pas. La méthode du « passage en force » séduit toutefois beaucoup moins la base électorale de la gauche. Ils sont 36% à la plébisciter chez les sympathisants de gauche contre 66% parmi les sympathisants de droite. Cet appel à des solutions rapides dans le domaine économique et social n’est sans doute pas étranger à la crise de légitimité dont souffrent les syndicats. Ainsi, une écrasante majorité des sondés, 76%, estiment que les partenaires sociaux présents aux négociations ne les représentent pas. « Cette défiance traverse toutes les catégories de la population : que les Français soient salariés (73%), à leur compte (93%) ou chômeurs (80%), qu’ils soient cadres supérieurs (81%), employés (76%) ou encore ouvriers (68%) », note la directrice de BVA Opinion.

 

 




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