Archive pour le Tag '74%'

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Sondage VL limitées à 80km/h sur départementales : 74% contre

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Une  réaction sas doute justifiée même si elle est par ailleurs contradictoire. En effet une mesure générale ne tient pas compte du taux de risques, or c’est une gestion plus fine de la vitesse en fonction des dangers potentiels qui doit définir la vitesse limite sur chaque tronçon. Ouverts à l’idée de voir évoluer la place de la voiture, les Français expriment donc une réticence envers certaines mesures de sécurité routière comme le passage de 90 km/h à 80 km/h sur les routes départementales, selon un sondage BVA paru samedi. Si 62 % des sondés approuvent l’interdiction de l’utilisation d’oreillettes ou de kits mains libres au volant, mesure qui entrera en vigueur le 30 juin, seul un quart est favorable à la baisse de la vitesse autorisée sur les routes départementales, indique ce sondage réalisé pour l’entreprise d’assistance et de dépannage de l’habitat Doméo, et pour la presse régionale. La grande majorité des Français est opposée (74 %) à cette mesure, et les habitants des communes rurales renâclent le plus à cette idée : seulement 16 % y sont favorables. La vitesse est une question sensible pour les automobilistes, qui rechignent à se plier aux règles : il est ainsi arrivé à neuf conducteurs sur dix de ne pas respecter les limitations de vitesse. Un Français sur deux (49 %) avoue dépasser les limites autorisées parfois, voire souvent. «Plus indisciplinés ou plus honnêtes, les conducteurs des régions du Nord-Ouest sont 6 sur 10 à déclarer ne pas respecter souvent ou parfois les limitations», relève l’étude.

Sondage :augmentation de la fiscalité locale pour 74% des Français

Sondage :augmentation de la fiscalité locale pour 74% des Français

Les élections passées, il faut s’attendre à des hausses  de fiscalité dès 2015. Pourtant nombre d’élus avaient promis de maîtriser la hausse des impôts mais comme au plan national, une fois élu on fait autre chose par cynisme autant que par incompétence. Bref les limites de la démocratie actuelle !  D’après OpinionWay pour le cabinet Axys Consultants, sont 74% des Français sur quatre considèrent que les impôts locaux vont augmenter en 2015. Même les sympathisants de gauche (60 % pour le PS) croient cette hausse inévitable.  «Les Français ne sont pas dupes de la difficulté de la tâche et de l’absence de marge de manœuvre et de solution miracle, juge Marc Sailly, le PDG d’Axys Consultants. C’est la capacité des collectivités à faire des économies qui est pointée du doigt.» Pour les Français, il n’y a pas quarante options sur la table. La seule qui vaille est de «baisser les dépenses», un effort que les communes, départements ou régions ne font pas assez selon 68% des personnes interrogées. Un jugement partagé même par les sympathisants de gauche (54 % gauche radicale, 58 % PS) mais à un niveau moindre que ceux du centre (67 % MoDem), de la droite (68 % UMP), voire de l’extrême droite (77 % FN). Seule une minorité de Français (9 %) jugeraient normal que les impôts augmentent…Et si les collectivités ont besoin d’idées pour réduire leurs dépenses, les Français en ont à revendre. Ils sont trois sur quatre à suggérer à leurs élus de commencer par «évaluer l’efficacité des dépenses pour éviter le gaspillage» (avec des pics à près de 90 % à gauche) et aussi un sur trois de «réduire le nombre de fonctionnaires». Pour Marc Sailly, c’est donc clair: «Les Français plébiscitent avant tout la méthode plutôt que des mesures empiriques voire démagogues.»

 

Sondage- Réformes allocations familiales : 74% pour

Sondage-  Réformes allocations familiales : 74% pour

 

Une grande majorité de Français se dit prête à faire des efforts et des sacrifices concernant les minimas sociaux, les allocations familiales et chômage. Selon un sondage Odoxa pour RTL, les Français seraient prêts à consentir à quelques sacrifices pour redresser la situation du pays. Les allocations familiales (74%), les minimas sociaux (71%) et les allocations chômage (64%) pourraient ainsi, selon eux, faire l’objet de réglementations plus strictes.   Les sympathisants de droite sont plus nombreux à se dire prêts à toucher aux minimas sociaux (81%), allocations chômage (74%) et familiales (66%). Ceux de gauche privilégient eux aussi les efforts concernant ces domaines mais dans des proportions différentes (83% pour les allocations familiales ; 59% pour les minimas sociaux et 49% pour les allocations chômage). S’ils sont 44% à pouvoir considérer de telles mesures concernant les droits des salariés, les Français semblent moins enclins à toucher aux retraites (27%) et au système de santé (17%). Les droits des salariés sont le principal point de clivage entre la droite et la gauche. S’ils sont 59% à droite à vouloir faire des sacrifices dans ce domaine, les sondés de gauche ne sont que 30% dans ce cas. Ils sont également 57% à espérer que François Hollande accélère le rythme des réformes. Ils sont toutefois plus enclins à le penser à droite (64%) qu’à gauche (50%).

 

Jihadistes : 74% de français en plus

Jihadistes : 74% de français en  plus

 

 Ce serait l’augmentation de djihadistes en plus d’après Cazeneuve, le ministre de l’intérieur. Un chiffrage sans doute très approximatif  puisqu’on a parlé de 1000 français qui avaient rejoint la Syrie. Des chiffres de toute manière inquiétants  car nombre d’intéressés vont revenir en France sans doute encore plus radicalisés  qu’avant (avec de potentiels risques d’attentats). La question du traitement de ces djihadistes  par la justice classique n’est pas simple car il faudrait trouver des preuves de leur implication dans des actes criminels. De ce point de vue la stratégie de lutte conte les djihadistes paraît un peu dérisoire puisqu’ elle se limite pour l’instant à un repérage assez aléatoire.  . « Une menace réelle et une vigilance totale ». Bernard Cazeneuve prononce ce mardi 30 septembre son discours sur la sécurité devant les effectifs du ministère de l’Intérieur. L’occasion de réaffirmer la détermination du gouvernement à lutter contre le terrorisme.   »Il y a actuellement 365 Français sur le théâtre des opérations », affirme le ministre, justifiant son chiffrage précis par « le travail de la direction générale de la sécurité intérieure ». Selon Bernard Cazeneuve, on déplore « une augmentation de 74% des ressortissants français qui sont partis, sur le chemin du retour, sur le chemin de la Syrie ou ont émis le souhait de partir ». Il poursuit : « Nous sommes face à un terrorisme en libre accès (…) Je rappelle la nécessité de la mobilisation totale (…) Nous devons faire trois choses : empêcher les départs, faire en sorte que ceux qui reviennent soient signalés et démanteler les filières ».   Le ministre travaille à ce titre sur deux dossiers : « Un ‘signalement combattants étrangers’ dans le système d’identification Schengen pour améliorer leur identification dans les aéroports et la mise en place d’un système d’identification des passagers à l’échelle de l’UE pour qu’ils soient identifiés dans tous les aéroports très rapidement ».  Bernard Cazeneuve assure également que l’enquête concernant l’assassinat d’Hervé Gourdel progresse mais refuse de communiquer ses informations. « Il faut respecter les procédures et la souveraineté du pays dans lequel cette enquête est conduite avec beaucoup d’efficacité ».

 

UMP : une dette de 74,5 millions d’euros

UMP : une dette de 74,5 millions d’euros

L’UMP, qui s’est réorganisé sur fond d’affaire Bygmalion, a légèrement réduit sa dette à 74.5 millions au premier semestre de cette année puisqu’elle était de 79,1 millions à la fin de l’année dernière mais doit encore faire face à un gouffre financier. »L’engagement que nous avions pris de faire toute la lumière a été tenu. Je pense que notre congrès (à l’automne, ndlr) redonnera l’élan nécessaire pour que les conditions soient réunies voire dépassées », a assuré Alain Juppé à la presse à l’issue d’un bureau politique. Le financement des pertes accumulées sur les derniers exercices a contribué à hauteur d’environ 40 millions d’euros à la dette, le solde (39,1 millions d’euros) provenant de l’emprunt contracté pour l’achat du siège du parti dans le XVe arrondissement de Paris. Ces 40 millions d’euros « sont en grande partie liés aux dépenses importantes réalisées en 2012 au moment de l’élection présidentielle », a dit Alain Juppé, membre du triumvirat d’ex-Premiers ministres porté à la tête de l’UMP de après la démission de Jean-François Copé sur fond d’affaire Bygmalion. Abondée de la dette issue de l’acquisition du siège du parti, la dette financière se situe à hauteur de 79,1 millions, précisent les conclusions de l’audit du mené par le cabinet Advolis, qui fait état de « fonds propres négatifs à hauteur de 40 millions d’euros ». L’UMP, qui présente, selon l’audit, une trésorerie positive de 8,4 millions d’euros à fin juin, espère ramener sa dette à 55 millions d’euros d’ici 2017. Elle devra pour cela s’imposer une cure d’austérité – a priori sans plan social mais aucun scénario n’est exclu -, sous le patronage d’un nouveau président qui sera élu à l’automne pour succéder à Jean-François Copé. Ce dernier a été contraint à la démission après la mise au jour d’un système présumé de fausses factures émises par la société Bygmalion – d’un montant de 11 à 17 millions d’euros selon les sources – durant la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012 pour couvrir des dépassements de frais. L’affaire avait conduit l’UMP à repousser jusqu’à la date limite du 30 juin le dépôt de ses comptes annuels certifiés à la Commission des comptes de campagne et des financements politiques, nécessaire pour obtenir quelque 18 millions d’euros de fonds publics. A la question de savoir si l’UMP pourrait survivre, Alain Juppé a répondu : « Oui, à condition de remplir un certains nombre d’exigences qui vont être évidemment fortes ».   »La première de ces exigences, c’est de maintenir un niveau de recettes suffisant par les cotisations de nos membres et par les dons », a-t-il dit, rappelant qu’il y avait un risque de ne pas y parvenir, ou à tout le moins des incertitudes.  Il a néanmoins souligné que 143.000 adhérents étaient à jour de cotisation au 30 juin, soit « 85% » du nombre espéré en 2014, l’objectif étant une progression de 5% en 2015. Pour ramener la dette à 55 millions, l’audit préconise en outre de limiter les dépenses de fonctionnement à 15 millions d’euros par an, soit 20% de moins qu’en 2013, et le coût de « l’animation politique » – meetings et autres – sur toute la période à 19,2 millions d’euros. Une gageure pour un parti qui entre dans une phase politique majeure avec le congrès à l’automne, la primaire en 2016 en vue de la présidentielle l’année suivante, et a consacré 44 millions d’euros à cette même « animation » en 2006-07. Le budget ainsi provisionné pour la période équivalente de calendrier électoral, 2016-17, est de 17,2 millions d’euros, soit une chute de 60%. Le parti cherche en outre à renégocier son échéancier bancaire et une réunion avec plusieurs représentants de banques s’est ainsi tenue mardi en milieu d’après-midi autour de Luc Chatel, secrétaire général de l’UMP. Le parti a déjà obtenu un report du remboursement du capital jusqu’à fin juin 2017 et ne paie aujourd’hui aux banques que les intérêts, ce qui lui permet de ne pas dépenser 2,7 millions.

 

Sondage popularité : Hollande 74% défavorables (-1 point), chute de Taubira

Sondage popularité : Hollande  74% défavorables (-1 point), chute de Taubira

Un petit point de popularité en plus pour Hollande .  Christiane Taubira, critiquée dans l’affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy, chute de huit points, selon le baromètre Ipsos-Le Point diffusé lundi. Selon cette enquête, 22% des Français approuvent l’action du chef de l’Etat, tandis que 74% émettent un jugement défavorable. De nombreuses personnalités sont en chute à moins d’une semaine des élections municipales, signe, selon Le Point, d’un ras-le-bol des Français.  Christiane Taubira, qui jouissait jusqu’ici d’une situation flatteuse, tombe à 31 % d’opinions favorables et recule de la 10e à la 20e place des personnalités politiques. Nicolas Sarkozy, au centre d’une nouvelle enquête pour conflit d’intérêts révélée par des écoutes téléphoniques, tombe à 39 % de bonnes opinions, en recul de 4 points.  L’ancien président passe de la 5e à la 12e place des personnalités en dépit de la victimisation dont l’UMP a tenté de le faire bénéficier. Du côté gouvernemental, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, dont la cote s’érode au fil des semaines, recule de deux points à 46% de bonnes opinions, soit une chute de 13 points en trois mois. Il perd ainsi la première place du baromètre au profit du grand gagnant : le maire UMP de Bordeaux Alain Juppé qui, avec 52 % de bonnes opinions, gagne 6 points.

 

Sondage- Dieudonné : le gouvernement en fait trop pour 74%

Sondage- Dieudonné : le gouvernement en fait trop pour 74%

Les français ne sont pas naïfs et finalemenet ont bien compris que le cirque médiatique organisé autour de Dindonné est là pour ne pas parler des sujets qui fâchent ; sans parler de l’inadmissible censure a priori. Dieudonné mérité d’être condamné et sans aucune contestation pour ses propos antisémites mais là le gouvernement en faiat beaucoup trop. Une très large majorité des Français désapprouve Dieudonné mais estime que le gouvernement en fait « trop » pour tenter de le faire taire, selon un sondage BVA diffusé samedi 11 janvier. Au total, 83 % des répondants ont une mauvaise opinion de l’humoriste controversé, connu pour ses propos à caractère antisémite, tandis que 14% ont une bonne opinion de lui, selon le sondage réalisé pour ITele. Toutes les catégories politiques lui sont hostiles, à l’exception des sympathisants du Front national qui sont partagés (48 % à 48 %) à son sujet. Par ailleurs, une courte majorité (52 % contre 46 %) des Français sont hostiles aux interdictions de son spectacle. Les sympathisants de droite sont plus particulièrement hostiles à ces interdictions (61 %), chiffre qui atteint 77 % pour les sympathisants du Front national. En outre, 74 % des Français pensent que le gouvernement parle « trop » de cette affaire, tandis que 21 % pensent que le gouvernement traite le sujet comme il convient, et 4 % qu’il n’en fait « pas assez ». Un autre sondage de l’institut CSA, réalisé entre le 7 au 8 janvier, soit avant l’interdiction prononcée contre les spectacles de Dieudonné, 52% des Français affirmaient souhaiter cette interdiction, mais 64 % pensaient que la mesure ne serait pas efficace pour lutter contre l’antisémitisme.

Sondage- élections Européennes : un vote de méfiance pour 74%

Sondage- élections Européennes : un vote de méfiance pour 74% 

Les Français seraient favorables à des avancées de la construction européenne, comme un « président de l’Europe » élu au suffrage universel ou une armée commune, mais paradoxalement veulent exprimer aux élections européennes de mai prochain leur « méfiance » à l’égard de l’Europe telle qu’elle se construit, selon un sondage. Le sondage IFOP, publié par Sud Ouest Dimanche à six mois du scrutin européen, met en évidence « un rapport paradoxal à la construction européenne », que l’ampleur et la violence de la « crise de l’euro » ont « puissamment contribué à entretenir », selon l’IFOP. Ainsi, 74% des personnes interrogées disent qu’au moment de voter le 25 mai, elles souhaiteront exprimer « plutôt leur méfiance à l’égard de l’Europe telle qu’elle se construit actuellement », contre 26% désirant plutôt exprimer leur « confiance ». De même, une majorité de Français (58%) souhaiteraient, compte tenu de la crise actuelle, « moins d’intégration européenne, et des politiques économiques et budgétaires propres à chaque Etat », contre 42% seulement souhaitant « une intégration européenne renforcée, avec une politique économique et budgétaire unique ».

 

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