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Immigration : 74% condamnent la politique du gouvernement

Immigration : 74% condamnent la politique du gouvernement

D’après une étude Odoxa Backbone consulting 74% de l’opinion publique rejette l’action actuelle de l’exécutif.

Pour schématiser la problématique, il y a d’un côté ceux qui sont pour continuer l’immigration dans les conditions actuelles car l’économie française a besoin de cette population pour compenser son déficit démographique. D’un autre, ceux qui sont opposés considérant qu’il y a assez de chômeurs en France et que cette immigration suscite aussi un changement culturel faute d’assimilation. Le débat est évidemment plus complexe mais doit être clarifié rapidement.

Les Français souhaitent en très grosse majorité davantage de clarté et de fermeté. Des mesures plus restrictives et plus effectives sont réclamées sur l’inscription des étrangers menacés d’expulsion au fichier des personnes recherchées , pour rendre plus efficaces les obligations de quitter le territoire (82%), de la mise en place de quotas votés annuellement par le Parlement (81%), la possibilité de s’exprimer par référendum sur le sujet (75%), l’obligation des demandeurs d’asile à formuler leur demande dans leur pays d’origine ou un pays tiers (73%) ou encore la suppression de l’Aide Médicale d’État pour la remplacer par une Aide Médicale d’Urgence (72%). Des propositions souvent avancées par Les Républicains, eux-mêmes partisans d’un durcissement du texte.

Par contre, la régularisation des travailleurs pour les métiers en tension rencontre un soutien (57%).

Vague mmigratoire : 74% contre la politique du gouvernement

Vague mmigratoire : 74% contre la politique du gouvernement

D’après une étude Odoxa Backbone consulting 74% de l’opinion publique rejette l’action actuelle de l’exécutif.Une politique particulièrement mal adaptée à la vague migratoire actuelle. En cause, la responsabilité de la France mais aussi de l’Europe.

Les Français souhaitent en très grosse majorité davantage de clarté et de fermeté. Des mesures plus restrictives et plus effectives sont réclamées sur l’inscription des étrangers menacés d’expulsion au fichier des personnes recherchées , pour rendre plus efficaces les obligations de quitter le territoire (82%), de la mise en place de quotas votés annuellement par le Parlement (81%), la possibilité de s’exprimer par référendum sur le sujet (75%), l’obligation des demandeurs d’asile à formuler leur demande dans leur pays d’origine ou un pays tiers (73%) ou encore la suppression de l’Aide Médicale d’État pour la remplacer par une Aide Médicale d’Urgence (72%). Des propositions souvent avancées par Les Républicains, eux-mêmes partisans d’un durcissement du texte.

Par contre, la régularisation des travailleurs pour les métiers en tension rencontre un soutien (57%).

Immigration : 74% contre la politique du gouvernement

Immigration : 74% contre la politique du gouvernement

D’après une étude Odoxa Backbone consulting 74% de l’opinion publique rejette l’action actuelle de l’exécutif.

Les Français souhaitent en très grosse majorité davantage de clarté et de fermeté. Des mesures plus restrictives et plus effectives sont réclamées sur l’inscription des étrangers menacés d’expulsion au fichier des personnes recherchées , pour rendre plus efficaces les obligations de quitter le territoire (82%), de la mise en place de quotas votés annuellement par le Parlement (81%), la possibilité de s’exprimer par référendum sur le sujet (75%), l’obligation des demandeurs d’asile à formuler leur demande dans leur pays d’origine ou un pays tiers (73%) ou encore la suppression de l’Aide Médicale d’État pour la remplacer par une Aide Médicale d’Urgence (72%). Des propositions souvent avancées par Les Républicains, eux-mêmes partisans d’un durcissement du texte.

Par contre,la régularisation des travailleurs pour les métiers en tension rencontre un certain appui (57%).

Sondage retraites : 74% des Français pour signer le référendum d’initiative partagée

Sondage retraites : 74% des Français pour signer le référendum d’initiative partagée

Un Nouveau sondage qui risque d’assommer le pouvoir et qui montre que plus de 80 % des Français souhaitent que la réforme sur les retraites soit supprimée après la décision du conseil constitutionnel concernant le référendum. Selon le sondage Odoxa-Backbone Consulting, réalisé pour Le Figaro, 74% des Français assurent qu’ils signeraient «certainement» ou «probablement».

Au moins neuf millions de Français se disent «certains» d’apporter leur signature pour un référendum. Soit largement au-dessus du seuil minimum, fixé à 4,8 millions.

Déposée par 252 parlementaires, la proposition de loi référendaire, qui doit être avant tout validée vendredi par le Conseil constitutionnel, devra ensuite recueillir 4,8 millions de signatures – soit un dixième du corps électoral – pendant neuf mois.
Encore plus évocateur : si l’on ne retient que 50% à 100% des Français se disant «certains» de signer, le nombre de signatures s’élèverait déjà entre 9 et 18 millions. Soit un niveau largement au-dessus du seuil requis. Par ailleurs, si les Sages valident le texte du référendum d’initiative partagée, 82% des Français attendent du gouvernement qu’il suspende immédiatement l’application de la réforme, en attendant l’éventuel référendum.

En réalité, les Français espèrent avant tout que le Conseil constitutionnel «censurera» la réforme vendredi. Ils étaient 75% à le souhaiter, selon un autre sondage publié la semaine dernière. Si les Sages font le choix d’invalider la réforme, 74% des Français considèrent que la première ministre, Élisabeth Borne, devra démissionner. Même s’ils valident le texte, 61% des Français estiment que le mouvement ne devra pas s’arrêter.

Il faut également noter que, dans un contexte de défiance contre les institutions, les Français gardent malgré tout un peu d’espoir dans le Conseil constitutionnel. Ils sont près d’un sur deux (48%) à avoir «confiance en lui pour rendre des décisions impartiales».

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Sondage -réforme retraites : injuste pour 74 %, inefficace pour 60 %

Sondage -réforme retraites : injuste pour 74 %, inefficace pour 60 %

D’après un sondage Elabe pour BFM, 74% des Français estiment la réforme injuste et 60% la jugent inefficace pour assurer la pérennité du système de retraites.

Pour une partie d’entre eux, les leviers de compromis sont la prise en compte de la pénibilité, l’abandon du report à 62 ans pour les carrières longues, l’abandon de l’allongement de durée de cotisation et la prise en compte de la spécificité de carrières des femmes.

La réforme est considérée comme injuste car elle pénalise surtout les carrières courtes, les femmes et les salariés aux conditions de travail les plus difficiles qui ont souvent commencé à travailler très tôt.

Il y a dans la réforme aussi de nombreuses exceptions qui font perdurer voire accroître les inégalités alors que les conditions de travail ne le justifient absolument pas.

Enfin en matière d’inégalités, il y a la différence de traitement entre le secteur public et le secteur privé qui finalement financera les avantages des fonctionnaires et autres salariés du secteur nationalisé.

Les Français considèrent cette réforme comme inefficace en particulier en raison de la difficulté pour les seniors à se maintenir sur le marché du travail. En effet aujourd’hui, environ 30 % des seniors seulement autour de 60 ans sont encore sur le marché du travail. À noter qu’il n’y a aucune stratégie précise et volontariste pour encourager le travail des plus âgés. Pour l’instant, tout juste la mise en place d’une sorte « d’index » pour les grandes entreprises pas très incitative et en outre contestée par le Medef.

Présidentielle : pouvoir d’achat déterminant pour 74% des Français

Présidentielle : pouvoir d’achat déterminant pour 74% des Français 

 

Selon une  enquête Ifop* du JDD. La quasi-totalité des personnes interrogées (93 %) estiment que cette question, qui recoupe « la vie chère »« l’inflation » ou « la hausse du prix des carburants »« aura un impact sur le vote des Français au premier tour de l’élection présidentielle », 54 % jugeant cette influence « certaine » et 39 % « probable ». Trois Français sur quatre (76 %) assurent que le sujet jouera également sur leur propre vote. Sans grande surprise, le niveau est encore plus élevé (81 %) auprès des catégories modestes – touchant moins de 1 300 euros par mois – et des catégories pauvres – celles qui gagnent moins de 900 euros -, mais aussi des moins de 35 ans (83 %).

La traduction de cette importance accordée par l’opinion à ce sujet n’est en revanche pas évidente. Une majorité relative des personnes interrogées (26 %) ne font confiance à aucun des candidats en lice pour améliorer la situation. Le reste colle plutôt à l’ordre des candidats dans les intentions de vote actuelles : Emmanuel Macron a la confiance de 21 % des personnes interrogées (dont 86 % de ses propres électeurs), devant Marine Le Pen à 17 %, Jean-Luc Mélenchon à 13 %, Éric Zemmour à 7 % et Valérie Pécresse à 6 %.

* Sondage Ifop pour le JDD, réalisé par questionnaire auto-administré en ligne du 31 mars au 1er avril 2022 auprès d’un échantillon de 1 405 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1 540 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). La marge d’erreur est située entre 0,4 et 2,6 points.

Sondage vaccination enseignant : COVID-19: 74% pour

Sondage vaccination enseignant : COVID-19: 74% pour

 

Selon un sondage Elabe, 74% sont favorables à ce que la vaccination devienne obligatoire pour les enseignants.

La  majorité des parents (56%) n’est plutôt pas inquiète à l’idée de laisser ses enfants aller à la crèche et dans les établissements scolaires, même si 44% d’entre eux font preuve d’une certaine inquiètude. Les femmes sont d’ailleurs plus inquiètes (50%) que les hommes (38%) sur ce sujet.

Au contraire à la rentrée de septembre 2020, c’était la majorité des parents d’élèves (60%) qui était inquiète, contre 40% de personnes plutôt sereines, selon l’enquête Elabe pour BFMTV qui avait été réalisée les 25 et 26 août 2020.

Une majorité de parents n’est pas inquiète à l’idée de laisser ses enfants aller à la crèche et dans les établissements scolaires . © BFMTV

Cette année, la rentrée scolaire se fera sous le régime du scénario 2 (sur 4) du protocole sanitaire, qui autorise tous les élèves à être accueillis en présentiel mais impose le port du masque dès l’entrée en CP, dès 6 ans. Selon ces règles, un cas de Covid-19 dans une classe de primaire entraînera sa fermeture; et en cas de contamination dans une classe de collège ou de lycée, les élèves qui seront cas contacts non-vaccinés devront s’isoler une semaine.

Ce nouveau sondage révèle que plus de 7 Français sur 10 (74%) sont désormais favorables à la vaccination obligatoire des enseignants. Le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer soulignait d’ailleurs mercredi, dans la perspective de la rentrée, la bonne couverture vaccinale des professeurs des écoles, bien qu’ils ne soient pas soumis au pass sanitaire. Selon une étude Ipsos de jeudi dernier, ils seraient environ 87% à être primo-vaccinés contre le Covid-19.

De la même manière, 75% des personnes sondées adhèrent à la vaccination obligatoire des policiers, et 46% d’entre elles se disent « très favorables » à l’instauration d’une telle mesure pour les fonctionnaires de police.

Par ailleurs, le sondage Elabe révèle que 3 Français sur 4 (78%) sont favorables à la vaccination obligatoire des personnels soignants et non-soignants des hôpitaux, cliniques, maisons de retraite, et autres établissements pour personnes handicapées, âgées ou fragiles. Plus encore, 55% d’entre eux se disent « très favorables » à ce que ces professionnels soient soumis à l’obligation vaccinale.

La vaccination obligatoire pour tous, elle, partage un peu plus les Français. Notre sondage montre qu’ils sont désormais 67% à y adhérer, dont 35% de personnes « très favorables ». Toutefois, l’idée séduit de plus en plus de Français, puisque la part de personnes convaincues par l’idée a gagné 6 points par rapport à la semaine précédente.

Balance commerciale américaine : un trou de 74 milliards sur le seul mois de mars

Balance commerciale américaine : un trou de 74 milliards sur le seul mois de mars

Un record en mars. L’écart entre les importations et les exportations de biens et de services s’est établi à 74,4 milliards de dollars en mars , soit 3,9 milliards de dollars de plus que le mois précédent et 25 milliards de plus qu’en mars il y a deux ans, selon les chiffres publiés mardi par le BEA, l’office statistique du département du Commerce.

Depuis l’an dernier, les plans de relance successifs dopent la consommation et par ricochet les importations de biens, à leur plus haut historique. « Les achats de biens durables - une catégorie qui comprend notamment les véhicules à moteur, l’équipement ménager et l’ameublement – ont augmenté de 41,4 % au premier trimestre, grâce à deux séries de paiements fédéraux au titre de l’impact économique », a listé pour s’en féliciter Catherine Wolfram, chargée des questions de politique économique au Trésor. Fin décembre, les ménages ont reçu un premier chèque de 600 dollars. Et Joe Biden a indiqué ces derniers jours que l’administration avait déjà envoyé « 160 millions de chèques » de 1.400 dollars depuis la mi-mars, dans le cadre du « American Rescue Plan » .

Nouvelle ENA : 74 classes préparatoires …. pour résoudre la crise des banlieues ?

Nouvelle ENA : 74 classes préparatoires …. pour résoudre la crise des banlieues ?

 

 

 

On peut sérieusement s’interroger sur le sérieux de la stratégie gouvernementale pour gérer la crise économique, sociale et culturelle des banlieues. En effet parmi les mesures envisagées figurent la réforme de l’ENA appelée institut du service public.

 

Grâce à 74 classes prépas qui permettront de faire entrer au maximum sept ou huit élèves à l’ENA par an, on escompte un changement de situation dans les quartiers difficiles.

Créée en 1945 par le général de Gaulle, l’ENA, qui sélectionne 80 élèves par an, était régulièrement critiquée pour sa formation d’élites «hors sol».

 

Début avril, Emmanuel Macron a annoncé sa suppression, pour la remplacer par un Institut du Service public (ISP). Ce qui évidemment ne changera strictement rien. L’ENA nouvelle appellation va donc demeurer et ce n’est pas l’entrée de quelques élèves de quartiers difficiles qui vont changer la donne sociale , économique et culturel des zones en crise.

SONDAGE CORONAVIRUS BFMTV – 74% INQUIETS

SONDAGE CORONAVIRUS BFMTV – 74% INQUIETS

 

 Les Français sont désormais 74% à se dire inquiets de la propagation du virus, selon notre nouveau sondage Elabe pour BFMTV publié ce mercredi. Ce niveau est en hausse de 18 points depuis le début de l’été, rompant avec la baisse progressive observée entre la fin du mois du mars et le milieu du mois de juin.

Deux situations du quotidien se démarquent nettement: 74% des Français se disent inquiets à l’idée de prendre les transports en commun et ils sont 70% lorsque l’on évoque une visite à des personnes âgées ou vulnérables. Par ailleurs, ils sont aussi nombreux à craindre de laisser leurs enfants à l’école (60%) et d’aller dans un musée, un salon ou un cinéma (58%).

Alors que l’été touche à sa fin, et que les vacanciers ont été nombreux sur les plages et les terrasses, un Français sur deux assure pourtant être inquiet à l’idée de partir en vacances ou en week-end (50%) ou d’aller au restaurant (47%). Aller faire ses courses (43%), aller au travail (40%) et rendre visite à des amis ou de la famille (39%) sont les situations qui inquiètent le moins les Français dans notre sondage. Cela concerne tout de même 4 personnes sur 10.

« Gilets jaunes » 74% des Français soutiennent

« Gilets jaunes » 74% des Français soutiennent

 

Trois-quarts des Français jugent toujours justifié le mouvement des “Gilets jaunes” et estiment à 68% qu’Emmanuel Macron n’a pas été convaincant lors de son interview sur TF1, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro diffusé vendredi. Au total, 74%, contre 78% le 1er novembre, soutiennent le mouvement du 17 novembre contre la hausse des taxes sur les produits pétroliers, contre 25% (22% le 1er novembre) qui le considèrent injustifié. Un pour cent ne se prononce pas. Elles estiment à 68% que le chef de l’Etat n’a pas été convaincant mercredi soir lors de son interview télévisée sur le Charles-de-Gaulle, au cours de laquelle il a notamment déclaré que “l’addition des colères et l’addition des blocages, ça ne fait pas un projet pour le pays». ILS sont 31% à l’avoir trouvé convaincant. Un pour cent ne se prononce pas.

L’enquête a été réalisée par internet les 15 et 16 novembre auprès de 1.005 Français âgés de 18 ans et plus.

Nouvelle journée pour les « vieux » : 74% des Français contre

Nouvelle journée pour les « vieux » : 74% des Français contre

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Selon un sondage Elabe pour BFMTV publié mercredi, 74% des Français sont  opposés à une telle mesure Selon un sondage Elabe pour BFMTV publié mercredi,  alors que le président Emmanuel Macron l’a récemment qualifiée de « piste intéressante« . Les sympatisants LREM  sont 61% à être en désaccord sur ce point. En cause, le fait que le financement va encore peser sur les seuls salariés et pas sur les autres revenus. Une mauvaise idée car souvent les entreprises payent quand même les salariés pour la première journée Raffarin, une sorte de double peine. En fait on ne peut pas financer un risque universel  avec ce type de bricolage fiscal pas adapté aux enjeux. Cette mesure est rejetée par la CFDT, qui la qualifie d’«injuste et loin d’être à la hauteur des enjeux». La centrale considère que ce risque «universel» doit être financé par des impôts reposant sur «tous les revenus». Comprendre: son financement ne doit pas reposer uniquement sur le salariat. «Est-ce que c’est normal que seulement les salariés paient pour l’ensemble de la population? J’ai un petit souci aussi avec ce sujet-là, même si je pense que ça peut faire partie d’une palette de solutions», a également déclaré le président du Medef, Pierre Gattaz, mardi.  .   »Arrêtons de charger la barque, le président de la République se fiche du monde », a ainsi pesté Christian Jacob (LR), tandis que le PS a dénoncé du « bricolage ». « C’est la cerise sur le gâteau du président des riches », a quant à lui dénoncé le PCF.

 

 

Politique de Macron : « injuste » pour 74%

Politique de Macron : « injuste » pour 74%

 

Ce sondage est sans doute le plus inquiétant pour Macron. Il explique aussi la nette baisse de popularité du chef de l’Etat dans l’opinion. .D’après l’institut Elabe pour BFMTV 74% estiment que la politique de Macon. est « injuste». En gros cela renvoie à l’image de président des riches. Indéniablement, les Français estiment qu’il y a un décalage entre les mesures notamment fiscales accordées aux plus favorisés et celle prises à l’égard des autres. L’appréciation de l’aspect injuste de la politique gouvernementale est en hausse de six points par rapport à la précédente mesure d’il y a trois semaines. Parmi les plus mécontents, les classes populaires, moyennes et les retraités. La première catégorie citée ne présente qu’un taux de 25% de personnes évoquant une politique juste, et 20% apte à fédérer la population. Le manque d’équilibre est flagrant quand on compare seulement les allégements fiscaux des plus privilégiés avec la hausse de la CSG pour les retraités ou les hausse de fiscalité sur le carburant. . Même chez les sympathisants d’Emmanuel Macron, « la désaffection est sensible » note BFMTV. Ils ne sont que 46% de partisans de l’actuel chef de l’Etat à décrire l’orientation gouvernementale comme « rassembleuse » et ils sont également 46% à ne pas la considérer comme juste. Soit un sentiment en hausse de neuf points, l’augmentation la plus importante au sein de l’étude.

D’autant plus que les personnes interrogées n’abordent guère l’avenir avec optimisme. 59% des sondés ne pensent pas que la politique actuelle puisse améliorer la situation du pays, tandis que 57% ne voient pas comment elle pourrait relancer l’économie. Jusque là les Français étaient dans uen position d’attente bienveillante vis-à-vis de Macron désormais la bienveillance a disparu. L’erreur de Macron est de ne pas avoir recherché davantage d’équité entre les différentes orientations et au contraire d’avoir parfois voulu opposer les catégories de Français. Comme sil souhaitait délibérement un affrontement, une démarche contreproductive car  toujours plus catastrophique que le compromis.

74% des Français pour l’apprentissage du codage

74% des Français pour l’apprentissage du  codage

Les trois quarts des Français sont pour l’apprentissage du codage à l’école mais ils sont à peu près autant à ne pas savoir ce que signifie exactement ce mot code. Sans doute une confusion avec les mots numérisation, digitalisation, informatisation etc. Pas sûr en plus que le codage, c’est-à-dire la programmation, constitue une vraie priorité. En effet les logiciels clé en main qui connaissent  une croissance exponentielle remplacent  souvent la nécessité de programmer. En outre, il faut souvent faire appel à des informaticiens très spécialisés pour digitaliser une processus de production. Par contre on peut sans doute apprendre à mieux utiliser les systèmes informatisés et les  adapter aux besoins multiples . «La vérité est grise, explique au Figaro Philippe Silberzahn, professeur à l’EM Lyon et chercheur associé à l’École Polytechnique. Beaucoup d’aspects du codage vont être automatisés, et donc penser que «tout le monde doit apprendre à coder» me semble idiot, même si une culture du codage est intéressante et utile, tout comme une culture classique. Mais à mon avis, il restera toujours des domaines où la créativité du codeur sera nécessaire. C’est d’ailleurs vrai, je crois, dans tous les domaines.»! Cependant Les Français sont obnubilés par le code. près de trois citoyens sur quatre (74%) ont pris conscience de la place centrale que va occuper le code dans le monde du travail, selon une étude Kantar TNS pour Orange. En revanche, ils sont très peu – moins d’un sur quatre – à s’y intéresser, et le même nombre à ne pas exactement savoir ce que l’on trouve exactement derrière le mot «code». Tout comme le «digital», le code est une notion sybilline et peu évocatrice. Selon ce même document, 58% des répondants estiment que tous les enfants devraient bénéficier d’une formation sur les bancs de l’école, et 54% ajoutent que savoir coder est aussi important qu’apprendre une langue étrangère.

Sondage «ras-le-bol fiscal» pour 74%

Sondage  «ras-le-bol fiscal» pour 74%

Les trois quarts des Français éprouvent un ras-le-bol fiscal en constatant l’augmentation des prélèvements obligatoires. Un ras-le-bol qui s’ajoute au sentiment d’inefficacité de la politique fiscale du gouvernement considérée comme inefficace à la fois pour renforcer la compétitivité des entreprises et pour réduire les déficits publics. Un sentiment partagé dans toutes les couches sociales de la population. En cause évidemment le record du monde pour la France en matière de prélèvements de obligatoires, le fait que les allégements aussi bien aux entreprises qu’aux ménages sont toujours inférieurs aux augmentations des années passées et aussi pour les ménages modestes ou moyens le poids relatif de plus en plus important de la fiscalité locale (taxe d’habitation et taxe foncière). L’année, d’après un sondage Elabe pour les Echos, Radio Classique et l’Institut Montaigne. 74% des personnes interrogées estiment que les impôts payés par leur foyer (impôt sur le revenu, taxe d’habitation, taxe foncière notamment) ont augmenté au cours des douze derniers mois, précise l’étude. Dans le détail, 34% trouvent que leurs impôts ont « beaucoup augmenté » et 40% « un peu augmenté ». A l’inverse seuls 10% considèrent que leurs impôts ont baissé et 16% qu’ils sont restés stables.  Le sondage révèle aussi que 84% des personnes interrogées pensent que la politique fiscale menée depuis l’élection de François Hollande en 2012 n’est pas « conforme aux engagements de campagne » du Président.  Ils sont aussi 83% à trouver que la politique fiscale du gouvernement n’est pas « efficace pour relancer la compétitivité des entreprises » ni pour « réduire les déficits publics ».   Le sentiment de « ras-le-bol fiscal » apparu en 2013 perdure. Il est partagé aussi bien par les ouvriers que les classes moyennes et supérieures.  »Les baisses d’impôts sur le revenu votées par le gouvernement ne sont pas assez massives pour compenser les hausses des années précédents », souligne le journal Les Echos. Autre élément d’explication, « les allégements ont eu lieu à chaque fois au niveau du seuil d’imposition alors que les trois quarts des hausses d’impôts ont été supportées par les 10 % les plus aisés », note Les Echos. Par ailleurs d’autres taxes ont pesé sur le budget des ménages comme « la fiscalité locale ou la fiscalité écologique dont le poids a augmenté de 40% en dix ans », précise l’article présentant le sondage.

 

Avec AFP

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