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Sondage : pouvoir d’achat en baisse pour 73 % des Français

Sondage : pouvoir d’achat en baisse pour 73 % des Français

Un sondage qui ne fait que confirmer le décalage entre le niveau de l’inflation autour de 6 % et l’augmentation du pouvoir d’achat environ de 3%, soit une perte de 3 points , soit au moins 1000 € par an par ménage. Selon un sondage* Elabe pour BFMTV, près des trois quarts d’entre eux (73%) ont déjà le sentiment que leur pouvoir d’achat s’est dégradé (+16 points en un an).

Pas une catégorie de la population ne semble cette fois épargnée. Ce sentiment de dégradation est ressenti tant par les cadres/professions intermédiaires (76%, +22 points) que les employés/ouvriers (73%, +19 points), les moins de 35 ans (67%, +25 points) que les 65 ans et plus (73%, +10 points).

Avec la hausse des prix, l’immense majorité des Français doit ainsi se priver. 85% des personnes interrogées disent devoir « se serrer la ceinture », dont 30% beaucoup et 55% un peu.
De plus en plus de renoncements

Un sentiment partagé par une très large majorité de Français au sein de toutes les catégories de population: 79% des cadres et 91% des catégories populaires se trouvent dans cette situation. Mais ce sont les catégories populaires (41% disent devoir beaucoup « se serrer la ceinture »), les 25-49 ans (41%)
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un nombre e croissant de Français assure devoir renoncer à des dépenses essentielles. Ainsi, plus d’un tiers a renoncé à acheter certains produits alimentaires (39%, +13 points) et à chauffer convenablement leur logement (37%, +12 points). Concernant la santé en revanche, si 17% disent devoir renoncer à des soins, cette proportion reste stable par rapport à l’année dernière.

Concernant les mesures pour le pouvoir d’achat prises par le gouvernement au cours des derniers mois, 47% (+8 points depuis le 28 septembre 2022) des Français pensent qu’elles n’améliorent pas du tout la situation en matière de pouvoir d’achat, 44% (-4 points) qu’elles vont dans le bon sens mais sont insuffisantes et 8% (-4 points) qu’elles permettent une vraie amélioration.

*Echantillon de 1.000 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus interrogées par Internet du 8 au 9 novembre 2022. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération

Sondage Covid-19 : 73 % mécontents de la couverture médiatique

Sondage Covid-19 : 73 % mécontents de la couverture médiatique

 

D’après une étude réalisée par Kantar pour le quotidien, les Français sont relativement mécontents 73 % de la bannière dans la crise sanitaire a été couverte par les médias. L’intérêt des Français pour l’actualité a bondi de 8 points, à 67%, après être tombé l’an dernier à pareille époque à un niveau historiquement bas.

Le deuxième élément important de cette enquête concerne la confiance des Français envers les journalistes. La crédibilité des médias se redresse en effet légèrement pour la deuxième année consécutive, après avoir touché un plus bas absolu en pleine crise des «gilets jaunes», même si elle reste à des niveaux très faibles. La radio arrive toujours en tête : 52% des Français, soit 2 points de plus que l’an dernier, jugent qu’elle diffuse des nouvelles fidèles à la réalité, devant les journaux (+2 points à 48%) et la télévision (+2 points à 42%). Enfin la crédibilité d’internet (mesurée depuis 2005) se requinque plus nettement mais reste encore très basse (+5 points à 28%).

Cependant, interrogés sur le traitement de l’épidémie de Covid-19 dans les médias, les Français se montrent extrêmement partagés. Parmi les principaux reproches : le fait d’avoir donné trop d’importance à des non spécialistes (pour 73% des sondés) et dramatisé les événements (66%). En outre, 58% des Français jugent que les médias ont relayé de fausses nouvelles.

Sondage réalisé du 7 au 11 janvier 2021.

Reconfinement : 73 % des Français estiment qu’il est probable

Reconfinement : 73 % des Français estiment qu’il est probable

Selon un sondage Harris Interactive pour LCI, quelques heures après les mesures annoncées par le Premier ministre Jean Castex, 59% des Français se disent favorables à l’instauration d’un couvre-feu dans certains départements en France, alors que dix nouveaux départements pourraient y basculer d’ici dimanche. 54% des interrogés déclarent être favorables au report de l’ouverture des stations de ski, et 54% se montrent favorables au report de la réouverture des salles de cinéma, des théâtres, des musées et des stades (contre 59% le 10 décembre).

 

Si cette hypothèse reste écartée à ce stade par le gouvernement, 73% des Français estiment qu’il est probable que l’exécutif prenne la décision d’un confinement au niveau national (dont 47% plutôt probable), .Enquête réalisée en ligne le 7 janvier 2021, après la conférence de presse de Jean Castex, sur un échantillon de 1439 personnes, représentatif de la population française, âgées de 18 ans et plus. La méthode des quotas a été appliquée.

Impact de Benalla : mauvais pour l’image de Macron pour 73%

Impact de  Benalla : mauvais  pour l’image de Macron pour 73%  

 

74% des Français toujours  choqués par l’affaire Benalla, selon un sondage Elabe pour BFMTV diffusé ce mercredi.  73% des Français estiment que l’affaire Benalla a écorné l’image de Macron. . Même dans ses rangs, ils sont plus de la moitié de ses électeurs à estimer que cette affaire a eu un impact négatif sur l’image du président de la République. . A la question de savoir qui sont les responsables de l’affaire, les Français sont 58% à répondre Alexandre Benalla, mais 50% évoquent tout de même la responsabilité d’Emmanuel Macron (plusieurs réponses étaient possibles). Le sondage révèle que les 38% restants, eux, citent les collaborateurs de l’Elysée. Par rapport à fin juillet, les Français sont de plus en plus partagés sur le rôle des partis d’opposition. 53% des sondés estiment désormais que les partis d’opposition sont dans leur rôle en souhaitant obtenir des réponses sur l’affaire Benalla, contre 56% au début de l’été. A l’inverse, 47% jugent qu’ils en font trop et cherchent à exploiter l’affaire Benalla. Quant aux électeurs d’Emmanuel Macron, ils sont 70% à critiquer le comportement actuel de l’opposition, un chiffre en hausse de 10% par rapport à juillet dernier.

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(*) Sondage mené sur Internet les 18 et 19 septembre 2018, sur un échantillon représentatif de 990 personnes âgées de 18 ans et plus, composé selon la méthode des quotas. Le terrain d’enquête a débuté avant l’audition d’Alexandre Benalla mercredi 19 septembre, et s’est terminé quelques heures après la fin de l’audition.

Sondage Conflit SNCF : poursuite en juillet pour 73%

Sondage Conflit SNCF : poursuite en juillet pour 73%

Selon un sondage IFOP, les français sont assez pessimistes sur l’évolution du conflit dont ils pensent qu’il se prolongera en juillet pour 73% des sondés. Cependant ils sont 80% à estimer que le gouvernement ira jusqu’au bout de sa réforme. Une majorité se dégage aussi pour appuyer cette volonté de réforme gouvernementale pour 64% ; Tout parait réuni pour que le conflit s’enlise m^me si la participation diminue de manière sensible.Sur le fond de la mobilisation, les positions de l’opinion semblent s’être cristallisées. 42% des Français disent trouver la contestation des cheminots justifiée, soit autant que la semaine dernière. Atteignant 47% le 11 avril, le soutien à la grève s’était légèrement effrité avant de se stabiliser depuis le début du mois de mai.  Le nombre de Français qui souhaitent que le gouvernement aille au bout de la réforme est également stable par rapport à la semaine dernière à 64%. Un chiffre qui est toutefois nettement plus élevé que fin mars où le soutien à la réforme atteignait à peine la majorité (51%). Enfin, 80% des Français affirment penser que le gouvernement ira au bout du projet de loi. C’est deux points de moins que la semaine dernière.

 

 

Sondage : 73% pour la démission de Ferrand

Sondage : 73% pour la démission de Ferrand

Le cas Ferrand représente une  sérieuse épine dans le pied pour Macron. Pour deux raisons, la première est évidemment liée à la nature de l’affaire qui démontre que certains anciens socialistes n’ont pu s’empêcher de mettre les doigts dans le pot de confiture. Un phénomène classique de dérive  après 20 ou 30 ans d’exercice du pouvoir. La seconde raison, c’est que cette histoire affecte la promesse d’espérance d’une plus grande transparence de la vie politique faite par Macron lui-même. La vérité c’est que Macron et son premier ministre sont un peu coincés par le fait que Richard Ferrand a été le premier parlementaire socialiste à rejoindre le mouvement en marche et de ce point de vue qu’il a apportait  une contribution médiatique importante à la réussite de ce mouvement. L’immobilisme de Macron et de son premier ministre remet cependant en cause le caractère jupitérien que voulait donner le nouveau président de la république à son mandat. Certes il semble bien que juridiquement rien ne puisse être reproché à Ferrand en particulier concernant le local loué par sa compagne à la mutuelle dont il était le directeur. Pour autant moralement le procédé est très discutable car cette compagne s’est enrichie à bon compte. De toute évidence macro ne pourra pas garder longtemps Ferrand dans son gouvernement. Au plus tard il devra sans séparer sitôt après les législatives. Ce que pensent d’ailleurs les Français dans un sondage. Selon un sondage Harris Interactive pour RMC et Atlantico publié mercredi 30 mai.  D’après cette enquête, 73% des personnes interrogées jugent que les faits reprochés à Richard Ferrand sont graves, 27% étant d’un avis contraire. Pour 70%, le ministre de la Cohésion des territoires doit démissionner, contre 30% qui estiment qu’il peut rester en place. Le député du Finistère est dans la tempête depuis une semaine et les premières révélations du Canard enchaîné concernant une location immobilière des Mutuelles de Bretagne impliquant sa compagne. Le Premier ministre Edouard Philippe lui a une nouvelle fois apporté son soutien mardi soir sur France 2« malgré l’exaspération des Français » devant ce type de pratiques. Il a répété que tout ministre mis en examen devrait quitter le gouvernement. Enfin, 67% des sondés pensent que Philippe «souhaite vraiment moraliser la vie politique », contre 33% d’un avis contraire. Mais seuls 43% estiment qu’il y parviendra (57% pensant qu’il échouera).

Dopage sport: suspendre à vie pour 73% des Français

Dopage  sport: suspendre à vie pour 73% des Français

L’image du sport et largement affectée par les soupçons de dopage notamment concernant le cyclisme, l’athlétisme, le rugby, le football et le tennis. Du coup 73 % des Français souhaiterait que les sportifs dopés soient suspendus à vie dans un sondage Odoxa.  près de trois personnes interrogées sur quatre affirment qu’elles doutent de l’honnêteté des performances des sportifs. Une perte de confiance qui peut s’expliquer par les nombreux grands champions ayant été impliqués dans ce genre d’affaires. Le cyclisme a beaucoup fait parler de lui en termes de dopage ces dernières années. L’affaire « Festina » et le retrait de nombreux titres dont a été sanctionné Lance Armstrong ont terni l’image du vélo. Ainsi, 94% des Français pensent que ce domaine est touché par le dopage. Il serait le premier sport à en souffrir.  En deuxième lieu, l’athlétisme85% des Français affirment que cette discipline est gangrenée par le dopage. Suivent le football (65%) et le tennis (59%). Enfin de nombreuses affaires de dopage sont expliquées par des prises de médicaments considérés comme produits interdits. Ainsi, la question des Autorisations à usage thérapeutique divise les Français. Seule une personne interrogée sur deux considère qu’il ne faut pas les interdire.

 

 

Dopages sportifs : 73% des Français doutent

Dopages sportifs : 73% des Français doutent

-Un récent sondage met en valeur le soupçon qui pèse sur les sportifs en matière de dopage. Un phénomène cependant qui n’est pas nouveau mais qui semble s’amplifier notamment en raison de la notoriété et des sommes en jeu. On pourrait ajouter que le dopage ne concerne pas seulement le milieu professionnel mais qu’il touche aussi nombre  de sportifs amateurs drogués aussi à la recherche de performance. Le cyclisme figure en tête des sports les plus concernés par le dopage même si la fédération française de cyclisme a fait un très gros effort pour limiter ce phénomène ; ce qui par parenthèse pourrait expliquer aussi les résultats relativement médiocres des Français par rapport à des équipes étrangères. Selon un sondage Odoxa pour RTL et Winamax, près de trois personnes interrogées sur quatre affirment qu’elles doutent de l’honnêteté des performances des sportifs. Une perte de confiance qui peut s’expliquer par les nombreux grands champions ayant été impliqués dans ce genre d’affaires. Le cyclisme a beaucoup fait parler de lui en termes de dopage ces dernières années. L’affaire « Festina » et le retrait de nombreux titres dont a été sanctionné Lance Armstrong ont terni l’image du vélo. Ainsi, 94% des Français pensent que ce domaine est touché par le dopage. Il serait le premier sport à en souffrir. En deuxième lieu, l’athlétisme85% des Français affirment que cette discipline est gangrenée par le dopage. Suivent le football (65%) et le tennis (59%). Enfin de nombreuses affaires de dopage sont expliquées par des prises de médicaments considérés comme produits interdits. Ainsi, la question des Autorisations à usage thérapeutique divise les Français. Seule une personne interrogée sur deux considère qu’il ne faut pas les interdire.

(Avec RTL)

Notre-Dame-des-Landes vote à 73% contre le transfert de l’aéroport

Notre-Dame-des-Landes vote à 73% contre le transfert de l’aéroport

 

Le ridicule du référendum concernant Notre Dame des landes est largement démontré  par ce vote de la commune concernée opposée à 73 % au nouvel aéroport. Résumons la situation 55 % de la consultation organisée dans le seul département de Loire-Atlantique se sont prononcés en faveur de cet aéroport. Près de 60 % des habitants de la région des Pays de Loire son contre, comme les français dans leur ensemble. D’où la question quelle légitimité pour ce pseudo référendum ou alors les liaisons aériennes seront-elles limitées à la Loire-Atlantique ? De toute manière il ne s’agissait nullement d’un référendum mais d’une simple consultation sans fondement économique et juridique sans fondement économique parce que les liaisons concerneront évidemment la France, l’Europe et même le monde entier. Sans fondement juridique car il s’agit d’un projet d’intérêt national dont le principe a déjà été adopté comme le souligne d’ailleurs la décision du conseil d’État appelé à ce prononcé sur ce référendum.

 

Sondage Medef: Gattaz, un mauvais président pour 73% des Français

Sondage Medef: Gattaz, un mauvais président pour 73% des Français

Un sondage  pas très  étonnant qui montre que près les trois quarts des Français ont une mauvaise opinion de Pierre Gattaz, président du Medef. Pas surprenant dans la mesure où Gattaz s’est installé dans la contestation systématique un peu à l’image d’ailleurs de la CGT mais côté patronal. Du coup, la France présente une sorte de caricature de  concertation avec deux formes de radicalisation ;  celle de la CGT et autres syndicats d’extrême-gauche qui préconisent la lutte pour la lutte sans se préoccuper de résultats,  de l’autre le Medef tout aussi radical et archaïque dans sa volonté d’exiger toujours plus des salariés, de l’État mais sans contreparties. À plusieurs points de vue la personnalité du patron de la CGT et celle du Medef se ressemblent dans la psychorigidité. Des responsables qui ont en commun  de schématiser l’analyse, de privilégier la démagogie et surtout de ne rien concéder aux partenaires. Bref bonne une piètre image des syndicats. Certes le phénomène n’est pas nouveau au Medef, globalement le patronat français un retard d’au moins 50 ans en matière de gestion du dialogue social, il est largement responsable de l’État d’indigence du syndicalisme des salariés dans la mesure où la concertation se réduit le plus souvent à des questions complètement accessoires. On est loin   évidemment de la cogestion à l’allemande. De ce point de vue parmi les réformes structurelles à entreprendre la réforme des relations sociales présentent en France un caractère dramatique Plus de sept Français sur dix ont donc une mauvaise opinion de Pierre Gattaz, selon un sondage Odoxa pour iTELE publié vendredi, et réalisé après l’ultimatum lancé par le président du Medef au gouvernement à propos de la loi Travail. «73% des Français expriment une mauvaise opinion (du) président du Medef, soit un niveau équivalent à celui enregistré il y a deux ans», note Odoxa. Dans le détail, 25% des personnes interrogées ont une opinion «très mauvaise» du dirigeant de l’organisation patronale, 48% «plutôt mauvaise», 24% «plutôt bonne» et 2% «très bonne». «Toutes les catégories de la population ont une mauvaise image à une exception près, les sympathisants de droite hors FN», qui sont «55% à exprimer une bonne opinion» de Pierre Gattaz, souligne Odoxa. «Les CSP+ – catégorie qui comprend les dirigeants d’entreprise – sont quasiment aussi peu enthousiastes (77% de mauvaises opinions) que les CSP- (82% de mauvaises opinions)», note aussi l’institut. Mardi, Pierre Gattaz a menacé de se retirer de la négociation de l’assurance chômage si «rien ne bouge rapidement» sur le projet de loi Travail, un texte qu’il soutenait dans sa version initiale, avant de le fustiger au vu des modifications apportées par le gouvernement. Au niveau de l’organisation patronale dans son ensemble, 70% de Français estiment que le Medef défend davantage les grandes que les petites entreprises, 61% pensent qu’il ne comprend pas les problèmes des salariés. Seulement 37% le trouvent force de propositions et 25% ouvert au dialogue, un score en chute de 16 points par rapport à il y a deux ans.

Remaniement : 73 % des Français mécontents (sondage)

Remaniement : 73 % des Français mécontents (sondage)

Dans la presse en général mais aussi dans l’opinion publique on considère que l’intervention de François Hollande à la télévision constitue un nouveau flop. Sur le terrain économique plus de 80 % des interrogés n’ont pas été convaincus par Hollande. Concernant le remaniement,  ils estiment en général qu’il s’agit d’une opération politicienne et 60 % des sondés sont mécontents aussi bien de la nomination de Jean-Marc Ayrault comme ministre des affaires étrangères que de la nomination des écologistes. Les Français ont évidemment compris qu’il s’agissait non pas d’un gouvernement pour gérer les d’un gouvernement de campagne pour servir les intérêts de François Hollande est d’une certaine manière muselée une partie de ses opposants à gauche. Un sondage Odoxa pour Paris Match et l’émission CQFD sur iTélé montre que 73% des sondés ne sont pas satisfaits de la composition de ce gouvernement. Un chiffre plus élevé encore chez ceux qui ne revendiquent aucune proximité partisane (75%). Les sympathisants PS sont les seuls à se satisfaire de ces annonces (64%), puisque même les sympathisants écolos se font sévères (60% d’insatisfaits). Le retour de Jean-Marc Ayrault au gouvernement, en remplacement de Laurent Fabius au Quai d’Orsay, n’est pas beaucoup plus apprécié. Seulement 38% des sondés se disent satisfaits de cette nomination, tandis que 61% de ce panel pense le contraire. L’arrivée de nouveaux écologistes au gouvernement est vue de la même manière : 59% des Français jugent que c’est une « mauvaise chose » puisque cela « enlève toute clarté à la politique du gouvernement et au positionnement politique des écologistes ». Mais cette décision est néanmoins soutenue par les sympathisants PS (68%) et EELV (72%). A noter dans cette enquête que 72% des personnes interrogées n’ont pas été convaincues par l’interview télévisée de François Hollande, en particulier lorsqu’il s’est exprimé sur ce remaniement (72%) et la situation économique (83%). Quant au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, dont l’annonce d’un référendum a été faite par le chef de l’Etat, 58% des sondés s’y disent opposés.  Le nouveau gouvernement n’a évidemment pas pour objet de gérer le pays mais pour principal fonction de préparer la campagne électorale de François Hollande. L’élargissement vise d’abord à cadenasser les oppositions de gauche. Au sein du PS l’influence des frondeurs commençait à peser dangereusement d’autant plus que des poids-lourds soutenaient la contestation. Parmi ces poids-lourds Jean-Marc Ayrault dont les critiques étaient de plus en plus vives vis-à-vis du gouvernement et qui en même temps réglait des comptes avec Manuel Valls. Jean-Marc Ayrault s’était même permis ces derniers temps de contester l’utilité de la déchéance de nationalité. Du coup, la réintégration de Jean-Marc Ayrault au sein du gouvernement permettra de s’assurer du soutien d’une cinquantaine de députés socialistes tentés ces derniers temps de rejoindre les frondeurs. Pour Martine Aubry la question était moins urgente. Après la défaite sanglante des amis de Martine Aubry aux élections régionales, cette dernière se trouve considérablement affaiblie. En outre la sensibilité de gauche qu’elle veut afficher se trouve discréditée par le fait qu’elle est contrainte de travailler avec le président de droite de la région. En fait,  François Hollande a réuni au sein de son gouvernement ceux qui sont susceptibles de lui apporter son soutien pour les présidentielles de 2017. « Le message que veut envoyer François Hollande, c’est sa volonté d’élargir sa base au premier tour de la présidentielle en essayant d’agréger au PS des alliés », a-t-il dit à Reuters. « Il essaye d’élargir sa base au-delà du PS, pour lutter contre les velléités d’autres candidatures (à gauche) et rassembler le plus possible autour de sa candidature. » Gaël Sliman, président d’Odoxa, est très critique, estimant que le nouveau gouvernement manque de cohérence. « C’est une occasion gâchée de donner un sentiment de rebond ou d’élan et la présence d’Ayrault, qui a plombé l’exécutif et François Hollande au début du quinquennat, renforce l’idée d’un profond immobilisme. C’est un mauvais signal, même si les gens n’en attendaient pas grand-chose », a-t-il dit.

La déchéance de nationalité : 73 % favorables mais pas forcément une priorité

La déchéance de nationalité : 73 % favorables mais pas forcément une priorité

 

Finalement les Français ont peu changé d’avis à propos de la déchéance de nationalité, 73 % y sont toujours favorables. On constate donc seulement un léger effritement des partisans de cette disposition. Par contre compte-tenu des atermoiements et changements de position du gouvernement pour formuler la modification de la constitution les Français sont notoirement moins enthousiastes concernant l’urgence de la modification constitutionnelle. Il faut dire qu’on n’y comprend plus grand-chose tellement cette  formulation est floue, tellement les contradictions sont importantes au sein même du parti socialiste. Mais les contradictions existent tout autant au sein de la droite qui désormais a ses propres frondeurs qui s’opposent à Sarkozy. Comme Sarkozy est favorable à la déchéance de nationalité, pour se distinguer,  ses concurrents à la primaire de la droite se rangent  désormais du côté des opposants. D’une certaine manière les frondeurs de la droite rejoignent les frondeurs de la gauche au moins sur cette question. Selon un sondage Odoxa pour iTélé et Paris-Match,  approuvent toujours majoritairement le principe de la déchéance de nationalité. Près de trois sondés sur quatre (73%) sont favorables à « la déchéance de la nationalité pour les citoyens français ayant commis des crimes ou des délits de terrorisme ou portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ». Ce sujet suscite un consensus dans l’opinion et recueille des scores importants du côté des sympathisants de droite comme de gauche (82% contre 65%). Mais ce sujet n’apparaît pas comme prioritaire pour les Français, et certains vont même jusqu’à considérer que la classe politique manque de clarté sur une question de cette importance. Les sympathisants de droite (76%) en sont aussi convaincus que les sympathisants de gauche (75%).

Sondage Taubira: pas assez sévère pour 73%

Sondage Taubira:  pas assez sévère pour 73%

Un sondage qui confirme que Taubira est à coté de ses chaussures en matière de politique pénale. Certes sur les principes elle a sans doute raison mais elle fait abstraction des réalités de sorte qu’elle discrédite même les valeurs quelle est supposée défendre. D’une manière générale cet angélisme de « gauche » est le plus sûr moyen d’alimenter la protestation qui s’exprime à travers  le FN. C’est toute le drame du PS -et depuis longtemps- gérer les réalités à partir d’une vison théorique des choses et non à partir de la réalité. Exemple la réinsertion des condamnés  au lieu de la détention. Certes la détention n’est pas le meilleur moyen de favoriser la réinsertion mais le laxisme est sans doute pire. En vérité il n’existe aucune politique de réinsertion, les moyens prévus à cet effet sont dérisoires voire inexistants. La plupart des détenus n’ont pas même de travail pendant qu’ils effectuent leur peine et quand ils sortent au mieux, ils consulteront un psy mal rémunéré pendant quelques minutes ou une assistante sociale dégentée, peut-être une heure de discussion au total après des années de prison. Sans parler de ceux aux multiples condamnations qui ne mettent jamais les pieds dans un établissement pénitentiaire. Bref une politique carcérale de gribouille. En tant qu’ancien visiteur de prison, je peux témoigner malheureusement du décalage entre les discours angéliques et la pratique de gestion des populations condamnées. Certes encore une fois la prison n’est pas la solution mais  encore faudrait-il des peines de substitution réellement de nature à favoriser la réinsertion. Dans ce domaine, ce ne sont pas les bracelets électroniques qui peuvent faire  office d’outils de resocialisation des  populations des délinquants.   Selon un sondage Odoxa publié par i-Télé vendredi, 73% d’entre eux considèrent que Christiane Taubira ne se montre pas assez sévère en matière de lutte contre la délinquance. Quelques 72% des Français sont du même avis quant à sa position en matière de lutte contre le terrorisme.  Les sympathisants de droite se montrent plus impitoyables (91% pour la lutte contre la délinquance et 88% pour la lutte contre le terrorisme) que les sympathisants de gauche (53% contre la délinquance et 54% contre le terrorisme). Plus rude encore pour la garde des Sceaux, deux-tiers des Français pensent que Christiane Taubira est un handicap pour le gouvernement. Quelques 65% des Français considèrent que la Ministre de la Justice représente « plutôt un handicap » pour le gouvernement. Cette opinion est partagée par 91% des sympathisants de droite contre 63% des sympathisants de gauche.

 

Loi Taubira : Sarkozy ne reviendra pas dessus pour 73% des Français

Loi Taubira : Sarkozy ne reviendra pas dessus pour 73% des Français

 

« L’abrogation si ça vous fait plaisir » ce qu’avait déclaré Sarkozy mais les Français n’y croient ( d’autant que juridiquement c’set impossible). Après avoir assuré pendant l’été qu’il « se foutait » du mariage homosexuel, qu’il avait toujours plaidé pour une union civile entre les personnes de même sexe, Nicolas Sarkozy est resté flou sur cette question lorsqu’il a fait son retour dans l’arène politique. Jusqu’au 15 novembre dernier, lors un meeting de Sens commun, l’association qui fait le pont entre la Manif pour tous et l’UMP. L’ancien président de la République s’est prononcé en faveur de l’abrogation de la loi Taubira. Mais d’après un sondage Odoxa pour i>Télé et Le Parisien 73% des Français ne pensent pas que « Nicolas Sarkozy abrogera la loi sur le mariage pour tous comme il l’a affirmé », s’il est président de la République. Un chiffre en légère baisse chez les sympathisants UMP, qui sont tout même 63% à penser qu’il ne tiendra pas son engagement. Auprès de l’ensemble des Français, Bruno Le Maire dépasse largement  Nicolas Sarkozy : 48% contre 34%, tandis que 12% préfèrent Hervé Mariton (6% sans opinion).

 

Loi Taubira : Sarkozy ment pour 73% des Français

Loi Taubira : Sarkozy ment pour 73% des Français

 

Sarkozy n’est guère crédible quand il affirme maintenant qu’il procédera à l’abrogation de la loi Taubira, les ¾ des français n’y croient pas. Une raison sans doute fondamentale, ce n’est pas vraiment la première priorité du pays et Sarkozy tombe dans le piège qu’il dénonce :  des gouvernements qui défont ce que font les présidents ; Sarkozy n’a pas vraiment réussi son retour et auprès de l’ensemble des Français il est devancé par Bruno Lemaire en terme de popularité. Après avoir assuré pendant l’été qu’il « se foutait » du mariage homosexuel, qu’il avait toujours plaidé pour une union civile entre les personnes de même sexe, Nicolas Sarkozy est resté flou sur cette question lorsqu’il a fait son retour dans l’arène politique. Jusqu’au 15 novembre dernier, lors un meeting de Sens commun, l’association qui fait le pont entre la Manif pour tous et l’UMP. L’ancien président de la République s’est prononcé en faveur de l’abrogation de la loi Taubira. Mais d’après un sondage Odoxa pour i>Télé et Le Parisien publié vendredi  73% des Français ne pensent pas que « Nicolas Sarkozy abrogera la loi sur le mariage pour tous comme il l’a affirmé », s’il est président de la République. Un chiffre en légère baisse chez les sympathisants UMP, qui sont tout même 63% à penser qu’il ne tiendra pas son engagement. L’autre enseignement de ce sondage est la baisse de popularité de l’ancien locataire de l’Élysée auprès des sympathisants UMP, qu’il espère diriger dès le 29 novembre prochain. Ils sont 63% (contre 73% il y a un mois), à souhaiter voir Nicolas Sarkozy élu à la présidence du parti. Ses concurrents, eux, gagnent du terrain : 31% (+5) préfèrent Bruno Le Maire et 5% (+4) Hervé Mariton (1% sans opinion).  Auprès de l’ensemble des Français, Bruno Le Maire dépasse largement Nicolas Sarkozy : 48% contre 34%, tandis que 12% préfèrent Hervé Mariton (6% sans opinion), pour cette élection à laquelle ne participent toutefois que les adhérents de l’UMP (et non les sympathisants). 

 

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