Archive pour le Tag '7000'

7000 produits à substances cancérigènes interdits (DGCCRF)

7000 produits à substances cancérigènes interdits (DGCCRF)

. La direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) vient cependant de rappeler plus de 7000 autres produits tels que du pain, des burgers, des gâteaux apéritifs, des sauces, des glaces, des fromages, des plats préparés, des thés et des cafés entre autres, sont également concernés par ce rappel. En cause : « une teneur en oxyde d’éthylène dépassant les limites autorisées par la réglementation européenne », peut-on lire sur le compte Twitter du site rappel.conso.gouv.fr.

L’oxyde d’éthylène est utilisé dans l’industrie agroalimentaire pour stériliser les épices et les graines, dont le sésame, présent dans de très nombreux produits. Il est répertorié par l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) comme «pouvant provoquer le cancer» et «induire des anomalies génétiques».

1500 malades réanimation pour 7000 en mars avril

1500 malades réanimation pour  7000 en mars avril

Actuellement il y a environ 1500 malades en réanimation pour 7 000 malades du Covid-19 débuts avril. Ce nombre a ensuite chuté à partir de la fin avril et jusqu’à la mi-août, puis a réaugmenté progressivement pour s’établir à 1 483 personnes, selon le dernier bilan de Santé publique France daté du 11 octobre. Les nouvelles admissions en réanimation sur 24 heures sont en légère baisse, avec 73 patients admis dimanche, soit 37 de moins que la veille.

Par ailleurs le e nombre de décès par jour a été divisé par dix. Ce chiffre a atteint 613 nouveaux décès le 6 avril, un record. Il a diminué constamment depuis pour repartir à la hausse à partir de la mi-août. Dimanche, 46 personnes sont mortes du Covid-19 en 24 heures, ce qui porte le total de décès depuis le début de l’épidémie à au moins 32 730

Non seulement le nombre de cas graves n’est pas aussi élevé qu’en mars-avril, mais l’intubation n’est plus systématique, comme au début de la crise. A ce geste médical invasif pouvant entraîner des complications, notamment des infections, les médecins préfèrent l’oxygénothérapie à haut débit, qui envoie de gros volumes d’air dans le nez du patient via de petits embouts.  Le taux d’occupation des lits de réanimation est toutefois préoccupant dans certaines zones placées en alerte maximale. C’est le cas de la région parisienne. « Avec 474 malades, on a passé les 42% d’occupation » des lits de réanimation par des patients Covid, a indiqué sur BFMTV Aurélien Rousseau, directeur général de l’ARS d’Ile-de-France, lundi 12 octobre.

7000 professionnels morts du Coronavirus( Amnesty)

7000 professionnels morts du Coronavirus( Amnesty)

D’après Amnesty International qui a publié un rapport jeudi 7000 personnes, professionnels de la santé, sont décédés des causes directes du virus.

 Un précédent rapport d’AI publié le 13 juillet dernier faisait état de 3000 travailleurs de la santé décédés dans le monde. La nette augmentation est expliquée par la hausse des cas d’infections dans plusieurs pays, ainsi que par la plus grande disponibilité d’informations.

Derrière le Mexique (1320 décès) se trouvent les États-Unis (1077 décès), le Royaume-Uni (649), le Brésil (634), la Russie (631), l’Inde (573), l’Afrique du Sud (240), l’Italie (188), le Pérou (183), l’Iran (164) et l’Égypte (159), selon Amnesty. Notons qu’en France il n’y a pas de chiffres officiels mais que les victimes pourraient être de l’ordre d’une centaine. En effet au moins 4000 professionnels ont été atteints par le virus sur une population d’environ 50 000.

«Tous les personnels de la santé ont le droit d’être en sécurité au travail, c’est un scandale que tant de personnes en paient le prix ultime», a ajouté Steve Cockburn. Selon lui, il pourrait y avoir une «sous-déclaration» des victimes dans plusieurs pays.. Au niveau mondial, le Covid-19 a infecté 26,1 millions de personnes et causé la mort de plus de 865.000 personnes.

 

D’après Amnesty International qui a publié un rapport jeudi 7000 personnes, professionnels de la santé, sont décédés des causes directes du virus.

 Un précédent rapport d’AI publié le 13 juillet dernier faisait état de 3000 travailleurs de la santé décédés dans le monde. La nette augmentation est expliquée par la hausse des cas d’infections dans plusieurs pays, ainsi que par la plus grande disponibilité d’informations.

Derrière le Mexique (1320 décès) se trouvent les États-Unis (1077 décès), le Royaume-Uni (649), le Brésil (634), la Russie (631), l’Inde (573), l’Afrique du Sud (240), l’Italie (188), le Pérou (183), l’Iran (164) et l’Égypte (159), selon Amnesty. Notons qu’en France il n’y a pas de chiffres officiels mais que les victimes pourraient être de l’ordre d’une centaine. En effet au moins 4000 professionnels ont été atteints par le virus sur une population d’environ 50 000.

«Tous les personnels de la santé ont le droit d’être en sécurité au travail, c’est un scandale que tant de personnes en paient le prix ultime», a ajouté Steve Cockburn. Selon lui, il pourrait y avoir une «sous-déclaration» des victimes dans plusieurs pays.. Au niveau mondial, le Covid-19 a infecté 26,1 millions de personnes et causé la mort de plus de 865.000 personnes.

Citroën: une voiturette électrique à 7000 euros

Citroën:  une voiturette électrique à 7000 euros

 

Une initiative de Citroën qui pourrait bien bouleverser le marché automobile avec la mise sur le marché d’une mini voiture électrique à moins de 7000 €. Une sorte de choc comme l’a été celui de la 2CV et plus proche de nous là Sandero du groupe Renault. Certes, il ne s’agit pas d’une véritable voiture mais d’une voiturette dont la vitesse sera limitée à 45 km/h. Mais faut-il rappeler que la plupart des déplacements en voiture comportent 1.2 personnes conducteurs compris. La masse des déplacements s’effectue en effet dans les zones agglomérées où est concentrée 80 % de la population. 4 déplacements sur 10 en voiture s’effectuent moins de 3 km. Une distance pertinente pour un voyage en voiturette électrique même à 45 km/h. Citroën, deuxième marque historique de PSA, a présenté jeudi dans la gigantesque enceinte de la Défense Arena une mini-voiture électrique sans permis au tarif de 6.900 euros fabriquée dans son usine de Kenitra au Maroc.

Le véhicule, nommé AMI mais qui revendique surtout une filiation avec la très populaire 2CV, sera également proposé à l’achat pour 19,99 euros par mois, soit le prix d’un forfait téléphonique. Sans oublier les formules de location ou d’autopartage.

“Nous essayons de faire quelque chose d’inédit pour répondre à un réel problème de mobilité”, a expliqué à des journalistes Vincent Cobée, nouveau directeur de Citroën et ancien de Mitsubishi.

Destinée en priorité à un public très jeune et urbain, l’AMI pourra transporter deux personnes à une vitesse maximale de 45 kilomètres/heure et se conduire sans permis.

Lancée d’ici juin prochain sur une architecture spécifique et avec une capacité de production initiale d’une dizaine de milliers d’unités, elle marque l’arrivée des premiers modèles électriques de nouvelle génération de PSA chez la marque aux chevrons, environ six mois après ses cousines Peugeot, Opel et DS.

Long et haut de seulement 2m41 sur 1m52, ce “pot de yaourt” cubique innove aussi par son mode de commercialisation. Il pourra être acheté surtout en ligne, mais aussi dans le réseau Fnac Darty, partenaire de PSA pour le véhicule, ainsi que chez certains concessionnaires.

Renault a déjà lancé huit ans plus tôt le Twizy, un quadricycle électrique accessible sans permis. Mais son véhicule, Twizy, fabriqué en Espagne, rappelle moins une voiture par sa carrosserie et ses deux places en file indienne. A bord de l’AMI, conducteur et passager sont côte à côte.

La nouvelle Citroën sera suivie en fin d’année de quatre autres voitures électriques, la nouvelle berline compacte C4, une navette et deux utilitaires. Au total, la marque comptera six véhicules électrifiés fin 2020, année marquée par un durcissement de la réglementation européenne sur les émissions de CO2.

Benalla: 7000 euros mensuels, pour quoi faire ?

Benalla:7000 euros mensuels, pour quoi faire ?

7000 € bruts soient 6000 € nets c’est le montant révélé par BFM pour Benalla dont on se demande bien quel pouvait être le rôle. En effet 7000 € brut c’est peut-être un peu beaucoup pour faire de la bicyclette à côté de Macron et de son épouse ou pour coller en permanence au président à chacune de ses apparitions publiques. En outre Benalla  n’était pas chargé officiellement chargé de la sécurité du président,  responsabilité qui incombe aux services de police officiels. On ne sait pas trop bien quel était la mission exacte de Benalla. Son dernier exploit a été d’intervenir fermement pour que le car des champions du monde de football franchisse les Champs-Élysées en quelques minutes pour permettre à Macron de fêter la victoire des bleus au journal télé de 20 heures. On se demande encore quel pouvait être son utilité lorsqu’il allait surveiller des manifestations voire à l’occasion taper sur quelques contestataires. En tout cas 6000 € net c’est peut-être un peu beaucoup pour un sulfureux collaborateur chargé d’une mission qui n’est pas définie, surtout quand l’intéressé en plus ne dispose d’aucune qualification ou de formation pour exercer une responsabilité à la présidence de la république.  Sur son contrat de travail de quatre pages que BFMTV a pu se procurer, il est indiqué qu’il est agent contractuel au sein du cabinet du président de la République. Ses fonctions ne sont pas détaillées; il est chargé de mission sans plus de précision. Plus tard sur TF1, il indique que sa tâche consistait notamment à préparer les déplacements du président. Autrement dit, il n’est pas agent de sécurité du chef de l’Etat - un poste réservé à des policiers et des gendarmes du GSPR, le groupe de sécurité de la présidence de la République, une unité d’élite.

Sauver les bistrots (7000 supprimés chaque année)

Sauver les bistrots (7000 supprimés chaque année)

qui disparaissent ; 600 000 bistrots en 1960, 34 000 en 2016. Loïc Latour  réclame l’inscription du café français au patrimoine de l’Unesco.

 

« On peut effectivement se réjouir de voir le fléau de alcoolisme se réduire depuis une cinquantaine d’années, ce qui explique notamment la diminution régulière de du nombre de cafés. Pour autant le rôle sociétal  et m^me économique des bistrots  mérite d’^ter défendu en particulier dans les villages, ce que fait dans le Figaro Loïc Latour président de France Boissons, partenaire des Cafés, Hôtels et Restaurants (CHR) français depuis plus de 50 ans. France Boissons a publié il y a quelques semaines un Livre blanc intitulé Les cafés, une chance pour nos territoires, en partenariat avec l’AMRF (Association des Maires Ruraux de France), l’APVF (Association des Petites Villes de France) et Territoires, plateforme de promotion des territoires.

 

« En Eure-et-Loir, le dernier commerce d’un village est un café de pays qui fait aussi épicerie et agence postale, géré en régie par la municipalité. Au cœur des Pays de Savoie, des habitants reprennent la licence IV pour sauver leur dernier bistrot. Dans le Nord, un café se réinvente autour d’un magasin de produits de la ferme et d’une galerie photos. L’unique commerce d’un bourg du Lot s’est transformé pour devenir une café-brocante tendance.  Cette nécessité d’évoluer n’est pas réservée aux établissements de zones rurales ou périurbaines, elle est vitale pour l’ensemble de la filière. Une nouvelle génération de professionnels réinvente le café de proximité. Une décoration soignée, une offre de restauration locale de qualité, un bon café, des services (prises, wifi, …) mais également des concepts innovants (comme des espaces de co-working) font de ces nouveaux bars des lieux de vie et de travail à toute heure. Néanmoins, à l’échelle nationale, malgré ces belles réussites, nos partenaires de la filière Cafés-Hôtels-Restaurants sont durement frappés par la crise avec une moyenne de 7 000 fermetures par an ces dernières années, notamment dans les territoires ruraux et périurbains.

Il y avait 600 000 bistrots en France en 1960, il n’en reste que 34 669 en 2016, regroupés dans un peu plus de 10 000 communes (baromètre France boissons/CREDOC, «comprendre et répondre à la fragilisation de la filière CHR en France»). Pourtant, la demande de cafés de proximité n’a jamais été aussi forte. La volonté de renouer avec un lien social distendu, le dynamisme du tissu associatif, le développement du télétravail, la recherche de naturalité et de local, la raréfaction des services publics, tout concourt à réinstaller les cafés au cœur de nos villes et de nos villages. À l’heure des réseaux sociaux, le café peut redevenir le premier réseau social de proximité. Le retour du café dans nos territoires se construit avec les professionnels, les élus locaux, les pouvoirs publics mais aussi les acteurs de l’économie digitale qui tous contribuent à réinventer le café du coin. Ainsi, des collectivités ont choisi d’acheter les murs d’établissements pour les louer à des repreneurs, d’autres ont encouragé les points multi-services, ou l’accueil de services publics de proximité. Les cafés deviennent des lieux de conseil à l’image de l’initiative «le conseil du coin» lancée par les notaires. La redynamisation des cafés passe par une triple révolution de la qualité, de l’accueil et des services. Nous y travaillons en formant et en conseillant nos clients. Les pouvoirs publics accompagnent cette mutation avec la création des certifications comme «Maître restaurateur» ou «Qualité Tourisme». La licence IV a été réformée afin d’en faciliter le transfert. Les financements se diversifient à l’image des plateformes participatives qui accompagnent des projets de cafés innovants ou solidaires en complément des prêts bancaires ou brasseurs. Toutes ces initiatives vont dans le bon sens. Mais nous pouvons collectivement faire plus pour la reconquête de nos territoires perdus: alléger normes et fiscalité pesant sur les débits de boissons, instaurer des zones franches dans les bourgs en déclin, élaborer une réflexion sur les livraisons du dernier kilomètre en intégrant les distributeurs dans les instances de concertation, promouvoir la transformation des cafés en Maison de Services au Public, soutenir l’inscription des cafés français au patrimoine de l’UNESCO. Baisser le rideau et nous retirer de la diagonale du vide? Tel n’est pas notre choix. Nous avons besoin des cafés au cœur de nos vies. C’est vital pour l’emploi, l’attractivité et l’animation des villes et des villages. C’est pourquoi nous soutenons l’attribution du label «Grande cause nationale» 2018 aux centre-villes et centres-bourgs qui permettraient d’engager un plan d’action global pour construire des territoires attractifs avec le concours de tous les acteurs. »

 

Pétition en ligne contre le Hollande-bashing : seulement 7000 signatures !

Pétition en ligne contre le Hollande-bashing : seulement 7000 signatures !

Un vrai bide pour la pétition contre le Hollande bashing avec seulement 7000 signatures. Pas étonnant, puisque  selon le dernière baromètre IFOP-JDD, 15% de personnes sont satisfaites de la politique de François Hollande, dont 1% sont très satisfaites. Les bobos du showbiz et quelques autres avaient  signé une pétition pour dénoncer le Hollande bashing, considérant que le président  était attaqué de manière injuste. Et de citer en vrac une sorte d’inventaire à la Prévert qui rend bien compte de l’indigence du bilan de l’actuel président de la république. Notamment sur la question essentielle de l’emploi puisque ce bilan dans ce domaine sera comparable à celui de Sarkozy avec environ 600 000 chômeurs en plus en 5 ans. Un chômage qui nourrit la croissance indécente de la pauvreté. Ce type de pétition par des personnages au demeurant sympathiques mais  hors sol alimente le populisme qu’ils  entendent  dénoncer tellement le bilan qu’ils font est déphasé par rapport à la réalité. Et cette réalité c’est 7 ou 8 millions de chômeurs et une augmentation des inégalités et de la pauvreté. ; Une défense bien désuète et certainement contreproductive de l’action de François Hollande et de la gauche. Pétition :

« Dès le départ, François Hollande a fait face à un incroyable procès en illégitimité. Ce dénigrement permanent met à mal toutes les institutions de la République et la fonction présidentielle. Il perdure encore aujourd’hui malgré la stature d’homme d’État que François Hollande a parfaitement incarnée, tant dans les crises internationales que lors des épouvantables tragédies que notre pays a traversées. C’est comme si, en quatre ans, on n’avait jamais entendu parler ni retenu tout ce qui a été accompli, systématiquement effacé par ce Hollande-bashing : les créations de postes dans l’Éducation nationale, l’alignement du traitement des instituteurs sur celui des professeurs, l’augmentation du nombre de policiers et de magistrats, les emplois d’avenir, la garantie jeunes, le soutien à l’apprentissage, le compte personnel de formation, le compte pénibilité, la complémentaire santé pour tous, la généralisation du tiers payant, la prime d’activité, la retraite à 60 ans pour les carrières longues, la refondation de l’école, les droits rechargeables à l’assurance-chômage, le mariage pour tous, la sanctuarisation du budget de la culture, le renforcement de l’égalité professionnelle hommes-femmes, l’extension de la parité dans les conseils départementaux, le remboursement complet de l’IVG et de la contraception, une meilleure protection des femmes contre le harcèlement sexuel, la mise en œuvre concrète de la transition énergétique, le non-cumul des mandats, etc., etc. Ajoutons un déficit public passé de 5,1% en 2011 à 3,5% en 2015, plus de compétitivité, et plus de marges pour les entreprises pour favoriser les embauches, plus de pouvoir d’achat pour les ménages, moins d’impôts et enfin la diminution amorcée du chômage. Tout cela est ignoré, tout cela est déformé, gommé, remplacé par un procès quotidien, instruit à charge par des injures et des mensonges ignobles. Nous, artistes, sportifs et créateurs, penseurs, chercheurs, entrepreneurs et citoyens indépendants, dénonçons cet acharnement indigne qui entraîne le débat politique dans une dérive dangereuse pour la démocratie.

François Hollande a droit au respect comme tout citoyen, et comme président de notre ­République. »

PREMIERS SIGNATAIRES : Agnès B., Catherine Deneuve, Benjamin Biolay, Juliette Binoche, Denis Podalydès, Irène Jacob, Sylvie Testud,  Laure Adler, Patrick Chesnais, Gérard Darmon, François Marthouret, Dominique Besnehard, Jean-Michel Ribes, Mazarine Pingeot, Claudine Nougaret et Raymond Depardon, Andrée Zana Murat et Bernard Murat, Michel Rotman, Patrick Pelloux, Laurent Davenas, Gilles Achache, Gabriel Gautier, Marie d’Ouince, Bruno Masure, Dany Dan – Melopheelo – Zoxea, Layla Metssitane, Touria Benzari, Emilie Chesnais Laurent Hébert, Bertrand Van Effenterre, Anna Medvecsky, Gaëlle Bayssière, Fethi Benslama, Pierre Douglas, Rachid Benzine, David Kodsi, Florence Muracciole, Stephane Distinguin,  Jean Minondo, Yohann Diniz, Jean-Philippe Derosier, Sakina M’sa, Éric Dussart, Évelyne Schapira, Philippe Lemoine, Nicole Baldet, Anne Baveray, Rachel Khan, Michel Cantal-Dupart, Anne-Carole Denès, Yves Denès, Gerard Cicurel, Gisela Blanc, Mathieu Sapin, Françoise Huguier, Édouard Brézin, Julie Saavedra,  Alex Menu, Pierre-Emmanuel Guigo, Jean-Philippe Derosier, Leïla Grison, Alexandre Leroy, C215, Dominique Miller, Christian Zerbib, Christiane Hessel…

Ebola : 7000 morts ?

Ebola : 7000 morts ?

 

Des chiffres très approximatifs sur l’ampleur des victimes d’Ebola dans la mesure où il est impossible de distinguer avec précision les victimes de paludisme (700 000 morts par an en Afrique) de celle du virus Ebola. Ce serait près de 7.000 personnes qui seraient mortes du virus Ebola en Afrique de l’Ouest, selon le dernier bilan samedi de l’Organisation mondiale de la Santé mais  qui a compté plus de 1.200 morts supplémentaires depuis son précédent bilan datant de mercredi. Autant dire qu’il s’agit bien d’approximation.  Selon les chiffres publiés par l’OMS dans la nuit de vendredi à samedi, 16.169 personnes ont été contaminées par le virus Ebola dont 6.928 sont mortes dans les trois pays d’Afrique de l’Ouest les plus touchés, la Sierra Leone, la Guinée et le Liberia. Le précédent bilan publié mercredi pour ces trois pays, établi par l’OMS, faisait état de 5.674 morts. Selon Tarik Jasarevic, porte-parole de l’OMS, le bond du chiffre des morts semble être dû à une mise à jour « des données passées » et non pas à une hausse spectaculaire des morts ces derniers jours. L’organisation avait indiqué à plusieurs reprises que les chiffres publiés de morts étaient peut-être sous-estimés étant donné les difficultés rencontrées dans la collecte de données globales. De plus, le taux de mortalité pour les malades atteints du virus se situerait actuellement aux environs de 70%. L’épidémie la plus mortelle depuis l’apparition du virus de la fièvre hémorragique Ebola a frappé le plus durement le Liberia même si les observateurs indiquent que la progression du virus semble s’être considérablement ralentie ces dernières semaines. Quoiqu’il en soit, le Liberia arrive en tête des pays au plus fort bilan des victimes avec 4.181 morts sur 7.244 cas enregistrés. Dans le bilan précédent de l’OMS, le Liberia ne comptait que 3.016 morts sur 7.168 cas. La Sierra Leone, où l’épidémie d’Ebola s’étend toujours rapidement, selon l’OMS, dans de nombreuses régions totalise actuellement 1.461 morts sur 6.802 cas, contre 1.398 morts sur 6.599 cas comptabilisés jusqu’au 26 novembre. En Guinée, où l’épidémie s’est déclarée il y a près d’un an, 1.284 cas mortels ont été enregistrés sur 2.123 cas signalés, contre 1.260 cas mortels et 2.134 cas signalés deux jours plus tôt. L’OMS n’a pas fourni, dans son nouveau bilan, une mise à jour des chiffres pour les autres pays touchés.

 

Mory Ducros: moins de 2.000 emplois sur 7000 repris ?

Mory Ducros: moins de 2.000 emplois  sur 7000 repris ?

2000 salariés pourraient être repris par l’actuel actionnaire sur 7000 (5000 chez Mory et 2000 chez les sous-traitants). Une agence sur deux serait condamnée (85 actuellement). C’est la plus grosse faillite depuis Moulinex. Une reprise sans doute satisfaisante sur le plan social (en partie évidemment) mais hypothétique sur le plan économique. L’actionnaire principal n’est pas vraiment du métier et n’a pas fait preuve jusque là d’une grande pertinence de gestion, par ailleurs le secteur est particulièrement concurrencé et globalement l’offre est structurellement surabondante. Sans parler des prix de dumping de certaines entreprises pour conquérir (ou maintenir) des parts de marché. De toute évidence, si la conjoncture ne s’améliore  pas rapidement (ce n’est pas prévu en 2014), il y aura encore des dégâts dans le  secteur.  L’offre d’Arcole Industries, actionnaire principal de Mory Ducros, est désormais connue. Et elle devrait laisser un goût amer aux salariés, suspendus à la décision du tribunal de commerce de Pontoise, le 31 janvier prochain. Arcole Industries propose en effet de reprendre moins de 2.000 salariés sur les 5.000 de l’entreprise en redressement, ont annoncé deux syndicats, mercredi 8 janvier. « L’offre globale déposée par Arcole Industries aura un volume d’emploi inférieur à 2.000 salariés sur les 5.000 de l’entreprise, sans compter les 2.000 salariés issus de la sous-traitance qui ne font pas partie de l’offre d’Arcole Industries », écrit dans un communiqué la fédération CFDT des transports. Outre cette offre, trois offres de reprises partielles ont été déposées, confirme le syndicat. La direction, elle, informera précisément les représentants du personnel sur les offres de reprise déposées jeudi. Selon Force Ouvrière, joint par l’AFP, Arcole propose de reprendre 43 agences sur 85, soit 1.900 emplois au total. Si les offres complémentaires portent sur des agences différentes de celles que propose de reprendre Arcole, davantage d’emplois pourraient être préservés, selon la CFDT.  Le syndicat souligne qu’il « examinera si les trois offres partielles peuvent être complémentaires de l’offre globale permettant d’améliorer ainsi le nombre d’emplois sauvegardés ».

 




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