Archive pour le Tag '7 millions'

Patrons du CAC : une rémunération moyenne de 6,7 millions d’euros en 2022

Patrons du CAC : une rémunération moyenne de 6,7 millions d’euros en 2022

La rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 au titre de 2022 atteint 6,7 millions d’euros, soit une hausse de 29% par rapport à 2019, année antérieure à la crise sanitaire. C’est près de 90 fois la somme versée à leurs salariés, selon Proxinvest.

Proxinvest rappelle que dans ses calculs, elle intègre toutes les formes de rémunération. Ce qui inclut le fixe, le bonus annuel, les jetons de présence, les avantages en nature, les stock-options et actions gratuites de performance valorisées à leur date d’attribution, l’intéressement en numéraire et les autres formes indirectes de rémunération.

Autre ordre de grandeur qui risque de faire grincer des dents, un dirigeant du CAC 40 gagne, en moyenne, 89 fois plus que ses salariés. « Si ce chiffre s’inscrit en baisse par rapport aux 110 fois de 2021, il reste le plus élevé comparé aux autres années », précise l’AFP.

« Si les rémunérations inférieures ou égales à 0,5 million d’euros, ne sont observées que dans 2 sociétés (dont une contrôlée par l’Etat), les rémunérations supérieures à 5 millions d’euros demeurent nombreuses », précise Proxinvest. La société recense 29 cas dans le SBF 120 en 2022, après 31 en 2021 et 24 en 2019.

Thomas Fabius : enquête judiciaire sur l’appartement à 7 millions

Thomas Fabius : enquête judiciaire sur l’appartement à 7 millions

 

Une information judiciaire a été ouverte contre Thomas Fabius, le fils du ministre des Affaires étrangères, pour « faux », « escroquerie » et « blanchiment », a-t-on appris mardi de source judiciaire, confirmant une information du site internet du Monde. Cette information judiciaire a été ouverte par le parquet de Paris le 27 juin. L’enquête vise à éclaircir les mouvements de fonds ayant pu transiter par le fils du ministre des Affaires étrangères.  La cellule de renseignement financier Tracfin, qui s’intéresse aussi à la fraude fiscale et sociale, a reçu un signalement après l’acquisition par Thomas Fabius, le fils du ministre des Affaires étrangères, d’un appartement à 7 millions d’euros en juin 2012. Cet achat de l’ancien appartement du réalisateur Claude Zidi, un 280 m2 sur l’une des « artères les plus huppées » de Paris, est dans le collimateur alors même que Thomas Fabius est au cœur d’une enquête préliminaire pour « tentative d’escroquerie et faux », révélait Le Point, mardi. Cette affaire est d’abord une énigme pour les enquêteurs. Comment Thomas Fabius, qui n’est pas soumis à l’impôt sur le revenu en France peut-il acheter un somptueux appartement pour 7 millions d’euros ? « Comme tout le monde, avec un prêt bancaire », répond l’intéressé dans les colonnes du Point. C’est donc ce que le parquet de Paris veut vérifier en élargissant son enquête, ouverte il y a plus d’un an.A l’origine de l’enquête « pour tentative d’escroquerie et faux », il y a une soirée dans un casino au Maroc, fin 2011. Thomas Fabius aurait laissé une fausse montre de valeur en gage à l’établissement de jeux. Une plainte a été déposée et l’enquête confiée à la police judiciaire. Au cours de leurs investigations, les policiers découvrent petit à petit les activités financières de Thomas Fabius : sa société de consulting, la passion pour les jeux d’argent d’un homme interdit de casino sur le territoire français. Selon les informations recueillies par Europe 1, dès le printemps dernier, Tracfin aurait transmis un renseignement sur Thomas Fabius à la justice. Et c’est quelques semaines plus tard, en juin, le fils de Laurent Fabius achète ce somptueux appartement. Autant d’éléments troublants qui incitent le parquet de paris à poursuivre son enquête préliminaire pour faire toute la lumière sur cette affaire.

 

Allemagne: 7 millions d’emplois à 400 euros

Allemagne: 7 millions d’emplois à 400 euros

Les « minijobs », créés lors des grandes réformes du marché du travail de 2003 à 2005 menées par le chancelier social-démocrate Gerhard Schröder, sont des emplois à temps partiel dont la rémunération ne dépasse pas 400 euros par mois — 450 à partir de janvier prochain — et qui peuvent être exercés en parallèle de l’aide sociale, ou en plus d’un emploi « traditionnel ». Ils sont en outre quasiment dispensés de charges sociales.  La BA recense 7,4 millions de contrats de travail de ce type, dont un bon tiers concernent des salariés ayant un autre emploi à côté.  L’Institut de recherche sur l’emploi et le marché du travail, organe de recherche de la BA, a publié lundi une étude intitulée « Des minijobs controversés » qui met en évidence, selon lui, « des indices évidents (selon lesquels) les minijobs ont pris la place d’emplois soumis aux charges sociales ».  Sans surprises, ce sont dans les entreprises de petite taille et dans les secteurs du commerce de détail et de la restauration, où les « minijobs » sont les plus nombreux, que cet effet serait le plus fort.  Ainsi 70% des établissements de restauration emploient au moins 1 « minijobber », et ces derniers représentent 34% du nombre total de salariés dans ce secteur. Dans le commerce de détail, les chiffres sont respectivement de 63% et 23%.  Les « minijobbers » représentent également 20% des employés d’entreprises de 1 à 9 personnes, et 15% dans celles de 10 à 99 personnes, mais seulement 5% dans celles de plus de 100 salariés.  Les auteurs de l’étude reconnaissent toutefois que « ces entreprises n’auraient sans doute pas pu créer dans tous les cas des emplois soumis à charges sociale », si elles n’avaient pas pu avoir recours aux « minijobs ».  Dans certaines grandes entreprises, l’augmentation de l’emploi soumis à cotisations sociales progresse de pair avec les « minijobs », ajoutent-ils.

 




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