Archive pour le Tag '64%'

Sondage Macron à la télé: Pas convaincant pour 64%

Sondage Macron à la télé: Pas convaincant pour 64%

64% des Français considèrent que le chef de l’État n’a pas été convaincant. cependant plupart des mesures annoncées par Emmanuel Macron ont pourtant recueilli une large majorité d’avis favorables. Une différence qui s’explique par l’énorme décalage entre les mots et l’action du président. ( sondage Elabe)

Les mesures approuvées:
La simplification des normes et la réduction des délais et procédures administratives pour les entreprises: 88%
La baisse des impôts de 2 milliards d’euros pour les classes moyennes: 87%
La mise en place de recommandations nationales sur l’usage des écrans par les enfants: 78%
Le doublement du nombre d’heures d’éducation civique à l’école: 77%.
L’apprentissage de la Marseillaise à l’école primaire: 75%.
La régularisation des médecins étrangers exerçant en France: 75%.
La généralisation du Service National Universel en classe de seconde: 72%.
L’expérimentation de la tenue unique à l’école dans une centaine d’établissements: 69%.
Le durcissement des règles pour les demandeurs d’emploi qui refusent un emploi: 68%.
La mise en place d’un plan de lutte contre l’infertilité: 68%.
Donner une place plus importante au mérite dans la rémunération des fonctionnaires: 67%.
L’enseignement de l’histoire de l’art au collège et au lycée à la rentrée 2024: 62%.
La tenue d’un hommage aux victimes françaises de l’attaque terroriste du Hamas en Israël: 61%.
La mise en place d’un « congé de naissance » mieux rémunéré et plus court (six mois) pour les deux parents, à la place du congé parental: 59%.
À l’inverse, l’obligation de la pratique théâtrale au collège clive davantage (50%), et le doublement de la franchise de 0,5 à 1€ sur les médicaments est rejeté (34%).

Sondage Macron: Pas Convaincant à la télé pour 64%

Sondage Macron: Pas Convaincant à la télé pour 64%

64% des Français considèrent que le chef de l’État n’a pas été convaincant. cependant plupart des mesures annoncées par Emmanuel Macron ont ainsi recueilli une large majorité d’avis favorables. Une différence qui s’explique par le décalage entre les mots et l’action du président. ( sondage Elabe)

Les mesures approuvées:
La simplification des normes et la réduction des délais et procédures administratives pour les entreprises: 88%
La baisse des impôts de 2 milliards d’euros pour les classes moyennes: 87%
La mise en place de recommandations nationales sur l’usage des écrans par les enfants: 78%
Le doublement du nombre d’heures d’éducation civique à l’école: 77%.
L’apprentissage de la Marseillaise à l’école primaire: 75%.
La régularisation des médecins étrangers exerçant en France: 75%.
La généralisation du Service National Universel en classe de seconde: 72%.
L’expérimentation de la tenue unique à l’école dans une centaine d’établissements: 69%.
Le durcissement des règles pour les demandeurs d’emploi qui refusent un emploi: 68%.
La mise en place d’un plan de lutte contre l’infertilité: 68%.
Donner une place plus importante au mérite dans la rémunération des fonctionnaires: 67%.
L’enseignement de l’histoire de l’art au collège et au lycée à la rentrée 2024: 62%.
La tenue d’un hommage aux victimes françaises de l’attaque terroriste du Hamas en Israël: 61%.
La mise en place d’un « congé de naissance » mieux rémunéré et plus court (six mois) pour les deux parents, à la place du congé parental: 59%.
À l’inverse, l’obligation de la pratique théâtrale au collège clive davantage (50%), et le doublement de la franchise de 0,5 à 1€ sur les médicaments est rejeté (34%).

Politique d’immigration : Condamnée par 64 % des Français

Politique d’immigration : Condamnée par 64 % des Français

D’après une étude Odoxa Backbone consulting 74% de l’opinion publique rejette l’action actuelle de l’exécutif.

Pour schématiser la problématique, il y a d’un côté ceux qui sont pour continuer l’immigration dans les conditions actuelles car l’économie française a besoin de cette population pour compenser son déficit démographique. D’un autre, ceux qui sont opposés considérant qu’il y a assez de chômeurs en France et que cette immigration suscite aussi un changement culturel faute d’assimilation. Le débat est évidemment plus complexe mais doit être clarifié rapidement.

Les Français souhaitent en très grosse majorité davantage de clarté et de fermeté. Des mesures plus restrictives et plus effectives sont réclamées sur l’inscription des étrangers menacés d’expulsion au fichier des personnes recherchées , pour rendre plus efficaces les obligations de quitter le territoire (82%), de la mise en place de quotas votés annuellement par le Parlement (81%), la possibilité de s’exprimer par référendum sur le sujet (75%), l’obligation des demandeurs d’asile à formuler leur demande dans leur pays d’origine ou un pays tiers (73%) ou encore la suppression de l’Aide Médicale d’État pour la remplacer par une Aide Médicale d’Urgence (72%). Des propositions souvent avancées par Les Républicains, eux-mêmes partisans d’un durcissement du texte.

Par contre, la régularisation des travailleurs pour les métiers en tension rencontre un soutien (57%).

Démocratie–Sondage Libertés individuelles: 64% des Français inquiets

Démocratie–Sondage Libertés individuelles: 64% des Français inquiets

Un sondage Ifop pour l’Opinion et la Fondation Concorde révèle que 64 % des Français considèrent que les libertés individuelles se sont affaiblies ces dix dernières années. La liberté d’expression et le droit de propriété leur apparaissent particulièrement en danger

Les faits – L’Opinion publie son sondage annuel sur les Français et le libéralisme, en partenariat avec la Fondation Concorde. Emmanuel Macron n’est plus considéré comme le meilleur représentant des idées libérales, il se fait devancer d’un point par Edouard Philippe.

Quant au rapport des Français au libéralisme, celui-ci semble toujours ambivalent : le terme reste clivant, mais les sondés sont attachés aux libertés individuelles, qui leur paraissent aujourd’hui menacées.
Depuis dix ans, nos libertés individuelles se seraient affaiblies. C’est en tout cas la perception qu’en ont 64 % des Français, selon le sondage réalisé par l’Ifop (*) pour l’Opinion et la Fondation Concorde.

Parmi les dirigeants d’entreprise, ils sont même 78 % à le penser. Ce sentiment est aussi très fort chez les électeurs de gauche (73 %) ainsi que chez ceux du RN et Reconquête (82 %). Il est bien moindre chez les électeurs de la majorité présidentielle (41 %).

Sondage Libertés individuelles: 64% des Français inquiets

Sondage Libertés individuelles: 64% des Français inquiets

Un sondage Ifop pour l’Opinion et la Fondation Concorde révèle que 64 % des Français considèrent que les libertés individuelles se sont affaiblies ces dix dernières années. La liberté d’expression et le droit de propriété leur apparaissent particulièrement en danger

Les faits – L’Opinion publie son sondage annuel sur les Français et le libéralisme, en partenariat avec la Fondation Concorde. Emmanuel Macron n’est plus considéré comme le meilleur représentant des idées libérales, il se fait devancer d’un point par Edouard Philippe.

Quant au rapport des Français au libéralisme, celui-ci semble toujours ambivalent : le terme reste clivant, mais les sondés sont attachés aux libertés individuelles, qui leur paraissent aujourd’hui menacées.
Depuis dix ans, nos libertés individuelles se seraient affaiblies. C’est en tout cas la perception qu’en ont 64 % des Français, selon le sondage réalisé par l’Ifop (*) pour l’Opinion et la Fondation Concorde.

Parmi les dirigeants d’entreprise, ils sont même 78 % à le penser. Ce sentiment est aussi très fort chez les électeurs de gauche (73 %) ainsi que chez ceux du RN et Reconquête (82 %). Il est bien moindre chez les électeurs de la majorité présidentielle (41 %).

Mobilisation Retraites: Il faut continuer pour 64 % des Français

Mobilisation Retraites: Il faut continuer pour 64 % des Français

64% des Français veulent que la mobilisation contre la réforme des retraites continue, selon un sondage Elabe pour BFMTV.

L’opposition reste globalement importante contre la réforme des retraites, alors qu’elle a été largement validée vendredi par le Conseil constitutionnel et promulguée samedi. 69% de la population dit ne pas y être favorable. Un chiffre qui reste stable, puisqu’entre 65% et 72% des Français étant opposés à la réforme depuis la mi-janvier.

Ce taux grimpe à plus de trois quarts des actifs (76%), contre un peu plus de la moitié (52%) des retraités. Les électeurs de Jean-Luc Mélenchon sont les plus nombreux à s’opposer à la réforme (91%), tandis qu’à l’inverse, 73% des électeurs d’Emmanuel Macron soutiennent la réforme (en hausse de 10 points en un mois).

Pour 61% des Français, c’est bien Emmanuel Macron et l’exécutif qui sont tous deux tenus comme responsables du conflit social, un chiffre stable depuis fin mars. 15% estiment plutôt que les syndicats sont les premiers responsables, quand près d’un quart (23%) pointent du doigt toutes les parties.

90% des Français pensent que l’allocution de Macron ne changera rien

La popularité de Macron chute encore en avril, celle de Le Pen au plus haut, selon un sondage

Échantillon de 1003 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet du 15 au 16 avril 2023.

Retraites–Sondage mobilisation : 64 % pour

Retraites–Sondage mobilisation : 64 % pour

D’après un sondage Elabe , non seulement 62 % condamnent la réforme des retraites mais 64% des Français se prononcent en faveur de la mobilisation. Soit un gain de huit points en sept jours. 22% des Français, en revanche, s’y opposent, et on dénombre 14% d’indifférents. Ils sont même 57 % à comprendre le blocage du pays

Les actifs sont de fervents soutiens des grévistes (69%, en progrès de quatre points en une semaine). Et les retraités sont désormais sur la même ligne dans leur majorité: à 55%, avec un gain de 15 points des sympathisants à la mobilisation dans le même intervalle. Et les signaux envoyés du sein même de la macronie ne sont guère encourageants pour le sommet de l’État: 46% des électeurs du président de la République désapprouvent le mouvement, mais ils sont 12% de moins qu’auparavant.

Les sondés endossent donc très largement les rassemblements et les marches contre le projet de réforme. Ils sont même 57% à aller plus loin en affirmant « comprendre le blocage du pays » vu comme « seul moyen pour que le gouvernement retire ou modifie sa réforme des retraites ». C’est deux points de plus en une semaine, tandis que ceux qui ne « comprendraient pas » un tel blocage, perdent deux points, à 42%. Les retraités font toujours bloc contre les blocages, à 56%, mais ledit bloc se fissure: cette hostilité à un éventuel durcissement du mouvement lâche en effet sept points.

Covid monde: 5,64 millions de morts

Covid monde: 5,64 millions de morts

En valeur absolue, les pays les plus importants ont logiquement enregistré le plus de décès du fait de la pandémie. Rapporté au nombre d’habitants, le classement et différent. De ce point de vue la France se situe dans le plan de tête des mœurs avec 1900 décès par million d’habitants ( 130 000 en valeur absolue). En Europe qui a été durement touchée le Royaume-Uni se situe dans une position encore plus catastrophique avec 2300 décès par million d’habitants et 155 000 en valeur absolue. À noter qu’en Allemagne on constate 1402 morts par million d’habitants soit nettement moins qu’en France

Au plan mondial,  pandémie a fait officiellement plus de 5,64 millions de morts dans le monde depuis fin décembre 2019, sur plus de 368 millions de contaminations confirmées, selon un bilan établi par l’AFP samedi à 15H00 GMT.

Les États-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de décès (882.881), devant le Brésil (625.884) et l’Inde (493.198).

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui qui est officiellement établi.

Des chiffres toutefois à relativiser car les systèmes de santé et de statistiques diffèrent beaucoup sans parler des manipulations à caractère politique.

Sondage Moral des Français : 64 % négatifs

Sondage Moral des Français : 64 % négatifs

 

 Le moral des Français est au plus bas : 64% d’entre eux ont, actuellement, un état d’esprit négatif, selon un sondage Opinion Way de fin octobre. Une proportion infiniment plus élevée que durant les années précédentes, où elle atteignait seulement 51% en 2017, 49% en 2018 et 50% en 2019. Et parmi les pensées noires les plus répandues, c’est la lassitude qui domine : 40% des Français la ressentent, le pourcentage atteignant même 47% chez les 35-54 ans. Puis, ce sont la morosité (28%), la méfiance (22%) et la peur (12%) qui les terrassent.

Les principales sources d’inquiétude des Français

Parmi les éléments qui inquiètent le plus les sondés, certains se placent tristement en tête. Sur le podium se trouvent les craintes d’être en mauvaise santé, de perdre l’un de ses proches ou encore d’avoir des problèmes financiers. La crise sanitaire de la COVID-19 ne se situe, en revanche, qu’à la quatrième position, avec une sur-représentation des 55-75 ans.

Sondage Passe sanitaire : 64% des Français pour dans les cafés restaurants

Sondage Passe sanitaire : 64% des Français pour dans les cafés restaurants

Selon un sondage Elabe «L’Opinion en direct» pour BFMTV, entre 64% et 77% des Français cautionnent la mise en place du passe sanitaire selon les lieux, des chiffres en augmentation par rapport à un sondage réalisé le mois dernier juste après les annonces du président de la République.

Dans les cafés, bars et restaurants, 64% des Français approuvent l’extension du passe sanitaire, soit 10 points de plus que dans le précédent sondage réalisé. L’approbation monte à 72% pour l’accès aux lieux de culture et à 77% pour les transports (avions, trains, cars longue distance). Pour l’accès aux hôpitaux, 65% des personnes interrogées approuvent le passe, une baisse d’un point cette fois-ci par rapport au mois dernier.

Défense : 64 % favorables à l’industrie française

Défense : 64 % favorables à l’industrie française

 

 

 

Selon un sondage IFOP 64% des Français ont une bonne image de l’industrie de l’armement (contre 23% une mauvaise image). Soit les deux tiers des Français. Ils ont également une bonne image de l’industrie aéronautique (79%), ce qui est le plus haut niveau enregistré parmi l’ensemble des filières industrielles citées dans le sondage. Là aussi un pied de nez aux écologistes les plus radicaux qui veulent rayer de la carte industrielle l’aéronautique en France.

Cerise sur le gâteau, le budget de la Défense en France, qui représente 1,9% du PIB, est pour 47% des sondés insuffisant (contre 34% suffisant). Contrairement à ce que laissent entendre les ONG, les Français restent également favorables à l’exportation de matériel d’armements (67% favorables, contre 33%), à la condition de mettre en place plus de contrôle et plus de transparence.

L’enjeu de la souveraineté est important pour preuve, l’industrie française de défense est indispensable pour assurer l’indépendance et la souveraineté de la France, selon 75% des sondés. L’importance de la souveraineté de la France en matière d’industrie de défense est jugée essentielle ou importante pour 80% des Français (contre 7%). Tout comme l’importance de la capacité de la France à se fournir de façon autonome en matière d’équipements de défense (80% des sondés).

outre, les trois quarts des Français reconnaissent à l’industrie de défense française une fonction régalienne : 72% considèrent qu’elle fournit aux forces armées les moyens d’assurer leurs missions ; 70% lui reconnaissent également un rôle dans le rayonnement de la France à l’international. Les deux tiers des sondés s’accordent également sur son impact économique et technologique positif : elle concentre beaucoup de R&D (69%) et elle a un impact économique positif (63%). En revanche, l’industrie de l’armement devra assurer un dialogue plus important avec les Français. C’est également un axe de travail pour les prochains candidats à la présidentielle. Car 67% des sondés estiment que les questions de défense ne sont pas assez évoquées dans le débat public.

———————————————–

(1) L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage Terrorisme: 64 % des Français inquiets

  • Sondage Terrorisme: 64 % des Français inquiets
  •  
  • Selon ‘lenquête Odoxa-Backbone Consulting réalisée pour Le Figaro et Franceinfo, ces deux derniers jours, auprès d’un échantillon de 1005 majeurs représentatif de la population française. «Après l’assassinat de Stéphanie Montfermé, la colère monte dans l’opinion: près des deux tiers des Français (64 %) disent avant tout ressentir ce sentiment plutôt que de la tristesse ou de la solidarité», souligne Gaël Sliman, le président de cet institut de sondage.
  • Près des trois quarts des Français (74 %) se disent favorables à une nouvelle loi,. Pas moins de 6 sur 10 perçoivent comme «efficaces» les quatre principales dispositions du nouveau projet de loi: doubler le temps de surveillance des islamistes dangereux sortant de prison, par exemple, ou bien «fermer tous les locaux dépendant d’un lieu de culte faisant l’objet d’une fermeture administrative», ou encore «tenir à l’écart des grands événements à venir (Euro, JO…) les individus fichés», mais aussi et surtout «faciliter les interventions au domicile des personnes soupçonnées en amont des procédures judiciaires».
  • Les trois-quarts des sondés sont pour la généralisation de l’usage des algorithmes de collecte et d’analyse des données pour ces motifs graves, et une grosse moitié approuve les personnalités politiques qui font le lien entre immigration et terrorisme.

Retrait de l’âge pivot à 64 ans : une victoire pour les syndicats réformistes

Retrait de l’âge pivot à 64 ans : une victoire pour les syndicats réformistes

Indéniablement,  il s’agit d’une victoire pour les syndicats réformistes avec ce retrait de l’âge pivot à 64 ans. Une victoire qui d’ailleurs rejoint l’opinion des Français concernant la réforme des retraites puisque d’après le dernier sondage IFOP 60 % des sondés étaient opposés à cette disposition. Ce retrait est toutefois suspendu  à la nécessité de trouver un rééquilibrage financier- justement ce que la CFDT demandait  avec une conférence de financement à laquelle le premier ministre a également été contraint d’adhérer. Après plus d’un mois de contestation sociale, le Premier ministre Edouard Philippe a donc reculé, dans une lettre adressée aux partenaires sociaux et  a annoncé  le retrait d’un âge pivot à 64 ans du projet de réforme des retraites, une mesure présentée comme un gage de “confiance” aussitôt saluée par la CFDT et l’Unsa.

Cette annonce, qui survient au lendemain d’une rencontre à Matignon entre le chef du gouvernement et les partenaires sociaux, pourrait permettre à l’exécutif de renouer, au moins temporairement, le lien avec les syndicats réformistes, favorables à son projet de “système universel à points” mais qui avaient fait du maintien de l’âge pivot un casus belli.

Le projet de loi prévoira “que le futur système universel comporte un âge d’équilibre” mais “pour démontrer ma confiance envers les partenaires sociaux et ne pas préjuger de l’issue de leurs travaux concernant les mesures à prendre pour atteindre l’équilibre en 2027, je suis disposé à retirer du projet de loi la mesure de court terme que j’avais proposée, consistant à converger progressivement à partir de 2022 vers un âge d’équilibre de 64 ans en 2027”, écrit Edouard Philippe.

Dans cette lettre, , le chef du gouvernement annonce son intention de s’en remettre concernant l’équilibre du système à la “conférence sur le financement”, voulue par la CFDT, qui sera animée par Jean-Jacques Marette, ancien directeur général de l’Agirc-Arrco et qui rendra ses conclusions d’ici fin avril.

“Si comme je l’espère un accord intervient au sein de la conférence d’ici fin avril, le Parlement pourra en tenir compte lors de la seconde lecture et le gouvernement prendra une ordonnance transcrivant cet accord dans la loi”, souligne-t-il.

“Dans l’hypothèse où un accord ne pourrait intervenir, le gouvernement prendra par ordonnance les mesures nécessaires pour atteindre l’équilibre 2027 et financer les nouvelles mesures de progrès social”, prévient-il comme pour habiller son. Recul

L’annonce du retrait de la mention de l’âge pivot à 64 ans – âge qui devra être atteint pour toucher une retraite à taux plein avec un système de bonus-malus – a été aussitôt saluée par l’Unsa, qui a évoqué dans un communiqué “une avancée majeure” et qui a estimé que les échanges pouvaient “enfin démarrer”.

“Nous avons obtenu le retrait de l’âge pivot, une victoire pour la CFDT !”, s’est de son côté félicité le numéro un de la CFDT, Laurent Berger sur Twitter. “Nous allons maintenant poursuivre notre action pour un système de retraite plus juste et solidaire”.

Dans un communiqué, sa centrale “salue le retrait de l’âge pivot du projet de loi, retrait qui marque la volonté de compromis du gouvernement” et annonce qu’elle va “poursuivre les discussions dans le cadre proposé pour répondre aux interrogations qui demeurent sur le futur régime universel.”

Cette annonce de reprise de dialogue ne devrait toutefois pas se traduire par un arrêt immédiat des perturbations dans les transports, la CGT et FO continuant de réclamer le retrait pur et simple de ce projet de réforme qui prévoit de fusionner les 42 régimes existants en un seul régime à points.

Sondage – quotas d’immigration économique: 64% pour

Sondage – quotas d’immigration économique: 64% pour

 

 

Un sondage qui n’est pas vraiment une surprise car sur n’importe quelles questions visant à réguler l’immigration les Français sont favorables à au moins 60 %. Selon un sondage Elabe  64% des Français sont favorables aux quotas migrations économiques. Cette option de l’exécutif, sans doute celle qui a été le plus abondamment commentée ces derniers jours, convainc notamment 75% des individus âgés de 65 ans et plus. Les bases respectives des différents états-majors politiques appuient largement cette proposition. 86% des anciens électeurs de François Fillon lors de la dernière présidentielle l’approuvent, 83% de ceux d’Emmanuel Macron également. Les électeurs de Marine Le Pen, eux, n’accordent qu’à 52% leur satisfecit. A gauche, aussi, on soutient aussi l’établissement de ces quotas. 59% des partisans de Jean-Luc Mélenchon vont en ce sens, comme 60% de ceux de Benoît Hamon.

La mise en place pour les bénéficiaires de l’AME d’un accord préalable de la Sécurité sociale en ce qui concerne les soins tenus pour non-urgents est aussi portée par l’opinion. 71% de nos concitoyens approuvent l’idée, 33% se proclamant même « très favorables ». 81% des 65 ans et plus s’inscrivent dans cette optique, comme 72% des cadres et 64% des employés et ouvriers. Du côté des affinités politiques, 86% des « fillonistes » disent aussi leur accord, à l’instar de 79% des « macroniens », 63% des « lepénistes », mais également 73% et 63% respectivement des électeurs de Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon.

70% des sondés posent encore leur adhésion à la mise en place d’un délai de carence de trois mois pour l’accès à la PUMA. 35% d’entre eux se disent même très favorables à cette mesure. 85% des sympathisants du candidat de la droite à la présidentielle plébiscitent cette décision. 78% des soutiens du chef de l’Etat font de même. 69% des électeurs de la patronne du Rassemblement national la portent aussi, tandis que 63% de l’électorat du leader de la France insoumise déclarent la même chose. Ce taux demeure majoritaire chez les partisans du fondateur de Génération.s: 57%. Le délai de carence entraîne 82% des 65 ans et plus dans son sillage, avec 66% des cadres et 65% des employés et ouvriers.

Enfin, 59% des Français sont opposés à l’Aide médicale d’Etat, en chute cependant de quatre points sur ce sujet par rapport à une consultation effectuée par l’institut de sondage en octobre dernier. 40% d’entre eux en revanche l’appuient. Parmi les différentes franges de la population, seules les personnes âgées de 18 à 24 ans sont majoritairement favorables à cette prestation sociale destinée pour l’essentiel à prendre en charge les soins des étrangers en situation irrégulière sur notre sol, avec un taux de 69%.

Etude Elabe réalisée pour BFMTV auprès d’un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet les 5 et 6 novembre 2019, avant donc l’annonce officielle des mesures par le Premier ministre ce mercredi. 

 

 

La sécheresse, alerte dans 64 départements : du pipeau

La sécheresse, alerte dans 64 départements : du pipeau

64 départements sont visés par des mesures de restrictions d’eau.  21 sont en situation de crise entraînant l’arrêt des prélèvements d’eau non prioritaires, y compris des prélèvements à des fins agricoles. Sur le terrain, en plein midi cela n’empêche pas d’arroser les maïs et même les prés. Par exemple dans le Maine et Loire, départements classé en zone rouge où le Louet bras de la Loire est pratiquement à sec. Par ailleurs, 16 départements sont placés en alerte renforcée (orange) et 27 en alerte jaune, et 121 arrêtés préfectoraux incitent à faire des économies d’eau.  Face à la sécheresse la France a mis en place un plan sophistiqué de lutte pour économiser l’eau. Il existe quatre niveaux de vigilance. Mais même dans les zones concernées par la plus haute vigilance zone dite rouge le plan de lutte contre la sécheresse apparaît à la fois dérisoire et non respectée. Dans ces zones dites rouges on peut toujours voir de nuit comme de jour des canons à eau arrosée des cultures souvent d’ailleurs en pure perte. En effet de jour 80% de cette eau s’évaporent aussitôt. Dans nombre de ces régions la culture de maïs très gourmande en eau est complètement inappropriée au climat. Des millions de tonnes d’eau sont ainsi gaspillés et l’interdiction de laver des voitures en comparaison paraît particulièrement désuète. La canicule fait encore des ravages.

Les départements du sud et de la Loire sont particulièrement touchés par cette période de sécheresse. Mais la sécheresse s’étend globalement sur l’ensemble du territoire. « Depuis juillet 2018, la pluviométrie sur la France est marquée par un déficit qui perdure notamment sur les régions du Grand-Est, de la Bourgogne-Franche-Comté ainsi qu’en Auvergne », indique Météo-France dans un bulletin. Si l’humidité des sols superficiels était proche de la normale jusqu’à juin, la canicule fin juin a contribué à assécher les sols. Depuis, « on reste dans des températures relativement élevées avec du vent, ce qui favorise l’évapo-transpiration », explique le Météo-France. Selon l’indicateur de sécheresse de Météo-France, calculé depuis 1958, « on est en septième position des années les plus sèches », après des années de sécheresse historiques comme 1976 et 2003.

 

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol