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Retraites–Sondage mobilisation : 64 % pour

Retraites–Sondage mobilisation : 64 % pour

D’après un sondage Elabe , non seulement 62 % condamnent la réforme des retraites mais 64% des Français se prononcent en faveur de la mobilisation. Soit un gain de huit points en sept jours. 22% des Français, en revanche, s’y opposent, et on dénombre 14% d’indifférents. Ils sont même 57 % à comprendre le blocage du pays

Les actifs sont de fervents soutiens des grévistes (69%, en progrès de quatre points en une semaine). Et les retraités sont désormais sur la même ligne dans leur majorité: à 55%, avec un gain de 15 points des sympathisants à la mobilisation dans le même intervalle. Et les signaux envoyés du sein même de la macronie ne sont guère encourageants pour le sommet de l’État: 46% des électeurs du président de la République désapprouvent le mouvement, mais ils sont 12% de moins qu’auparavant.

Les sondés endossent donc très largement les rassemblements et les marches contre le projet de réforme. Ils sont même 57% à aller plus loin en affirmant « comprendre le blocage du pays » vu comme « seul moyen pour que le gouvernement retire ou modifie sa réforme des retraites ». C’est deux points de plus en une semaine, tandis que ceux qui ne « comprendraient pas » un tel blocage, perdent deux points, à 42%. Les retraités font toujours bloc contre les blocages, à 56%, mais ledit bloc se fissure: cette hostilité à un éventuel durcissement du mouvement lâche en effet sept points.

Covid monde: 5,64 millions de morts

Covid monde: 5,64 millions de morts

En valeur absolue, les pays les plus importants ont logiquement enregistré le plus de décès du fait de la pandémie. Rapporté au nombre d’habitants, le classement et différent. De ce point de vue la France se situe dans le plan de tête des mœurs avec 1900 décès par million d’habitants ( 130 000 en valeur absolue). En Europe qui a été durement touchée le Royaume-Uni se situe dans une position encore plus catastrophique avec 2300 décès par million d’habitants et 155 000 en valeur absolue. À noter qu’en Allemagne on constate 1402 morts par million d’habitants soit nettement moins qu’en France

Au plan mondial,  pandémie a fait officiellement plus de 5,64 millions de morts dans le monde depuis fin décembre 2019, sur plus de 368 millions de contaminations confirmées, selon un bilan établi par l’AFP samedi à 15H00 GMT.

Les États-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de décès (882.881), devant le Brésil (625.884) et l’Inde (493.198).

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui qui est officiellement établi.

Des chiffres toutefois à relativiser car les systèmes de santé et de statistiques diffèrent beaucoup sans parler des manipulations à caractère politique.

Sondage Moral des Français : 64 % négatifs

Sondage Moral des Français : 64 % négatifs

 

 Le moral des Français est au plus bas : 64% d’entre eux ont, actuellement, un état d’esprit négatif, selon un sondage Opinion Way de fin octobre. Une proportion infiniment plus élevée que durant les années précédentes, où elle atteignait seulement 51% en 2017, 49% en 2018 et 50% en 2019. Et parmi les pensées noires les plus répandues, c’est la lassitude qui domine : 40% des Français la ressentent, le pourcentage atteignant même 47% chez les 35-54 ans. Puis, ce sont la morosité (28%), la méfiance (22%) et la peur (12%) qui les terrassent.

Les principales sources d’inquiétude des Français

Parmi les éléments qui inquiètent le plus les sondés, certains se placent tristement en tête. Sur le podium se trouvent les craintes d’être en mauvaise santé, de perdre l’un de ses proches ou encore d’avoir des problèmes financiers. La crise sanitaire de la COVID-19 ne se situe, en revanche, qu’à la quatrième position, avec une sur-représentation des 55-75 ans.

Sondage Passe sanitaire : 64% des Français pour dans les cafés restaurants

Sondage Passe sanitaire : 64% des Français pour dans les cafés restaurants

Selon un sondage Elabe «L’Opinion en direct» pour BFMTV, entre 64% et 77% des Français cautionnent la mise en place du passe sanitaire selon les lieux, des chiffres en augmentation par rapport à un sondage réalisé le mois dernier juste après les annonces du président de la République.

Dans les cafés, bars et restaurants, 64% des Français approuvent l’extension du passe sanitaire, soit 10 points de plus que dans le précédent sondage réalisé. L’approbation monte à 72% pour l’accès aux lieux de culture et à 77% pour les transports (avions, trains, cars longue distance). Pour l’accès aux hôpitaux, 65% des personnes interrogées approuvent le passe, une baisse d’un point cette fois-ci par rapport au mois dernier.

Défense : 64 % favorables à l’industrie française

Défense : 64 % favorables à l’industrie française

 

 

 

Selon un sondage IFOP 64% des Français ont une bonne image de l’industrie de l’armement (contre 23% une mauvaise image). Soit les deux tiers des Français. Ils ont également une bonne image de l’industrie aéronautique (79%), ce qui est le plus haut niveau enregistré parmi l’ensemble des filières industrielles citées dans le sondage. Là aussi un pied de nez aux écologistes les plus radicaux qui veulent rayer de la carte industrielle l’aéronautique en France.

Cerise sur le gâteau, le budget de la Défense en France, qui représente 1,9% du PIB, est pour 47% des sondés insuffisant (contre 34% suffisant). Contrairement à ce que laissent entendre les ONG, les Français restent également favorables à l’exportation de matériel d’armements (67% favorables, contre 33%), à la condition de mettre en place plus de contrôle et plus de transparence.

L’enjeu de la souveraineté est important pour preuve, l’industrie française de défense est indispensable pour assurer l’indépendance et la souveraineté de la France, selon 75% des sondés. L’importance de la souveraineté de la France en matière d’industrie de défense est jugée essentielle ou importante pour 80% des Français (contre 7%). Tout comme l’importance de la capacité de la France à se fournir de façon autonome en matière d’équipements de défense (80% des sondés).

outre, les trois quarts des Français reconnaissent à l’industrie de défense française une fonction régalienne : 72% considèrent qu’elle fournit aux forces armées les moyens d’assurer leurs missions ; 70% lui reconnaissent également un rôle dans le rayonnement de la France à l’international. Les deux tiers des sondés s’accordent également sur son impact économique et technologique positif : elle concentre beaucoup de R&D (69%) et elle a un impact économique positif (63%). En revanche, l’industrie de l’armement devra assurer un dialogue plus important avec les Français. C’est également un axe de travail pour les prochains candidats à la présidentielle. Car 67% des sondés estiment que les questions de défense ne sont pas assez évoquées dans le débat public.

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(1) L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage Terrorisme: 64 % des Français inquiets

  • Sondage Terrorisme: 64 % des Français inquiets
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  • Selon ‘lenquête Odoxa-Backbone Consulting réalisée pour Le Figaro et Franceinfo, ces deux derniers jours, auprès d’un échantillon de 1005 majeurs représentatif de la population française. «Après l’assassinat de Stéphanie Montfermé, la colère monte dans l’opinion: près des deux tiers des Français (64 %) disent avant tout ressentir ce sentiment plutôt que de la tristesse ou de la solidarité», souligne Gaël Sliman, le président de cet institut de sondage.
  • Près des trois quarts des Français (74 %) se disent favorables à une nouvelle loi,. Pas moins de 6 sur 10 perçoivent comme «efficaces» les quatre principales dispositions du nouveau projet de loi: doubler le temps de surveillance des islamistes dangereux sortant de prison, par exemple, ou bien «fermer tous les locaux dépendant d’un lieu de culte faisant l’objet d’une fermeture administrative», ou encore «tenir à l’écart des grands événements à venir (Euro, JO…) les individus fichés», mais aussi et surtout «faciliter les interventions au domicile des personnes soupçonnées en amont des procédures judiciaires».
  • Les trois-quarts des sondés sont pour la généralisation de l’usage des algorithmes de collecte et d’analyse des données pour ces motifs graves, et une grosse moitié approuve les personnalités politiques qui font le lien entre immigration et terrorisme.

Retrait de l’âge pivot à 64 ans : une victoire pour les syndicats réformistes

Retrait de l’âge pivot à 64 ans : une victoire pour les syndicats réformistes

Indéniablement,  il s’agit d’une victoire pour les syndicats réformistes avec ce retrait de l’âge pivot à 64 ans. Une victoire qui d’ailleurs rejoint l’opinion des Français concernant la réforme des retraites puisque d’après le dernier sondage IFOP 60 % des sondés étaient opposés à cette disposition. Ce retrait est toutefois suspendu  à la nécessité de trouver un rééquilibrage financier- justement ce que la CFDT demandait  avec une conférence de financement à laquelle le premier ministre a également été contraint d’adhérer. Après plus d’un mois de contestation sociale, le Premier ministre Edouard Philippe a donc reculé, dans une lettre adressée aux partenaires sociaux et  a annoncé  le retrait d’un âge pivot à 64 ans du projet de réforme des retraites, une mesure présentée comme un gage de “confiance” aussitôt saluée par la CFDT et l’Unsa.

Cette annonce, qui survient au lendemain d’une rencontre à Matignon entre le chef du gouvernement et les partenaires sociaux, pourrait permettre à l’exécutif de renouer, au moins temporairement, le lien avec les syndicats réformistes, favorables à son projet de “système universel à points” mais qui avaient fait du maintien de l’âge pivot un casus belli.

Le projet de loi prévoira “que le futur système universel comporte un âge d’équilibre” mais “pour démontrer ma confiance envers les partenaires sociaux et ne pas préjuger de l’issue de leurs travaux concernant les mesures à prendre pour atteindre l’équilibre en 2027, je suis disposé à retirer du projet de loi la mesure de court terme que j’avais proposée, consistant à converger progressivement à partir de 2022 vers un âge d’équilibre de 64 ans en 2027”, écrit Edouard Philippe.

Dans cette lettre, , le chef du gouvernement annonce son intention de s’en remettre concernant l’équilibre du système à la “conférence sur le financement”, voulue par la CFDT, qui sera animée par Jean-Jacques Marette, ancien directeur général de l’Agirc-Arrco et qui rendra ses conclusions d’ici fin avril.

“Si comme je l’espère un accord intervient au sein de la conférence d’ici fin avril, le Parlement pourra en tenir compte lors de la seconde lecture et le gouvernement prendra une ordonnance transcrivant cet accord dans la loi”, souligne-t-il.

“Dans l’hypothèse où un accord ne pourrait intervenir, le gouvernement prendra par ordonnance les mesures nécessaires pour atteindre l’équilibre 2027 et financer les nouvelles mesures de progrès social”, prévient-il comme pour habiller son. Recul

L’annonce du retrait de la mention de l’âge pivot à 64 ans – âge qui devra être atteint pour toucher une retraite à taux plein avec un système de bonus-malus – a été aussitôt saluée par l’Unsa, qui a évoqué dans un communiqué “une avancée majeure” et qui a estimé que les échanges pouvaient “enfin démarrer”.

“Nous avons obtenu le retrait de l’âge pivot, une victoire pour la CFDT !”, s’est de son côté félicité le numéro un de la CFDT, Laurent Berger sur Twitter. “Nous allons maintenant poursuivre notre action pour un système de retraite plus juste et solidaire”.

Dans un communiqué, sa centrale “salue le retrait de l’âge pivot du projet de loi, retrait qui marque la volonté de compromis du gouvernement” et annonce qu’elle va “poursuivre les discussions dans le cadre proposé pour répondre aux interrogations qui demeurent sur le futur régime universel.”

Cette annonce de reprise de dialogue ne devrait toutefois pas se traduire par un arrêt immédiat des perturbations dans les transports, la CGT et FO continuant de réclamer le retrait pur et simple de ce projet de réforme qui prévoit de fusionner les 42 régimes existants en un seul régime à points.

Sondage – quotas d’immigration économique: 64% pour

Sondage – quotas d’immigration économique: 64% pour

 

 

Un sondage qui n’est pas vraiment une surprise car sur n’importe quelles questions visant à réguler l’immigration les Français sont favorables à au moins 60 %. Selon un sondage Elabe  64% des Français sont favorables aux quotas migrations économiques. Cette option de l’exécutif, sans doute celle qui a été le plus abondamment commentée ces derniers jours, convainc notamment 75% des individus âgés de 65 ans et plus. Les bases respectives des différents états-majors politiques appuient largement cette proposition. 86% des anciens électeurs de François Fillon lors de la dernière présidentielle l’approuvent, 83% de ceux d’Emmanuel Macron également. Les électeurs de Marine Le Pen, eux, n’accordent qu’à 52% leur satisfecit. A gauche, aussi, on soutient aussi l’établissement de ces quotas. 59% des partisans de Jean-Luc Mélenchon vont en ce sens, comme 60% de ceux de Benoît Hamon.

La mise en place pour les bénéficiaires de l’AME d’un accord préalable de la Sécurité sociale en ce qui concerne les soins tenus pour non-urgents est aussi portée par l’opinion. 71% de nos concitoyens approuvent l’idée, 33% se proclamant même « très favorables ». 81% des 65 ans et plus s’inscrivent dans cette optique, comme 72% des cadres et 64% des employés et ouvriers. Du côté des affinités politiques, 86% des « fillonistes » disent aussi leur accord, à l’instar de 79% des « macroniens », 63% des « lepénistes », mais également 73% et 63% respectivement des électeurs de Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon.

70% des sondés posent encore leur adhésion à la mise en place d’un délai de carence de trois mois pour l’accès à la PUMA. 35% d’entre eux se disent même très favorables à cette mesure. 85% des sympathisants du candidat de la droite à la présidentielle plébiscitent cette décision. 78% des soutiens du chef de l’Etat font de même. 69% des électeurs de la patronne du Rassemblement national la portent aussi, tandis que 63% de l’électorat du leader de la France insoumise déclarent la même chose. Ce taux demeure majoritaire chez les partisans du fondateur de Génération.s: 57%. Le délai de carence entraîne 82% des 65 ans et plus dans son sillage, avec 66% des cadres et 65% des employés et ouvriers.

Enfin, 59% des Français sont opposés à l’Aide médicale d’Etat, en chute cependant de quatre points sur ce sujet par rapport à une consultation effectuée par l’institut de sondage en octobre dernier. 40% d’entre eux en revanche l’appuient. Parmi les différentes franges de la population, seules les personnes âgées de 18 à 24 ans sont majoritairement favorables à cette prestation sociale destinée pour l’essentiel à prendre en charge les soins des étrangers en situation irrégulière sur notre sol, avec un taux de 69%.

Etude Elabe réalisée pour BFMTV auprès d’un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet les 5 et 6 novembre 2019, avant donc l’annonce officielle des mesures par le Premier ministre ce mercredi. 

 

 

La sécheresse, alerte dans 64 départements : du pipeau

La sécheresse, alerte dans 64 départements : du pipeau

64 départements sont visés par des mesures de restrictions d’eau.  21 sont en situation de crise entraînant l’arrêt des prélèvements d’eau non prioritaires, y compris des prélèvements à des fins agricoles. Sur le terrain, en plein midi cela n’empêche pas d’arroser les maïs et même les prés. Par exemple dans le Maine et Loire, départements classé en zone rouge où le Louet bras de la Loire est pratiquement à sec. Par ailleurs, 16 départements sont placés en alerte renforcée (orange) et 27 en alerte jaune, et 121 arrêtés préfectoraux incitent à faire des économies d’eau.  Face à la sécheresse la France a mis en place un plan sophistiqué de lutte pour économiser l’eau. Il existe quatre niveaux de vigilance. Mais même dans les zones concernées par la plus haute vigilance zone dite rouge le plan de lutte contre la sécheresse apparaît à la fois dérisoire et non respectée. Dans ces zones dites rouges on peut toujours voir de nuit comme de jour des canons à eau arrosée des cultures souvent d’ailleurs en pure perte. En effet de jour 80% de cette eau s’évaporent aussitôt. Dans nombre de ces régions la culture de maïs très gourmande en eau est complètement inappropriée au climat. Des millions de tonnes d’eau sont ainsi gaspillés et l’interdiction de laver des voitures en comparaison paraît particulièrement désuète. La canicule fait encore des ravages.

Les départements du sud et de la Loire sont particulièrement touchés par cette période de sécheresse. Mais la sécheresse s’étend globalement sur l’ensemble du territoire. « Depuis juillet 2018, la pluviométrie sur la France est marquée par un déficit qui perdure notamment sur les régions du Grand-Est, de la Bourgogne-Franche-Comté ainsi qu’en Auvergne », indique Météo-France dans un bulletin. Si l’humidité des sols superficiels était proche de la normale jusqu’à juin, la canicule fin juin a contribué à assécher les sols. Depuis, « on reste dans des températures relativement élevées avec du vent, ce qui favorise l’évapo-transpiration », explique le Météo-France. Selon l’indicateur de sécheresse de Météo-France, calculé depuis 1958, « on est en septième position des années les plus sèches », après des années de sécheresse historiques comme 1976 et 2003.

 

Sondage-Les médias servent la soupe au pouvoir (64% des Français)

Sondage-Les médias servent la soupe au pouvoir (64% des Français)

 

Dans la période récente, les journalistes ont  particulièrement mal apprécié les critiques dont ils ont été l’objet pour leur parti pris vis-à-vis des élites auxquels d’ailleurs il s’assimile un peu vite. En fait, les Français sont lucides quand ils constatent que les journalistes défendent surtout le point de vue des plus aisés. 64% des sondés considèrent que les médias sont « trop proches du pouvoir et des élites » d’après le baromètre Viavoice pour  France Télévisions, France Médias Monde, Le Journal du Dimanche et Radio France. Un résultat cohérent quand on sait que la plus grande partie de la presse privée et désormais détenu par des financiers. Les médias publics consciemment ou inconsciemment sont bien contraints de ne pas contrarier le pouvoir en place même s’il s’autorise quelque les écarts contestataires. Certes plus de 9 Français sur 10 pensent que le journalisme est « utile », un niveau pratiquement stable par rapport à l’an dernier, mais une très large majorité juge les médias sensationnalistes et biaisés, selon ce sondage. Autre caractéristique l’alignement en tout cas le rapprochement des lignes éditoriales à peu près toutes orientées vers le même point de vue. Conséquence,

63% des sondés estiment que les médias « disent tous la même chose ». 

 77% jugent que les médias « privilégient toujours les informations sensationnelles ou la violence »; et 72% estiment qu’ils ne représentent pas les différents points de vue de manière équitable.

. De même, 70% leur reprochent d’être influencés par leurs actionnaires et 66% par « les personnalités politiques au pouvoir puisque c’est en partie l’État qui les finance ». Et ils sont 64% à les juger « trop proches du pouvoir et des élites ». Une courte majorité de 53% des sondés reprochent en outre aux journalistes de ne parler que de ce qui va mal, et 43% estiment qu’ils ne comprennent pas les gens du peuple « car la plupart vivent à Paris avec des revenus élevés », contre 46% qui sont d’avis contraire.

Enfin, 53% affirment que les médias ont mal couvert le mouvement des « gilets jaunes ». Mais 77% jugent inadmissible qu’on puisse s’en prendre physiquement à des journalistes et 72% pensent que certains politiques ont une part de responsabilité dans la violence à l’encontre des médias.

Cette étude a été réalisée du 11 au 18 février auprès d’un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française adulte, constitué selon la méthode des quotas.

Retraites : 63 ans en 2025 et 64 ans en 2035

Retraites : 63 ans en 2025 et 64 ans en 2035

 

 

On ne toucherait pas au mythique âge de départ à la retraite mais le gouvernement penserait mettre un système de bonus malus pour encourager les Français à partir à 63 ans en 2025 et 64 ans en 2035. Des dispositions qui permettraient d’après le conseil d’orientation des retraites d’assurer l’équilibre financier des régimes. Un système similaire est en vigueur depuis 2015 pour les régimes de retraite complémentaire du privé Arrco et Agirc. À compter du 1er janvier 2019, un salarié du secteur privé pourra en effet toucher une retraite complémentaire à taux plein à 63 ans. S’il décide de partir à la retraite à 62 ans et sollicite sa retraite complémentaire à ce moment-là, sa pension complémentaire sera minorée. Au contraire, s’il choisit de prolonger sa carrière au-delà de 63 ans, sa pension complémentaire sera dopée lorsqu’il partira à la retraite. Pour le court terme la négociation est encore loin d’être terminée car de nombreux autres aspects doivent être pris en compte comme les carrières longues, le temps de cotisation. Emmanuel macro souhaitait  aller relativement vite sur cette question, il voulait  qu’une loi soit votée en juin toutefois les discussions pourraient durer plus longtemps et même toute l’année 2019. En effet Macron n’est plus en situation politique  pour imposer une grande réforme à la hussarde. En outre, son slogan un euro de cotisation pour la retraite vaut la même chose pour tout le monde manque sérieusement de contenu. Enfin l’équilibre des régimes de retraite dépend aussi du rapport entre nombreux d’actifs et nombre d’inactifs. De ce point de vue, tout dépend de l’évolution démographique mais aussi de la croissance. Il serait bien illusoire de prévoir quelle sera cette croissance en 2025 et en 2035. Sans doute pourquoi la France se lance à peu près tous les cinq ans dans un travail de réforme des retraites. Sur le long terme la problématique risque donc de se reposer.

Sondage Gouvernement : 64% de mécontents, pourquoi ?

Sondage Gouvernement : 64% de mécontents,  pourquoi ?

Macron ne bénéficie plus que d’un soutien de 38% des français (sondage Kandar) et 64% des Français se disent « mécontents  de l’action du gouvernement en ce qui concerne les  »questions économiques et sociales » révèle un autre  sondage Odoxa-Dentsu Consulting du 9 novembre  pour franceinfo. Plus globalement  Six Français sur dix (59%) se disent  « mécontents » de l’action du gouvernement d’Edouard Philippe depuis six mois. Pas étonnant que Macron ne soit plus soutenu que par 38% des Français. C’est surtout le domaine économique et social qui alimente les mécontentements. En cause sûrement un déficit de pédagogie et déséquilibre entre le champ social et le champ économique. Aussi le manque de vision d’avenir qui pourrait légitimer les réformes. Enfin une certaine suffisance des responsables d’en marche, souvent brillants mais comme Macron assez imperméables à toute critique. Bref un peu trop technos  et pas assez politiques. Difficile aussi de demander des efforts aux Français quand l’Etat lui-même n’a même pas réduit son train de vie (l’amélioration de l’équilibre budgétaire vient mécaniquement de la hausse de croissance).   Dans ces mécontents, 40% se disent « plutôt mécontents », et 19% « très mécontents ». 41% des Français s’en disent satisfaits, dont 4% « très satisfaits ».  L’irritation est particulièrement marquée au Front national (77% de mécontents) et à gauche (76% de mécontents). La satisfaction, minoritaire, est nettement plus forte en revanche auprès des sympathisants de droite (46% de satisfaits). Le gouvernement satisfait ainsi deux fois plus de sympathisants de droite que de gauche (24% de satisfaits). Le bilan détaillé du gouvernement par grands domaines d’action n’est pas aussi mauvais, précise le sondage. Sur quatre grands domaines d’action testés, trois d’entre eux bénéficient d’une majorité de jugements favorables, et un pâtit de jugements négatifs : 64% des Français se disent « mécontents «de l’action du gouvernement en ce qui concerne les  »questions économiques et sociales ». Sur l’Europe et l’international, tout comme sur la sécurité, 55% des sondés se disent satisfaits de l’action du gouvernement. Ils sont 52% de satisfaits contre 47% de mécontents sur les questions d’éducation.

Ce sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro a été réalisé par internet les 8 et 9 novembre 2017, auprès d’un échantillon de 999 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, parmi lesquelles 207 sympathisants de gauche, 119 sympathisants En Marche, 135 sympathisants de droite hors FN, et 175 sympathisants du FN. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession de l’interviewé, après stratification par région et catégorie d’agglomération.

 

Sondage Gouvernement : 64% de mécontents de la politique économique et sociale

Sondage Gouvernement : 64% de mécontents de la politique économique et sociale

64% des Français se disent « mécontents «de l’action du gouvernement en ce qui concerne les  »questions économiques et sociales » révèle un sondage Odoxa-Dentsu Consulting du 9 novembre  pour franceinfo. Plus globalement  Six Français sur dix (59%) se disent g « mécontents » de l’action du gouvernement d’Edouard Philippe depuis six mois. Dans ces mécontents, 40% se disent « plutôt mécontents », et 19% « très mécontents ». 41% des Français s’en disent satisfaits, dont 4% « très satisfaits ».  L’irritation est particulièrement marquée au Front national (77% de mécontents) et à gauche (76% de mécontents). La satisfaction, minoritaire, est nettement plus forte en revanche auprès des sympathisants de droite (46% de satisfaits). Le gouvernement satisfait ainsi deux fois plus de sympathisants de droite que de gauche (24% de satisfaits). Le bilan détaillé du gouvernement par grands domaines d’action n’est pas aussi mauvais, précise le sondage. Sur quatre grands domaines d’action testés, trois d’entre eux bénéficient d’une majorité de jugements favorables, et un pâtit de jugements négatifs : 64% des Français se disent « mécontents «de l’action du gouvernement en ce qui concerne les  »questions économiques et sociales ». Sur l’Europe et l’international, tout comme sur la sécurité, 55% des sondés se disent satisfaits de l’action du gouvernement. Ils sont 52% de satisfaits contre 47% de mécontents sur les questions d’éducation.

Ce sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro a été réalisé par internet les 8 et 9 novembre 2017, auprès d’un échantillon de 999 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, parmi lesquelles 207 sympathisants de gauche, 119 sympathisants En Marche, 135 sympathisants de droite hors FN, et 175 sympathisants du FN. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession de l’interviewé, après stratification par région et catégorie d’agglomération.

Sondage Macron : 64 % des Français mécontents

Sondage Macron : 64 % des Français mécontents

 

Un sondage Ifop du Figaro montre un écroulement de la popularité de Macon soutenu uniquement maintenant par 36 % des Français. En cause sans doute, quelque, maladresse, un excès de com. mais aussi le fait que le phénomène en Marche repose essentiellement sur Macron. Aucun membre du gouvernement ne parvient réellement à s’imposer pour rééquilibrer la présence un peu trop pesante de Macron dans les médias. Même chose pour le parti en Marche dont les statuts révèlent qu’il ressemble davantage un club de fans qu’apolitique même si en marche inondent ses adhérents de communiquées. Le risque c’est que macro soit en fait isolé dans sa tour d’ivoire en outre aveuglé par des technocrates courtisans incapables de leur rendre compte des réalités sociales et sociétales. Notons enfin que le président de la république ce tu par excès au premier ministre pour annoncer des mesures alors que son rôle devrait se recentrer sur l’explication des enjeux sociaux économiques notamment et sur la vision. L’institut a interrogé les Français sur une quinzaine de mesures prises ou annoncées par le chef de l’Etat depuis sa prise de fonction. Une des mesures les plus populaires est la réduction du budget de certains ministères pour ramener comme promis le déficit public sous la limite européenne de 3% du produit intérieur brut (57% de satisfaction). Le vote de la loi de moralisation de la vie publique est salué par 55% des sondés et la suppression progressive de la taxe d’habitation pour 80% des foyers par 52% d’entre eux. A l’inverse, la baisse des allocations logement de cinq euros par mois recueille 60% d’opinions défavorables, la hausse de la CSG pour financer une baisse des cotisations salariales en recueille 53% et le projet de réforme du droit du travail 51%. Dans la crise politique qui a opposé Emmanuel Macron à l’ancien chef d’état major des armées en raison d’une coupe de 850 millions d’euros du budget de la Défense, seuls 18% des Français soutiennent le président contre 41% pour Pierre de Villiers. Le sondage a été réalisé en ligne du 7 au 9 août auprès d’un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Popularité : Macron et Philippe à 64 %

Popularité : Macron et Philippe à 64 %

 

Emmanuel Macron et Edouard Philippe recueillent l’un et l’autre 64% d’opinions favorables dans le baromètre mensuel Ifop-JDD, soit une progression de 2 points par rapport au mois de mai pour le président de la République, et une percée spectaculaire de 9 points pour le Premier ministre. Certes, la proportion de jugements négatifs augmente dans le même temps (35% de mécontents pour le chef de l’Etat, 32% pour le chef du gouvernement) à mesure que le nombre des indécis se réduit, mais cette évolution n’empêche pas le duo de tête de surfer sur une vague positive, renforcée par son succès aux élections législatives et l’arrivée d’une large majorité absolue à l’Assemblée nationale pour La République en marche. Et si la popularité d’Emmanuel ­Macron résulte, sans surprise, de ses premiers pas réussis – et fort bien mis en scène – à l’Élysée comme sur la scène internationale, celle d’Edouard Philippe est plus surprenante, dans la mesure où ses débuts à lui ont été autrement discrets. Le premier ministre actuel  fait mieux que François Fillon (61% en juin 2007), Jean-Pierre Raffarin (54% en juin 2002), Michel ­Rocard (53% en juin 1988), et même son ancien mentor Alain Juppé (55% en juin 1995).

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