Archive pour le Tag '64 ans'

Retraites: : La CPME ouverte sur les 64 ans

Retraites:  : La CPME ouverte sur les 64 ans

La CPME s’est déclarée ouverte pour engager éventuellement un débat sur les 64 ans mais à condition de ne pas mettre en cause l’équilibre financier global ce qui suppose de prendre en compte l’évolution de la démographie.

Le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) Amir Reza-Tofighi s’est dit «prêt» à discuter avec les syndicats de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, à condition qu’un mécanisme d’indexation sur l’espérance de vie soit mis en place. Alors que les partenaires sociaux vont négocier, à partir de la fin février, une révision de la réforme des retraites de 2023, le dirigeant a affirmé que «pour sortir du blocage actuel, la CPME est prête à étudier la question des 64 ans», dans une interview aux Échos à paraître mardi.

«Les syndicats portent cette revendication. De mon côté, je ne suis pas un homme de posture. Je réponds, au nom de la CPME (…) Évoquons ce point ! », a-t-il ajouté. «Mais à condition d’indexer l’âge de départ sur l’espérance de vie. Lorsque celle-ci augmente, il faut un mécanisme automatique pour éviter un débat politique à chaque fois», a détaillé le chef d’entreprise.

Société-Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

Société-Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

En fonction de l’âge de naissance le nombre de trimestres validés varie pour permettre un départ à 64 ans avec un taux plein. On s’oriente progressivement vers un nombre de trimestres nécessaires de 43 ans

Par exemple  vous êtes né à partir du 1er janvier 1965, vous devez avoir 172 trimestres validés, soit l’équivalent de 43 ans de carrière. Il est probable que ces 43 ans seront retenus à l’occasion de la nouvelle réflexion engagée sur la réforme. Quand on sait qu’en moyenne les jeunes Français commencent leur carrière professionnelle à 21 ans on aboutit donc à 64 ans. Pourquoi dès lors fixer cet âge car ce qui compte c’est évidemment le nombre d’années de carrière  ( à adapter selon la pénibilité)  qui en moyenne mène au même résultat  mais tient compte du temps de travail sur toute la vie. En réalité , le tabou des 64 ans est devenu surtout un objet de clivage politique entre notamment la droite et la gauche alors que la réforme doit être autrement plus complexe et plus juste que la ligne rouge légale des 64 ans.

Par ailleurs dans la réalité, l’âge moyen de la retraite en France n’a cessé d’augmenter, passant de 61,1 ans en 2008 à 63,4 ans 15 ans plus tard.

Social -Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

Social -Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

En fonction de l’âge de naissance le nombre de trimestres validés varie pour permettre un départ à 64 ans avec un taux plein. On s’oriente progressivement vers un nombre de trimestres nécessaires de 43 ans

Par exemple  vous êtes né à partir du 1er janvier 1965, vous devez avoir 172 trimestres validés, soit l’équivalent de 43 ans de carrière. Il est probable que ces 43 ans seront retenus à l’occasion de la nouvelle réflexion engagée sur la réforme. Quand on sait qu’en moyenne les jeunes Français commencent leur carrière professionnelle à 21 ans on aboutit donc à 64 ans. Pourquoi dès lors fixer cet âge car ce qui compte c’est évidemment le nombre d’années de carrière qui en moyenne mène au même résultat  mais tient compte du temps de travail sur toute la vie. En réalité , le tabou des 64 ans est devenu surtout un objet de clivage politique entre notamment la droite et la gauche alors que la réforme doit être autrement plus complexe et plus juste que la ligne rouge légale des 64 ans.

Par ailleurs dans la réalité, l’âge moyen de la retraite en France n’a cessé d’augmenter, passant de 61,1 ans en 2008 à 63,4 ans 15 ans plus tard.

Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

En fonction de l’âge de naissance le nombre de trimestres validés varie pour permettre un départ à 64 ans avec un taux plein. On s’oriente progressivement vers un nombre de trimestres nécessaires de 43 ans

Par exemple  vous êtes né à partir du 1er janvier 1965, vous devez avoir 172 trimestres validés, soit l’équivalent de 43 ans de carrière. Il est probable que ces 43 ans seront retenus à l’occasion de la nouvelle réflexion engagée sur la réforme. Quand on sait qu’en moyenne les jeunes Français commencent leur carrière professionnelle à 21 ans on aboutit donc à 64 ans. Pourquoi dès lors fixer cet âge car ce qui compte c’est évidemment le nombre d’années de carrière qui en moyenne mène au même résultat  mais tient compte du temps de travail sur toute la vie. En réalité le tabou des 64 ans est devenu surtout un objet de clivage politique entre notamment la droite et la gauche alors que la réforme doit être autrement plus complexe que la ligne rouge légale des 64 ans.

Par ailleurs dans la réalité, l’âge moyen de la retraite en France n’a cessé d’augmenter, passant de 61,1 ans en 2008 à 63,4 ans 15 ans plus tard.

Retraites: Pas de vote de l’Assemblée nationale sur les 64 ans

Retraites: Pas de vote de l’Assemblée nationale sur les 64 ans !

Finalement sur l’une des principales dispositions de la réforme des retraites à savoir l’âge de départ à 64 ans l’Assemblée nationale n’aura pu voter faute de temps. Du coup, la réforme sera maintenant examinée par le Sénat.

Vendredi, à minuit, heure butoir, la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a prononcé la fin des débats, contraints dans le temps par la procédure législative choisie par l’exécutif. Y rester alors encore plus de 7000 amendements à examiner !

« Nous arrivons désormais au terme des débats (…) C’est donc dans le respect de la Constitution que nos débats doivent désormais prendre fin. (…) Mesdames et Messieurs les députés insoumis, vous m’avez insulté quinze jours mais personne n’a craqué, et nous sommes là, devant vous, pour la réforme », a déclaré en fin de séance le ministre du Travail, Olivier Dussopt.

Peu avant 22 heures, il restait encore un peu plus de 7 000 amendements à examiner sur le projet de loi.

« Le gouvernement passe en force en utilisant l’article 47-1 de la Constitution. Il refuse de poursuivre les débats », a fustigé la présidente du groupe LFI à l’Assemblée, Mathilde Panot. Dans la soirée, le groupe écologiste a dénoncé auprès de l’AFP « un raté stratégique » de La France insoumise sur l’examen de la réforme, illustrant des divergences au sein de la coalition de gauche. Jeudi soir, Jean-Luc Mélenchon avait jugé « incompréhensible » le retrait d’amendements à gauche et appelé les députés à ne pas se « précipiter » vers l’article 7.

« Nous donnons une image déplorable de la démocratie », a regretté Charles de Courson (groupe indépendant Liot). « Notre texte va partir au Sénat sans que la représentation nationale n’ait voté (…). Nous risquons un sujet d’inconstitutionnalité, la sincérité des débats est en cause », a également déclaré le député Les Républicains Aurélien Pradié, demandant vendredi soir des précisions sur le dispositif des « carrières longues ». Vendredi soir, les débats ont entre autre buté sur ce dispositif et le nombre d’années, 43 ou 44, que vont devoir cotiser les personnes concernées. Des députés ont fustigé le flou du gouvernement sur cette question.

Au début de la semaine du 13 mars, sept députés et sept sénateurs se réuniront pour tenter de trouver un accord sur les principales mesures de la réforme, le principe usuel des commissions mixtes paritaires. En cas d’accord, le texte devra encore être adopté définitivement par l’Assemblée nationale et le Sénat.

La justification de la Retraites à 64 ans

La justification de la Retraites à 64 ans

Par Éric Pichet, Kedge Business School.

Un constat de la problématique des retraites mais qui n’approfondit pas le problème de l’emploi prolongé des seniors puisque même « l’index » pourtant peu contraignant semble désormais abandonné. Or l’emploi des seniors est au cœur de la réforme sinon on assistera simplement un déplacement du coût des sans-emploi ( dépenses maladies, handicaps, chômage). Notons aussi que les questions d’égalité entre le privé et le public ne sont pas traitées. NDLR

En 1960, on comptait quatre cotisants pour un retraité en 1960, deux pour un en 2004 et seulement 1,7 pour un en 2019. Sans réforme, on passerait mécaniquement à 1,5 pour un en 2040.

Dans son rapport annuel publié en septembre 2022, le Conseil d’orientation des retraites (COR) avait calculé que le déficit du système des retraites atteindrait 13,5 milliards en 2030, soit 0,5 % du PIB sur la base d’un scénario de croissance de 1,3 % conforme à nos analyses, d’un accroissement de la productivité de 1 % par an comme la dernière décennie et d’un taux de chômage très optimiste estimé par le gouvernement du fait des réformes structurelles en cours à seulement 4,5 %.

Si ce taux de chômage devait rester au niveau actuel de 7 %, le déficit s’élèverait à 20 milliards en 2030 ou 0,8 % du PIB. Cette dernière hypothèse nous semble plus réaliste car les dernières années ont montré que les crises économiques pouvaient être extrêmement violentes d’autant que l’endettement mondial et le risque climatique n’ont jamais été aussi élevés. La nécessité d’une réforme destinée à assurer l’équilibre et la soutenabilité du système des retraites ne fait donc comptablement guère de doute, même avec les hypothèses optimistes du gouvernement.
17,7 milliards de recettes en plus en 2030.

Le projet de loi présenté en conseil des ministres le 23 janvier renoue avec la tradition des réformes dites « paramétriques », qui jouent sur la durée de cotisation et l’âge légal de départ, dans la lignée des précédentes de 1993, 2003, 2010 et 2014.

Dans ce cadre, les seules solutions pérennes impliquent soit une baisse des pensions rejetée par l’opinion et écartée par le gouvernement ; soit une hausse des cotisations patronales exclue au nom de la compétitivité des entreprises, le coût du travail étant déjà parmi les plus élevés en Europe ; soit enfin une hausse des cotisations salariales refusée au nom de la sauvegarde d’un pouvoir d’achat déjà sous tension.

L’augmentation globale du temps de travail des actifs qui passe principalement par l’allongement de la durée du travail moyen apparaît donc comme la moins mauvaise des solutions paramétriques.
La réforme proposée prévoit ainsi de jouer simultanément sur les deux paramètres clés. Le premier est l’allongement de l’âge légal, de 62 ans à 64 ans en 2030 (en 1945 à la création de notre système de retraite par répartition il était de 65 ans… soit l’espérance de vie moyenne des hommes). Le second est l’accélération d’ici 2027 (au lieu de 2034) de la réforme précédente de 2014 qui portait sur le nombre de trimestres nécessaires pour une retraite à taux plein à 172 trimestres, soit 43 ans contre 167 trimestres. Cet allongement de la vie active procurerait un surcroît de recettes de 17,7 milliards en 2030, permettant de financer pour 4,8 milliards de mesures sociales prévues dans la réforme (pour la pénibilité, les carrières longues, le minimum de 1200 euros brut pour une carrière complète, etc.).

Le report de l’âge légal vise en outre à accroître le taux d’activité des seniors. Ce dernier reste en effet relativement faible en France avec seulement 56 % des 55-64 ans en emploi contre 61 % en zone euro, 72 % en Allemagne et 77 % en Suède. Avec le même taux d’emploi des seniors qu’en Suède, nous aurions 1,6 million de seniors supplémentaires en activité, soit autant de cotisants supplémentaires et une hausse de 10 points de ce taux de 56 % à 66 % suffirait à combler la totalité du déficit attendu en 2030.

Comme on l’a constaté avec les réformes de 2010 (de 60 ans à 62 ans) et de 2014, l’allongement de l’âge légal et de la durée de cotisation a un impact significatif sur le taux d’emploi des 55-64 ans, qui est passé de 40 % en 2009 à 56 % aujourd’hui. Enfin, l’instauration dès 2024 d’un « index seniors », qui obligera toutes les entreprises de plus de 300 salariés à publier leur taux d’emploi de salariés de plus de 55 ans, devrait encourager cette tendance.

L’enjeu de l’équilibre de notre système de retraites ne se limite plus au dialogue social entre syndicats et patronats : il constitue une véritable question de finances publiques car si les régimes de retraités des salariés et des indépendants sont à l’équilibre, ceux de la fonction publique, des régimes spéciaux et des exploitants agricoles n’y parviennent que grâce à une contribution de l’État d’environ 30 milliards euros par an, soit 1 % du PIB. La réduction du déficit public, l’un des plus élevés de la zone euro à 5 % du PIB, devenant une priorité absolue elle nécessitera à moyen terme de nouvelles réformes des retraites (d’autant plus que la réforme actuelle prévoit des dispositifs pour les métiers pénibles, mal définis à ce stade, qu’il faudra financer).
Comme il sera difficile de reporter à nouveau l’âge légal, une mesure contre laquelle les Français se sont mobilisés en masse le jeudi 19 janvier, la question de la contribution des retraités à l’équilibre du système pourrait bien se reposer dans les prochaines années, d’autant que leur niveau de vie est désormais supérieur à celui des actifs.

La manière la plus efficace et la moins brutale serait sans doute de limiter la valorisation des pensions, comme cela fut le cas au cours de deux dernières décennies. Le relèvement de la contribution sociale généralisée (CSG) sur les revenus de remplacement, instaurée en 1994 et qui représente aujourd’hui 2 % des ressources du système de retraite, constitue également une voie.
Si la complexité des quatre taux de CSG défie le bon sens (de l’exonération totale à un taux réduit de 3,8 % entre 11 432 et 14 944, puis un taux médian de 6,6 % entre 14 945 et 23 193 et enfin un taux de 8,3 % au-delà ce dernier seuil), rien ne peut justifier qu’un retraité gagnant 5 000 ou 10 000 euros par mois paie moins de CSG sur ses revenus qu’un smicard imposé à 9,2 %…
Les futurs gouvernements pourront également être amenés à remettre en cause certaines niches fiscales, comme l’abattement « pour frais professionnels » (sic) de 10 % sur les pensions (plafonné à 3 912 euros en 2021) qui coûte 4,2 milliards d’euros par an et qui n’a aucune légitimité. Mais ce chantier électoralement très sensible n’est bien entendu pas pour tout de suite.
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Par Éric Pichet, Professeur et directeur du Mastère Spécialisé Patrimoine et Immobilier, Kedge Business School
La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

Covid-19 : la vaccination aux 50 à 64 ans, encore une fausse promesse !

 

Covid-19 : la vaccination aux  50 à 64 ans, encore une fausse promesse !

Alors que la France est même incapable de vacciner l’ensemble de la population des plus de 75 ans les promesses de vacciner d’autres catégories se multiplient. Ainsi on a appris que les médecins généralistes seraient autorisés à vacciner certains patients. De la même manière, on a annoncé que les salariés pourraient bénéficier de vaccination prioritaire. Récemment le ministre de la santé a annoncé que la vaccination serait ouverte aux personnes âgées de 50 à 64 ans. Dans la réalité, la plupart des centres de vaccination ne disposent plus de réserves de vaccins, sont fermés et ne répondent à aucun appel téléphonique.

Olivier Véran a pourtant indiqué que la campagne de vaccination va prendre « encore plus d’ampleur en mars » avec l’accès au vaccin AstraZeneca pour tous les Français âgés de 50 à 64 ans.

Le Medef pour un report l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans

Le Medef pour un report  l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans

 

On peut évidemment comprendre au vu des chiffres que le départ à la retraite soit décalé dans le temps, surtout pour l’âge réel. Reste que la question est de savoir si les entreprises accepteront de garder en leur sein des travailleurs âgés de 63 et 64 ans (moins de 30 % des 60-64 ans sont aujourd’hui en emploi et une personne sur deux qui liquide sa retraite n’est plus en activité). Par ailleurs l’équité serait de faire un net distinguo entre les retraites des salariés aux conditions de travail très difficile et celle des autres.( La différence de l’espérance de vie pouvant atteindre 10 ans. Il y avait Deux cotisants pour un retraité au début des années 2000, ce ratio s’effondrera à 1,3 cotisant pour un retraité à horizon 2060 ; le niveau de dépenses actuellement consacré aux retraites s’élève à 14 % du PIB, soit 4 points de plus que l’Allemagne et 6 que dans les pays de l’OCDE ; et le temps passé à la retraite atteint 27,2 ans dans l’Hexagone, contre 22,8 ans outre-Rhin, 20,7 ans aux États-Unis ou 16,6 ans en Corée du Sud. Le Medef propose donc progressivement de décaler l’âge légal du départ en retraite à 64 ans. Le Medef propose une solution radicale: «indexer mécaniquement l’âge légal sur l’évolution de l’espérance de vie» à partir de 2028, une fois atteint la borne des 64 ans. Et pour lever les hypothèques qui pèsent toujours sur la réforme du gouvernement (notamment sur le rythme et les règles de convergence des régimes), il fait deux préconisations inédites. Primo, que le régime universel promis par Emmanuel Macron soit à deux étages: avec un socle commun de solidarité (minimum vieillesse…) piloté par l’État et financé par l’impôt ; et un régime par répartition intégralement abondé par les cotisations des actifs. Secundo, de basculer tous les régimes dans un système par points avant d’organiser leur convergence effective (en termes d’âge, de droits familiaux…) et ce, «au même rythme entre le public et le privé».

 

Retraites : report de l’âge de départ à 64 ans

Retraites : report de l’âge de départ à 64 ans  

 

 

Ce n’est pas le premier cri d’alarme de la Cour des compte sur les retraites, cette fois sur les retraites complémentaires (Mais c’est la même problématique pour les pensions elle mêmes). En gros : trop de bénéficiaires et pas assez de cotisants d’où un trou de 400 milliards en 2040. Conclusion évident l’âge de la retrairetsera repoussé, le montant des retraites diminué et les cotisations augmentées. La Cour des comptes dresse un tableau alarmant des régimes de retraite complémentaire des salariés et des cadres et préconise un allongement de deux ans de la durée du travail, dans un rapport révélé ce lundi par Le Parisien/Aujourd’hui en France. Dans ce rapport intitulé « Garantir l’avenir des retraites complémentaires des salariés (Agirc et Arrco) », qui doit être publié ce jeudi, la Cour note une dégradation financière depuis 2009 avec des déficits qui ont atteint 4,4 milliards d’euros en 2013 et devraient avoisiner les 5,3 milliards en 2014. La Cour prévoit un trou de 15 milliards d’euros en 2030, portant le déficit cumulé durant toutes ces années à 100 milliards et à 390 milliards à l’horizon 2040. Cela s’explique par le départ en retraite des générations nombreuses du baby-boom d’ici à 2034 et par l’allongement de l’espérance de vie. La Cour des comptes préconise de recourir à trois leviers pour remédier à la situation : diminuer le montant des pensions, augmenter le niveau des cotisations et reculer l’âge de départ en retraite. La Cour envisage un recul de deux ans de l’âge de départ à la retraite obtenu « par un recul d’autant des âges légaux de départ ». L’âge légal étant actuellement à 62 ans, il faudrait dés lors travaillé jusqu’à 64 ans pour toucher sa retraite complémentaire.

 




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