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Chômage -Sondage Macron : 63% mécontents

Chômage -Sondage Macron : 63% mécontents

Selon le dernier baromètre BVA/La Tribune (*) sur les questions de l’économie, 63% des interrogés se déclarent insatisfaits des réformes engagées par Emmanuel Macron et son gouvernement pour réduire le nombre de chômeurs. D’une manière générale, l’échantillon interrogé par l’organisme de sondages reste critique à l’égard de la politique économique du gouvernement. Même si le degré de satisfaction augmente de 3 points depuis février dernier, 55% des Français jugent mauvaise la politique économique menée actuellement par le gouvernement, un quart estimant que cette dernière est très mauvaise (24%). A l’inverse, seuls 4 répondants sur 10 soutiennent les réformes économiques de Matignon (40% la jugent bonne). La compétitivité des entreprises représente le domaine d’action économique qui génère le plus de satisfaction. Ils sont 46% à être satisfaits.  Les plus vulnérables sur le marché du travail se montrent les  plus critiques à l’égard des réformes du tandem Macron-Philippe. Chez les employés et les ouvriers, seuls 30% déclarent être satisfaits des mesures engagées par la Présidence de la République sur le plan économique.

(*)Méthode : enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet du 14 au 15 mai 2018. La représentativité de l’échantillon a été assurée grâce à la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, CSP du chef de famille et de la personne interrogée, après stratification par région et catégorie d’agglomération.

Débat présidentiel: Macron vainqueur pour 63%, Le Pen à 34%

Débat présidentiel: Macron vainqueur pour 63%, Le Pen à 34%

Selon un sondage Elabe pour BFMTV,  à l’issue du débat, c’est Emmanuel Macron qui a été jugé le plus convaincant pour 63% des téléspectateurs, selon un sondage Elabe pour BFMTV, contre 34% pour Marine Le Pen.  Parmi les électeurs de Marine Le Pen, 12% d’entre eux ont tout de même trouvé que le candidat d’En Marche! était le plus convaincant, contre 85% pour leur candidate. Parmi les électeurs d’Emmanuel Macron, seuls 3% ont finalement accordé leur préférence à la candidate du Front national.  Du côté de la France insoumise, deux tiers des électeurs de Jean-Luc Mélenchon ont trouvé Emmanuel Macron plus convaincant, contre 30% pour Marine Le Pen. Des proportions plus équilibrées du côté de l’électorat de François Fillon, qui estime à 58% que le candidat d’En Marche! était le plus convaincant, contre 38% pour Marine Le Pen. Pour 64% des téléspectateurs, c’est Emmanuel Macron qui porte le meilleur projet, contre 33% pour Marine Le Pen, des proportions identiques lorsqu’ils indiquent qui présente le plus les qualités nécessaires pour être président(e).  Emmanuel Macron est aussi considéré comme le « plus honnête » pour 62% des téléspectateurs interrogés, alors que plus d’un tiers d’entre eux accordent leur préférence à la candidate du Front national.   60% des sondés estiment également qu’Emmanuel Macron est « plus proche de (leurs) idées ou valeurs », contre 36% pour Marine Le Pen. Néanmoins, lorsque les sondés sont interrogés sur le candidat qu’ils estiment mieux comprendre « les gens comme eux », la différence est nettement moins marquée. Emmanuel Macron récolte ici une courte majorité, avec 55%, contre 42% pour la candidate du Front national.  Courte majorité également sur celui « qui veut changer les choses »: le candidat d’En Marche! récolte 53% d’avis favorables, contre 44% pour Marine Le Pen.

Le sondage a été mené auprès de 1314 téléspectateurs, âgés de 18 ans et plus, qui ont regardé le débat présidentiel. Les sondés ont été interrogés par Internet en fin d’émission. La différence des scores des candidats avec le total de 100% correspond aux « sans opinion ».

2017 : Pour 63% la campagne des affaires

2017 : Pour 63% la campagne des affaires

Certains observateurs protestent  contre le fait que les affaires  dominent la campagne électorale. Ce n’est pas l’avis  des Français si l’on en juge par les résultats d un sondage IFOP du JDD, 63% d’entre eux estiment qu’ »il est justifié que les affaires occupent une place très importante dans la campagne présidentielle », et ce, « car la question de l’honnêteté des dirigeants politiques constitue un critère majeur ». A l’inverse, ils sont 35% à estimer que ces sujets prennent trop de place dans le débat. . A l’inverse, les sondés proches des Républicains sont 68%… à estimer que « les affaires empêchent les débats sur les sujets de préoccupation des Français », ce qui peut se comprendre puisque leur champion est complètement englué dans les dérives politiques ou financières. Finalement les politologues mettent surtout l’accent sur l’intérêt des programmes. Pas sûr cependant que l’opinion attache autant d’importance que cela à  ces fameux programmes dont on sait bien qu’ils sont surtout élaborés pour plaire et non pour gérer forcément de manière efficace. Du coup,  il se pourrait bien que cette campagne soit caractérisée par des choix qui se fondent surtout sur la personnalité des candidats, leur honnêteté davantage que sur leur catalogue de promesses. Notons d’ailleurs que Macron aujourd’hui en tête et c’est pourtant celui qui a subi les plus fortes critiques pour insuffisance de programmes. . La critique la plus dure venait  du « rigoureux » Fillon : » macro, cas d’école de l’illusionnisme, cette nouvelle forme de populisme mondain qui a inventé la campagne présidentielle sans programme présidentiel ». La rigueur de Fillon est évidemment toute relative aussi bien concernant le détournement de fonds publics qu’en ce qui concerne sa gestion de premier ministre. Rappelons-nous, en 207Fillons avait déclaré qu’il était à la tête d’un État en faillite et qu’il entendait redresser la situation. Bilan de l’intéressé en 2012 : 600 000 chômeurs en plus (comme Hollande) et 600 milliards d’endettements supplémentaires. Ne parlons pas des promesses faites pour 2017 notamment de sa sulfureuse proposition de ne faire rembourser par la sécurité sociale que les maladies graves. Une proposition sans doute inspiré par le financement qu’il a reçu de l’assureur Axa. Autre proposition tout aussi hypothétique : la suppression de 500 000 fonctionnaires sans indiquer où et comment. Autre fumisterie celle de Benoît Hamon avec son fumeux revenu universel de 300 à 700 milliards par an dont on ne sait pas comment il serait financé. Dernier exemple les promesses de Marine Le Pen consistant à sortir de l’euro ou à engager 40 milliards de dépenses supplémentaires. Des dépenses supplémentaires financées par 60 milliards d’économies. Où,  comment ? On ne le saura jamais. Sans doute le programme le plus surréaliste qui s’il était appliqué conduirait le pays vers la catastrophe financière et l’appauvrissement généralisé. La seule sortie de l’euro coûterait immédiatement 20 % de pouvoir d’achat aux Français du fait du différentiel de taux de change. On se souvient de ce qu’il est advenu des promesses dans le passé de Sarkozy ou de François Hollande. Pour le bien de la démocratie il serait urgent d’interdire aux candidats d’élaborer des listes de promesses illusoires. Le premier objectif pour eux devrait être de définir les enjeux de la période actuelle, ensuite de donner une vision cohérente pour l’avenir du pays  et non de se répandre dans cinq programmes qui accumulent de façon précise les promesses d’augmentation du pouvoir d’achat de chacune des catégories socio professionnelles. La campagne électorale ce jour à vraisemblablement davantage sur cette vision est surtout sur la personnalité de l’homme qui sera chargé de présider le pays. Pour preuve le programme du front national est sans doute le plus beau puisqu’il promet tout à tout le monde pour autant il ne permettra pas à sa représentante de triompher. En cause le fait que Marine Le Pen ce caractérise par une personnalité au profil d’opposition davantage que par une personnalité de gouvernement. Sans parler aussi des les affaires qui la plombent.

Programme Macron : approuvé par 63% des Français

Programme Macron : approuvé par 63% des Français

 

63% des Français approuvent les principales mesures de Macron d’après le baromètre Odoxa pour BFM Business et le magazine Challenges. S’ils approuvent une grande partie d’entre elles, les Français semblent plus mitigés en ce qui concerne l’efficacité globale de ces propositions. 48% d’entre eux (contre 51%) pensent en effet que les mesures prônées par l’ancien ministre de l’Économie sauront redonner confiance au pays et redresser l’économie. Ils ne sont que 46% à les trouver « socialement justes » et seulement 38% à les qualifier de « réalistes ». Et surtout, seuls 39% d’entre eux les jugent  »économiquement efficaces ». Par ailleurs, Odoxa note qu’une minorité des plus bas revenus (43%) pense que ses mesures pourraient avoir un impact positif sur l’économie alors qu’ils sont une large majorité (57%) chez les Français les plus aisés à juger ses propositions efficaces. Les plus pauvres sont tout de même nettement plus nombreux à apprécier les mesures d’Emmanuel Macron que celles de François Fillon testées il y a un mois.  Sans surprise, les personnes interrogées approuvent en premier lieu les propositions qui vont améliorer leur pouvoir d’achat. Ainsi, ils sont 86% à soutenir le remboursement à 100% des lunettes et des audioprothèses et 73% à approuver l’extension du droit au chômage pour les indépendants après cinq ans d’activité et pour les salariés démissionnaires. 81% d’entre eux se disent également favorables à la création de 12.000 postes de professeurs et 10.000 postes de policiers et gendarmes. Les autres mesures sont bien moins acceptées. C’est le cas du plafonnement des indemnités versées en cas de licenciement (56% d’adhésion). Voire rejetées, comme la transformation de l’ISF en impôt sur la rente immobilière (43%) et la suppression des cotisations chômage et maladie payées par le salarié, conjuguée à la hausse de la CSG (42%). Il faut enfin souligner qu’en moyenne, les dix mesures testées sont soutenues par 69% des sympathisants de l’ensemble de la gauche et par 60% des sympathisants de droite. Même constat sur le caractère « innovant » du programme, reconnu majoritairement comme tel à droite (51%) comme à gauche (58%). Le clivage réapparaît en revanche sur sa dimension « socialement juste », les sympathisants de droite étant 43% à le juger de la sorte contre 51% à gauche.

(*) Enquête réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 980 personnes âgées de 18 ans et plus.

Sondage : la gauche peut disparaître (63% des Français)

Sondage : la gauche peut disparaître (63%)

Une enquête d’Odoxa  pour France 2 montre les risques de .disparition de la gauche. de la gauche Près des deux tiers des personnes interrogées (63%) estiment que la gauche peut disparaître du paysage politique l’an prochain (50% temporairement et 13% définitivement). Une hypothèse très vraisemblable car la gauche pourrait subir une défaite historique en 2017 en réunissant tout au plus 15 % des électeurs. Une gauche malade usée jusqu’à la corde par les contradictions entre son discours et sa gestion. Tout a commencé avec Mitterrand et ses mesures incohérentes mises au panier dés 1983 ;  progressivement faute de véritables bases idéologiques la gauche s’est laissée happée  par le libéralisme d’ailleurs mal compris avec quelques dispositions de gauche maladroites pour maintenir l’équilibriste sur le fil. Jospin le ministre a continué de faire l’acrobate, il en a été sanctionné. Hollande a mis  sans doute un point final à l’expérience de la gauche et pour longtemps tellement sa gestion a été catastrophique et surtout l’écart incommensurable entre ses promesses et les réalisations. La gauche est en état de mort clinique. Elle n’a jamais eu de véritable corpus idéologique tiraillé entre  le libéralisme et le crypto communisme.  En cause surtout la composition sociologique du parti socialiste, un parti supposé représenter les travailleurs et qui n’est en fait composé que de petits bourgeois, de fonctionnaires et d’opportunistes (une catégorie qui fréquente aussi tous les autres partis). Finalement le choix aujourd’hui pour le PS c’est toujours le même ;  faute de connaissances réelles des réalités sociaux économiques on réduit la problématique à un questionnement de sophistes une orientation crypto communiste (celle des frondeurs, aussi de l’extrême gauche) ou le libéralisme mal compris. La gauche va connaître vraisemblablement une longue période d’absence politique en tout cas une présence très réduite tant au plan national que local.  Une période sans doute salutaire d’abord pour qu’elle revoit sa sociologie car ses dirigeants ne sont nullement représentatifs des couches qu’elle est censée reposée représenter. Ensuite pour procéder à une analyse pertinente des réalités économiques sociales et sociétales. Enfin pour proposer des orientations crédibles qui tiennent compte du monde dans lequel nous sommes aujourd’hui.

 

La retraite à 63 ans en 2025 ?

La retraite à 63 ans en 2025 ?

La question de la retraite revient sur le tapis alors que la dernière réforme date de janvier 2014. En cause évidemment le rapport entre le nombre de retraités est le nom d’actifs qui renvoie évidemment à la question du chômage et de la croissance. Dans la perspective de l’après 2017,  l’institut Montaigne propose dans les Échos de reculer en retraite à 63 ans pour ceux nés après le 1er janvier 1957, des propositions de réforme qui figurent  déjà en partie dans de nombreux programmes politiques, qui ont également été négocié étudiées au conseil économique et social et qui sont surtout motivées par le problème du déséquilibre financier des caisses de retraite.  Concrètement, cette augmentation de l’âge de départ se ferait de façon progressive. L’âge légal, qui doit passer à 62 ans pour la génération 1955 (qui pourra partir en 2017), serait augmenté à 62 ans et 6 mois pour ceux nés en 1956, puis à 63 ans pour toutes les générations nées après le 1er janvier 1957. L’âge permettant de partir à taux plein même sans avoir le nombre de trimestres nécessaires resterait lui fixé à 67 ans, comme c’est déjà le cas aujourd’hui.  Pour son directeur de l’institut Montaigne, Laurent Bigorgne, invité de France Info ce mercredi soir, « c’est quelque chose  de raisonnable et de faisable ». « Si la trajectoire ne change pas, d’ici à 2040, la dette cumulée de la France atteindra jusqu’à 25 points de PIB, soit 500 milliards d’euros. C’est un poids insupportable », a-t-il expliqué.   »Si on veut sauver le système de retraite, si on veut que les jeunes d’aujourd’hui aient bien une pension demain, (…) il faut impérativement accepter que l’allongement de la durée de vie se traduise par un allongement de la durée en activité », a souligné Laurent Bigorgne.  Selon lui, maintenir des séniors dans l’emploi plus longtemps ne constitue pas un frein à l’embauche des jeunes : « Un des problèmes français, c’est qu’on a fait le choix de servir des pensions qui sont parmi les plus hautes d’Europe, et finalement on consacre assez peu de dépenses en faveur des jeunes », a-t-il expliqué. « Ce qu’il faut absolument faire pour les jeunes aujourd’hui, c’est consacrer davantage de moyens à la formation ».  A l’horizon 2040, la dette cumulée des régimes de retraite par répartition représentera 18 % du PIB si rien n’est fait, alerte le think tank Mais attention à ne pas ouvrir de faux chantiers, prévient-il : « La retraite par points, les fonds de pension, c’est bien, mais il n’y a que trois leviers qui permettront de redresser le système : l’âge, la durée de cotisation, le montant des pensions. » Pour l’Institut Montaigne, la priorité, c’est de repousser l’âge légal du départ en retraite d’un an, à 63 ans, en 2025, car cette mesure « a aujourd’hui des effets plus importants qu’une augmentation de même niveau de la durée de cotisation ». C’est une proposition plutôt modérée, alors que les candidats à la primaire de la droite visent 64 ou 65 ans à la même date. De plus, l’accord sur les régimes complémentaires des salariés (Agirc-Arrco), signé en octobre, devrait inciter les assurés à partir à la retraite à 63 ans pour conserver leur niveau de pension.  Selon l’Institut, il faudra aussi jouer sur la durée de cotisation pour ne pas trop favoriser ceux qui ont fait des études longues. L’Institut propose de passer à 43 annuités dès 2025 plutôt que d’attendre 2035. D’accord pour épargner les générations proches de la retraite, convient-il, mais il faut « appliquer intégralement et sans transition les nouvelles règles aux assurés plus éloignés de la retraite d’au moins sept ans ». Ensuite, il faudra continuer de jouer sur l’âge et la durée pour s’adapter à l’augmentation de l’espérance de vie, par exemple en ajoutant « un an tous les cinq à six ans ». Une étude de 2013 a chiffré les économies à 15 milliards à l’horizon 2021 si l’on actionne ces deux leviers.

 

La retraite reportée à 63 ans par le Sénat….. pas par l’assemblée !!!

La retraite reportée à  63 ans par le Sénat….. pas par l’assemblée !!!

 

Le petit jeu des navettes continuent entre le Sénat et l’Assemblée nationale en matière de retraite. Le Sénat qui veut reporter l’âge de départ en retraite prévue par la Sécu à 63 ans au lieu de 62. L’Assemblée nationale, elle, s’y refuse. Pourtant il s’agit d’une mise en cohérence du régime général avec celui des régimes complémentaires qui viennent d’être réformés. De toute manière il s’agit d’une guerre de positions illusoire car les dispositions aussi bien du régime général que celle des régimes complémentaires devront encore être revues  d’ici quelques années sinon tous les régimes sont condamnés à exploser.  Dans le cadre du projet de budget 2016 de la Sécu, la borne d’âge passerait progressivement de 62 à 63 ans. Mais l’Assemblée devrait annuler cette mesure.  Le Sénat, à majorité de droite, a voté ce mardi le budget de la Sécurité sociale pour 2016 complètement remanié. Les 188 sénateurs de droite ont voté pour la nouvelle version du texte, et les 147 de gauche ont voté contre. Les débats s’étaient achevés vendredi après-midi, avant la série d’attentats meurtriers à Paris. Le texte doit ensuite être réexaminé par l’Assemblée nationale qui devrait annuler les modifications du Sénat. Après la navette parlementaire, la chambre basse aura le dernier mot.  Mesure symbolique votée par la droite au Sénat, que l’Assemblée devrait supprimer au final, le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 63 ans. Dans le détail, cette borne serait progressivement portée à 63 ans à compter du 1er janvier 2019, pour la génération 1957.  Il s’agit, avance le sénateur Gérard Roche à l’initiative de cet amendement, d’aligner les conditions de départ entre le public et le privé, à suite de l’accord sur les retraites complémentaires Agirc et Arrco. Ce dernier, survenu fin octobre, instaure un malus pour inciter les salariés à partir plus tard à la retraite.  Les sénateurs ont par ailleurs voté la mise en place de trois jours de carence pour le personnel hospitalier. En revanche, les sénateurs ont approuvé la création par le gouvernement du «régime de prestation universelle maladie» qui doit simplifier l’accès à la Sécu.

Sondage « Républicains » : 63% des Français pas emballés !

Sondage « Républicains » : 63% des Français pas emballés !

 

Selon un sondage IFOP,  une majorité de Français (65%) ne sont pas touchés par ces mots quand ils sont employés par les responsables politiques car « ils ont été trop utilisés », selon un sondage IFOP publié dimanche 10 mai par le site Atlantico. A une question rappelant « que les responsables politiques parlent régulièrement dans leurs interventions et dans leurs discours de la République et des valeurs républicaines », 65% des personnes interrogées choisissent comme réponse que l’emploi de ces termes ne les « touche » pas et ne leur « parle pas vraiment car ces termes ont été trop utilisés et ont perdu leur force et leur sens ». C’est le cas de 53% des sympathisants de l’UMP et de 70% de ceux du FN, mais de seulement 47% de ceux du PS. A l’inverse, 35% de l’ensemble des sondés répondent que l’emploi de ces termes les « touche » et leur « parle » car ils sont « très attachés à ces termes et à ces idées ».  Entre « identité nationale » et « République », 38% disent être davantage touchés par le premier terme, quand il est employé par des responsables politiques, 33% par le second. 29% ne savent pas. Les sympathisants du Parti socialiste, à 54%, sont plus touchés par le terme de République, et ceux de l’UMP, à 47%, et du FN, à 64%, par celui d’identité nationale. « Si on se concentre uniquement sur l’UMP, désormais appelée ‘Les Républicains’, on voit pourtant que ce qui fait le plus recette est l’identité nationale, avec 47% contre 37% », rappelle Jérôme Fourquet de l’Ifop

Sondage :Chirac un bon président pour 63%

Sondage :Chirac un bon président pour 63%

 

Quand on laisse du temps au temps, finalement les présidents sosnt comme les bons vins, ils s’affinent.. 63% des Français estiment que Chirac  été un « bon » chef de l’État, selon un sondage Odoxa pour Le Parisien. La nouvelle ne pouvait pas mieux tomber pour l’ancien président de la République qui a fêté les 20 ans de son élection le 7 mai dernier.  Si son bilan était vivement critiqué après 12 ans passés à l’Élysée, les Français semblent avoir tourné la page et le plébiscitent largement. Déjà considéré comme le président de la République le plus sympathique, Jacques Chirac est donc celui qui a laissé le meilleur souvenir. Sa position en matière de politique internationale, avec en ligne de mire sa fermeté sur la guerre en Irak, en font de lui une véritable icône. François Mitterrand arrive à la deuxième place et obtient 61% d’opinions positives. Valéry Giscard d’Estaing récolte 57% de jugements positifs, Nicolas Sarkozy obtient 39% et François Hollande arrive à la fin du classement avec 21%.  « François Hollande est structurellement désavantagé face à ses concurrents car il est le seul à être toujours en activité face à des rivaux, parfois très impopulaires lorsqu’ils occupaient l’Élysée, mais qui n’étant plus aux affaires depuis parfois très longtemps, sont désormais regardés avec beaucoup plus de mansuétude par l’opinion », précise Gaël Sliman, le président d’Odoxa, au Parisien. Le temps atténue donc les choses ? Nicolas Sarkozy et François Hollande peuvent donc se consoler avec cette idée. Surtout que 92% des Français estiment qu’il est plus difficile de diriger la France aujourd’hui que dans le passé.  Mais les citoyens ont déjà une idée précise du président idéal pour 2017. Interrogés sur cette question, les Français souhaitent avant tout un chef d’État compétent (71%), honnête (50%), solide et ayant de l’autorité (32%) en priorité. Ensuite, ils désirent un candidat qui incarne la France (26%), proche des gens (18%) et dynamique (16%).

 

Loi sur le renseignement-terrorisme : 63% des Français pour

Loi sur le renseignement-terrorisme : 63% des Français pour

 

L’examen du projet de loi sur le Renseignement par l’Assemblée nationale lundi 13 avril a été l’occasion choisie par le site Atlantico pour publier un sondage réalisé par l’institut CSA qui montre que plus de six français sur dix sont favorables à une limitation des libertés individuelles lorsqu’il s’agit de lutter contre le terrorisme. Au total, 63% sont favorables à la limitation des libertés individuelles sur internet, notamment en surveillant les données de navigation des internautes, alors que 32% des sondés y sont opposés. Plus on est âgé et plus on accepte que les libertés soient rognées : près de la moitié des 18-24 ans sont contre, alors que les 65 ans et plus y sont très massivement favorables (76%). Les termes du projet de loi, qui sera présenté par Manuel Valls lundi après-midi dans l’hémicycle, ne sont pourtant pas encore bien perçus par tous. En effet, plus des deux tiers des Français en ont entendu parler (68%), mais seulement moins d’un sur trois voit bien de quoi il s’agit (27%). Les mieux renseignés sont les retraités, les hommes et les sympathisants de gauche. Parmi les opposants au projet de loi, on trouve en particulier des cadres (54% trouvent qu’il va trop loin), et des sympathisants du Front de Fauche (55%). Les 18-24 ans sont partagés. Une première moitié estime qu’il s’agit d’un outil indispensable, quand l’autre juge qu’il va trop loin. Le dispositif automatique de surveillance des données de navigation des internautes est approuvé par les deux tiers des Français, en particulier par les plus âgés et les sympathisants de droite. Au total, 77% des 65 ans et plus s’y disent favorable contre 52% des 18-24 ans. Au sein de la gauche, socialistes et sympathisants du Parti socialiste sont 68% à approuver une limitation des libertés individuelles sur internet alors que les sympathisants de la gauche (Front de gauche, Europe Ecologie Les Verts) sont plus mesurés. Il y a toutefois systématiquement plus de sondés en faveur de ces mesures que le contraire. Enfin, les personnes interrogées qui se disent proches des idées du Front national se déclarent en majorité très favorables à une limitation des libertés individuelles sur internet (69%), même si elles sont aussi les moins informées sur le sujet (32% déclarent n’avoir pas entendu parler du projet de loi). Le sondage a été réalisé sur internet entre le 8 et le 10 avril 2015 sur un échantillon national représentatif de 997 personnes âgées de 18 ans et plus. 

Sondage Hollande : il n’a pas changé pour 63% des Français

Sondage Hollande : il n’a pas changé pour 63% des Français

 

 

Il n’y a que les grands médias qui ont vu le changement de François Hollande (changement de costume, de cravate, de tonalité) ; sur le fond, rien  pour les français à 63%. Le monarque républicain a donc changé pour la cour des courtisans légitimistes pas pour le peuple. Contrairement à ce qu’il affirmé lors de sa conférence de presse du 5 février, François Hollande n’a pas changé depuis les attentats de janvier estiment 63% des Français, selon un sondage Odoxa pour CQFD et iTELE publié vendredi 6 février. À la question « estimez-vous que, depuis les évènements du mois de janvier, François Hollande a changé », 36% des personnes interrogées répondent « oui », 63% « non ». 1% ne se prononcent pas. Sans surprise, les sympathisants de droite sont très sceptiques à propos de ce changement, puisque seuls 15% d’entre eux y croit, contre 60% des sympathisants de gauche. Par ailleurs l’annonce par François Hollande, lors de sa conférence de presse, de la mise en place d’une réserve citoyenne est approuvée par 79% des Français. 20% y sont opposés et 1% ne se prononcent pas. Cette mesure a le soutien de 94% des sympathisants de gauche, et de 67% des sympathisants de droite.  Si les Français sont d’accord avec cette mesure, ils sont néanmoins peu enclin à intégrer cette réserve citoyenne, seulement 37% des personnes interrogées étant prêt à le faire, 62% ne l’étant pas.

Sondage : 63% pour loi Macron !!

Sondage : 63% pour loi Macron !!

 

 

Un sondage ambigu car  la loi Macron est un fourre-tout. Macron soutenu par une majorité sans doute davantage en raison de son image que des propositions très disparates et floues y compris sur le travail du dimanche en matière de compensation. Une majorité de Français se déclare favorable à la loi Macron, et donne raison au ministre de l’Economie face à la maire de Lille Martine Aubry sur la question de l’élargissement du travail dominical, selon un sondage Odoxa pour iTélé publié ce samedi. Le projet de loi sur l’activité et la croissance dit « loi Macron » est importante pour l’économie pour 63% des personnes interrogées dans ce sondage. « Il n’y a pas de clivages partisans sur cette question, les sympathisants de gauche (65%) comme de droite (57%) la jugent importante », souligne l’étude.  Par ailleurs, 6 personnes interrogées sur 10 donnent raison à Emmanuel Macron contre Martine Aubry sur la question de l’élargissement du travail du dimanche, une des principales mesures du projet : 59% considèrent que c’est une avancée sociale contre 41% qui estiment que c’est une régression. Enfin, 53% des Français ont une bonne opinion du ministre de l’Economie, contre 46% qui en ont une mauvaise.

 

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Déclarer « J’aime les entreprises »  c’est bien  mais agir, c’est mieux ;  ce que pensent les Français. Une large majorité de Français a le jugement inverse : 63 % d’entre eux considèrent en effet que « Manuel Valls et le gouvernement n’en font pas assez pour les entreprises » contre 15 % qui jugent que l’exécutif en « fait trop » et encore 15 % qui estiment que ce n’est « pas assez ».  Sans surprise, la proportion de sondés qui pensent qu’il n’y en a « pas assez » pour les entreprises atteint des sommets chez les sympathisants de droite (81 %) de longue date acquis à la politique de l’offre. Une position partagée par 72 % des électeurs du FN. Plus intéressant encore sont les résultats de ce sondage chez les sympathisants de gauche : 44 %, soit une majorité relative, estiment aussi que le gouvernement n’en fait « pas assez », contre 22 % qui juge le dosage bon et 22 % qui l’estiment « trop » favorable aux entreprises. Le président de CSA, Bernard Sananès, voit deux raisons à ces résultats : «L’entreprise est perçue comme un acteur de la sortie de crise» et les Français considèrent désormais «qu’aider les entreprises, ce n’est pas aider les patrons mais l’emploi». De quoi faire écho aux propos du Premier ministre déclarant devant le Medef : «Il n’y a pas d’emplois sans employeurs. C’est pourquoi il est absurde de parler de «cadeau fait aux patrons» ».  A gauche, seuls les sympathisants du PCF et de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement (47 %) que l’exécutif en « fait trop ». Les sympathisants écologistes pensent, au contraire, à 53 % que le gouvernement n’en fait « pas assez » pour les entreprises. Un avis partagé par 41 % d’électeurs socialistes contre 18 % estimant que c’est « trop ». Voilà qui devrait alimenter le débat entre le gouvernement et les frondeurs du PS, minoritaires dans leur électorat. Plus largement, la conversion des sympathisants de gauche à une politique pro-entreprise rappelle celle survenue dans les dernières années à propos de la fiscalité (les impôts étant devenus impopulaires même à gauche). «C’est une conversion de la même ampleur, mais celle sur les entreprises est plus positive et plus pragmatique», nuance Bernard Sananès, soulignant que, s’agissant des entreprises, les sondés ne se situent pas par rapport à leur cas particulier mais en fonction d’une vision de l’économie. Et d’assurer à la lumière d’autres enquêtes : «Il y a, dans l’opinion, une réhabilitation de l’entreprise.»

 

Sondage nouveau gouvernement : 63% mécontents

Sondage nouveau gouvernement : 63% mécontents

Pas étonnant que les français ne soient pas satisfaits de la composition du gouvernement puisque ce sont à peu prés les mêmes. Finalement une opération de communication pour montrer que Hollande et Valls ont de l’autorité. Bref beaucoup de bruit pour rien. Dans un sondage IFOP-Fiducial pour Sud-Radio publié mercredi, près des deux tiers des Français (63%) se disent insatisfaits de la composition du gouvernement et, pour la moitié d’entre eux (51%), de la reconduction de Manuel Valls à Matignon.  Il n’y aura pas de nouvel élan pour l’exécutif. Selon un sondage IFOP-Fiducial pour Sud-Radio diffusé mercredi *, près des deux tiers des Français (63%) se déclarent mécontents de la composition du nouveau gouvernement de Manuel Valls. Un chiffre évidemment très haut pour les sympathisants de l’UMP et du FN, bien moins pour ceux du PS (64% de satisfaits).  La moitié des personnes interrogées (51%) est même insatisfaite de la reconduction du Premier ministre à Matignon. Les Français sont également partagés sur le passage de Najat Vallaud-Belkacem au ministère de l’Education nationale (41% satisfaits, 43% mécontents) ainsi que sur la nomination d’Emmanuel Macron (28% satisfaits, 30% mécontents, 42% ne le connaissant pas suffisamment). En revanche, la grande majorité de l’opinion ne regrettera pas les trois principaux départs de ce gouvernement : Arnaud Montebourg (seuls 31% des sondés affirment le contraire), Benoît Hamon (20%) et Aurélie Filippetti (19%).

Sondage dissolution de l’assemblée : 63 % des Français pour

Sondage dissolution de l’assemblée : 63 % des Français pour

Une  large majorité de sondés (59%) approuve le limogeage du ministre de l’Economie, «coupable» d’avoir tiré à boulets rouges sur la politique conduite par le gouvernement auquel il appartenait.  Au fond, même s’ils peuvent approuver certaines des idées de Montebourg, ce que retiennent avant tout des Français plutôt légitimistes, c’est le côté fauteur de trouble d’un homme qui paraît jouer contre son camp.  Du coup, l’acte d’autorité de Valls et Hollande est salué par l’opinion, et même plébiscité par les sympathisants du PS (75% approuvent le renvoi, contre 57% des amis de la droite). Au passage, le Premier ministre apparaît de plus en plus, révèle notre enquête, comme l’homme fort du tandem exécutif. Mais ensuite les choses se gâtent pour l’Elysée et Matignon. Car le «gouvernement de clarté» souhaité hier par Hollande ne convainc pas, loin s’en faut. Huit Français sur dix pensent que sa politique économique ne sera ni claire, ni juste, ni surtout efficace ! «Même les sympathisants de gauche ne sont qu’une minorité à penser que cette politique sera claire (36% seulement) et efficace (34%)», souligne Gaël Sliman, président d’Odoxa.  Du coup, la petite musique distillée par une bonne partie de la droite commence à marquer les esprits : une majorité de plus en plus large de Français souhaitent désormais une dissolution de l’Assemblée nationale : 63% des sondés demandent à Hollande de dissoudre, alors qu’ils n’étaient que 52% en novembre 2013. «L’exécutif pourra néanmoins se rassurer en constatant que cette demande émane pour l’essentiel des sympathisants de droite (à 86%), nuance Sliman. Les amis de la gauche, eux, sont moins d’un tiers à envisager ce qui s’apparenterait à un suicide politique». Et si les Français jugeaient majoritairement (52%) il y a neuf mois qu’une dissolution et des élections législatives anticipées n’auraient pas d’impact sur la situation du pays, c’est aujourd’hui l’inverse : 52% pensent que ça irait mieux après une «purge» électorale !  Entre une opinion sceptique et une gauche rétive, Manuel Valls a du pain sur la planche. Bravache, il a annoncé hier sur France 2 qu’il soumettra son gouvernement au vote de confiance du Parlement, alors qu’il n’y est pas juridiquement obligé. Mais sur une dissolution, il a été clair : il «n’imagine pas» un tel cadeau à la droite !

 

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