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SONDAGE. Pour 62% des Français, le pouvoir d’achat plus important que la transition énergétique

SONDAGE. Pour 62% des Français, le pouvoir d’achat plus important que la transition énergétique

. Selon le sondage de l’Ifop réalisé pour le JDD*, ils sont 62% à considérer que la politique à mener pour ces prochaines années doit être de  »donner la priorité au pouvoir d’achat, quitte à aller moins rapidement sur la transition énergétique ». A l’inverse, 33% estiment que la transition énergétique passe avant une amélioration du pouvoir d’achat – les 5% restants des personnes interrogées ne se prononçant pas.

Alors que la journée d’action des « gilets jaunes » a réuni près de 283.000 manifestants en France, cette demande de pouvoir d’achat est partagée par majoritairement par l’ensemble des sondés, avec quelques nuances. Ce constat divise davantage les moins de 35 ans (51 contre 47%) que les autres (67-27% chez les 35 à 64 ans), les catégories dites supérieures (54-42%) que les classes populaires (71-25%). Sur un spectre politique, les sympathisants de gauche et d’Emmanuel Macron sont également davantage partagés que ceux de droite, peu sensibles sur la question de la transition énergétique (80% des sympathisants LR et 85% de ceux du RN donnent ainsi priorité au pouvoir d’achat, contre 50% pour les macronistes et insoumis). Sans grande surprise, seuls les proches d’EELV pencheraient en grande majorité pour la transition énergétique. En outre, les Français appuient l’idée selon laquelle le mouvement des gilets jaunes dépasse nettement le motif de contestation originel : la hausse du prix du carburant. Si 89% des sondés jugent ce mouvement ainsi, ils sont presque autant pour le qualifier de bien d’autres manières : 85% considèrent ainsi que cette mobilisation a également lieu « contre l’excès d’impôts et de taxes », 83% jugent qu’il s’agit « d’un mouvement de colère contre les élus et le personnel politique » et 81% estiment que c’est « une mobilisation plus générale contre la politique menée par Emmanuel Macron (18% affirment au contraire que ce n’est pas cela). Enfin, pour un peu plus des deux tiers, il s’agit aussi d’un « mouvement qui fait entendre la voix des territoires contre le pouvoir central ».

 

* L’enquête a été réalisée par téléphone du 16 au 17 novembre 2018, auprès d’un échantillon de 963 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération.

Monde rural : «qualité de vie» pour 62% des ruraux

Monde rural : «qualité de vie» pour 62% des ruraux

En dépit des difficultés socio-économiques, 62% des ruraux apprécient leur qualité de vie.  D’aprés une  étude réalisée pour l’association Familles Rurales en partenariat avec Franceinfo. Ainsi, si les deux-tiers des Français (66%) se disent satisfaits de leur position dans la société, c’est le cas des trois-quarts des ruraux (74%). Inversement, 59% des Français estiment le monde rural « en déclin », contre seulement 43% des ruraux. Pour les ruraux comme le « grand public », la France des campagnes arrive en revanche en tête des territoires « délaissés », devant « la France des banlieues » et celle des villes petites et moyennes. Dans le détail, 57% des ruraux estiment « ne pas bénéficier de l’action des pouvoirs publics », contre 36% de l’ensemble des Français. Et 56% se disent pessimistes pour leur avenir, contre 49% de l’ensemble des Français. Pour le « grand public », le manque de services publics (70%), d’offre d’emplois (62%) et de transports (54%) sont les principaux obstacles à l’installation de nouveaux habitants en milieu rural.Familles Rurales, qui revendique 2.200 associations locales, identifie divers enjeux pour renforcer l’attractivité du monde rural, parmi lesquels la lutte contre la désertification médicale, la disparition des commerces de proximité ou encore le recul de l’offre de transports collectifs. « Mettre le numérique au service de la population », avec le télétravail ou la télémédecine, permettrait selon elle de « reconnecter tous les territoires ».

 

*Enquête réalisée en ligne du 8 au 11 juin auprès de 1.012 personnes de 18 ans et plus, et du 6 au 11 juin auprès de 1.501 personnes représentatives de la population rurale, selon la méthode des quotas.

 

 

Sondage SNCF: 62% des Français pour une réforme

Sondage SNCF: 62% des Français pour une réforme

Bien  qu’il faille prendre en ce moment les sondages avec des pincettes car la guerre de communication s’intensifie entre les parties, l’IFOP ( dirigé par l’ancienne patronne du Medef Parisot) indique que le taux de Français souhaitant « que le gouvernement aille jusqu’au bout de la réforme de la SNCF telle qu’elle a été annoncée, sans céder aux mobilisations et aux grèves » fait un bond de 11 points depuis les 30/31 mars, passant de 51% à 62% des personnes interrogées. Seuls 38% (-10) des personnes interrogées ne le souhaitent pas. Ils restent par ailleurs confiants sur la fermeté du gouvernement, en dépit d’un léger reflux: 69% (-3) pensent que le gouvernement ira jusqu’au bout, contre 31% (+4) d’un avis contraire. Sur le fond de la réforme, 72% (contre 28%) se disent favorables à l’ouverture à la concurrence des TGV et des TER. Quelque 56% des Français jugent la mobilisation et la grève « pas justifié(es) » et 44% les jugent justifiées, contre respectivement 53% et 46% les 30 et 31 mars. Quant à l’appréciation du rythme de l’ensemble des réformes engagées par Emmanuel Macron, 42% des personnes interrogées jugent qu’il est « comme il faut », contre 38% qui le jugent « trop rapide » et 20% « pas assez rapide ». Un sondage Ifop pour L’Opinion et la Fondation Spinoza réalisé du 13 au 16 octobre révélait que seulement 35% des Français jugeaient le rythme « comme il faut », 38% « trop rapide » et 27% « pas assez rapide ». Ce sondage pour Le Journal du Dimanche a été réalisé les 5 et 6 avril par questionnaire autoadministré en ligne auprès de 1006 personnes de plus de 18 ans sélectionnées selon la méthode des quotas. La marge d’erreur est comprise entre 1,4 et 3,4 points.

L’assassinat politique de Fillon contesté par 62 % des Français

L’assassinat politique de Fillon  contesté par 62 % des Français

 

Pour 57 % des Français (contre 43 %), François Fillon a tort quand il dit ne pas « avoir été traité comme un justiciable comme les autres », alors que le même pourcentage de sympathisants LR pensent qu’il ne l’a pas été. Seuls 38 % des Français sont d’accord avec l’idée avancée par François Fillon qu’il s’agirait d’un « assassinat politique », alors que 62 % rejettent cette idée. Quelque 70 % des sympathisants LR adhèrent à cette assertion, comme 63 % des sympathisants de la droite et du centre.  Enfin, une écrasante majorité de Français (83 %) estiment que François Fillon ne remportera certainement pas (47 %) ou probablement pas (36 %) l’élection présidentielle de 2017. 59 % des sympathisants LR pensent qu’il ne la remportera certainement pas ou probablement pas. Sondage réalisé en ligne mercredi après la déclaration de François Fillon selon la méthode des quotas auprès de 980 personnes de 18 ans et plus.

Alliance Macron Bayrou : 62 % des Français approuvent

Alliance Macron Bayrou : 62  % des Français approuvent

Près de deux Français sur trois approuvent la décision du centriste François Bayrou de ne pas se lancer dans la course à l’Elysée et de proposer une « alliance » à Emmanuel Macron, selon un sondage Odoxa publié vendredi. La décision du président du Modem est saluée par 62% des personnes interrogées tandis que 37% estiment au contraire que c’est une mauvaise décision, selon ce sondage réalisé pour franceinfo. 61% des personnes interrogées pensent que le président du Modem a des « convictions profondes », 55% qu’il « pense avant tout à l’intérêt de la France » et 54% qu’il est « courageux ». La moitié des personnes interrogées (50%) pense que le soutien de François Bayrou à Emmanuel Macron constitue un atout important pour sa campagne, presque autant (49%) sont d’un avis contraire.  Enquête réalisée les 22 et 23 février par internet auprès d’un échantillon de 980 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 point à 3,1 points. Les baromètres d’opinion donnent une indication de l’état des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.

Logement : 62 % de propriétaires

Logement : 62 % de propriétaires

les Français sont 62% à posséder leur logement. Un taux nettement supérieur aux 45% de propriétaires allemands mais quasi-similaire à celui enregistré par les États-Unis. De l’autre côté du Rhin, on est plus habitué à louer qu’acheter: le pays compte un peu plus de 54% de locataires (contre 35% en France). Un chiffre qui varie même entre 67% et 84% dans les grandes villes allemandes, selon l’OCDE. Après la seconde guerre mondiale, le pays a développé une politique de reconstruction dynamique qui a favorisé une offre de logements, en particulier locatifs. La fluidité du marché du logement explique le bas niveau des loyers par rapport à la France. Là où un locataire devra débourser en moyenne un peu plus de 8 euros par m² à Berlin, il aura à payer plus de 24 euros à Paris. Ajoutons enfin que cela fait quasiment deux ans que les grandes villes allemandes ont adopté l’encadrement des loyers que seul Paris, en France, avait appliqué à l’époque. Depuis, Lille l’a également mis en place. Mais si l’Allemagne est LE pays des locataires, la France est loin d’être celui des propriétaires. Parmi les autres adeptes d’acquisitions d’appartements ou de maisons, figurent également les pays d’Europe du Sud (de 71% en Italie à 78% en Espagne). Et comme en Allemagne, les raisons sont culturelles: l’Europe du sud apprécie particulièrement la pierre. La tête du classement est occupée par l’Europe de l’Est où la part de détenteurs de logements dépasse allègrement les 80% voire les 90%. C’est le cas notamment de la Roumanie où le taux est supérieur à 96  Plus de la moitié des personnes aux plus faibles revenus (les 20% les moins riches) consacre plus de 40% de leur revenu disponible au remboursement de leur prêt. D’où le développement de logements sociaux, qui pèsent près de 19% du nombre total de logements (contre 4% en Allemagne), le 4e taux le plus élevé en Europe, et des aides aux logements qui représentent 0,83% du PIB français (contre 0,59% en Allemagne), le deuxième taux le plus élevé en Europe. Quant aux propriétaires un peu plus aisés, ils ont profité de taux extrêmement bas.

Sondage : Pour 62% des Français, Les Républicains se rapprochent du FN

Sondage : Pour 62% des Français, Les Républicains se rapprochent du FN

D’après un  sondage Odoxa pour iTélé et Paris Match publié vendredi soir, les Français  pensent que le parti de Nicolas Sarkozy « court après le FN », selon l’institut. Ainsi, 62% des personnes interrogées estiment « qu’en matière de sécurité et d’immigration, les positions récentes de Les Républicains se rapprochent de celles du Front national ». Le clivage gauche-droite est marqué : les sympathisants de gauche sont 78% à le penser, contre 54% parmi Les Républicains et 51% au FN. L’enquête montre également que « le Front républicain » ne fonctionne plus du tout auprès des électeurs de droite. En cas de second tour à une élection entre le PS et le FN, les sympathisants LR et UDI seraient plus de deux fois plus nombreux à voter pour le second (39% contre 16%, 45% pencheraient pour l’abstention ou un vote nul ou blanc). Les sympathisants de gauche, eux, sont encore attachés à ce barrage anti-FN puisqu’ils seraient quatre fois plus nombreux à voter « Les Républicains » plutôt que pour la formation de Marine Le Pen (38% contre 9%). Mais 52% d’entre eux s’abstiendraient ou voteraient blanc ou nul. Le clivage gauche-droite est par ailleurs très net sur le rétablissement des contrôles aux frontières, mesure évoquée cette semaine par Manuel Valls. Si 65% des Français pensent qu’il s’agirait d’une décision « efficace », ils sont 80% à le penser parmi les sympathisants de droite, contre 19% à gauche. (Info JDD)

Sondage : Hollande toujours aussi nul pour 62%

Sondage : Hollande toujours aussi nul pour 62%

 

 

En dépit de quelques mouvements erratiques la courbe d’évolution des opinions à l’égard de Hollande a peu évolué depuis 2012. Pour résumer une large majorité le trouve mauvais et près de 80 % d’ailleurs ne souhaitent pas qu’il se représente en 2017. Il n’aurait d’ailleurs aucune chance d’être élu d’après les sondages et serait même éliminé dès le premier tour. Ni mieux, ni moins bien. Pour les Français, François Hollande n’exerce pas un meilleur président de la République qu’en début de mandat. D’après un sondage IFOP pour RTL et Le Figaro, dévoilé dimanche 6 septembre, 62% des Français jugent que le chef de l’État occupe sa fonction de la même manière qu’en 2012. Ils sont même 20% à trouver que son action est moins bonne, tandis que 18% trouvent qu’il s’est amélioré.  Ces résultats contrastent avec ce qui avait été dit lors des événements de janvier dernier. Beaucoup affirmaient que l’actualité lui avait permis de se hisser au niveau. Mais cela n’a pas donc pas vraiment convaincu, y compris auprès des sympathisants socialistes. Une courte majorité d’entre eux estime qu’il y a du mieux (52%). Ils ne sont toutefois que 2% à être moins satisfaits. L’appréciation est bien plus sévère auprès de l’opposition. Chez les Français proches des Républicains, 26% trouvent François Hollande moins bon. Un pourcentage qui grimpe à 35% chez les sympathisants du Front national. Par ailleurs, ce même sondage montre qu’une majorité de Français ne souhaite pas que François Hollande se présente à l’élection présidentielle de 2017. Ils ne sont que 22% à se déclarer en faveur de cette hypothèse, même si 70% restent convaincus qu’il sera bien candidat.  Et si le chef de l’État décidait d’être candidat à sa propre succession et que l’élection se déroulait ce dimanche, il ne passerait pas le premier tour. Dans les deux scénarios imaginés pour le sondage, avec Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé en chef de file de la droite, François Hollande se place en troisième position avec 19% des intentions de vote, loin derrière Marine Le Pen et son opposant des Républicains.

 

Sondage Migrants : 62% pour les quotas

Sondage Migrants : 62% pour les quotas

 

Un sondage très ambigu car il ne fait pas apparaître si les quotas doivent être  destinés à limiter ou au contraire à augmenter le nombre de migrants. Comme 80% sont opposés à ce que la France accueille davantage de migrants on peut imaginer que les quotas sont considérés comme un moindre mal pour freiner l’immigration. De toute manière les quotas constituent  une mesure bâtarde qui dans la pratique ne résout rien tellement l’écart est grand entre les 20 000 autorisés par Bruxelles et les 500 000 attendus. Sans véritable plan Marshall pour l’Afrique, sans destruction de l’Etat islamique, l’immigration va se développer. .  Six Français sur dix (62%) se disent donc favorables à l’instauration de quotas de réfugiés pour mieux répartir les demandeurs d’asile entre pays de l’Union européenne et soulager les pays riverains de la Méditerranée comme le propose la Commission européenne, selon un sondage BVA-Orange-iTélé publié dimanche. Les trois-quarts des sympathisants de gauche (75%) se disent favorables à cette mesure. Les sympathisants de droite eux sont plus partagés (48% favorables) et ceux proches du Front national y sont majoritairement opposés (39% favorables). Plus généralement, les personnes interrogées se disent davantage favorables à ce que la France soutienne le développement des pays d’origine des migrants (80%) plutôt qu’elle élargisse le droit d’asile pour les migrants de Méditerranée (67% défavorables) ou qu’elle accueille davantage de migrants que les autres pays de l’UE (80% défavorables).  Soixante-dix pour cent des Français se déclarent plutôt favorables à ce que la France oblige automatiquement les migrants dont la demande d’asile est rejetée à quitter le territoire. Enfin, ils sont 72% à soutenir la réduction de deux ans à neuf mois du délai de traitement des dossiers de demandeurs d’asile.

 

Sondage retraites : départ sans doute après 62 ans pour 71% des Français

Sondage retraites : départ sans doute après 62 ans pour 71% des Français

Paradoxe les Français veulent partir avant 62 ans mais ils n’y croient pas. Un paradoxe apparent car il est clair qu’en létat de équilibre des caisses de retraites même l’âge de 62 ans sera auusi remis en cause avant 20 ans voire bien avant. Il sera a priori difficile de toucher à l’âge légal de départ à la retraite. Selon une étude ICMA Group pour le groupe de ressources humaines Randstad publiée ce lundi 22 septembre, les Français souhaitent en majorité partir avant 62 ans, soit l’âge légal pour les personnes nées après 1955, depuis la réforme de 2010.  Selon les résultats de cette enquête, 54% des personnes interrogées souhaitent partir entre 60 et 62 ans et une large majorité (84,2%) ne veut pas travailler au-delà de 62 ans.  Toutefois, moins d’un quart d’entre elles (23,4%) pensent qu’elles pourront effectivement prendre leur retraite entre 60 et 62 ans.  La plupart (71,7%) estiment qu’elles devront travailler après 62 ans. Près d’un tiers des Français (29,5%) jugent même qu’ils devront poursuivre leur activité au-delà de 65 ans.  Enfin, les femmes sont 74,3% à penser devoir travailler jusqu’à 63 ans et plus contre seulement 69% des hommes.  Cette étude a été réalisée en ligne auprès d’un panel de 6.000 personnes âgées de 18 à 65 ans, représentatif de la population française, en novembre 2013.

 

Sondage : démission Hollande 62% pour

Sondage : démission Hollande 62% pour

Sondage sans équivoque de l’IFOP, Hollande doit partir pour 62 des Français qui sont autant à penser qu’il va s’accrocher à son poste jusqu’en 2017.  Deux autres options étaient proposées aux sondés: une dissolution de l’Assemblée nationale et un changement de Premier ministre. Mais les personnes interrogées n’avaient pas la possibilité de répondre: « aucune de ces trois solutions« .  54% souhaitent que François Hollande « procède à la dissolution de l’Assemblée nationale« , 41% qu’il « change de Premier ministre« , fonction assurée depuis cinq mois par Manuel Valls.  Les sympathisants socialistes ne sont que 22 ou 23% à souhaiter la réalisation de l’un ou l’autre de ces scénarios. Il existerait une majorité des proches du Front de gauche en faveur de la dissolution (51%) et surtout d’un changement de chef du gouvernement (63%).  Sans surprise, les sympathisants de l’UMP et ceux du FN sont en écrasante majorité favorables à un départ anticipé du président de la République (86% et 89% respectivement) et à une dissolution (74% et 85%).  Par contre, 61% des personnes interrogées (39% croient l’inverse) estiment que François Hollande restera en place jusqu’à la fin de son mandat en mai 2017. La proportion n’est toutefois que de 48% chez les sympathisants de l’UMP et 33% chez ceux du FN.  Si la chambre des députés était dissoute et que la droite remportait les législatives organisées dans la foulée, celle-ci devrait refuser de former un gouvernement pour 44% des personnes interrogées. Pour 39%, la droite devrait accepter de gouverner. 17% ne se prononcent pas. Sans surprise là encore, les sympathisants de l’UMP et du FN sont plus de deux sur trois à prôner une « grève du gouvernement » dans ce cas de figure, contre à peine plus d’un sur dix à gauche.  Enfin, en matière économique, la priorité des priorités pour les sondés est le pouvoir d’achat. 62% souhaitent que François Hollande « prenne davantage de mesures pour augmenter le pouvoir d’achat des Français« , 29% qu’il « amplifie les baisses de charges en direction des entreprises et la réduction des dépenses publiques« . 3% prônent le maintien de la politique actuelle, 6% n’ont pas d’avis. 

 

UMP : 62% pour Sarkozy en 2017

UMP : 62% pour Sarkozy en 2017

 

Nicolas Sarkozy reste le candidat préféré de 62% des sympathisants UMP pour la présidentielle de 2017, selon un sondage IFOP-Le Figaro publié lundi. Malgré les affaires dans lesquelles il est cité, l’ancien chef de l’Etat arrive largement en tête des candidats que les sympathisants UMP souhaitent voir se présenter à la prochaine élection présidentielle de 2017, gagnant 2 points par rapport à novembre 2013, 6 depuis mars 2013.  Alain Juppé arrive second mais reste loin derrière avec 18%. Il progresse régulièrement passant de 9 à 18% en un an, contrairement à un autre ancien Premier ministre, François Fillon, qui chute de 17 à 7% sur la même période.   »Les espoirs de la droite, Nathalie Kosciusko- Morizet, Bruno Le Maire, Xavier Bertrand ? Officiellement candidat aux primaires ?, Valérie Pécresse ou Laurent Wauquiez, stagnent à 1 ou 2 % des souhaits de candidature. Quant à Jean-François Copé, il a doublé son résultat? en passant de 1 à 2 % des sondés », souligne Le Figaro.

 

Sondage popularité Ayrault : 62% de mauvaises opinions

Sondage popularité Ayrault : 62% de mauvaises opinions

 

C’est l’un des Premiers ministres les plus impopulaires de ces dernières décennies : selon notre sondage exclusif BVA, près de deux Français sur trois (62%) ont une mauvaise opinion de Jean-Marc Ayrault. L’hôte de Matignon pourra se consoler en se disant qu’aucune majorité ne se dégage pour lui trouver un remplaçant.  Parmi les cinq noms proposés comme «Premiers ministrables» (de droite ou de gauche) susceptibles de faire mieux, aucun ne recueille une majorité de soutiens. François Fillon (UMP) est le mieux noté, mais seuls 43% des sondés pensent qu’il ferait «plutôt mieux» que l’actuel Premier ministre à sa place (31% «moins bien», 23% «ni mieux, ni moins bien», 3% «ne se prononcent pas»).
 Viennent ensuite Manuel Valls (37% «plutôt mieux», 18% et 42% pour les deux autres avis), François Bayrou (25-34-38), Martine Aubry (23-34-41) et enfin le président de l’UMP Jean-François Copé (23-48-26).

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