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Rencontres de Saint-Denis de Macron: : 61% de Français contre

Rencontres de Saint-Denis de Macron: : 61% de Français contre

Les Français ne sont pas dupes sur cette fameuse réunion de Saint-Denis dite initiative politique politiquesi de grande ampleur par macron. lon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, Ils sont 60 % à considérer il s’agit d’une opération de communication inutile. Le paradoxe c’est que cette réunion doit envisager l’élargissement du champ du référendum
. Une proposition à laquelle 81% de la population est favorable. Sur le référendum d’initiative partagée (RIP), 72% de l’opinion souhaite l’assouplissement de sa mise en œuvre.C’est donc surtout une méfiance vis-à-vis de Macron qu’expriment les sondés
.

Seuls trois chefs d’opposition tiendront feront au chef de l’État : l’écologiste Marine Tondelier, le communiste Fabien Roussel et le président du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella.

Le rendez-vous présidentiel, dédaigné par une partie de la classe politique, ne convainc pas davantage les Français. Ils sont 61% à le percevoir comme «une opération de communication inutile qui n’apportera rien de concret». Soit 8 points de plus qu’à la première rencontre de Saint-Denis. Seuls les sympathisants de Renaissance y voient une opportunité de faire émerger des solutions tangibles (79%). Ils sont suivis par 52% des partisans des Républicains (LR), quoique nettement plus réservés. Mais à l’exception de ces deux partis, le scepticisme prévaut. Principaux opposants à la réunion, les électeurs du RN sont seulement 30% à y déceler un quelconque intérêt. C’est moins que les Insoumis, qui les secondent avec 36%.

Une courte majorité (51%) réprouve la non-présence d’une partie de l’opposition tandis que 48% de la population soutient ce choix.

D’après le sondage en matière de confiance, le RN, l’un des trois seuls partis d’opposition présents, est par ailleurs la formation qui obtient la plus grande confiance des Français. 30% de l’opinion publique croit en la capacité du parti à la flamme de «proposer des solutions efficaces pour le pays». À l’inverse, LFI se voit créditer de seulement 18% de confiance, légèrement moins que le PCF (19%). Une situation qui s’explique davantage par le discrédit dont pâtit l’ensemble des formations politiques que par un assentiment total des Français aux propositions du RN. Ainsi, 68% des Français ne font aucune confiance au parti frontiste.

Malgré un soutien des Français pour les référendums général, les Français restent 60% à penser qu’Emmanuel Macron ne mettra pas en place cette réforme constitutionnelle, en gestation depuis 2019, avant la fin de son mandat. Un chiffre qui révèle toute la méfiance de la population face à une opération politique perçue comme un simple coup de communication.

Turquie : une inflation de 61 % !

Turquie : une inflation de 61 % ! 

 

 

 

Si la posture d’Erdogan s’améliore au plan diplomatique grâce à son intervention dans le conflit ukrainien par contre la situation économique de son pays ne cesse de se dégrader notamment en matière d’inflation avec un record à 61 % sur un an

Pour nombre d’experts la responsabilité incombe à une politique monétaire incohérente.  Ces derniers mois, la Banque centrale a, en effet, abaissé plusieurs fois son taux directeur. Pour Timothy Ash, analyste au cabinet BlueAsset Management à Londres et spécialiste reconnu de la Turquie, c’est même la « cause majeure de l’inflation ». Les taux d’intérêt ont été abaissés de 19% à 14% entre septembre et décembre et sont stables depuis janvier.

Cette « politique non orthodoxe » a stimulé l’inflation, explique-t-il, et « la guerre en Ukraine a juste aggravé les choses ». « N’oublions pas que l’objectif visé est une inflation à 5%, ce que la Banque centrale n’a pas su atteindre depuis 2011″, relève-t-il encore.

Or, prévient Jason Tuvey du cabinet londonien Capital economics, le taux d’inflation « risque de grimper encore un peu dans les mois qui viennent. « Lui aussi déplore qu’il n’y ait « toujours aucun signe de la banque centrale et, surtout, du président Erdogan indiquant qu’ils sont prêts à changer de cap et à relever les taux d’intérêt ».

Erdogan  a demandé samedi de la « patience » aux Turcs: reconnaissant que la guerre en Ukraine affectait déjà les prix à la consommation, il a expliqué « mener une bataille contre ceux qui imposent des prix exorbitants » et prévenu qu’il sera « sans pitié » avec les spéculateurs.

« Nous devons surmonter les problèmes. Je demande à la nation d’être patiente et de nous faire confiance », a-t-il indiqué.

En attendant, l’agence de notation financière S&P Global Ratings a abaissé sa note sur la dette souveraine de la Turquie et la considère désormais entièrement comme un investissement très spéculatif.

 

Sondage Covid: 61 % des Français davantage sédentaires

Sondage Covid: 61 % des Français davantage sédentaires

 

Dans une enquête l’institut Ipsos, 61% des sondés déclarent dans le JDD avoir un mode de vie plus sédentaire qu’avant la pandémie.

« Ces chiffres sont alarmants », s’inquiète Marilyne Colombo, présidente de la FFEPGV. Car ce manque d’activité pèse lourd : 90% des personnes concernées assurent ressentir au moins un impact négatif de la sédentarité sur leur bien-être physique (61%) ou psychologique (58%) et surtout sur leur vie sociale (63%).

Ce manque d’activité est plus criant encore pour les femmes (66%), qui ont dû davantage jongler avec les tâches domestiques et les couvre-feux que les hommes (56%).

En 2020, les Français avaient pourtant facilement chaussé leurs baskets : 81% d’entre eux déclaraient pratiquer un sport. Explication de Maryline Colombo : « C’était l’une des rares activités autorisées à l’extérieur. » Paradoxalement, alors que 2021 a vu la réouverture progressive des infrastructures sportives, ce taux est retombé à 66%, proche de l’avant-pandémie (64% en 2019). Faire du sport régulièrement est la bonne résolution n° 1 des Français, pour 33% d’entre eux, mais en recul de 4 points par rapport à l’année dernière. Suivent la volonté de passer plus de temps en famille (26%) et celle de se réserver des moments de détente (23%).

Si les Français en général ont moins bougé, les fidèles, eux, ont accéléré..

 

Retraites -Sondage discours É. Philippe : 61% des Français pas convaincus

Retraites -Sondage discours   É.  Philippe : 61% des Français pas convaincus

 

Selon un sondage de l’institut Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info.  près  de deux tiers des Français (61 %) ayant suivi l’intervention du Premier ministre n’ont pas été «convaincus» par ses explications sur la réforme des retraites souhaitée par le gouvernement.

Une très large majorité (70 %) des Français n’a pas été «rassurée» par les annonces du premier ministre. Pire, et alors que le gouvernement tenait à faire entrer dans les têtes l’idée d’une réforme de justice sociale, 60 % des Français estiment que sa réforme ne mettra pas en place un système de retraite «juste» et «durable». Salariés du public, salariés du privé, régimes spéciaux, femmes, tous s’estiment perdants. Selon un sondage Elabe pour BFM 54% sont contre le principe de l’âge de la retraite à 64 ans.

Les seules catégories perçues comme «gagnantes» dans cette réforme sont les retraités touchant de petites pensions – moins de 1000 euros par mois.

Pour beaucoup finalement, les grands perdants sont les jeunes générations. Une disposition qui alimente au sein de la population la défiance à l’égard du gouvernement et la suspicion quant à une réalité qu’on chercherait à lui cacher. Le soutien à la mobilisation est d’ailleurs maximal (76 %) auprès des 18-44 ans, directement concernés par cette mesure. Et comme la semaine dernière à la veille de la première journée de mobilisation, 68 % des Français continuent d’estimer que le mouvement de grève contre la réforme des retraites est «justifié». Une très large majorité qui ne faiblit pas malgré les perturbations occasionnées dans les transports depuis une semaine. Pour le moment, la stratégie du gouvernement n’est pas parvenue à retourner l’opinion publique à l’égard du mouvement de grève.

 

Sondage report de l’âge légal de la retraite : 61 % contre

Sondage report de l’âge légal de la retraite : 61 % contre

 

Selon un sondage Harris Interactive publié ce dimanche pour Le Figaro, RTL et TF1-LCI, les Français sont 61% à s’opposer à un report de l’âge légal de la retraite pour financer des dispositifs liés au grand âge. Ils sont encore plus nombreux (62%) à ne pas vouloir cotiser d’avantage de trimestres.

 

Dans le détail, les personnes âgées de plus de 65 ans sont logiquement moins réticentes à revoir les règles de départ à la retraite. Elles sont même 55% à soutenir un report de l’âge légal de départ, et 57% à envisager un allongement de la durée de cotisation. Les Français qui se revendiquent proches de LREM se montrent quant à eux très majoritairement favorables à de telles mesures (67% d’opinion positive) tout comme les sympathisants des Républicains (58%). Des chiffres qui tombent à 31% pour les proches de la gauche et à 22% pour ceux du Rassemblement National. Dans l’idéal, les Français se verraient partir à la retraite à 60 ans. Ils sont 68% à l’indiquer, et 21% d’entre eux souhaiteraient même quitter la vie active avant. Réalistes, ils sont pourtant 81% à penser qu’ils partiront à la retraite après 61 ans, 45% imaginent même qu’ils auront plus de 65 ans.

 

 

(Enquête réalisée en ligne les 22 et 23 mars 2019 sur un échantillon de 1200 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus)

 

Sondage : 61 % contre la politique économique de Macron

Sondage : 61 % contre la politique économique de Macron

Selon le dernier baromètre réalisé par BVA pour La Tribune , 61 % des Français condamnent la politique économique de Macron. C’est un peu moins que précédemment mais c’est encore énorme. 29 % seulement approuvent : ce qui est bien insuffisant pour donner une légitimité aux réformes du pouvoir. Des résultats qui ne sont pas surprenants dans la mesure où Macron a échoué sur la croissance, sur l’emploi et sur la gestion des équilibres financiers. Pire la situation déjà dégradée en 2018 ne va pas s’améliorer en 2019. Pour preuve, la Commission européenne a abaissé ses prévisions de croissance pour la France en 2019 selon un communiqué publié ce jeudi. L’institution estime que le PIB de l’économie tricolore ralentirait à 1,3% cette année contre 1,5% en 2018. Il y a encore quelques jours, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire maintenait sa prévision de croissance à 1,7% pour cette année lors de ses voeux aux acteurs de l’économie. Les marges de manoeuvre pourraient encore se réduire pour le gouvernement confronté à un mouvement social inédit depuis maintenant plus de trois mois. Dans sa dernière livraison, la Cour des comptes a mis en doute la solidité des prévisions économiques du gouvernement. L’erreur fondamentale de Macron aura été d’accorder des cadeaux fiscaux aux plus aisés et aux entreprises pendant qu’il matraquait les ménages. Ce qui a tué la consommation et la croissance. La plus grave erreur aura sans doute été d’assommer le pouvoir d’achat des retraités. Par catégorie, ce sont les employés et les ouvriers (66%) qui restent les plus critiques à l’égard de l’ancien ministre de l’Économie. Le mécontentement est aussi particulièrement visible chez les retraités (66%) et dans les communes inférieures à 20.000 habitants (69%). En dépit des annonces en faveur des retraités modestes le 10 décembre dernier, la colère semble toujours présente. La désindexation des pensions a suscité une vive opposition chez les foyers composés de retraités. Selon une récente étude de l’observatoire français des conjonctures économiques (OFCE),  la moitié d’entre eux verront  »leur revenu disponible se réduire sous l’effet du quasi gel des pensions de retraite notamment » en 2019.  Pour les couples retraités, la perte est évaluée à 390 euros par an en moyenne alors que pour ceux vivant seuls, elle est estimée à 240 euros.

 (*) Méthode : Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet le 06 février 2019. L’échantillon est constitué de 1.002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée grâce à la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, CSP du chef de famille et de la personne interrogée, après stratification par région et catégorie d’agglomération.

 

Sondage 2017 second tour : Macron 61%

Sondage 2017 second tour : Macron 61%

 

Sondage OpinionWay / Orpi pour Les Echos et Radio Classique du 4 mai

Les intentions de vote – Second tour

 
Emmanuel Macron – 61%
Marine Le Pen – 39%
TOTAL – 100%

La qualité de la campagne
Bonne qualité – 27%
Mauvaise qualité – 72%
NSP – 1%
TOTAL – 100%

Le pronostic et le souhait de victoire
Emmanuel Macron – 77% / 56%
Marine Le Pen – 20% / 34%
NSP – 3% / 10%
TOTAL – 100% / 100%

L’intérêt pour la campagne
Intéressé – 69%
Pas intéressé – 31%
TOTAL – 100%

2017: Macron gagnerait à 61,5% (IFOP)

2017: Macron gagnerait à 61,5% (IFOP)

 

d’après le Figaro qui s’appuie sur une enquête Ifop, macro serait le mieux placé pour battre Marine Le Pen au deuxième tour François Fillon et Emmanuel Macron restent au coude-à-coude dans les intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, avec de nouveau un léger avantage d’un demi-point pour l’ex-ministre de l’Economie dans une enquête Ifop-Fiducial pour Paris Match, iTELE et Sud-Radio. La présidente du Front national, Marine Le Pen, reste quant à elle largement en tête au premier tour mais battue dans tous les cas de figure au second, même si les écarts se réduisent.  Selon le sondage Ifop-Fiducial, qui prend en compte une éventuelle candidature du président du MoDem, François Bayrou, Marine Le Pen recueillerait 26% des suffrages au premier tour, Emmanuel Macron 19% et François Fillon 18,5%. Benoît Hamon est crédité de 14% des voix, Jean-Luc Mélenchon de 11,5% et François Bayrou de 5,5%. Au second tour, selon cette enquête réalisée auprès de 1 397 personnes entre le 16 et le 20 février, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen au second tour par 61,5% des voix contre 38,5%. L’ex-ministre de François Hollande reste en tête des pronostics de victoire (24%) devant la candidate d’extrême droite (19%). Le pronostic de victoire pour François Fillon, englué dans les soupçons d’emplois fictifs dont aurait bénéficié sa famille, s’est effondré, de 25% le 1er février à 15% le 20. Mais ce qui domine, c’est l’incertitude, avec 26% des sondés qui disent ne pas savoir qui sera élu.

 

 

Sondage : Fillon recule de 16 points, 61 % de mauvaises opinions

Sondage : Fillon recule de 16 points, 61 % de mauvaises opinions

 

 

Le plongeon de Fillon dans l’opinion est spectaculaire. La tendance à la baisse était déjà enregistrée depuis plusieurs semaines notamment depuis le flou relatif aux mesures de Fillon visant le remboursement maladie de la sécu. Ces approximations  avaient déjà fait douter de la détermination de l’intéressé à engager des réformes ; en outre son projet de ne faire rembourser que les maladies graves par la sécurité sociale avaient été très mal reçu par l’opinion. Évidemment,  l’affaire du salaire fictif de son  épouse a fini d’achever la popularité d’un François Fillon pris en flagrant délit de contradiction en matière de rigueur. Le sondage Odoxa réaliser il y a deux jours témoigne durant ce renversement spectaculaire de l’image de Fillon.  En effet La popularité de François Fillon recule de 16 points par rapport à novembre, selon un sondage Odoxa pour Franceinfo publié vendredi et réalisé après les révélations sur des emplois présumés fictifs de son épouse Penelope.Selon ce sondage, 61% des Français ont une mauvaise opinion de François Fillon et 38% une bonne opinion. Seuls 31% des sondés estiment qu’il est proche des préoccupations de Français, 32% qu’il est honnête et 39% qu’il est convaincant, une majorité d’entre eux (54%) estimant qu’il est courageux.

 

Sondage primaire : Fillon 61%, Juppé 39%

Sondage primaire : Fillon 61%, Juppé 39%

 

François Fillon est donné vainqueur du second tour de la primaire de la droite pour l’élection présidentielle par un sondage de l’institut Opinionway, avec 61% des intentions de vote contre 39% pour son adversaire, Alain Juppé. Cette enquête, publiée au moment où les deux candidats tenaient leur dernier meeting de campagne a été réalisée auprès de 550 électeurs sûrs de voter dimanche, issus d’un échantillon de 4.871 personnes interrogées jeudi, après le débat qui a opposé les deux ex-Premiers ministres, et vendredi. Selon ce sondage, 4,5 à cinq millions de Français pourraient participer à ce second tour, soit une participation encore plus forte que dimanche dernier pour le premier tour (4,3 millions). Le débat de jeudi soir n’a apparemment pas permis au maire de Bordeaux d’inverser la tendance, même si l’écart est légèrement moins grand que dans d’autres enquêtes. Selon le sondage Opinionway, 87% des électeurs qui ont voté pour François Fillon au premier tour feront de même dimanche, comme 9% de ceux qui ont voté pour Alain Juppé et 76% de ceux qui avaient choisi l’ancien chef de l’Etat Nicolas Sarkozy. Si Alain Juppé conserverait 91% des électeurs qui ont voté pour lui au premier tour, il n’en prendrait en revanche que 13% à son rival et 20% à Nicolas Sarkozy. Le maire de Bordeaux rallierait toujours une grande majorité (75%) des électeurs de gauche participant à la primaire (10% des votants, selon Opinionway). Mais François Fillon fait une razzia dans les intentions de vote des Républicains (75%) et des électeurs du Front national participant au scrutin (74% des intentions de vote sur 11% des votants).Le partage des électeurs centristes de l’UDI et du Modem (14% des personnes sûres de voter) est plus équilibré : 59% voteraient pour Alain Juppé et 40% pour François Fillon.

(Reuters)

Sondage 2017 : Juppé encore en hausse à 61 % et Sarkozy à 39 %

Sondage 2017 : Juppé encore en hausse à 61 % et Sarkozy à 39 %

 

L’écart se creuse encore entre Alain Juppé qui au second tour des primaires obtiendrait 61 % contre 39 % pour Sarkozy selon un sondage Ipsos-Sopra Steria que publie Le Parisien dimanche. Au premier tour, le maire de Bordeaux est crédité de 42% des intentions de vote contre 30% pour l’ex-chef de l’Etat. François Fillon est donné en troisième place (12%) devant Bruno Le Maire (11%). Suivent Nathalie Kosciusko-Morizet (3%), Jean-François Copé (1%) et Jean-Frédéric Poisson (1%). « Alain Juppé retrouve un alliage très performant qu’il avait d’ailleurs en début d’année: un bon niveau chez les sympathisants LR et FN, plus des scores massifs chez les sympathisants de gauche (76%) et les centristes (68%) », analyse Brice Teinturier, directeur général délégué d’Ipsos. De son côté, Nicolas Sarkozy reste en tête dans l’électorat LR (40% contre 36% pour Juppé) et chez les sympathisants FN (26% contre 22%) mais il perd du terrain, note le journal, qui se demande à sa Une si Juppé a déjà gagné. Concernant la participation à cette primaire, exercice inédit à droite, l’étude table sur le vote de 8% des personnes inscrites sur les listes électorales, soit 3,5 millions environ d’électeurs. A 60%, il s’agit d’électeurs LR, 9% se disent proches du FN et 9% sont des sympathisants de gauche.

(Avec Reuters)

Découvert bancaire pour 61% des Français

Découvert bancaire pour 61% des Français

Au moins une fois par an 61% des Français sont dans le rouge et il y a 25 % qui le sont chaque mois  d’après une enquête  de Panorabanques.com pour RTL et « Le Parisien ». D’après cette enquête, la cause majeure viendrait d’une mauvaise gestion de trésorerie. La vérité est peut-être différente et parmi les facteurs explicatifs il faudrait citer la hausse de la fiscalité, d’une manière générale la hausse des prix dont l’indice INSEE ne rend pas compte du fait de la modification structurelle de la consommation des ménages. Des ménages de plus en plus affectés pour les couches modestes et moyennes par le coût  des dépenses contraintes ‘(dépenses sous-estimées par l’INSEE). Pas étonnant si nombre de Français préfèrent  délaisser le livret A et figer leurs revenus dans les comptes courants (même si on a un léger redressement des livrets à ces derniers temps). D’après l’enquête,  52% des sondés déclarant des versements mensuels (salaires, allocations, rentes…) de 3.000 euros ou plus confessent dépasser la limite de leur découvert autorisé au moins une fois par an. En apparence, ce n’est pas tellement moins que les sondés qui perçoivent moins de 1.500 euros par mois, qui sont à 64% dans cette situation. Cependant, si l’on se concentre sur ceux qui sont en difficulté financière chaque mois, on note que les plus petits revenus ont le plus fort taux de dépassement de découvert autorisé. Ils sont 28% à franchir la limite chaque mois, contre 16% chez les Français déclarant 3.000 euros ou plus. Un écart qui n’est pas pris en compte par les banques dans le coût des commissions d’intervention, puisque 95% d’entre elles les facturent au plafond légal, soit 8 euros par opération, quels que soient les revenus du client.

 

RTL

Sarkozy : 2017 : Sarkozy inquiétant pour 61 % des Français

Sarkozy : 2017 : Sarkozy inquiétant pour 61 % des Français

Non seulement Nicolas Sarkozy ne parvient pas à redresser la barre de sa popularité mais son image se dégrade encore comme en témoigne un sondage IFOP Atlantico.  Selon cette enquête, de plus en plus de Français jugent Nicolas Sarkozy inquiétant (61% +10 points) et éprouvent de la colère envers lui, (58% +8 points). Pour 41% des Français, le dirigeant des Républicains a l’étoffe d’un président de la République, une baisse de 11 points, et pour 34% (-11), il veut vraiment changer les choses. Il n’y a plus qu’un tiers des Français qui pensent qu’il a envie de changer les choses, contre 45% au moment de son retour en politique (-11 points). Sur le fait de tenir ses engagements, une qualité importante pour quelqu’un qui prône le changement et a déjà exercé le pouvoir, il ne recueille l’adhésion que d’un quart des Français contre 36% en septembre 2014. Selon un autre  sondage du Cevipof et d’Ipsos Sopra Steria  le maire de Bordeaux virerait en tête au premier tour, avec 31% des suffrages, s’il devait être investi par son camp à l’issue de la primaire de novembre. Dans ce même cas de figure, François Hollande serait nettement distancé, avec 18% des intentions de vote, contre 25% pour Marine le Pen.  Dans les deux autres hypothèses retenues par cette étude, Nicolas Sarkozy et François Fillon laisseraient la première place à la présidente du Front national et se trouveraient au coude-à-coude avec le chef de l’Etat sortant. François Hollande, qui conditionne sa candidature à une baisse du chômage dans les mois à venir, est crédité dans les deux cas de 20%, Nicolas Sarkozy de 21% et François Fillon de 19%. « Ce rapport de force très favorable au maire de Bordeaux évoluera bien sûr dans les mois qui viennent, mais il donne une idée d’un véritable ‘phénomène Juppé’ », écrit dans Le Monde Pascal Perrineau, du Cevipof, le Centre de recherches politiques de Sciences Po. Avec 44%, il devance Nicolas Sarkozy de douze points et plus franchement encore ses autres concurrents déclarés ou pressentis, comme Bruno Le Maire (11%), François Fillon (9%), Nathalie Kosciusko-Morizet (2%) ou Nadine Morano (1%).

 

Sondage temps de travail ; 61% des Français pour des accords d’entreprise

Sondage temps de travail ; 61% des Français pour  des accords d’entreprise

Selon un sondage OpinionWay pour Ays Consultants, et BFM Business 61% des Français plaident pour que des accords d’entreprise puissent modifier «la durée de travail effective des salariés». Mais il ne sont que 37% à souhaiter que de tels accords permettent de déroger au Smic. En outre, la plupart des sondés (66%) refusent qu’un accord collectif puisse s’appliquer aux contrats de travail existants. Seuls les sympathisants Les Républicains sont partagés sur la question: 47% sont pour, 52% contre. Par  ailleurs, une majorité de Français (55%) estime que le gouvernement devrait reprendre directement la gestion de l’assurance chômage, dont le régime fortement déficitaire est actuellement géré par les partenaires sociaux. Les chômeurs, principaux concernés, y sont les plus favorables (61%). Sur l’échiquier politique, seuls les sympathisants Les Républicains souhaitent que le dossier reste entre les mains des partenaires sociaux (56%).

Sondage 35 heures : 61% des Français pour la remise en question

Sondage 35 heures : 61% des Français pour  la remise en question

Paradoxe 61% des Français (Sondage Odoxa I télé)  sont pour la réforme des 35 heures (à adapter par entreprise) mais en même temps ils pensent que la France à 74% que la France n’est pas réformable.  Les trois quarts de nos compatriotes (74 % contre 26 %), autant d’un côté que de l’autre, considèrent en effet que la France est difficilement réformable.  Pis, pour 24 % des sondés, notre pays n’est même pas du tout réformable. Pour corser la chose, on relèvera que les électeurs des partis de gouvernement (PS, Verts, MoDem, UMP, UDI), qui se sont frottés au mur de la réalité, jugent que le pays est difficile à réformer, tandis que ceux des partis antisystème (FN et extrême gauche), vierges de toute expérience du pouvoir, ont tendance à considérer que ce n’est pas si difficile de faire bouger les choses (37 % pour le FN et 42 % pour l’extrême gauche)… Paradoxe ou masochisme, si la majorité des Français estime que la réforme est difficile, une proportion identique (76 %) voudrait en même temps qu’on aille plus loin dans les réformes ! Ainsi, 70 % des électeurs PS se déclarent désormais favorables à une évolution des règles en matière de marché du travail, d’indemnisation chômage et des retraites. Sur des sujets encore plus précis, l’avis des Français a changé, bien que les clivages partisans restent plus marqués. Soixante-douze pour cent (79 % à droite et 62 % à gauche) sont favorables à une ouverture des commerces le soir et le dimanche. Une évolution sans doute sociétale. Plus surprenant, 61 % pencheraient désormais pour une révision de la durée légale du travail en l’adaptant selon la taille et le secteur des entreprises. A droite, 74 % en sont (depuis longtemps) partisans, mais 56 % des sympathisants de gauche y seraient aussi prêts. Un vrai changement, surtout sur ce thème qui fait partie des chevaux de bataille du Medef. En revanche, pas touche à l’âge légal de départ en retraite : 69 % des sondés sont contre, notamment 56 % des sympathisants de droite et 84 % à gauche. Idem pour l’idée de supprimer deux jours fériés pour allonger la durée annuelle travaillée (73 % y sont hostiles). En réussissant à pousser deux de ses quatre propositions, le Medef peut néanmoins se frotter les mains…

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