Archive pour le Tag '60%'

Cessez-le-feu à Gaza: Près de 50 000 morts et 60 % des bâtiments détruits

Cessez-le-feu à Gaza: Près de 50 000 morts et 60 % des bâtiments détruits

 

Alors qu’un cessez-le-feu s’installe à Gaza après des négociations très complexes soutenues notamment par des États-Unis, l’Égypte et le Koweït, on peut commencer à faire un premier bilan. La guerre aura fait environ 50 000 morts côté palestiniens -(environ 1000 morts chez les israéliens lors de l’attaque du 7 octobre).

Un véritable désastre matériel puisque près de 60 % des bâtiments de Gaza ont été détruits.

Certes la reconstruction va sans doute être encouragées mais sans que soient nécessairement réglée la question de la viabilité économique d’une bande palestinienne sous perfusion financière depuis les dizaines et des dizaines d’années sans parler évidemment des risques de nouveaux affrontements non seulement entre palestiniens et Israéliens mais entre palestiniens aussi.

Le conflit, qui a fait 46.876 morts, selon le ministère de la Santé du Hamas, a aussi causé des destructions considérables dans l’enclave palestinienne. D’après une analyse livrée par deux universitaires américains et arrêtée au 15 janvier, au moins 172.000 immeubles ont ainsi été endommagés ou détruits dans toute la bande de Gaza, soit près de trois bâtiments sur cinq (59,8%).

 

Démission de Macron: autour de 60% pour

 Démission de Macron: autour de 60% pour

 59 % des Français souhaitent son départ, selon un sondage CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD. En revanche, 40 % s’y opposent, tandis que 1 % ne se prononce pas. À titre de comparaison, fin novembre, avant le vote de la motion de censure, ce chiffre atteignait 62 %.

À droite, l’opinion est plus partagée : 46 % des sympathisants sont favorables à sa démission, contre 54 % qui s’y opposent. Chez Les Républicains, le score chute à 32 %. Enfin, chez les nationalistes, 85 % souhaitent la démission d’Emmanuel Macron, dont 84 % des partisans du RN.

Sondage-Composition du gouvernement : 60 % de mécontents

Sondage-Composition du gouvernement : 60 % de mécontents

 

 Le mélange de ministres issus du camp d’Emmanuel Macron et des Républicains ne convainc pas les Français, qui sont 80% à juger qu’il « ne tient pas compte des résultats des élections législatives », selon un sondage Elabe pour BFMTV.

Point de sourire chez les Français à l’annonce de leur nouveau gouvernement. Pour six Français sur dix, la nouvelle équipe gouvernementale nommée samedi par le Premier ministre Michel Barnier est source de mécontentement. C’est l’enseignement principal d’un sondage Elabe pour BFMTV publié ce mercredi 25 septembre.

 

Ni Michel Barnier ni sa nouvelle équipe ne semblent être légitimes aux yeux des Français. Le 6 septembre dernier, un précédent sondage Elabe pour BFMTV révélait que 74% des Français estimaient que la nomination de l’ancien négociateur du Brexit ne reflétait pas ce qui était ressorti des urnes aux élections législatives.

 

Société-Immigration : l’Afrique , premier continent d’origine en France, 60% du Maghreb

Société-Immigration : l’Afrique , premier continent d’origine en France, 60% du Maghreb

L’Afrique est le premier continent d’origine des immigrés en France. En 2023, 3,5 millions d’immigrés, soit près d’un sur deux (48%), sont nés en Afrique. Parmi eux, six sur dix viennent du Maghreb (35% du Maroc et de Tunisie, 26% d’Algérie), contre neuf sur dix en 1968.

Les immigrés d’Europe, au nombre de 2,4 millions, représentent pour leur part 32% de la population immigrée totale. Un quart d’entre eux arrivent du Portugal, 22% de l’Espagne et de l’Italie. Troisième continent d’origine, l’Asie représente un million d’immigrés, soit 14% du total, tandis que 6 % viennent d’Amérique ou d’Océanie.

Les immigrés nés en Afrique viennent pour près de la moitié (46%) dans le but de rejoindre un membre de leur famille, 22% pour suivre des études, 23% pour trouver un travail et 11% pour fuir l’insécurité ou les troubles politiques. Parmi les immigrés nés en Europe, 37% sont venus pour travailler, 34% pour rejoindre leur famille, 16% pour étudier et 8% pour fuir l’insécurité. Les immigrés asiatiques viennent pour leur part d’abord pour un motif familial (43%), puis sécuritaire (25%), étudiant (23%) et professionnel (14%).

Sondage – Trêve politique pendant les J.O : 60 % pour

Sondage – Trêve politique pendant les J.O :  60 % pour

L’idée d’une « trêve politique » pendant les Jeux, qui débutent ce vendredi 26 juillet est soutenue par 6 Français sur 10 (59%) selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par Elabe pour BFMTV.

Si 58% des Français soutiennent l’idée d’une trêve politique, ils sont moins clairs sur la nécessité de nommer un gouvernement rapidement. « 50% (+2 en 1 semaine) des Français jugent que l’absence de gouvernement » jusqu’à la rentrée « serait un problème ».  »À l’inverse, 49% (-1) considèrent que cela ne serait pas un problème, il vaut mieux prendre le temps de trouver une coalition et un gouvernement stable », note Elabe.

Mais  « 58% des Français estiment qu’Emmanuel Macron ne doit pas nommer Lucie Castets au poste de Première ministre (…) A titre de comparaison, il y a 2 semaines, 1 Français sur 2 estimaient qu’Emmanuel Macron devait nommer la personnalité proposée par le NFP ».

Les Français sont encore moins optimistes quant à la naissance d’une telle coalition. « 72% des Français pensent que le camp présidentiel et les partis de gauche et de droite qui ont ‘fait barrage’ contre le Rassemblement national ne parviendront pas à s’entendre pour former une coalition et un gouvernement stables », mesure l’institut de sondage.

Législatives et Retraites: à 60, 65 ou 66 ans pour le RN ?

Législatives et Retraites: à 60,  65 ou 66 ans pour le RN ?

 

Si Bardella est clair sur les carrières longues qui permettraient de partir à 60 ans pour quelqu’un qui a commencé à travailler avant 20 ans par contre pour le reste c’est un peu le flou. «Je souhaite que ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans, parce que ce sont les gens qui ont les métiers les plus difficiles, puissent partir avec un temps de cotisations de 40 annuités et un âge de départ légal de 60 ans», a développé le président du RN.

Au-delà de cette barre symbolique, le leader du RN promet «une progressivité assez floue qui tournera autour d’un âge pivot de 62 ans et de 42 annuités.»  En clair comme l’âge moyen d’entrer sur le marché du travail est entre 23 et 24 ans l’âge de départ pour la moyenne serait donc de 65 à 66 ans. C’est-à-dire au-delà de ce qui a été prévu dans la récente réforme. De quoi évidemment alimenter le débat et la polémique.

Pour résumer, il y aurait l’âge légal à 60 ans mais seulement appliquer pour ceux qui sont entrés sur le marché du travail avant 20 ans. Pour les autres un âge pivot théorique de 62 ans mais avec 42 ans d’annuités qui conduira dans les fêtes un âge de départ entre 65 et 66 ans.

Bardella  a d’ailleurs reconnu que sa réforme des retraites que ces changements entraînerait «par définition» des perdants et des gagnants.

 

Moscou : Un attentat de l’État islamique fait 60 morts

 

Moscou : Un attentat de l’État islamique fait 60 morts

D’après le Figaro, un attentat de l’État islamique aurait fait au moins 60 morts dans une salle de  spectacles De Moscou.  60 personnes sont mortes et une centaine d’autres blessées dans une fusillade suivie d’un énorme incendie vendredi soir .
Un attentat effectué par une bande de terroristes apparemment très organisées et qui ont fui après l’événement. L’État islamique a revendiqué la tuerie. La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova a dénoncé un «attentat terroriste sanglant» et un «crime monstrueux». Le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, a annoncé l’annulation de tous les évènements publics. Une enquête pour «acte terroriste» a été ouverte.

Des individus en tenue de camouflage ont fait irruption sur le parterre de la salle de concert Crocus City Hall avant d’ouvrir le feu et de lancer «une grenade ou une bombe incendiaire, ce qui a provoqué un incendie».

L’État islamique a revendiqué l’attaque dans la soirée.

Inflation : près de 60% réduisent leur consommation

Inflation : près de 60% réduisent leur consommation

Confirmation du changement de comportement des ménages avec l’inflation. Un changement qui se caractérise d’une part par une réduction du volume de consommation face à l’augmentation des prix et à une descente de gammes. Cela notamment aussi pour compenser l’impossibilité de réduire les dépenses contraintes. D’après une enquête effectuer par la Banque de France et le Credoc, les Français ont compensé les effets de l’inflation par une baisse de consommation particulièrement notable chez les moins favorisés et mettant même en cause la santé.
« Il y a un un contexte général anxiogène et un sentiment accru de difficultés. 38% des personnes ont dit qu’ils avaient été dans le rouge au cours des douze derniers mois »,  a déclaré Mark Béguery, directeur des particuliers de la Banque de France lors d’un point presse lundi.

 

Sans surprise, les plus modestes sont les plus exposés à l’envolée des prix à la consommation. Ainsi, « 48% d’entre eux ont déclaré avoir été dans le rouge au cours des douze derniers mois ». Soit 10 points de plus que la moyenne des Français. Pour mener leur enquête, la Banque de France et le Credoc ont pris en compte les trois premiers déciles de la population, c’est-à-dire ceux qui gagnent moins de 1.347 euros. A l’intérieur de cette catégorie, il peut exister de fortes disparités entre ceux qui gagnent peu ou prou le salaire minimum (1.398 euros) et ceux qui vivent en dessous du seuil de pauvreté fixé à 1.158 euros par mois.

« Les Français ont fait moins d’arbitrages sur des dépenses contraintes, comme les factures de chauffage ou d’électricité. En revanche, les Français ont davantage acheté des marques de distributeurs pour les courses alimentaires et ont eu davantage recours à de l’aide alimentaire », a résumé Mark Béguery.

Autre signal inquiétant : 20% des ménages ont repoussé ou renoncé à des soins médicaux l’année dernière. Cette proportion atteint même 30% chez les plus modestes, et ce, alors qu’ils sont particulièrement exposés aux maladies.

 

Retraite : 60 % des Français toujours pour l’abrogation de la réforme

Retraite : 60 % des Français toujours pour l’abrogation de la réforme (sondage)

Le gouvernement voudrait bien tourner la page des retraites mais pas les Français dont 71 % souhaitent est un vote à l’Assemblée nationale. Il y a encore 60 % des Français qui veulent l’abrogation de la réforme.

Et pour empêcher ce vote à l’Assemblée nationale le gouvernement utilise toutes les arguties juridiques possibles jusqu’au ridicule par exemple en autorisant le vote de la proposition du groupe Liot met en en vidant le contenu ! Bref pas vraiment de quoi grandir la crédibilité du gouvernement sur ce sujet.

Selon une enquête menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 71% des Français souhaitent que la proposition de loi du groupe Liot visant à abroger la réforme des retraites soit débattue et mise au vote à l’Assemblée nationale. 61% des Français souhaitent aussi qu’elle soit adoptée.

L’opposition à la réforme des retraites reste élevée, malgré la promulgation de la loi il y a près de deux mois. Alors que le sujet est revenu à l’Assemblée nationale, par le biais d’une proposition de loi visant à abroger la retraite à 64 ans, BFMTV dévoile ce mercredi les résultats d’un sondage Elabe montrant que cette initiative est soutenue par une majorité de la population.

Le groupe indépendant Liot (Libertés, indépendants, Outre-mer et territoires) a déposé un texte visant à abroger la loi portant la réforme des retraites. Le camp présidentiel a toutefois réussi à faire supprimer mercredi en commission l’article clé de ce texte, qu’il juge irrecevable d’un point de vue constitutionnel.

La suppression de l’article 1er de la proposition de loi a été votée de justesse (38 voix pour, 34 contre) grâce notamment aux voix du groupe Les Républicains (LR) qui se sont additionnées à celles de la majorité. Le groupe Liot peut redéposer l’amendement lors de l’examen en séance publique, mais la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, pourra le rejeter au titre de l’article 40.

Selon lenotre sondage Elabe, 71% des Français souhaitent malgré cela que la proposition de loi du groupe Liot soit débattue et mise au vote à l’Assemblée nationale. 6 personnes sur 10 souhaitent aussi qu’elle soit adoptée par les députés (61%, contre 38% qui ne le souhaitent pas).

Play Video
Les seuls électorats pour lesquels cette opinion n’est pas majoritaire sont ceux d’Emmanuel Macron et de Valérie Pécresse au premier tour de la présidentielle de 2022: 55% des électeurs du chef de l’État et 53% de ceux de la candidate LR souhaitent que la proposition de loi ne soit pas débattue.

Inflation: Encore des augmentations de prix dans 60 % des entreprises

Inflation: Encore des augmentations de prix dans 60 % des entreprises

Contrairement à ce qu’affirme le gouvernement, l’inflation n’est pas près de disparaître voire de diminuer puisqu’une majorité d’entreprises prévoit d’augmenter encore leur prix en 2023.Selon le baromètre trimestriel Bpifrance – Rexecode, auprès de plus de 2.000 TPE et PME, 60% des dirigeants interrogés prévoient d’augmenter leurs prix de vente en 2023. Si la proportion est quasi stable sur le trimestre, on note néanmoins une légère hausse par rapport aux dirigeants ayant déclaré avoir augmenté leurs tarifs en 2022 (58%). Par ailleurs, 35% prévoient de maintenir leurs prix inchangés et 5% (+2 points) de les baisser, en 2023.

Les dirigeants des TPE et PME vont, à nouveau, augmenter leurs prix de vente en 2023 poussés par la hausse des coûts de production et la revalorisation des salaires.

Si l’observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) estimait, début avril, que la hausse des prix à la consommation devrait se maintenir entre +5,5% et +6,5% en 2023, les chiffres de l’Insee du mois dernier sont venus confirmer cette projection. En avril, l’inflation est, en effet, repartie à la hausse à 5,9% sur un an, alors qu’elle avait pourtant ralenti à 5,7% en mars.

Ainsi, l’augmentation moyenne des prix anticipée pour 2023 est de +4,3 %, soit autant que prévu dans l’enquête réalisée en février dernier. Dans le détail, pour près d’un dirigeant sur 3, cette hausse est de 5%. Seuls 8% tablent sur une hausse supérieure à 10% (proportion stable sur le trimestre). Enfin, 63% des dirigeants prévoyant d’appliquer une hausse de leur prix de vente cette année déclarent qu’elle sera supérieure à celle de 2022, contre 60% au trimestre précédent, souligne le baromètre. Seuls 9% pensent qu’elle sera inférieure.

78% des dirigeants interrogés prévoient d’augmenter le salaire de leurs collaborateurs en 2023. Une proportion en hausse de 6 points par rapport au mois de février et de 14 points par rapport à l’automne 2022. En comparaison, ils étaient 76% à déclarer avoir augmenté les salaires en 2022.

En effet, l’évolution salariale moyenne au sein des TPE et PME, qu’elles aient prévu d’augmenter ou non les salaires de leurs collaborateurs, serait de +3,8 % en 2023 (contre +3,9% de hausse moyenne déclarée pour l’année 2022), soit un peu plus qu’anticipé en février dernier (+3,5%).

Sondage -réforme retraites : injuste pour 74 %, inefficace pour 60 %

Sondage -réforme retraites : injuste pour 74 %, inefficace pour 60 %

D’après un sondage Elabe pour BFM, 74% des Français estiment la réforme injuste et 60% la jugent inefficace pour assurer la pérennité du système de retraites.

Pour une partie d’entre eux, les leviers de compromis sont la prise en compte de la pénibilité, l’abandon du report à 62 ans pour les carrières longues, l’abandon de l’allongement de durée de cotisation et la prise en compte de la spécificité de carrières des femmes.

La réforme est considérée comme injuste car elle pénalise surtout les carrières courtes, les femmes et les salariés aux conditions de travail les plus difficiles qui ont souvent commencé à travailler très tôt.

Il y a dans la réforme aussi de nombreuses exceptions qui font perdurer voire accroître les inégalités alors que les conditions de travail ne le justifient absolument pas.

Enfin en matière d’inégalités, il y a la différence de traitement entre le secteur public et le secteur privé qui finalement financera les avantages des fonctionnaires et autres salariés du secteur nationalisé.

Les Français considèrent cette réforme comme inefficace en particulier en raison de la difficulté pour les seniors à se maintenir sur le marché du travail. En effet aujourd’hui, environ 30 % des seniors seulement autour de 60 ans sont encore sur le marché du travail. À noter qu’il n’y a aucune stratégie précise et volontariste pour encourager le travail des plus âgés. Pour l’instant, tout juste la mise en place d’une sorte « d’index » pour les grandes entreprises pas très incitative et en outre contestée par le Medef.

Chine : baisse de la population depuis 60 ans

  • Chine : baisse de la population depuis 60 ans
  •  

 

La population de la Chine, pays le plus peuplé du monde, a baissé en 2022 pour la première fois depuis six décennies a indiqué mardi un organisme officiel. Au total, 9,56 millions de naissances ont été enregistrées l’an passé, et n’ont pas compensé les 10,41 millions de décès, a annoncé le Bureau national des statistiques (BNS) dans un rapport.

 

Les Chinois étaient autrefois connus pour leurs familles nombreuses. La population a ainsi doublé depuis les années 1960, pour dépasser 1,4 milliard aujourd’hui. Et une petite révolution s’annonce: l’Inde devrait ainsi détrôner dès cette année la Chine en tant que pays ayant le plus d’habitants, selon l’ONU.

Cette chute s’annonce durable, peut-être jusqu’à la fin du siècle, selon des démographes, ce qui affectera durement l’économie et le système de retraites. Couplée au vieillissement, la baisse de la population, notamment du nombre d’actifs, devrait avoir des répercussions profondes sur l’économie chinoise pendant plusieurs décennies.

Mobilisation 19 janvier retraites : 60% contre la réforme et pour la mobilisation

Mobilisation  19 janvier retraites : 60% contre la réforme et pour la mobilisation

 

 

Selon un très récent sondage Elabe pour BFM, l’opinion condamne très largement la réforme et soutient la mobilsation à hauteur de 60%. 

 

Sans conteste , le gouvernement est englué dans son approche technocratique parcellaire.  On se demande combien de français ont pu suivre jusqu’au bout le l’interminable défilé des ministres à la télé qui tentaient de défendre le projet. C’est incompréhensible pour la plupart des téléspectateurs et nombre de questions demeurent dans le flou; parfois d’ailleurs volontairement pour cacher les différences entre public et privé, entre moins qualifiés et les autres, entre actifs et retraités actuels.

Une réforme évidemment bien loin de la réforme universelle à points qui remettait tout à plat avec un régime unique .

Au lieu de cela, on a multiplié les exceptions ainsi un chauffeur RATP pourra partir à 58 ans quand un autre chauffeur de bus en province partira à 64 ans.

La fameuse réforme systémique est enterrée pour une classique réforme paramétriques qu’on devar revoir d’ici 5 à 10 ans. Et de toute façon, on ne pourra pas faire l’économie d’une réforme systémique un jour.

Cette reforme est dune injustice criante elle fait peser sur les moins favorisés actifs le poids des économies.

Russie: Baisse de 60% des ventes de voitures

 Russie: Baisse de 60% des ventes de voitures 

Conséquence de la guerre en Ukraine et de la crise économique, le marché russe dégringole. C’est ce qu’il ressort des chiffres publiés ce jeudi 12 janvier par l’Association of European Businesses (AEB), qui regroupe les industriels du secteur. Par rapport à 2021, ce sont près d’un million de voitures en moins qui ont été vendues. Sur un an, le repli est vertigineux : -59% d’une année sur l’autre.

Les chutes les plus marquées sur l’année concernent notamment les modèles allemands de Volkswagen (-80% par rapport à 2021), Audi (-79%) et Mercedes-Benz (-78%), le suédois Volvo (-81%), les japonais Lexus (-90%) et Toyota (-80%). Côtés français, Peugeot enregistre -72%, Renault -70%, Citroën -67%.

Sur le seul mois de décembre, les ventes ont chuté de 50%, selon l’AEB. Ce n’est toutefois pas le pire mois de cette année 2022 : à partir de mars, mois qui a suivi l’offensive russe en Ukraine, les ventes ont affiché des reculs au moins similaire. Avec un plus haut enregistré en mai (-83,5%).

 

L ‘explication se trouve aussi du côté de l’inflation. À 11,9% sur l’année 2022, elle réduit le pouvoir d’achat des Russes et les possibilités pour eux d’acheter des produits importés, a fortiori des voitures. Début décembre, Vladimir Poutine avait dit s’attendre à une inflation « à 12,2% » d’inflation en fin d’année, sur fond de contraction du PIB national « de 2,9% ».

Un niveau élevé mais toutefois bien loin des prévisions apocalyptiques du printemps après les premières sanctions internationales contre Moscou en représailles de son offensive en Ukraine. Les prix avaient connu un embrasement au deuxième trimestre 2022, dans les semaines suivant le début de l’intervention russe chez son voisin. Au mois d’avril, l’inflation avait même battu un record depuis 2002 en grimpant à 17,8% sur un an. La hausse des prix s’est depuis stabilisée dans le pays autour de 12% depuis novembre, selon des chiffres publiés mensuellement par l’agence de statistiques nationale, Rosstat.

Grève 19 janvier retraites : 60% contre la réforme et pour la mobilisation

Grève 19 janvier retraites : 60% contre la réforme et pour la mobilisation

 

 

Selon un très récent sondage Elabe pour BFM, l’opinion condamne très largement la réforme et soutient la mobilsation à hauteur de 60%. 

 

Sans conteste ,le gouvernement englué dans son approche technocratique parcellaire On se demande combien de français ont pu suivre jusqu’au bout le l’inter minable défilé des ministres à la télé qui tentaient de défendre le projet. C’est incompréhensible pour la plupart des téléspectateurs et nombre de questions demeurent dans le flou; parfois d’ailleurs volontairement pour cacher les différences entre public et privé, entre moins qualifiés et les autres, entre actifs et retraités actuels.

 

Une réforme évidemment bien loin de la réforme universelle à points qui remettait tout à plat avec un régime unique .

Au lieu de cela on a multiplié les exceptions ainsi un chauffeur RATP pourra partir à 58 ans quand un autre chauffeur de bus en province partira à 64 ans.

 

Fa fameuse réforme systémique est enterrée pour une classique réforme paramétriques qu’on devar revoir d’ici 5 à 10 ans. Et de toute façon, on ne pourra pas faire l’économie d’une réforme systémique un jour.

Cette reforme est dune injustice criante elle fait peser sur les moins favorisés actifs le poids des économies.

12345...8



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol