Archive pour le Tag '60 milliards'

Ukraine : 60 milliards d’euros supplémentaires pour financer la reconstruction

Ukraine : 60 milliards d’euros supplémentaires pour financer la reconstruction

L’Ukraine a reçu un total de 60 milliards d’euros de nouveaux soutiens financiers pour rebâtir son économie à l’issue de la conférence internationale sur sa reconstruction organisée à Londres, s’est réjoui, jeudi 22 juin, le ministre des Affaires étrangères britannique James Cleverly.

« Nous n’avions pas pensé cette conférence comme une conférence d’annonce de contributions », a commenté le ministre, lors de la session de clôture de la conférence. L’essentiel des 60 milliards d’euros d’engagements provient d’un paquet d’aide de 50 milliards d’euros que l’Union européenne a prévu de débloquer jusqu’en 2027, et a annoncé à la veille de la conférence. Les Etats-Unis ont également annoncé un soutien d’1,3 milliard de dollars (environ 1,2 milliard d’euros) d’aide, ciblés notamment sur les secteurs énergétiques et les infrastructures.

Le redressement de l’économie ukrainienne à moyen terme a été estimé à plus de 400 milliards de dollars à ce stade du conflit. Le chef du gouvernement ukrainien a aussi salué l’engagement de « presque tous les participants » à soutenir l’idée que la Russie devra « payer pour ses crimes et les destructions qu’elle a provoqués en Ukraine ».

Le déficit commercial français: toujours près de 60 milliards

Le déficit commercial français: toujours près de 60 milliards

Du côté de l’administration, on se félicite d’une petite baisse du déficit  commercial français de quelques milliards. Reste que ce déficit demeure depuis déjà des années et des années autour de 60 milliards d’euros démontrant la  faiblesse de compétitivité de l’économie française. Les Douanes relèvent en particulier les bonnes performances à l’export des produits pharmaceutiques, textiles et agricoles. Le déficit français reste cependant important, à 58,9 milliards d’euros.

Le commerce extérieur est un des points noirs français. La question était de savoir à quel point la guerre commerciale allait avoir pesé sur le déficit de 2019. Et force est de constater que l’Hexagone a fait preuve d’une certaine résilience: à 58,9 milliards d’euros, le déficit commercial français reste extrêmement creusé, mais moins qu’en 2018 où il atteignait 62,8 milliards, selon les données publiées ce vendredi matin par les Douanes.

De fait, le solde des échanges s’améliore pour la première fois depuis 2015 grâce à une augmentation des exportations (+3,3 % à 508 milliards) plus marquée que celle des importations (+2,2 % à 567 milliards). Il se redresse vis-à-vis de toutes les grandes régions du monde, à l’exception de l’Asie.

Les Douanes relèvent la bonne performance des exportations de produits pharmaceutiques (+10,4 % en 2019), de produits textiles et d’habillement (+8,5 %), ou encore de produits agricoles et agroalimentaires (+3,2 % ). Les exportations dans l’aéronautique progressent pour la deuxième année consécutive (+11,9 % ) grâce à une nouvelle année record pour Airbus (863 livraisons dont 358 depuis la France). Les filières du luxe, traditionnel point fort français, continuent également de soutenir notre commerce extérieur avec une progression des exportations de 9%.

«La facture énergétique est en légère baisse en 2019 (800 millions) mais continue de peser fortement sur notre balance commerciale, représentant environ 60 % du déficit total des biens», souligne le quai d’Orsay. Lequel se félicite de la situation française en comparaison avec d’autres pays européens. «Selon les tendances observées sur les trois premiers trimestres de 2019, la croissance des exportations françaises de biens serait en 2019 supérieures à celle des exportations allemandes, britanniques, italiennes, néerlandaises et espagnoles. La part de marché de la France dans le commerce mondial s’est stabilisée depuis 2012, à 3,1 % sur les biens et à 3,5 % sur les biens et services, maintenant la France au 5e rang mondial en exportations de biens et services».

 

 

Brexit: une facture 50 à 60 milliards réclamés au Royaume-Uni

 

 

La facture du Brexit risque de faire un peu mieux réfléchir les responsables britanniques qui ont milité pour la sortie de l’union européenne. Il y a d’abord la facture économique immédiate avec la perte de croissance. Le Brexit va entraîner un net ralentissement l’année prochaine de la croissance économique du Royaume-Uni et le contraindre à davantage emprunter, a annoncé le ministre britannique des Finances en présentant son premier budget depuis le référendum sur la sortie de l’UE. L’Office public de responsabilité budgétaire (OBR) a en effet abaissé ses prévisions de croissance à 1,4%, contre un taux de 2,2% prévu en mars dernier. Au total, en raison du vote pour le Brexit, le Royaume-Uni va perdre 2,4 points de croissance sur la période 2016-2021, a précisé l’OBR, plombant d’autant les prévisions de recettes fiscales. Ce pays s’attend de ce fait à ce que son déficit public soit bien plus élevé que prévu d’ici à 2021, avec une augmentation des emprunts de 122 milliards de livres (143 milliards d’euros). Le ministre des Finances a renvoyé un hypothétique retour à l’équilibre budgétaire à au-delà de 2020.Il y a aussi la facture à payer à l’union européenne en vertu des désengagements qu’il y le Royaume-Uni. D’après le média britannique Sky NewsMichel Barnier, négociateur en chef de la Commission chargé de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni, serait prêt à lui faire payer des frais de 50 à 60 milliards d’euros pour les engagements non réglés quand Theresa May déclenchera l’article 50 concernant le processus officiel de négociation du Brexit. Cet énorme montant représente la participation du Royaume-Uni au budget de l’UE jusqu’à la fin de 2020 ainsi « que des dettes de retraites impayées et des paiements liés à des garanties de prêts », souligne encore le média britannique.

 

Commerce extérieur : un bénéfice de 200 milliards pour l’Allemagne et un déficit de 60 milliards pour la France

Commerce extérieur : un bénéfice de 200 milliards pour l’Allemagne et un déficit de 60 milliards pour la France

Trop de fiscalité et  absence de politique industrielle,  les deux facteurs explicatifs du différentiel de résultat entre les deux pays. Une conséquence : un chômage galopant en France. Le résultat est sans appel: l’Allemagne a enregistré un excédent record de 198 milliards d’euros alors que la France a été, une nouvelle fois, dans le rouge à hauteur de 61 milliards d’euros, soit cependant 12 milliards de moins qu’en 2011. Les exportations allemandes représentent plus du double de celles de la France, à 1.094 milliards contre 435 milliards d’euros. Ce décrochage, loin d’être nouveau, est dû à un ensemble de facteurs structurels. Voici lesquels.  « Depuis une quinzaine d’années, l’Allemagne s’est spécialisée sur des produits à haute valeur ajoutée et a réorganisé son secteur productif en ce sens », alors que la France n’a pas fait ce choix et a « un problème de spécialisation sectorielle », explique Bruno Cavalier, chef économiste chez Oddo. L’Allemagne produit des biens d’équipements (automobiles, machines-outils…) réputés de qualité. Ces biens ont un succès certain auprès des pays émergents qui montent en gamme et choisissent de s’équiper en optant pour les fournisseurs germaniques.  Contrairement à la France, dont Arnaud Montebourg n’a cessé d’expliquer qu’elle était pénalisée par l’euro fort, l’Allemagne résiste bien à l’appréciation de la monnaie unique qui s’échange actuellement  à 1,35 euro pour un dollar.  La qualité de ses produits lui permet de supporter l’effet prix occasionné par le haut niveau de la devise. Autre explication: l’euro fort a aussi pour effet de diminuer les prix des importations. L’Allemagne a ainsi pu s’approvisionner à moindre coût en matières premières pour son industrie.  Dans une récente note intitulée France-Allemagne, convergence de vues?, Caroline Newhouse de BNP Paribas écrit que « les parts de marché de la France ont baissé de près de 40% depuis une décennie »‘. « En outre, l’industrie française a pâti vis-à-vis de l’Allemagne de l’évolution du coût du travail, et en particulier des cotisations sociales payées par les employeurs », poursuit-elle. Dans une étude de 2011, le Coe Rexecode, un think tank libéral, estimait que l’écart de coûts salariaux unitaires entre les deux pays s’élevait à 14%.  Le Medef évalue à environ 116 milliards d’euros le montant des prélèvements à supprimer pour que la France comble son écart de compétitivité avec l’Allemagne.  Sans reprendre les chiffres de l’organisation patronale, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, en évoquant une baisse de l’impôt sur les sociétés, déclarait mi-janvier sur France Inter « qu’il faut harmoniser avec l’Allemagne, il ne s’agit pas de baisser pour baisser ».

 

Déficit commercial : encore 60 milliards d’euros en 2013

Déficit commercial : encore 60 milliards d’euros en 2013

Véritable indicateur de la compétitivité française, la balance commerciale est encore très nettement déficitaire. (67 milliards en 2012 en France, pour 188 milliards pour l’Allemagne mais en excédents !). Et « Le mois de novembre 2013 n’est pas bon ». Nicole Bricq n’y est pas allée par quatre chemins, ce jeudi 9 janvier, pour qualifier la performance française à l’export. Les « moindres livraisons de l’aéronautique » y sont pour beaucoup, a-t-elle expliqué, précisant qu’ »heureusement, les commandes s’annoncent florissantes » pour Airbus. Sur France Info, la ministre du Commerce extérieur a également évoqué le déficit commercial de la France pour 2013. Le chiffre devrait s’approcher de 60 milliards d’euros, a-t-elle estimé. Mais elle a tenu à rappeler que celui-ci « était de 67 milliards d’euros en 2012, et de 74 milliards en 2011″. Si la performance reste médiocre, il y a donc du mieux.  Pour y remédier, la ministre a évoqué certaines pistes, sans pour autant entrer dans le détail. Parlant d’un « problème structurel, de compétitivité », Nicole Bricq a évoqué la possibilité d’aider fiscalement les entreprises exportatrices.  « Cela fait partie des sujets des assises de la fiscalité » qui se tiendront dans les prochaines semaines, a-t-elle affirmé, parlant également de « simplification des procédures douanières ».

 

60 milliards à économiser dans les dépenses de l’Etat pour Hollande

60 milliards à économiser dans les dépenses de l’Etat pour Hollande

 

60 milliards à économiser dans les dépenses de l’Etat pour Hollande, il faudra s’attaquer notamment aux baronnies administratives dirigées par les énarques ;  Un acronyme a remplacé la RGPP chez les « technos » du gouvernement : la MAP, pour modernisation de l’action publique. Sous l’impulsion de l’Élysée, Marylise Lebranchu la diligente discrètement, en relevant les doublons. « L’évaluation des doubles comptes n’a pas été faite depuis les années 1958-1960″, souligne un proche du Président. La gestion des réseaux routiers, qui relève de toutes les administrations par petits bouts, ou la formation professionnelle, éclatée entre l’Éducation nationale, les régions et Pôle emploi, laissent songeur. Les sous-préfectures des départements très urbains aussi, que les citoyens délaissent au profit de la grande ville. Certaines seraient réduites au format le plus court. Un dossier sensible pour Manuel Valls, patron de la préfectorale. « Nous allons associer les fonctionnaires aux décisions », promet-on en haut lieu. Les collectivités locales sont ainsi dans le collimateur. Les mairies, départements et régions ont embauché 482.400 personnes en dix ans quand l’État supprimait 114.400 postes. Pas forcément de façon rationnelle. On compte 29 fonctionnaires territoriaux pour 1.000 habitants en Provence-Alpes-Côte d’Azur contre 19 en Alsace… Bercy a procédé aux premières coupes dans les dotations. Dans ce contexte, François Hollande se rend mardi au congrès des maires de France pour un exercice de pédagogie. Tous les élus PS ne sont pas hostiles à une gestion rigoureuse. Or les sujets de friction montent. Beaucoup reprochent à Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale, d’avoir réformé les rythmes scolaires à la va-vite. Les petites villes redoutent de devoir mettre la main à la poche pour financer de nouvelles structures de garde des écoliers en fin d’après-midi. Fonctionnaires, élus locaux… Pour ces réformes, Hollande peut s’appuyer sur des catégories qui le soutiennent. Mais il peut aussi se les aliéner.

 




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