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SONDAGE: 59% des Français sont prêts à payer des produits locaux plus cher pour relancer l’économie

SONDAGE: 59% des Français sont prêts à payer des produits locaux plus cher pour relancer l’économie

Dans une enquête diffusée par le JDD ,  les Français sont prêts, à 59%, à payer plus cher les produits locaux.. Selon le sondage Ifop*, 35% accepteraient de voir la facture s’alourdir jusqu’à 5% pour des produits français, mais seuls 4% paieraient entre 10% et 20% plus cher. Signe de la prise de conscience écologique, les plus jeunes affichent un net penchant pour le local, davantage encore que pour le national : 24% des moins de 35 ans accepteraient de payer entre 5 et 10% plus cher pour un produit fabriqué près de chez eux, et 9% paieraient même entre 10% et 20% plus cher.

 

Plus on est aisé et plus on est diplômé, et plus on est enclin à mettre la main au ­portefeuille pour des produits locaux. En revanche, parce qu’il a aussi un coût et que les sympathisants du Rassemblement national sont plus souvent issus des classes populaires, ce sont paradoxalement les moins enclins à soutenir concrètement le patriotisme économique : 51% sont prêts à payer plus cher pour du made in France, contre 69% des sympathisants LFI, 71% des EELV, 76% des LR et 78 % des LREM. En faite il n’y a pas de paradoxe car il y a forcément une élasticité différente entre préoccupations budgétaires des ménages et préoccupations environnementales.

 

Avec la sortie de crise annoncée, les Français se montrent optimistes. En tout cas pour eux-mêmes : 70% voient en rose leur avenir personnel et celui de leur entreprise. Mais nettement moins pour la France : 69% sont pessimistes concernant la situation ­économique. Pour autant, ils font majoritairement confiance à ­l’exécutif pour soutenir les entreprises en difficulté. Une approbation qui ne se dément guère sur ce terrain depuis mars 2020, même si elle fléchit de trois points depuis la mi-mai, à 51%. Signe, peut-être, que les ménages s’inquiètent de la fin du « quoi qu’il en coûte ».

 

* Sondage Ifop pour le JDD, réalisé les 3 et 4 juin 2021 auprès d’un échantillon représentatif de 1.015 personnes âgées de 18 ans et plus (méthode des quotas). Les interviews ont eu lieu par questionnaire autoadministré en ligne.

Sortie de crise covid: 59 % ne croient pas le gouvernement

Sortie de crise covid: 59 % ne croient pas le gouvernement

59 % ne croient pas le gouvernement capable de réussir la sortie de crise selon un sondage au Odoxa. M lgré leur hâte d’être «déconfinés», deux tiers des citoyens ne croient pas Jean Castex lorsqu’il assure que «la France est en train de sortir durablement de la crise sanitaire».

 

Plus globalement, ils disent, à 59 %, ne pas faire confiance au gouvernement pour «réussir ce déconfinement». Une défiance qui n’est pas nouvelle. Il y a un an, les Français étaient exactement aussi nombreux à ne pas faire confiance au gouvernement pour réussir le premier déconfinement.

Les deux tiers des Français disent se sentir «heureux que ce déconfinement arrive pour pouvoir enfin profiter à nouveau de la vie.  A contrario, moins d’un Français sur trois (32 %) se montre plus pessimiste, disant avant tout se sentir «inquiet car ce déconfinement intervient alors que l’épidémie est encore très présente».

Sondage popularité Macron : légère remontée mais 59 % défavorables

Sondage popularité Macron : légère remontée mais 59 % défavorables

 

 

 

Selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio publié mardi,l L’approbation de l’action d’Emmanuel Macron progresse de 2 points, à 41%, avec un taux d’insatisfaits qui recule en parallèle de 2 points, à 59%.

A 41% également, le Premier ministre Jean Castex est au même niveau d’approbation, mais la remontée est plus forte: elle est de 5 points depuis un plancher de 36% atteint en avril. Près de six Français sur dix (59%, -5 points) continuent aussi d’avoir une opinion négative.

Interrogés sur l’image qu’ils ont du chef de l’Etat, 52% des Français estiment que dire qu’il « défend bien les intérêts de la France à l’étranger » lui correspond bien. Mais une majorité considère que « renouvelle la fonction présidentielle » (57%), « mène une bonne politique économique » (60%), « a une vision pour l’avenir des Français » (60%), « est proche des préoccupations des Français » (68%) sont des appréciations lui correspondant mal.

Quant à Jean Castex, les traits d’image proposés sont majoritairement jugés comme lui correspondant mal: 52% pensent que dire qu’ »il est un homme de dialogue » ne lui convient pas. Même appréciation négative concernant « dirige bien l’action de son gouvernement » (57%), « est proche des préoccupations des Français » (63%), « qui vous inspire confiance » (64%) et « est capable de réformer le pays » (71%).

Sondage vaccination : 59 % contre

Sondage vaccination : 59 % contre

Selon un sondage IFOP pour le JDD, 59 % des Français sont actuellement contre la vaccination. Sondage qui résulte sans doute des les interrogations quant à la fiabilité, la durabilité et des éventuelles contre-indications des candidats vaccins.

A l’inverse, 41% ont dit qu’ils étaient favorables au vaccin.

Les réticences venaient plus majoritairement de personnes se disant proches des idées de La France insoumise et du Rassemblement national. Les trois quarts des répondants qui se reconnaissent dans ces deux partis ont fait savoir qu’ils n’iraient pas ou probablement pas se faire vacciner.

La moitié des répondants proches des idées des Républicains (51%) et du parti Socialiste (47%) ont également fait cette réponse. Seuls un quart des répondants fidèles aux idées de La République en marche ont dit ne pas vouloir se faire vacciner.

L’enquête a été menée en ligne du 26 au 27 novembre auprès d’un échantillon de 1.013 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Depuis le début de l’épidémie, le virus a fait 52.127 morts en France et contaminé 2.208.699 personnes.

sondage retour à l’école : 59 % des parents mécontents

sondage retour à l’école : 59 % des parents mécontents

Pour 56% des Français et 59% des parents d’enfants scolarisés, l’obligation du retour à l’école le lundi 22 juin annoncée par Emmanuel Macron est une mauvaise décision. Ce caractère «obligatoire» de l’école, interrogé dans le sondage réalisé par Odoxa-Dentsu Consulting pour France Info et Le Figaro, mercredi auprès de 1000 internautes, a un effet répulsif. Selon Gaël Sliman, le président d’Odoxa, la réponse aurait été plus positive si le Président avait annoncé aux parents que la reprise serait possible pour tous ceux qui le veulent…

Sans surprise, cette «obligation» mécontente les deux-tiers des catégories populaires et modestes, très réticentes depuis la fin du déconfinement -car plus craintives que les autres au sujet du virus- à l’idée de remettre leurs enfants à l’école. Elle est en revanche majoritairement approuvée par les cadres (55%) et les Français aisés (62%). Si les sympathisants LREM soutiennent cette décision (80%) ainsi que les sympathisants LR (53%), les sympathisants des autres partis la rejettent: 78% des Insoumis, 60% des PS, 55% des écologistes et 66% des RN.

Quant à Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation, 58% des Français et 65% des parents d’élèves en ont une mauvaise opinion. Il a perdu 21 points par rapport à février 2018. Une époque où la majorité LaREM, encore en début de mandat, n’était pas entrée dans la turbulence politique. Si le ministre reste soutenu par les sympathisants LR (58%) et LaREM (86%), les sympathisants de gauche (66% des PS et 72% des Insoumis) et RN (73%) en ont une mauvaise opinion.

Sondage Benalla : affaire d’Etat pour 59%

 

Sondage Benalla : affaire d’Etat pour 59%

Un sondage exclusif d’Opinionway pour LCI révèle ce mercredi que pour 59% des Français l’affaire Benalla revêt bel et bien le caractère d’une affaire d’Etat.

72% des sondés estiment que l’affaire Benalla est « grave », dont 46% « très grave ». Les sympathisants de la France Insoumise et du Rassemblement National jugent l’affaire « très grave » à respectivement 69% et 72%. Près de la moitié des sympathisants Les Républicains interrogés partagent ce jugement.

Naturellement, les électeurs d’Emmanuel Macron sont un peu plus indulgents puisque seulement 20% d’entre eux jugent cette affaire « très grave ».

66% des sondés souhaitent qu’Emmanuel Macron s’adresse directement aux Français sur l’affaire Benalla. Et 63% des sympathisants de La République En Marche (LaRem) partagent cet avis, bien que le président de la République se soit exprimé mardi soir devant les parlementaires de la majorité.

L’impact de l’affaire Benalla sur le chef de l’Etat se fait sentir, près d’une semaine après les révélations du Monde sur l’ancien collaborateur de l’Elysée. Ainsi, tous les voyants semblent au rouge pour Emmanuel Macron.

Si 67% des sondés estiment qu’il sait toujours faire preuve d’autorité, cette part baisse de 3 points par rapport en avril dernier. La chute est encore plus forte (- 10 points) concernant sa capacité à prendre des décisions ou quant à sa fiabilité (- 11 points). Enfin, 70% des personnes interrogées estiment qu’il n’est pas en capacité de rassembler les Français.

Sondage réalisé auprès d’un échantillon de 1008 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence.

Sondage gouvernement : 59% mécontents

Sondage gouvernement : 59% mécontents

(59%) « mécontents » de l’action du gouvernement et 64% sur les questions économiques et sociales d’après un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro du 26 avril. 23% disent être « très mécontents » et 36% « plutôt mécontents ». 36% considèrent être « plutôt satisfaits », et seulement 4% admettent être « très satisfaits ».  Seuls l’Europe et l’international totalisent 54% de satisfaits. L’insatisfaction est majoritaire dans tous les autres domaines : 53% de personnes interrogées sont insatisfaites sur les questions liée à la sécurité, 54% sur celles liées à l’éducation, et 64% sur les questions économiques et sociales.   Mis à part les sympathisants La République en marche, satisfaits à 92% par la politique du gouvernement, toutes les autres catégories de la population partagent un jugement négatif : 88% de mécontents parmi les sympathisants de La France insoumise, 59% parmi ceux du Parti socialiste, 57% chez Les Républicains et 77% au sein du Front national.

 

*Enquête réalisée auprès d’un échantillon de 1 007 Français représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogés par internet les 25 et 26 avril 2018.

 

2018 : 59% des Français optimistes

2018 : 59% des Français optimistes

D’après un sondage d’ Harris Interactive, pour RTL et M6, le niveau d’optimisme des Français pour l’année 2018 atteint 59% (contre 38% pour le niveau de pessimisme). Au lendemain d’une année 2017 jugée positive, ce niveau d’optimisme confirme sa hausse continue depuis décembre 2011, passant de 44% à 59% (+15 points en six ans). Dans le détail, les femmes sont plus positives que les hommes (61% contre 57%) pour 2018. Trois quarts des moins de 35 ans affichent un bel optimisme en ce début d’année, contre 51% des 50 ans et plus. Le taux d’optimisme varie aussi suivant des critères sociodémographiques. Ainsi, 65% des CSP+ se déclarent optimistes, quand ils sont 53% à être dans le même état d’esprit chez les inactifs. La région Île-de-France compte 64% d’euphoriques contre 58% pour la province. Sans surprise, les Français, dont les convictions sont proches de celles défendues par La République En Marche, sont les plus optimistes (83%). Cela représente deux fois plus que les sympathisants Front national (42%). Le taux d’optimisme atteint 54% chez les sympathisants de La France insoumise et 61% chez leurs homologues des Républicains et du Parti socialiste. 2018 est une année de défis pour Emmanuel Macron et sa majorité. Interrogés sur les domaines d’actions prioritaires, les Français placent en tête de leur classement la lutte contre le terrorisme (71%). Elle devance la bataille contre le chômage (69%), dont les premiers résultats sont attendus « dans deux ans » par le chef de l’État, et la défense du système social (santé, retraites) (65%). L’éducation, la lutte contre l’insécurité et le pouvoir d’achat suivent avec 64%. En revanche, la place de la France dans l’Europe n’est jugée prioritaire que par 23% des Français, bien qu’ils se montrent optimistes sur la question à 51%. La culture (21%) et le droit de vote des étrangers (8%) ferment la marche de ce classement. En matière d’immigration enfin, Emmanuel Macron a repris à son compte la célèbre déclaration de Michel RocardLors de ses vœux du 31 décembre, il a répété que « nous ne pouvons accueillir tout le monde et nous ne pouvons le faire sans qu’il y ait des règles. » Les Français sont majoritaires à être en phase avec cette réflexion. D’une manière générale, un citoyen sur deux donne sa préférence à une politique de moindre accueil des immigrés sur le territoire national, contre 11% souhaitant voir cet accueil accru et 34% optant pour le statu quo. Ceci est particulièrement le cas concernant les immigrés économiques, malades ou souhaitant retrouver leur famille.

 

Sondage Macron : 59% mécontents

Sondage Macron : 59% mécontents

Un sondage qui devrait faire réfléchir le gouvernemenet sur l’équilibre entre mesures économiques et les mesures de portée sociales même si effectivement les deux sont souvent liées. Reste que sur la forme  le gouvernement donne souvent l’impression d’accorder davantage d’intérêt à la problématique économique et financière qu’à la problématique sociale. Sans parler de quelque maladresses relatives  par exemple à la réduction de 5 euros de l’APL ou de la présentation confuse de la suppression de l’ISF transformés en impôts sur la fortune immobilière.  D’après un sondage Harris Interactive pour France 2 publié samedi soir, les Français sont plutôt sévères avec la politique d’Emmanuel Macron, six mois après son arrivée au pouvoir. Seules 35% des personnes interrogées se disent satisfaites (dont 5% « très satisfaites ») de l’action du président de la République, contre 59% de mécontents au total. Parmi ces derniers, 32% se disent « plutôt mécontents » et 27% « très mécontents ». Dans le détail, l’insatisfaction se ressent surtout chez les personnes ayant voté pour Benoît Hamon, Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, comme le souligne Franceinfo. Les électeurs d’Emmanuel Macron le soutiennent en revanche à 80%, et ceux de droite sont très partagés: 51% des votants de François Fillon sont satisfaits, contre 47% d’insatisfaits.  Pour expliquer cette insatisfaction, le sondage montre que de nombreuses réformes portées ou mises en place par l’exécutif n’ont pas plu aux Français: l’augmentation de la CSG et la baisse des charges tout d’abord, qui a déplu à 45%. La baisse de 5 euros des APL ensuite (41%), la suppression de l’ISF également (40%) et la réforme du code du travail (35%). Au contraire, celle qui attire le plus de satisfaits est la suppression de la taxe d’habitation pour 80% des Français (52%), suivie de la loi antiterroriste (25%), la réforme de l’accession à l’université (24%) et la réforme du code du travail, appréciée par 19% des personnes interrogées. Le résultat de ce sondage témoigne notamment d’un manque de pédagogie et d’un manque de compréhension non seulement de la situation actuelle mais du projet à plus long terme du président  de la république. Un président de la république par ailleurs un peu seul à incarner le changement et qui renvoie les membres du gouvernement, du Parlement ou du parti en marche à des seconds rôles. Emmanuel Macon aurait sans doute intérêt à mieux partager le pouvoir car le mouvement de réforme pourrait être grandement fragilisé en cas de baisse de popularité du chef de l’État. Notons enfin que la plupart des dirigeants d’en marche sont des techniciens certes souvent de grande valeur mais socialement et politiquement un peu trop transparents.

Sondage réalisé sur internet les 2 et 3 novembre 2017 auprès d’un échantillon de 1817 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

 

Macron devant Le Pen avec 59% selon un Elabe

Macron devant Le Pen avec 59% selon un Elabe

Selon un sondage Elabe pour BFMTV et L’Express diffusé mardi, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen avec 59% des voix au second tour de l’élection présidentielle, soit une baisse de cinq points par rapport au lendemain du premier tour, selon un sondage Elabe pour BFMTV et L’Express diffusé mardi. La candidate du Front national obtiendrait 41%, en hausse de cinq points. Elabe souligne que 18% des personnes interrogées et se disant certaines ou quasi certaines d’aller voter n’expriment aucun choix à ce stade. « Cette indécision plus prononcée qu’il y a une semaine auprès des électeurs des principaux candidats éliminés au premier tour contribue, en partie, au resserrement du rapport de forces entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. S’ajoute à cela de meilleurs reports en faveur de la candidate du Front national », poursuit l’institut de sondages. Ainsi, 23% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon au premier tour disent qu’ils voteront pour Marine Le Pen au second, soit une hausse de sept points en une semaine, 44% disant qu’ils voteront pour Emmanuel Macron (-9) et 33% n’exprimant pas d’intention de vote. Les électeurs de François Fillon sont 46% (-3) à dire qu’ils voteront pour le candidat d’En Marche ! et 30% (+2) pour Marine Le Pen, 24% n’exprimant pas d’intention de vote. Le sondage a été réalisé en ligne du 28 avril au 2 mai auprès d’un échantillon de 3.956 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, dont a été extrait un sous-échantillon de 3.817 personnes inscrites sur les listes électorales pour l’établissement des intentions de vote. Les comparatifs sont établis par rapport à l’enquête Elabe pour BFMTV et L’Express réalisée le 24 avril, lendemain de la qualification d’Emmanuel Macron et de Marine Le Pen pour le second tour.

Sondage Présidentielle: 59% des Français «pas satisfaits»

Sondage Présidentielle: 59% des Français «pas satisfaits»

Pas étonnant que les Français soient peu satisfaits car la campagne électorale aura été relativement médiocre. En cause surtout,  la surenchère de promesses, le caractère surréaliste de certaines propositions comme le revenu universel ou le retour au franc. Sans parler des affaires aussi bien de Fillon  que de Le Pen qui ont détournés l’objet de la campagne. Aujourd’hui aucun responsable ne s’impose de manière majoritaire sur le plan de la popularité. Macro figure toujours en tête en queue selon un sondage Odoxa diffusé jeudi. Avec 41 % d’opinions favorables, Emmanuel Macron devance Jean-Luc Mélenchon (38 %) en baisse de 2 points, Alain Juppé (37 %, +1) et Marine Le Pen (33 %, +4). Du côté de l’exécutif, François Hollande gagne un point de popularité à un niveau toujours très bas, 22 %, et le Premier ministre Bernard Cazeneuve en perd 3 à 39 %, selon cette enquête pour L’Express, la presse régionale et France Inter. Enquête réalisée en ligne les 19 et 20 avril auprès de 1.503 personnes de 18 ans et plus, et du 24 au 25 avril, après le premier tour de la présidentielle, auprès de 1.000 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.

 

Primaire 2017 : Juppé 59%, Sarkozy 41%

Primaire 2017 : Juppé 59%, Sarkozy 41%

Un sondage qui donne une indication sur la très nette avance d’Alain Juppé pour la primaire de 2017. Ce sondage repose toutefois sur l’hypothèse d’un vote de l’ordre de 3 millions d’électeurs. Le nombre de votants pourrait atteindre le double, ce qui accroîtrait encore notablement l’avance de Juppé. Le score pourrait être à l’heure de 70 % pour Juppé et 30 % pour Sarkozy. La dynamique de Juppé ne repose pas sur une adhésion inconditionnelle à son projet et à sa personnalité mais surtout sur le rejet de Sarkozy. Le « tout sauf Sarkozy » conduira une très grosse majorité d’électeurs à voter en faveur du maire de Bordeaux. À noter parmi les électeurs environ 1 million d’anciens votants pour la gauche dont la moitié se prononcera pour Juppé. Alain Juppé creuse l’écart avec Nicolas Sarkozy avec une progression de cinq points dans les intentions de vote pour le premier tour de la primaire de la droite (39%) alors que l’ancien président perd un point à 33%, selon un sondage Kantar Sofres-OnePoint pour Le Figaro diffusé mardi. De précédents sondages mettaient au coude à coude les deux favoris pour l’investiture présidentielle. Les électeurs de gauche sont 48% à se déclarer prêts à voter pour le maire de Bordeaux, ils sont 60% dans les rangs de l’UDI et du MoDem, 30% chez les Républicains et 26% au Front national. Nicolas Sarkozy est plébiscité à 47% par les sympathisants des Républicains, à 39% par les sympathisants du FN, à 8% par les électeurs de gauche et 6% par les centristes. Au second tour, Alain Juppé l’emporterait avec 59% des voix contre 41% à Nicolas Sarkozy dans l’hypothèse d’une participation de 2,9 millions d’électeurs, « soit un écart de dix-huit points alors qu’il n’était que de dix points en août », relève l’institut. Bruno Le Maire, en troisième position, est crédité de 13% des intentions de vote pour le premier tour contre 10% lors de la précédente mesure, François Fillon de 12% contre 10% précédemment. Nathalie Kosciusko-Morizet recueille 4% des intentions de vote, Jean-François Copé 3% et Jean-Frédéric Poisson 2%. L’enquête a été réalisée en ligne du 21 au 26 septembre auprès d’un échantillon de 8.031 personnes âgées de 18 ans et plus, dont 577 personnes tout à fait certaines d’aller voter à la primaire.

Sondage Mélenchon 2017 : sectaire pour 59 %

Sondage Mélenchon 2017 : sectaire pour 59 %

 

Deux handicaps pour Mélenchon selon l’IFOP : son attitude trop sectaire pour 59 % et peut-être surtout le manque de crédibilité de son programme pour 75 %. Pour autant Mélenchon recueille 27 % d’opinions favorables concernant ses solutions pour sortir le pays de la crise ». À noter la progression de Mélenchon dans les sondages pour 2017 où il recueille désormais de l’ordre de 12% soit seulement 2 de moins que François Hollande. Vingt-sept pour cent des Français considèrent que Jean-Luc Mélenchon  »a des solutions pour sortir le pays de la crise », mais 59% le perçoivent comme « sectaire » et 58% estiment qu’il « s’oppose trop au gouvernement », selon un sondage Ifop réalisé pour Atlantico et rendu public samedi. 52% considèrent d’autre part qu’il « veut vraiment changer les choses ». Les sondés avaient à répondre à la question suivante: « pour chacun des qualificatifs suivants, diriez-vous qu’il s’applique plutôt bien ou plutôt mal à Jean-Luc Mélenchon? ». Les chiffres portent sur les réponses « s’applique plutôt bien ». Par sensibilités politiques, ils sont 87% du Front de gauche à estimer que le député européen « a des solutions pour sortir le pays de la crise », mais ils ne sont plus que 28% du PS et 11% des Républicains à penser de même. Quant au fait que le député européen serait « sectaire », ils sont 73% du PS et 75% des Républicains à estimer que ce qualificatif « s’applique plutôt bien » à Jean-Luc Mélenchon, contre seulement 22% au Front de gauche. De même, 77% du PS et 74% des Républicains considèrent qu’il « s’oppose trop au gouvernement », contre 33% du Front du gauche. Jean-Luc Mélenchon reste « une personnalité extrêmement clivante », analyse Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion publique à l’Ifop. »Six Français sur dix, ajoute-t-il, estiment qu’il est sectaire et qu’il s’oppose trop au gouvernement. C’est même paradoxal avec le contexte social et l’impopularité du gouvernement ».  »A cette image clivante s’ajoute l’idée que les scénarios proposés pour sortir de la crise apparaissent hypothétiques pour quasiment trois quarts des Français », ajoute Jérôme Fourquet. L’enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 30 mai au 1er juin. Jean-Luc Mélenchon prendra la parole dimanche au « défilé des Insoumis », place Stalingrad à Paris. Il s’agira de son premier rassemblement de campagne dans la perspective de la présidentielle de 2017.

(Avec RTL et  AFP)

COP 21 : 59% des Français n’y croient pas

COP 21 : 59% des Français n’y croient pas

 

Le français n’y croient pas, pour deux raisons parce que le décalage entre les intentions et l’action  est trop grandes chez les responsables (voir à ce sujet l’hypocrisie de Ségolène sur le Diesel), auusi parce qu’ils ont compris que Hollande voulait instrumentaliser cette conférence infranationale pour regagner en popularité sur le plan interne. L’objectif est notamment de limiter le réchauffement climatique à 2°C maximum par rapport à l’ère pré-industrielle d’ici la fin du siècle. Le projet d’accord d’une trentaine de pages issu de la dernière session de négociations préparatoires, le mois dernier à Bonn, comporte encore de très nombreuses options à arbitrer, y compris concernant la formulation de cet objectif. Selon un sondage Odoxa pour iTELE diffusé vendredi et réalisé les 5 et 6 novembre, six Français sur dix (59%) estiment que la COP21 sera un échec, contre 40% qui pensent le contraire. Moins du quart des Français (23%) jugent l’action du gouvernement proportionnée aux enjeux, 58% des Français la considèrent insuffisante et 18% trop importante. La pré-COP, où seront représentées toutes les régions du monde et catégories de pays, se concentrera sur quatre thèmes : les ambitions de la COP, la prise en compte des différences de responsabilité et de capacités des divers pays, le financement de l’aide aux Etats les plus vulnérables au-delà de 2020 et les actions concrètes à engager sans attendre cette échéance. Un bémol toutefois on a appris que la Chine avait très largement sous-estimé ses émissions polluantes relatives au charbon !

Rentrée scolaire – réforme des notes : 59% des Français contre

Rentrée scolaire – réforme des notes : 59% des Français contre

 

 

Après l’inutile réforme des rythmes scolaires, c’est l’inutile reforme de notes qui est contestée par l’opinion. En fait le gouvernement porte davantage attention à la forme qu’au fond de l’enseignement  pourtant en pleine décomposition si l’on en juge par les classements internationaux. A la limite pourquoi encore des notes ? D’autant qu’on rechigne à faire redoubler les élèves ! Un système qui en fin de scolarité mène tout droit à pôle emploi ! Le système de notation-sanction en France n’est peut-être pas parfait, pourtant il semble convenir à la majorité des Français. Selon un sondage réalisé par le CSA pour RTL à l’occasion de la rentrée scolaire, la majorité d’entre eux ne juge « pas du tout » ou « pas vraiment » nécessaire de réviser la manière de noter les élèves. Pourtant, c’était l’un des chantiers en cours de l’ancien ministre de l’Éducation Benoît Hamon qui voulait éviter ce système de notation dit « sanction ». Un chantier qui sera peut-être abandonné par Najat Vallaud-Belkacem, héritière du portefeuille de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Car cet avis, partagé par 59% des Français, semble faire dans cette majorité l’unanimité entre les différentes classes sociales, que l’on soit ouvrier (55%), cadre (59%) ou profession intermédiaire (59%).  De plus, les sympathisants de droite et de gauche sont plutôt d’accord, puisque 59% des partisans du PS sont du même avis que les 69% des adeptes de l’UMP.  C’est surtout chez les jeunes de 18-24 ans que le débat est partagé puisque 50% d’entre eux sont pour la révision quand l’autre moitié la rejette.

 

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