Archive pour le Tag '58%'

Sondage présidentielles : baisse des concurrents de Macron

Selon un sondage Ifop pour LCI, Paris Match et Sud Radio, Emmanuel Macron profite électoralement de la crise ukrainienne avec 28 % des intentions de vote (plus 2 %).

Loin derrière, Marine Le Pen maintient sa deuxième position et est crédité de 16% des intentions de vote (-0,5) quand son rival nationaliste, Éric Zemmour, chute au premier tour, avec 14% (-1,5).

La candidate Les Républicains Valérie Pécresse continue de s’éloigner du podium. La Francilienne est créditée de 13% et perd un point. À gauche, l’insoumis Jean-Luc Mélenchon obtient 10,5% et enregistre une légère baisse (-0,5) tandis que l’écologiste Yannick Jadot reste stable (5%) comme la candidate socialiste Anne Hidalgo (2,5%). Le communiste Fabien Roussel baisse légèrement (3,5% ; -0,5) tout comme Christiane Taubira qui obtient 1,5% (-0,5%).

Sondage «lettre des généraux» : 58 % des Français d’accord

Sondage «lettre des généraux» : 58 % des Français d’accord

 

D’après un sondage Harris Interactive/LCI 58 % des Français déclarent soutenir les militaires signataires. Cette tribune remporte un franc succès à droite avec 71 % des sympathisants LR et 86 % de ceux du RN. Une très forte majorité de Français partage la vision exprimée par les anciens militaires sur « la société française en train de se déliter » (73%) ou « une forme d’antiracisme qui produit une haine entre les communautés » (74%). Du pain bénit pour la présidente du FN.

Quant aux tentations putschistes qui leur sont prêtées quand ils parlent de « l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national », le sondage montre qu’un Français sur deux (49 %) pense que « l’Armée devrait intervenir sans qu’on lui en donne l’ordre afin de garantir l’ordre et la sécurité en France. »

SONDAGE PSEUDO RECONFINEMENT : MACRON critiqué par 58%

SONDAGE PSEUDO RECONFINEMENT : MACRON  critiqué par 58%

De l’avis d’une majorité de Français (58%), Emmanuel Macron et Jean Castex ont eu tort de ne pas reconfiner le pays fin janvier, selon le nouveau sondage Elabe « L’Opinion en direct » publié ce mercredi. Une erreur qui se mêle à des prises de décisions jugées parfois « incohérentes » et « inefficaces ».

Pour 6 Français sur 10, l’exécutif a eu tort de ne pas reconfiner le pays fin janvier.

Concernant particulièrement les annonces faites jeudi dernier – à savoir, reconfiner 16 départements pour au moins un mois – 74% des personnes interrogées estiment qu’elles ne sont pas cohérentes, 73% qu’elles ne sont pas efficaces, 65% qu’elles ne sont pas justes et 65% qu’elles ne sont pas simples à comprendre. Ce manque de clarté est dénoncé par 72% des personnes vivant dans les 16 départements concernés par le nouveau confinement.

Les mesures annoncées par l’exécutif jeudi dernier manquent de cohérence, pour une majorité de Français. 

Perte de confiance

S’ajoute à ce mécontentement, la sensation pour un Français sur deux que l’exécutif ne prend pas assez de précautions vis-à-vis de la crise sanitaire. 27% jugent qu’il en prend juste ce qu’il faut, et 22% qu’il en prend trop. L’impression d’un manque de précautions est une opinion qui augmente avec l’âge: 43% des 18-24 ans considèrent que l’exécutif n’en prend pas assez, et cette observation augmente jusqu’à 59% chez les 65 ans et plus.

Dans ce contexte, la confiance accordée au gouvernement par les Français diminue: elle a perdu 4 points dans les sondages en une semaine. Ainsi, 69% des sondés ne font pas confiance aux politiques qui gouvernent le pays, dont 36% (-1) « pas vraiment confiance » et 33% (+6) « pas confiance du tout ». La confiance en l’exécutif atteint son plus bas niveau depuis le début de la crise du Covid-19.

La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Echantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Interrogation par Internet les 23 et 24 mars 2021.

SONDAGE PSEUDO RECONFINEMENT : MACRON critiqué par 58%

SONDAGE PSEUDO RECONFINEMENT : MACRON  critiqué par 58%

De l’avis d’une majorité de Français (58%), Emmanuel Macron et Jean Castex ont eu tort de ne pas reconfiner le pays fin janvier, selon le nouveau sondage Elabe « L’Opinion en direct » publié ce mercredi. Une erreur qui se mêle à des prises de décisions jugées parfois « incohérentes » et « inefficaces ».

Pour 6 Français sur 10, l’exécutif a eu tort de ne pas reconfiner le pays fin janvier.

Concernant particulièrement les annonces faites jeudi dernier – à savoir, reconfiner 16 départements pour au moins un mois – 74% des personnes interrogées estiment qu’elles ne sont pas cohérentes, 73% qu’elles ne sont pas efficaces, 65% qu’elles ne sont pas justes et 65% qu’elles ne sont pas simples à comprendre. Ce manque de clarté est dénoncé par 72% des personnes vivant dans les 16 départements concernés par le nouveau confinement.

Les mesures annoncées par l’exécutif jeudi dernier manquent de cohérence, pour une majorité de Français. 

Perte de confiance

S’ajoute à ce mécontentement, la sensation pour un Français sur deux que l’exécutif ne prend pas assez de précautions vis-à-vis de la crise sanitaire. 27% jugent qu’il en prend juste ce qu’il faut, et 22% qu’il en prend trop. L’impression d’un manque de précautions est une opinion qui augmente avec l’âge: 43% des 18-24 ans considèrent que l’exécutif n’en prend pas assez, et cette observation augmente jusqu’à 59% chez les 65 ans et plus.

Dans ce contexte, la confiance accordée au gouvernement par les Français diminue: elle a perdu 4 points dans les sondages en une semaine. Ainsi, 69% des sondés ne font pas confiance aux politiques qui gouvernent le pays, dont 36% (-1) « pas vraiment confiance » et 33% (+6) « pas confiance du tout ». La confiance en l’exécutif atteint son plus bas niveau depuis le début de la crise du Covid-19.

La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Echantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Interrogation par Internet les 23 et 24 mars 2021.

Ambre Lepoivre

Guerre Azerbaïdjan Arménie: 58 morts

Guerre Azerbaïdjan Arménie: 58 morts

La guerre qui oppose l’Azerbaïdjan à l’Arménie a déjà fait 58 morts. Un conflit qui concerne la région du Haut-Karabakh, territoire enclavé d’Azerbaïdjan peuplé majoritairement d’Arméniens et ayant proclamé son indépendance avec l’effondrement de l’URSS en 1991.

Ces affrontements sont les plus violents depuis 2016 et ravivent l’inquiétude quant à la stabilité dans cette région traversée par des oléoducs transportant du pétrole et du gaz vers les marchés mondiaux. Dans cette guerre la Russie soutient l’Arménie tandis que la Turquie et du côté de l’Azerbaïdjan.

Parmi les nombreuses réactions diplomatiques, la France, médiatrice dans ce conflit dans le cadre du groupe de Minsk mis en place par l’OSCE qu’elle co-préside avec la Russie et les Etats-Unis, a appelé dimanche à une cessation immédiate des hostilités.

“La France est prête à prendre toutes ses responsabilités en tant que co-présidente du groupe de Minsk. Le président de la République a appelé fermement à la cessation immédiate des hostilités et dit sa disponibilité à contribuer à un règlement pacifique et durable de la question du Haut-Karabakh”, a fait savoir l’Elysée dans un communiqué.

 

Sondage Macron : 58% mécontents mais pour certaines réformes

Sondage Macron : 58% mécontents mais pour certaines réformes

Très majoritairement les Français sont mécontents même s’ils approuvent certaines réformes ; les reproches principaux concerne le manque de justice de la politique du gouvernemenet et le coté distant de Macron. D’après sondage réalisé par Ifop-Fiducial pour Paris Match, Sud Radio et CNews publié mercredi une  majorité de Français se disent au final mécontents de l’action du président de la République Emmanuel Macron, près d’un an après son élection. Selon cette enquête, 42% des personnes interrogées s’estiment satisfaites de l’action du chef de l’Etat, 58% plutôt mécontentes ou très mécontentes. Les sondés sont 57% à estimer qu’Emmanuel Macron a tenu ses promesses de campagne. Pour près de trois quarts des personnes interrogées, le terme « autoritaire » s’applique bien à Emmanuel Macron, 58% le pensent porteur d’une vision pour le pays, 55% le voient comme défenseur des intérêts de la France et 53% le qualifient de « sympathique ». Le bilan d’Emmanuel Macron est jugé positif en matière de relation avec l’Union européenne (67% d’opinions favorables) et d’image de la France à l’étranger. La mesure du gouvernement la plus populaire est le projet de réforme du baccalauréat (plébiscité à 66%) mais aussi celle de la SNCF (59%), tandis que l’abaissement de la vitesse maximale sur les routes secondaires à 80 km/h n’est approuvée que par 25% des personnes interrogées. Près de 45% de sondés sont satisfaits du bilan en matière de lutte contre le chômage. Mais sur la maîtrise de l’immigration, la réforme des retraites, le pouvoir d’achat et la situation à l’hôpital, moins d’un tiers des personnes interrogées voient le bilan gouvernemental d’un œil positif. Et moins d’un tiers des personnes interrogées le considèrent cependant proche des préoccupations des Français et 37% seulement disent le trouver « juste ».

 

Méthodologie : Le sondage a été effectué en ligne du 12 au 16 avril auprès d’un échantillon de 1.201 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

Disparition des animaux : 58% vertébrés ont disparu en 40 ans

Disparition des animaux : 58% vertébrés ont disparu en 40 ans

Les populations de vertébrés ont chuté de 58 % en 40. Dans le détail, les milieux d’eau douce sont les plus affectés, avec un effondrement de 81 % sur la période, devant les espèces terrestres (− 38 %) et celles marines (− 36 %). Si rien ne change, ces populations pourraient avoir diminué en moyenne des deux tiers (67 %) d’ici à 2020, en l’espace d’un demi-siècle seulement. « Ces chiffres matérialisent la sixième extinction des espèces : une disparition de la vie sur la planète dont nous sommes en partie responsables », dénonce Pascal Canfin, le directeur général du WWF France. L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a publié, vendredi 17 novembre, une actualisation de sa liste rouge des espèces menacées. Elle révèle que la situation s’est aggravée pour les espèces terrestres (33 % menacées ou quasi menacées contre 23 % en 2009) comme pour les espèces marines (32 % menacées ou quasi menacées contre 25 % en 2009). Les causes de ces reculs sont connues : ils sont imputables, en premier lieu, à la perte et à la dégradation de l’habitat, sous l’effet de l’agriculture, de l’exploitation forestière, de l’urbanisation ou de l’extraction minière. Viennent ensuite la surexploitation des espèces (chasse, pêche, braconnage), la pollution, les espèces invasives et les maladies et enfin, de manière plus marginale pour l’instant, le changement climatique. L’impact de notre système alimentaire est majeur. « A elle seule, l’agriculture occupe environ un tiers de la surface terrestre totale, est la cause de 80 % de la déforestation mondiale et pèse pour près de 70 % de la consommation d’eau, rappelle Arnaud Gauffier, responsable du programme agriculture du WWF France. Enfin, 30 % de l’empreinte carbone en France est liée à l’alimentation. ». Le second indicateur sur lequel se base le rapport « Planète vivante » est l’empreinte écologique, qui mesure la pression qu’exerce l’homme sur la nature. Elle calcule ainsi les surfaces terrestres et maritimes nécessaires pour produire chaque année les biens et services que nous consommons (nourriture, combustible, espaces bâtis, etc.) et absorber les déchets que nous générons (en particulier nos émissions de CO2), puis les compare à la biocapacité de la Terre, c’est-à-dire la surface disponible. Ces superficies se mesurent en hectares globaux (hag). En 2012, l’empreinte écologique de l’humanité atteignait 20,1 milliards d’hectares globaux, soit 2,8 hag par personne. Elle excédait ainsi largement (de 61 %) la biocapacité totale de la Terre, qui s’élevait à 12,2 milliards de hag (1,7 hag par personne). Au final, cette année-là, l’humanité a utilisé l’équivalent de 1,6 planète pour vivre et a donc entamé son « capital naturel ». La majeure partie (60 %) de cette surconsommation est imputable aux émissions de CO2, essentiellement dues à la combustion des énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz naturel). Ce « dépassement écologique », qui intervient depuis le début des années 1970, est possible car nous coupons des arbres à un rythme supérieur à celui de leur croissance, nous prélevons plus de poissons dans les océans qu’il n’en naît chaque année, et nous rejetons davantage de carbone dans l’atmosphère que les forêts et les océans ne peuvent en absorber.

58 % des populations d’animaux menacés

58 % des populations d’animaux  menacés

D’après un rapport du Fonds mondial pour la nature (WWF, les populations de mammifères, poissons, oiseaux, amphibiens et reptiles se sont effondrées de 58 % en une quarantaine d’années. « Que la biodiversité poursuive sa chute, et le monde naturel que nous connaissons aujourd’hui s’effondrera d’un seul tenant », avertit ainsi le directeur général du WWF International, Marco Lambertini. « Le déclin subi par les populations d’espèces sauvages est de plus en plus préoccupant. Il devrait atteindre en moyenne 67 % d’ici à 2020, si rien n’est fait pour enrayer la tendance’ », précise-t-il.  Pour Pascal Canfin, directeur général du WWF France, l’homme est « en train d’assister à une régression de la vie sur la planète dont nous sommes en partie responsables ». Et un tel constat pose un danger pour la survie même de l’être humain, car « quand le vivant disparaît, c’est le capital naturel qui disparaît. Et si on détruit ce capital, on détruit notre capacité à vivre sur la planète dans la durée« . Dans sa conclusion, le rapport du WWF affirme donc que l’humanité se met elle-même en danger. En 2014, le précédent rapport du même type faisait état d’une chute de 52 % des populations de vertébrés dans le monde entre 1970 et 2010. Afin de mesurer l’évolution, l’organisation, qui collabore notamment avec la société zoologique de Londres, a étudié quelque 14.152 populations appartenant à 3.706 espèces vertébrées. Les animaux d’eau douce sont particulièrement touchés à cause notamment de la surexploitation, avec une chute de 81 % entre 1970 et 2012. En eau de mer, un tiers des espèces de requins et de raies sont menacées d’extinction. Les animaux terrestres ont également baissé de 38 %. En Afrique, la raison principale reste le braconnage, des éléphants notamment. Depuis 2006, leur nombre a diminué de 111.000. Il n’en resterait aujourd’hui plus que 415.000 Les causes directes de cet effondrement sont attribuées à l’homme. La dégradation, voire la perte, des habitats naturels de ces populations de vertébrés étant dues aux activités agricoles, à l’exploitation forestière, l’extraction minière ou encore au développement des réseaux de transports et la production d’énergie. La surexploitation (pêche et chasse), mais aussi la pollution et le développement de maladies sont également des facteurs à prendre en compte.

Primaire de la droite : Juppé 58 %, Sarkozy 42 %

Primaire de la droite : Juppé 58 %, Sarkozy 42 %

 

Avec 40% des intentions de vote au 1er tour de la primaire à droite, le maire de Bordeaux confirme son avance sur Nicolas Sarkozy (31%), selon une étude Harris Interactive pour France Télévisions, publiée jeudi 27 octobre.  L’ancien président de la République est en recul de 3 points par rapport à la semaine dernière et de 6 points depuis la rentrée politique (mi-septembre 2016).

François Fillon bénéfice de 14% des intentions de vote (+1 point en une semaine, +4 depuis mi-septembre) et Bruno Le Maire de 10% (+3 points en une semaine, après une baisse post premier débat de la primaire). Avec 3% d’intentions de vote, Nathalie Kosciusko-Morizet devance Jean-François Copé (1%) et Jean-Frédéric Poisson (1%).Au second tour de la primaire, Alain Juppé l’emporterait avec 58% des voix, soit une progression de 4 points en une semaine, et de 6 points depuis le lancement du dispositif mi-septembre, contre 42% pour Nicolas Sarkozy, en baisse continue (-4 points en une semaine, -6 points depuis mi-septembre).

* Enquête réalisée en ligne du 24 au 26 octobre 2016. 

Sondage programme Juppé : 58 % pour

Sondage programme Juppé : 58 % pour

Selon un baromètre Odoxa publié ce jeudi 12 mai.   »La part de Français se déclarant favorables aux mesures proposées par Alain Juppé est en moyenne de 58,5% pour les 6 mesures testées », relève Gaël Sliman, le président d’Odoxa dans sa note de synthèse. Dans le détail, la mesure qui recueille le plus d’échos favorables reste l’allègement de la fiscalité de l’épargne avec 74% d’approbation (68% pour les sympathisants de gauche et 80% pour ceux de droite). Il faut croire que les Français n’ont guère apprécié l’alignement de la fiscalité du capital sur celle du travail décidé par François Hollande. Suivent la réduction du taux d’impôt sur les sociétés pour le ramener au niveau de la moyenne européenne (70% d’opinions favorables), et la liberté donnée aux entreprises de décider du retour au 39h de travail par semaine ou de conserver les 35h (66%). Alain Juppé compte également laisser les syndicats continuer à gérer la Sécu, un marqueur important puisque d’autres candidats Les Républicains (LR) veulent changer la donne. Du coup cette mesure est moins populaire (58% d’approbation) en raison surtout du refus au niveau des sympathisants de droite (49% d’avis favorables). Sans trop de surprise, la suppression de 300.000 fonctionnaires via le non-remplacement de départs en retraite obtient un score modeste de 53%, en raison de la désapprobation des sympathisants de gauche (35% sont pour) alors que la mesure est applaudie à droite (71%). Un seul point du programme économique d’Alain Juppé est rejeté: la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune. Une mesure qui fait chou blanc, avec 70% de refus et ce aussi bien à gauche (81%) qu’à droite (57%).Reste que si les Français sont globalement d’accord avec les idées du maire du Bordeaux, ils en attendent plus.  »Bonnes mais plus ‘rustines’ que de nature à transformer notre modèle…tel semble être le sentiment des Français à l’égard des mesures économiques proposées par Alain Juppé », commente Gaël Sliman. 54% des Français considèrent ainsi que le programme de l’ex-Premier ministre n’apportera pas le « choc » nécessaire pour remettre la France sur les bons rails.

(BFM)

Sondage déchéance nationalité : 58% des français pour

Sondage déchéance nationalité : 58% des français pour

 

Plus de 70 % des Français considèrent une nouvelle fois que François Hollande a porté atteinte à l’autorité de l’État en abandonnant la réforme constitutionnelle, une réforme constitutionnelle approuvée par 58 %. François Hollande a donc commis une double erreur d’abord en ne prenant pas en compte ce que pense l’opinion publique vis-à-vis de la déchéance de nationalité ensuite en choisissant la stratégie de l’immobilisme. De fait François Hollande a été plus sensible aux arguties des bobos juristes et autres politiciens qu’au bon sens des Français qui voyaient la un symbole important pour rappeler que l’obtention de la nationalité française est indissociablement liée à l’adhésion aux valeurs républicaines. Une nouvelle occasion manquée pour Hollande dont la stratégie du slalom permanent est à la fois inefficace et incomprise. Ce sondage démontre s’il en était besoin le fossé qui s’accroît entre les élites y compris des grands médias et les citoyens moyens. En effet une majorité de Français estime que François Hollande a eu tort de renoncer à réviser la Constitution faute d’accord sur la déchéance de nationalité et que son recul sur le sujet porte sérieusement atteinte à son autorité, selon un sondage Odoxa pour iTELE et Paris Match publié vendredi. Un total de 58% des personnes interrogées donnent tort au président de la République, dont 74% chez les sympathisants de droite et 41% chez ceux de gauche. Les Français sont encore plus nombreux (71%) à y voir une décision qui porte atteinte à son autorité en tant que chef de l’Etat, dont 89% à droite et 57% à gauche. A la question de savoir qui est responsable de cet échec, ils répondent très largement (72%) avant tout les responsables politiques de gauche. Plus généralement, ils jugent que les débats autour de la déchéance de nationalité n’ont pas été clairs (80%) et pas à la hauteur de l’enjeu (84%).

Nouvelle loi El Khomri : encore 58% des français contre

Nouvelle loi El Khomri : encore 58% des français contre

 

En dépit des amendements apportés à la loi travail 58 % des Français restent encore opposés au texte de la loi travail En cause surtout le manque de légitimité du gouvernement. Un gouvernement dont la politique économique et condamnée par 90 % des Français. Pourtant une assez nette majorité se dégage pour approuver le principe du référendum dans l’entreprise et pour permettre des adaptations du temps de travail en cas de nécessité. Par contre les mesures relatives aux licenciements économiques sont elles assez contestées même si les avis sont cependant partagés. Le drame pour ce gouvernement c’est qu’il ne dispose plus d’aucune crédibilité auprès de l’opinion publique et que même des velléités de réforme positive seraient condamnées par avance. Deux raisons essentielles d’abord un bilan économique et social catastrophique jusque-là qui discrédite toute autorité gouvernementale. Ensuite le fait que les nouvelles réformes engagées ressemble davantage à une auberge espagnole qu’à une vision globale pertinente. De manière précipitée, mal préparée voire bâclée, on additionne des bouts de réforme dont on a du mal à percevoir la cohérence globale. Une majorité de Français (58%) restent donc opposés au projet de réforme du Code du travail malgré les changements annoncés par le gouvernement, qui a reculé sur plusieurs de ses points sensibles, selon un sondage Viavoice pour Libération à paraître jeudi. Une personne interrogée sur deux (50%) pense que les changements annoncés ne changent pas grand chose et 27% jugent, en écho aux reculades dénoncées par l’opposition de droite, qu’ils ne vont pas dans le bon sens. Et ils sont 54% à soutenir la mobilisation contre le projet de loi qui doit être officiellement présenté jeudi par la ministre du Travail Myriam El Khomri en conseil des ministres. Certaines dispositions du projet recueillent pourtant l’assentiment d’une majorité de Français : 69% pour le référendum interne à l’entreprise en cas de désaccord patronat-syndicat, 58% pour permettre aux entreprises d’augmenter le temps de travail en cas de besoin. Quarante-huit pour cent jugent en outre que le Code du travail est un frein à l’emploi, contre 40% qui pensent le contraire. Pour Viavoice, l’opposition majoritaire des Français au projet de loi El Khomri s’explique par deux phénomènes majeurs : le rejet de la politique économique du gouvernement, 45% des personnes envisageant de se mobiliser le feraient contre cette politique « dans son ensemble, au-delà du seul projet de loi (13%) ; un rejet des mesures visant à faciliter les licenciements économiques qui, pour 48% des Français (contre 40%) ne sont pas de nature à aider l’emploi.

Primaire à gauche : 58 % des Français pour, Aubry et Valls en tête

Primaire à gauche : 58 % des Français pour, Aubry et Valls en tête

 

Les Français s et encore davantage les sympathisants de gauche se déclarent en faveur de l’organisation primaire à gauche comprenant toutes les sensibilités. D’une certaine manière c’est un désaveu à la fois pour Hollande et pour Mélenchon.  pour Hollande parce que ce dernier considère qu’il peut s’affranchir de la procédure de présélection et que sa candidature est donc naturelle. Pour Mélenchon qui, lui, refuse de s’inscrire dans une démarche commune pour ne pas avoir à se désister en faveur du candidat qui remporterait c es primaires. Dans l’hypothèse de telle primaire les résultats ne paraissent pas acquis si Martine Aubry vient en tête des sympathisants de gauche par contre les sympathisants du parti socialiste place Manuel Valls devant Martine Aubry. Du coup on comprend mieux la radicalisation de la lutte de ces derniers jours entre Valls et de Martine Aubry. L’un comme l’autre font sans doute le deuil de la candidature de François Hollande et se positionnent comme candidat à sa succession à gauche Plus de la moitié (58%) des Français sont favorables à une primaire commune à l’ensemble des partis de gauche pour la présidentielle de 2017, une opération souhaitée même par plus des deux tiers (67%) des sympathisants de gauche, selon un sondage BVA pour Orange et iTELE publié samedi. A la question de savoir quels sont leurs candidats souhaités pour cette primaire, le Premier ministre, Manuel Valls, arrive en tête des réponses avec 47% des voix devant le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron (46%), son prédécesseur Arnaud Montebourg (42%) et la maire de Lille, Martine Aubry (40%). François Hollande vient loin derrière, sa candidature n’étant souhaitée que par 29% des personnes interrogées. Les préférences des sympathisants de gauche vont d’abord à Martine Aubry (62%) devant l’ancienne ministre de la Justice Christiane Taubira (53%) et le coprésident du Parti de gauche Jean-Luc Mélenchon (49%), qui a déjà annoncé son intention de se présenter à la présidentielle et refuse de participer à une primaire. Mais si l’on interroge les seuls sympathisants du parti socialiste, c’est la candidature de Manuel Valls qui s’impose (64%) devant celles de Martine Aubry (59%) et François Hollande (55%).

BP : une pollution à 58 milliards de dollars

BP : une pollution à  58 milliards de dollars

Il faut croire que les profits des compagnies pétrolières sont très substantiels voir démentiels pour pouvoir absorber de telles sommes en réparation de pollution. BP aura  donc du débourser  58 milliards de dollars pour la catastrophe qui s’est produite au large de la Nouvelle-Orléans en 2010 La Justice des Etats-Unis a annoncé lundi avoir passé un accord de plus de 20 milliards de dollars avec le groupe pétrolier britannique BP. Pour la pire catastrophe environnementale des Etats-Unis, le groupe pétrolier va payer la plus lourde indemnisation de l’histoire du pays.  C’était le 20 avril 2010. La plateforme Deepwater Horizon explosait, à 80 km au large de la Nouvelle-Orléans. Le pétrole s’échappe du puits, les premières nappes atteignent la Louisiane le 29 avril. Il faudra 87 jours pour boucher le puits et contenir la fuite. Plus de trois millions de barils de pétrole se seront échappés. Pour ce « 11-Septembre écologique« , comme l’a appelé Barack Obama, BP a mis la main à la poche. Et pas qu’un peu. 20,8 milliards de dollars, du jamais vu en la matière. « Cette transaction historique est une réponse forte et adéquate au pire désastre environnemental de l’histoire américaine », a relevé lundi la ministre américaine de la Justice Loretta Lynch. « BP reçoit la punition qu’il mérite, tout en fournissant la compensation cruciale pour les dégâts qu’il a causés à l’environnement et à l’économie du golfe. »  Selon la ministre, il s’agit de la sanction la plus élevée jamais infligée à une société dans l’histoire des Etats-Unis. Cet accord doit mettre fin aux poursuites intentées par l’Etat fédéral, les cinq Etats touchés (Alabama, Floride, Louisiane, Mississippi et Texas) et par des autorités locales. Et la ministre de conclure : « Avec cette transaction amiable, les autorités fédérales, des Etats et locales ainsi que des communautés de la région côtière du golfe auront les ressources pour effectuer des progrès importants vers la restauration des écosystèmes, des économies et des entreprises de la région ». Au total, la marée noire aura coûté quelque 58 milliards de dollars au groupe pétrolier – 14 milliards pour les opérations de secours, une première amende de 4,5 milliards, 20 milliards pour un fonds d’indemnisation, et donc cette indemnité de 20,8 milliards. L’explosion survenue le 20 avril 2010 sur la plateforme Deepwater Horizon avait tué 11 personnes et provoqué le déversement de millions de barils de brut au large des côtes de plusieurs Etats américains pendant près de trois mois.

Sondage les Grecs sont responsables de « leur » crise pour 58% et les Français ?

Sondage  les Grecs sont responsables de « leur » crise pour 58% et les Français ?

Les Français ont raison de penser que les Grecs sont sans doute  responsables de leur crise ( pas les seuls cependant). Mais il serait intéressant de connaitre le sentiment des Français sur la crise proprement française. Ce serait vraisemblablement  un résultat proche. En matière de dette la situation de la France est en effet pire que celle de la Grèce. 315 milliards d’endettement pour la Grèce soit environ 28 000 euros par habitant. 2000 milliards pour la France soit 31 000 euros environ. Une dette impossible à rembourser dans les deux cas.  Selon un sondage Odoxa pour l’émission CQFD sur iTélé, 58% des Français estiment que les Grecs sont les principaux responsables de la crise qui les touchent. 41% ont répondu quant à eux que les créanciers de la Grèce (FMI, Union Européenne) sont les responsables. Du côté des sympathisants de gauche, ils imputent à une très faible majorité la faute aux créanciers (50% contre 48%), tandis que les sympathisants de droite imputent majoritairement la faute au peuple grec. Selon cette même étude, 65% des Français ne s’opposent pas au référendum et estiment même que c’est une bonne chose. Un avis partagé par les sympathisants de droite comme de gauche qui approuvent respectivement cette initiative à 66% et 62%. Enfin, 75% des sondés ne partagent pas l’avis de François Hollande lorsqu’il affirme qu’il n’y a rien à craindre du référendum en Grèce. A gauche, ils sont 57% à penser différemment du Président, et chez les sympathisants de droite ils sont 87%.

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