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Sondage grève: le gouvernement responsable pour 55%

Sondage grève: le gouvernement responsable pour 55%

 

 Selon une enquête Ifop,  JDD les Français portent un regard sévère sur l’action du gouvernement sur le dossier des retraites. 59% des personnes interrogées estiment ainsi que le gouvernement « porte la plus forte responsabilité dans les blocages liés au mouvement social », en ne « dévoilant pas ses intentions » pour la réforme. Le Premier ministre Édouard Philippe a promis qu’il livrerait mercredi prochain « l’intégralité du projet du gouvernement ».

 

Dans cette enquête réalisée auprès de 1.001 personnes, 33% des sondés disent soutenir le mouvement de grève lancé le 5 décembre, et qui entraîne depuis de fortes perturbations dans les transports publics. Un chiffre en hausse de six points par rapport à une autre étude Ifop réalisée la semaine dernière. 20% des sondés disent de leur côté avoir de la sympathie pour le mouvement.

L’hostilité pour la grève contre le projet de réforme des retraites est elle en baisse. Seulement 12% des personnes interrogées se disent hostiles à la mobilisation, alors qu’ils étaient 15% dans l’étude menée à la fin du mois de novembre. Au total, 30% s’y disent opposés ou hostiles.

Sans surprise, les personnes se déclarant proches de la France insoumise soutiennent fortement la grève (66%), tout comme les sympathisant du Parti socialiste (45%), mais également du Rassemblement national (45%). Les proches de La République en marche sont les plus nombreux à être opposés ou hostiles à l’opposition contre la réforme (64%).

41% des sondés estiment au contraire que les grévistes sont les principaux responsables « en lançant un mouvement alors que le contenu de la réforme n’a pas été encore annoncé ».

Enquête réalisée auprès d’un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage budget 2020 : pas d’impact sur l’économie pour 55 %

Sondage budget 2020 : pas d’impact sur l’économie

Toujours environ 70 % de la population qui contestent l’efficacité de la politique économique du gouvernement. Et Selon le dernier baromètre BVA* réalisé pour La Tribune, 55% des Français interrogés par l’organisme de sondages estiment que les mesures contenues dans le projet de loi de finances 2020 (PLF 2020) ne vont pas améliorer la situation économique de la France. À l’inverse, 45% des personnes affirment que les orientations budgétaires devraient permettre à l’activité tricolore de rebondir.

Sur l’ensemble des personnes interrogées, 41% pensent que le nouveau budget aura un impact négatif, 40% indiquent qu’il n’aura aucun impact et seulement 18% déclarent qu’il aura des répercussions positives.

Les réformes économiques portées par le gouvernement depuis le début du quinquennat sont jugées sévèrement par les Français. Ainsi, 68% des Français estiment que la politique économique de l’exécutif est mauvaise. À l’opposé, 32% pensent que les mesures décidées par le gouvernement d’Edouard Philippe sont favorables.  »Ce jugement est plus négatif qu’en septembre, où 55% des Français jugeaient mauvaise la politique économique du gouvernement : une hausse qui s’explique avant tout par un taux moins élevé de personnes ne se prononçant pas (-12 points), la proportion de personnes émettant un jugement positif étant quasiment la même (-1 point) », précise l’institut spécialisé dans les enquêtes d’opinion.

 (*) Méthode : enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet du 1er au 2 octobre 2019. L’échantillon de 1.000 personnes est représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Dans le cas d’un échantillon de 1.000 personnes, pour un pourcentage obtenu par enquête de 20%, la marge d’erreur est égale à 2,5. Le pourcentage a donc 95% de chance d’être compris entre 17,5% et 22,5%.

Salaire : 55 % mécontents

Salaire : 55 % mécontents

 

 

 

Alors qu’une étude de l’INSEE sort aujourd’hui pour montrer que les salaires ont augmenté en 2016 (comme d’habitude les chiffres de  l’INSEE sortent avec deux ans de retard !) Sans doute pour prouver que le salaire a (0,5 % !) Et que le niveau est satisfaisant. Une autre étude de l’Ifop publiée ce mercredi portant sur les salariés d’entreprises privées et publiques montrent que 55 % des salariés ne sont pas satisfaits de cette rémunération. Dans le détail, 38% des employés estiment le montant de leur salaire «pas vraiment satisfaisant» et «17% pas du tout satisfaisant». Par conséquent, en moyenne, les Français se verraient bien augmenter de 519,6 euros par mois pour être «pleinement» satisfaits de leur rémunération.

Ce sont les salariés gagnant plus de 3000 euros nets par mois qui sont les moins satisfaits de leur situation. Ils sont 78% à trouver que leur rémunération est trop faible en raison vraisemblablement de l’impôt sur le revenu et du faite qu’il passe à côté de la plupart des aides asociales. Les Français estiment «bien gagner leur vie» à partir d’un salaire net de 2351 euros par mois. À noter que les habitants de la région parisienne fixent ce seuil à 2789 euros quand les Français de «Province» l’établissent à 2254 euros.

 

Gilets jaunes : 55% des Français pour l’arrêt des manifs

Gilets jaunes : 55% des Français pour l’arrêt des manifs

un sondage Odoxa Dentsu-Consulting réalisé pour France Inter, l’Express et la presse régionale publié lundi 25 février. Selon l’étude, 55% des personnes interrogées souhaitent la fin du mouvement, contre 66% fin novembre et 55% en janvier dernier.

Ce chiffre n’est pas une surprise car le soutien se délitait lentement. Le rejet est sans doute lié à la dégradation de l’image des « gilets jaunes ». La lassitude, voire l’agacement touche désormais de très nombreux Français aisés (72%), de cadres (69%) et de personnes habitant en zones urbaines et notamment à Paris (60%) alors que ces derniers étaient tous majoritairement favorables à sa poursuite au début du mouvement.

Ceux qui continuent de soutenir les « gilets jaunes » sont très « typés » d’un point de vue politique comme d’un point de vue sociologique. Politiquement, seuls les sympathisants des partis d’extrême-gauche et d’extrême-droite, Insoumis(74%) et RN (67%), veulent une poursuite du mouvement. À l’inverse, les sympathisants socialistes (58%) comme ceux de LR (66%) ont rejoint leurs homologues de La République en Marche (92%) et sont désormais une nette majorité à dire « stop » aux gilets jaunes.

Sociologiquement aussi, le mouvement s’est réduit à un socle très étroit des seuls ouvriers (58%) et Français aux plus bas revenus (57%) qui souhaitent sa poursuite alors que les employés et les Français aux revenus moyens – inférieurs, qui soutenaient encore majoritairement la poursuite du mouvement ces dernières semaines, ont fait volte-face et ne le souhaitent plus désormais (respectivement 49% et 53%).

Enfin, dernier coup dur pour les gilets jaunes, même au niveau territorial son socle de soutien rural et périurbain s’étiole : si les Français habitant les grandes villes (58%) veulent l’arrêt du mouvement, ils ne sont pas les seuls. Leurs homologues habitant des petites villes (51%) et des zones rurales (52%) le demandent aussi désormais.

 

Grand débat : Macron trop présent pour 55% des Français

Grand débat : Macron trop présent pour 55% des Français

Ce n’est pas encore l’overdose  mais déjà une certain ras le bol des Français vis-à-vis de l’omniprésence de Macron dans les médias. Les deux tiers des Français (66%) estiment qu’Emmanuel Macron profite du grand débat pour faire campagne indûment pour les élections européennes, d’après un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et le Figaro. D’après ce sondage, 55% des Français interrogés pensent par ailleurs qu’Emmanuel Macron « en fait trop » et qu’il « est trop présent dans les médias «dans le cadre du grand débat national, même s’ils le trouvent plutôt « bon sur la forme » pour 53% d’entre eux. Mais une large majorité (78%) pense que le chef de l’État « ne parviendra pas à retrouver la confiance des Français », car ils estiment pour 68% des personnes interrogées qu’il n’a pas été « convaincant sur le fond sur la plupart des sujets ».

Les Français pronostiquent donc que l’hyperprésence d’Emmanuel Macron ne lui servira pas. Et pourtant dans la même enquête, les Français déjouent leur propre pronostic. Emmanuel Macron a connu un spectaculaire rebond, depuis un mois et demi, dans le crible d’image de l’institut de sondage Odoxa. Ainsi, ils sont désormais 65% à le juger « dynamique » (+ 10 points depuis le mois de décembre). 37% le jugent sympathique (+12 points) et 21% proche des gens (+9 points). En revanche, ils sont toujours 76% à estimer que le qualificatif « président des riches » s’applique bien à Emmanuel Macron (-1 point).

Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1002 Français interrogés par internet les 13 et 14 février 2019, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

SNCF : encore 55% de conducteurs en grève lundi

SNCF : encore 55% de conducteurs en grève lundi

Indiscutablement la participation faiblit globalement, elle a été divisée par deux pour atteindre 15% mais il s’agit d’une moyenne qui n’a pas beaucoup de sens. Traditionnellement les administratifs participent peu, les sédentaire délèguent souvent leur droit de grève aux roulants. Pour preuve, il y aura officiellement encore 55% de grévistes chez les conducteurs soit près de 75% si l’on tient compte de ceux qui sont en repos, en maladie ou en congé.   Le trafic ferroviaire sera donc perturbé dimanche en France, avant un lundi encore “plus dur”, dans le cadre de la neuvième séquence de grève des cheminots qui débute samedi soir, a annoncé le directeur général adjoint du groupe SNCF Mathias Vicherat. Depuis le début du mouvement, le 3 avril, le taux de grévistes est passé de plus de 30% à 15% des salariés, mais il se maintiendra toutefois au dessus des 50% ce week-end parmi les conducteurs (55%). Un Transilien sur deux circulera dimanche, deux TER sur cinq, et un train Intercités sur trois. Pour les TGV, le trafic sera réduit à un train sur deux, tout comme pour les trains internationaux. Vicherat lors d’une conférence de presse, évoque “une journée particulière avec une forme de sursaut de mobilisation pour lundi”.

Le bilan Macron : négatif pour 55%

Le bilan Macron : négatif pour 55%

 

 

Un sondage hier de BVA montrait que 57% des Français considéraient le bilan de Macron comme négatif, un chiffre presque confirmé par une grande enquête du  Centre de recherche de Sciences Po (Cevipof), où  55% des personnes interrogées pensent que le bilan du chef de l’Etat est aussi négatif. Un an après sa victoire, le 7 mai 2017, Emmanuel Macron conserve toutefois la confiance de ses électeurs d’alors : 68 % de ceux qui ont voté pour lui au premier tour jugent son bilan positif, de même que 56% de ceux du second tour, où Emmanuel Macron était opposé à la présidente du Front national, Marine Le Pen. Dans son propre camp majoritaire à l’Assemblée nationale, 93% des sondés proches du parti présidentiel La République en marche (LaRem) et 66% des sympathisants du MoDem, son principal allié au Parlement, considèrent que son bilan est positif.

Ce sondage a été réalisé via Internet du 25 avril au 2 mai auprès de 13.540 personnes composant le panel électoral suivi par le Cevipof depuis décembre 2015.

Sondage blocage université : 55% contre

Sondage blocage université : 55% contre

 

Selon une enquête Odoxa-Dentsu Consulting. Une majorité de Français (55%) est hostile à l’actuelle mobilisation étudiante contre le système Parcours Sup’ de sélection sur dossier à l’entrée à l’université, que 52% des sondés soutiennent. D’après ce sondage réalisé les 18 et 19 avril pour franceinfo et Le Figaro et publié jeudi, le résultat est différent selon que l’on interroge les Français dans leur ensemble ou les jeunes âgés de 18 à 24 ans. Ces derniers sont en effet à la fois hostiles (61%) à Parcours Sup’ et favorables (62%) au mouvement de contestation dans les universités. L’enquête a été réalisée via internet auprès d’un échantillon de 1.017 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage Manifs du 22 mars : 55% pour

Sondage Manifs  du 22 mars : 55% pour

Selon un sondage Odoxa PARIS Une majorité de Français (55%) approuvent la journée de manifestation du 22 mars.  Le soutien est quasi unanime (82%) chez les salariés du service public, qui sont par ailleurs près d’un tiers (29%) à envisager de se mobiliser pour manifester jeudi, précise l’étude. Pourtant, la plupart des réformes envisagées par le gouvernement (6 sur 7) sont soutenues par les Français, à défaut de l’être par les salariés du secteur public (1 sur 7). Les Français sont, par exemple, majoritairement favorables (70%) à l’alignement des régimes de retraites du public et du privé, mettant un terme aux régimes spéciaux de la fonction publique. A l’inverse, 66% des salariés du public interrogés y sont opposés. L’enquête a été réalisée par internet les 14 et 15 mars auprès d’un échantillon de 1.002 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et auprès d’un autre panel de 1.011 salariés du service public.

Baromètre popularité : Macron 62%, Edouard Philippe à 55%.

Baromètre popularité : Macron 62%, Edouard Philippe à 55%.

 

Selon  l’Ifop pour le JDD, avec 62% de satisfaits, le jeune Président effectue le troisième démarrage de la Vème République, derrière De Gaulle (67% en 1958) et Sarkozy (65% en 2007), mais devant son prédécesseur, François Hollande (61%). Elu en 2002 dans une configuration similaire face au FN, Jacques Chirac démarrait son second mandat avec une infime majorité d’approbations, et déjà 44% de mécontents. Au terme de sa première semaine, Macron, lui, satisfait toutes les catégories de sondés: cadres et professions intellectuelles (68%) comme ouvriers (56%), retraités (67%) comme fonctionnaires (56%). Sympathisants de En Marche! Comme du PS (69%) et des Républicains (58%), et même de la France insoumise (50%). Seuls les partisans du FN se défient nettement de lui (77% de mécontents). Les propos tenus par les sondés en marge de l’enquête confortent l’impression d’indulgence vis-à-vis du nouveau pouvoir. Le « renouveau », la « jeunesse », la « modernité » du chef de l’Etat sont souvent mis en avant, mais aussi sa « prestance » et son « autorité ». « Il secoue le cocotier », entend-on, ou encore : « Il nous débarrasse des has been » et « Donnons-lui sa chance ». De fait, la composition du gouvernement est analysée comme la confirmation d’une volonté de « casser les codes » qui suscite l’acquiescement (avec une prédilection pour Nicolas Hulot). « Il met les meilleurs aux meilleures places sans distinction d’appartenance politique », relève un sondé.  Moins connu des Français, le Premier ministre Edouard Philippe suscite plus de perplexité (21% n’ont pas d’avis) mais recueille néanmoins une majorité (55%) de satisfaits. C’est moins bien que Jean-Marc Ayrault en 2012 et François Fillon en 2007, qui inauguraient eux aussi un quinquennat. Mais il obtient l’approbation des sympathisants de En Marche! (83%), de LR (62%) et d’une quasi majorité d’électeurs du PS (49%), signe d’une recomposition déjà en cours.

 

*Enquête Ifop-Fiducial réalisée par téléphone du 19 au 20 mai 2017, auprès d’un échantillon de 973 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession). Pour cette taille d’échantillon, la marge d’erreur est de plus ou moins 3 points pour un pourcentage mesure à 55%, de 2,8 points pour un pourcentage mesure à 62%.

Accueil Migrants : 55% contre ou la question qui divise .

Accueil Migrants : 55% contre ou la question qui divise

La question des migrants divise les Français qui sont 55 % à ne pas vouloir voir évoluer les conditions de leur accueil en France selon un sondage Odoxa pour Le Parisien et Aujourd’hui en France, dévoilé dimanche 6 septembre. Il faut dire que la question est complexe surtout dans un pays miné par la crise et qui ne croit pas beaucoup dans les solutions des partis politiques. Au préalable faut sans doute indiquer que le même résultat pourrait être obtenus dans la plupart des pays européens tentés  par le repli nationaliste. De ce point de vue Merkel n’a pas non plus l’opinion publique de son côté pour approuver son plan d’accueil des réfugiés. C’est tout à l’honneur des responsables politiques de s’engager parfois à contre-courant de l’opinion publique car on ne saurait diriger un pays uniquement avec des sondages. Plusieurs facteurs explicatifs sont à prendre en compte dans la problématique des réfugiés. D’abord à l’origine c’est bien l’intervention inconsidérée des pays développés dans certaines dictatures du Proche et Moyen-Orient qui a créé à la fois le chaos et le développement de l’État islamique. Rappelons-nous notamment de la première intervention des États-Unis en Irak pour deux faut motif. La France elle-même en intervenant en Libye a largement contribué à la déstabilisation de pays certes dirigé par des dictateurs mais qui avait le mérite au moins d’empêcher tueries et affrontements ethniques ou religieux de la dimension actuelle. Victime de violences insoutenables et de barbarie les syriens  en particulier ne mérite d’être accueillis avec dignité en Europe. Des mesures humanitaires d’urgence imposent donc. Il y a bien entendu une hypocrisie majeure à vouloir repousser des migrants dans les pays voisins de l’union européenne ou non. Bien entendu il convient aussi de s’attaquer aux réseaux de passeurs mais sur ce point leur avait jusque-là été incapable d’agir avec efficacité ; bilan de cette forme de migration de 2 000 morts en Méditerranée. Au-delà des aspects conjoncturels à caractère humanitaire des questions structurelles se posent cependant pour les  conditions d’accueil de migrants venus maintenant du monde entier et souvent pour des questions économiques. Là encore les pays développés ont des responsabilités mêmes si les dirigeants locaux notamment travers la corruption sont bien entendus responsables. Cela pose la question générale de politique de coopération qui demeure largement virtuelle, aussi du rééquilibrage des rapports économiques notamment à propos du pillage des matières premières. Enfin il est clair que les conditions de mobilité dans l’espace Schengen devront être modifiées. Toutefois cela remettra en cause certains principes de la libre circulation des personnes et aussi des biens qui constituent l’essentiel de la philosophie européenne. Des modifications sont possibles voire nécessaires mais leur bouleversement total remettrait en cause l’existence même de l’union européenne. La questionest  donc complexe et on peut comprendre les réticences des populations vis-à-vis des réfugiés. Cela d’autant plus que les incertitudes les plus grandes planent sur le devenir économique et donc social de nombre de pays de l’union européenne. Pour la France le sentiment de certains Français à l’égard des nouveaux réfugiés est aussi largement hypothéqué par l’échec total de l’intégration de certaines populations étrangères ou même de français d’origine étrangère. Plusieurs dimensions s’articulent donc :  le contexte économique, social et  culturel. Encore une fois la problématique n’est pas simple  et il n’est pas surprenant que des divisions apparaissent sur le sujet des réfugiés. Ces divisions s’illustrent  encore plus en fonction des opinions politiques. Si les sympathisants de gauche sont pour un meilleur accueil des migrants (69%), les sympathisants de droite sont en revanche largement opposés, dans la même proportion (69%), à cela. D’ailleurs, Europe. Concernant la question spécifique des migrants syriens, qui fuient la guerre sévissant dans leur pays, les Français ne font pas de différenciation particulière. Ils sont 62% à estimer qu’il faut traiter ces personnes comme les autres alors que 36% pensent que ces migrants « méritent un meilleur accueil en tant que réfugiés de guerre ». La politique de l’Union européenne par rapport à cette crise humanitaire se trouve par ailleurs sous le feu des critiques. 78% désapprouvent l’action des dirigeants de l’UE et seulement 21% jugent qu’ils ont bien réagi. En outre, 69% des Français ne veulent pas entendre parler de quotas pour répartir les migrants et les demandeurs d’asile entre les pays de l’Europe. François Hollande s’est en tout cas récemment prononcé en faveur de l’instauration d’un « mécanisme permanent et obligatoire ». Enfin, alors que le chef de l’État songe à mener des frappes aériennes contre l’État islamique en Syrie, les Français voudraient que l’armée française s’engage encore plus. Comme certaines voix politiques, ils sont 61% à être favorables à l’envoi de troupes militaires au sol, selon ce sondage réalisé par Internet les 3 et 4 septembre auprès d’un échantillon de 1.003 personnes représentatifs de la population française selon la méthode des quotas.

Sondage : Les Français pour l’euro à 55%

Sondage : Les Français pour l’euro à 55%

Plus de la moitié des Français (56%) sont opposés à la disparition de l’euro et au retour au franc et 44% pensent que l’appartenance de la France à l’Union européenne « est une bonne chose » selon un sondage opinionway pour Le Figaro et LCI. A la question « seriez-vous favorable ou opposé à la disparition de l’euro et au retour au franc ? », 56% des personnes interrogées se disent « opposées » pour 26% « favorables ». 18% des sondés se disent « indifférents ». Les personnes de 65 ans et plus sont les plus opposées à 70%. 44% des sondés jugent que l’appartenance de la France à l’Union européenne « est une bonne chose » alors qu’ils sont 23% à penser que c’est une « mauvaise chose ». 33% estiment que c’est une « choses ni bonne ni mauvaise ». Dans le même sondage, 64% des personnes interrogées avouent un désintérêt pour la campagne des élections européennes – 42% sont peu intéressées et 22% pas du tout. Ils sont 72% des 35-49 ans à ne pas être intéressés du tout. 36% des sondés trouve un intérêt à la campagne, 9% se disant même « très intéressés » et 27% « assez intéressés ».

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